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Critiques de Grégoire Polet (104)
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Barcelona !

"Barcelona!" est une fiction, rien n'y est vrai (sauf peut-être l'issue d'un match de foot) et pourtant rien n'est faux.

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En pleine crise économique et institutionnelle, on vibre avec Bego, Damián, Gavilán, Pere, et toustes les autres que je n'ai pas le courage de citer. A leurs côtés, on s'interroge sur l'avenir de l'Europe, on craint pour nos perspectives financières, on souffre des injustices de la vie. Mais surtout, au rythme de la ville de Gaudi, on s'émerveille de la solidarité, on rit des rencontres, on boit des bières et des cafés en parlant littérature et surtout on se réjouit de nos lendemains plein de perspectives.

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C'est là  toute la magie de ce roman choral virevoltant, politique, social et follement divertissant.
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Excusez les fautes du copiste

Moi j'aime les loosers magnifiques surtout quand ils sont Belges...

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Sylvain, jeune veuf, père d'une Isabelle adorée, diplômé sans honneur en art est prof de dessin pour des gamines qui n'en ont pas grand chose à faire. Jusqu'au jour où d'illustrateur "au noir", il devient copiste...

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Dans ce petit roman, Grégoire Polet interroge la création, la subtile différence entre art, artisanat et copie. Il parle aussi de notre relation aux autres. Deux sujets parfois casse-gueules qu'il traite avec adresse et humour.
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Pax

Paris, 1919, le président Wilson mais aussi avant, après, hier, aujourd'hui à Ostende, en Espagne, ailleurs, avec l'ambassadeur Lou, Marcel Proust, Juliette Drouet et les autres... Avec "Pax" Grégoire Polet signe un roman historique virevoltant, érudit, léger, grave qui parle de paix universelle, de création et de famille. Un bonheur de lecture dont le seul défaut est la bande choisie par Gallimard, réductrice et triste, qui re rend pas justice à la vivacité de la langue de l'auteur belge ni à la construction impressionnante du récit.
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Pax

Voilà « Pax », un chef-d’œuvre.
Lien : https://www.lesoir.be/577076..
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Barcelona !

J’ai aimé découvrir Barcelone en lectrice avec en ma poche ce livre qui en emprunte tous les aspects et plus encore que ce que j’ai pu y voir en touriste. Une écriture délicate posée sur des personnages complexes auprès desquels jamais je ne me suis sentie ni intruse ni voyeuse, juste à côté… et des formules délicieuses telles que « elle n’était belle pour personne » ou encore « Le problème de l’ambition, c’est qu’elle marche main dans la main avec la jaolousie »

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Petit éloge de la Belgique

Quel plaisir j'ai eu à lire ce petit éloge de la Belgique qui jongle entre passé et présent, lâchant l'encre (le e est volontaire) dans la mer de la mémoire collective pour mieux nous emmener sur les îles plus ou moins connues de personnages en lien avec la Belgique, ou le territoire belge. Mémoire collective de belges d'une certaine génération dont fait partie Grégoire Polet: celle des trams de la côte belge (un peu intemporelle), du désastre du Heysel et du naufrage du "Herald of Free Enterprise", ou celle de la Belgique victorieuse de l'Eurovision (une référence à Sandra Kim qui ne parlera qu'aux belges nés avant 1980) et de l'URSS au mondial de football. Ces lieux où ces évènements servent de point d'ancrage pour nous emmener dans l'histoire, grande ou petite avec pour charnière la guerre de 14-18. Sous le gris du ciel belge, on croise Zweig venu visiter Emile Verhaeren, les écrivains Oscar et Marcel Thiry, Rik Wouters, sculpteur et peintre, Henry Van De Velde, architecte du Bauhaus ... et beaucoup d'autres. Ces figures de l'histoire prennent le rôle de personnages de ce récit à qui l'auteur raconte sa "Belle Magique".

J'ai beaucoup aimé le rythme et la plume de Polet. Je ne le connaissais que de nom et l'envie est grande de partir dans d'autres de ses mots-voiliers.

Sa façon de raconter la Belgique par petites touches, de voyager dans le temps et l'espace, d'une plume travaillée et souvent poétique, m'a parlé, enchanté. J'ai découvert quelques personnages, quelques bouts d'Histoire que je ne connaissais pas. Je passais du livre à Wikipédia pour compléter, trouver un angle moins romanesque à ce récit dont j'ai du mal à qualifier la forme (peut-être un long poème en prose est le qualificatif qui lui va le mieux). Tout n'est pas dit. Ceci n'est pas une encyclopédie de la Belgique. En fait j'aimerais dire "Ceci n'est pas un éloge de la Belgique" mais j'ai peur d'une phrase un peu trop cliché, stéréotypée. Tout ce que le texte de Mr Polet réussit à éviter avec talent.



Une lecture de nuit ... qui a enchanté et prolongé mon insomnie tant je n'arrivais pas à refermer ce livre. L'aube est venue et la pluie dehors me rappelait que j'étais bien dans cette Belgique qui ma vu naître. Moi qui ne me suis jamais senti belge ...
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Petit éloge de la Belgique

Dans cet essai, l’auteur couche sur le papier son amour de la Belgique. Pour ce faire, il aborde les événements qui ont marqué son enfance, son adolescence et sa vie d’adulte. Il remonte jusqu’à son grand-père et il fait intervenir d’illustres personnes qui ont aussi vécu des moments en sol belge. Par exemple, Stefan Zweig (1881-1942) a passé du temps en Belgique en 1914 et il le fait intervenir dans son texte. Mais encore, il parle du peintre, architecte et décorateur Henry van de Velde (1863-1957). De plus, il mentionne le célèbre gitan joueur de guitare Django Reinhardt (1910-1953) qui est né près de Charleroi en Wallonie.



Ce ne sont que quelques exemples de personnes que la lectrice ou le lecteur croise durant sa lecture. Il y a bien entendu le paysage belge qui est là avec ses brouillards, sa mer du Nord, ses ciels, ses grisailles.



Ce que j’ai pensé



Je suis allée deux fois en Belgique car mon conjoint est Wallon. Sa famille demeure dans ce pays. Cependant, je connais peu ce territoire, ses habitants, sa culture. Alors, j’ai bien apprécié lire cet essai. J’ai vraiment aimé découvrir l’extrait de la romancière Marie Gevers (1883-1975) au début de l’essai.



«La source du gris murmure ainsi un soir de mortes eaux, à marée basse, au bord de la mer du Nord, et la joie est grande… ». (p. 12)



Comment ne pas apprécier cet extrait? Je suis déjà allée en vacances à la mer du Nord. C’était en juillet, il faisait froid, la mer et le ciel étaient gris. La beauté était partout dans cette nature remplie de mystère.



J’ai aimé aussi connaître un peu plus les célèbres personnes qui ont façonné la réputation de ce pays. Bien sûr, la mort est partout; elle s’avère associée aux deux guerres; elle est reliée aux tueries des nazis, etc. Lorsque je me promène dans des lieux en Belgique, je retrouve des plaques commémoratives mentionnant le nom de personnes mortes sous les balles des Allemands, des Nazis durant une des guerres.



Le peuple belge m’apparaît toujours comme un mystère, mais bon. J’ai encore le temps de le découvrir par le biais d’amis et de la famille de mon conjoint. Ce livre m’a tout de même permis d’en apprendre un peu plus sur lui. Alors, si vous voulez plonger durant quelques heures dans cet essai, il ne faut pas hésiter. C’est surréaliste, c’est un kaléidoscope où l’auteur joue avec l’ironie, la tendresse, les différents styles. C’est tout sauf ennuyant; c’est un chant d’amour à un territoire pour le nommer, pour se l’approprier, pour le faire vivre à travers le brouillard et pour faire naître des apparitions.



C’était ma participation au mois belge organisé par Anne et Mina.



Connaissez-vous Grégoire Polet?



Bien à vous,



Madame lit

https://madamelit.ca/2023/04/23/madame-lit-petit-eloge-de-la-belgique-de-gregoire-polet/
Lien : https://madamelit.ca/2023/04..
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WWW

Un magnifique recueil de 11 nouvelles qui frappe par la qualité des écritures, l'intelligence des propos, l'originalité et la diversité des sujets.
Lien : https://cnlj.bnf.fr/fr/conte..
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Petit éloge de la Belgique

L’auteur commence à la mer, sous la pluie, avec des vers de Marie Gevers. Quel plus beau début ? (Tout le monde) Tous les Belges se souviennent de leurs vacances à la mer du Nord, du tram de la côte, des nuages dont on peut contempler indéfiniment la course. C’est là qu’avec l’auteur, nous allons croiser James Ensor, Stefan Zweig à la veille de la guerre 14-18, l’architecte Henry Van de Velde. Au cours de ses réflexions, de ses observations, Grégoire Polet mêle l’histoire contemporaine de la Belgique et les combats des « anciens Belges » si j’ose dire, ceux qui avaient déjà l’esprit belge bien avant la Révolution de 1830 et la constitution de ce petit pays aujourd’hui bien divisé parfois. Les tueurs du Brabant en 1985, la victoire de Sandra Kim à l’Eurovision en 1986, le naufrage du Herald of Free Enterprise en 1987, événements qui ont marqué l’adolescence de Grégoire Polet, côtoient le tour du monde des autos-canons belges de 1915 à 1918, les deux frères Oscar et Marcel Thiry engagés eux aussi dans cette guerre, le prince Charles-Joseph de Ligne, plus souvent en voyage que dans son (beau) château de Beloeil, qui a rencontré la grande Catherine de Russie et a participé au congrès de Vienne en 1815.



Au fial, un voyage entre passé et présent, dans une Belgique originale, culturelle, ouverte à la vie (la vie toute la vie ! chantent les choeurs de Sandra Kim) et à la devise nationale « L’union fait la force ».
Lien : https://desmotsetdesnotes.wo..
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WWW

À la recherche d'un recueil de nouvelles actuelles pour les jeunes à partir de 14 ans ?

Avez-vous déjà pensé à la collection Double jeu des éditions Ker ?



Voilà un troisième recueil que j'ai découvert avec plaisir.



WWW est un ensemble de récits ayant un thème commun, celui du piratage, des pannes informatiques mais pas seulement. Ce recueil balaie plusieurs époques, allant du début du 20° siècle à un futur difficile à dater précisément.



J'ai particulièrement apprécié la délicatesse du sujet et le choix des mots de Barbara Abel dans « À quoi bon ? », la puissance du texte de Nicolas Ancion « Haïkus » et le côté incongru de la nouvelle d'Armel Job « La demoiselle du téléphone ».



D'autres nouvelles m'ont fait un peu penser à la série « Last of us », avec un décor post-apocalyptique. de quoi demain sera-t-il fait ?





Sur @les_cours_du_lapin_blanc , j'ai déjà évoqué un autre recueil qui a pour titre «#Balancetavie ». Il reprend plusieurs nouvelles en rapport avec la technologie surdéveloppée et ses dérives. Ce livre est plus abordable que WWW car les jeunes se sentiront davantage concernés par les sujets abordés. Personnellement, j'ai adoré la nouvelle « Le système Ledur » pour son réalisme et surtout sa chute. « Une simple erreur » de Vincent Engel nous rappelle que personne n'est à l'abri d'un malentendu… Savoureux bien que tragique !



Je vous souhaite un bon voyage au centre de ces pages belges.


Lien : https://www.aliceaufildespag..
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Petit éloge de la Belgique



Raconte-moi la Belgique !



C’est ce que fait l’auteur sur une bonne centaine de pages en voyageant seul ou en compagnie de célèbres compatriotes ou d’illustres visiteurs du Royaume, tels le graveur Albrecht Dürer (1471-1528) et l’écrivain Stefan Zweig.



Grégoire Polet, né à Bruxelles (Uccle) en 1978, aborde ainsi les faits et événements qui ont marqué son enfance et adolescence, allant de Sandra Kim, née Caldarone, qui à 13 ans a gagné l’Eurosong festival en 1986 à Bergen en Norvège avec le tube "J’aime la vie", en passant par l’atelier du peintre James baron Ensor (1860-1949) à Ostende, jusqu'aux tueurs du Brabant, une bande de bandits cagoulés, qui ont semé la terreur avec leurs braquages sanglants sur les parkings des grandes surfaces commerciales.



En souvenir à son grand-père, l’auteur remonte le temps jusqu’à 1914, la visite de Stefan Zweig en Belgique et la Première Guerre mondiale, tout en s’arrêtant sur 2 artistes de l’époque : le peintre, architecte et décorateur Henry Van de Velde (1863-1957) et le génial guitariste et compositeur Django Reinhardt, né Jean Reinhardt en 1910 à Liberchies près de Charleroi dans le Brabant Wallon et mort en 1953 à Fontainebleau.



Il se réfère également aux frères Oscar et Marcel Thiry, auteurs du

"Le tour du monde en guerre des autos-canons belges, 1915-1918, suivi de Lettres inédites à leur famille pendant la Première Guerre mondiale". Le récit de 2 volontaires liégeois sur le front en Russie et qui a été heureusement réédité en 2003.



Le grand guide de l’auteur n’est autre que le diplomate et écrivain belge, le prince Charles-Joseph de Ligne, né à Bruxelles en 1735 et mort à Vienne en 1814, pendant le Congrès qui entendait redessiner la carte de l’Europe après les guerres napoléoniennes et dont la boutade "le Congrès ne marche pas, il danse" est restée célèbre.

C’est le même prince qui signait ses œuvres par une simple ___ ligne.

Ce maréchal du Saint Empire permet à l’auteur de rencontrer la tsarine Catherine II de Russie et son amant Grigori Potemkine.



Comme j’habite à La Panne, au bord de la mer du Nord, les belles phrases sur le littoral belge n’entraînent pour moi évidemment pas un dépaysement, bien que j’ai été touché par son évocation du tram de la côte qui lie la frontière hollandaise à la frontière française et les vers de la poétesse anversoise Marie Gevers (1883-1975) dans son "Tourisme pour rêveurs".



J’ai trouvé ce fascicule, baroque et surréaliste dans son style et vocabulaire, agréable et instructif à lire. C’est un peu dommage que Grégoire Polet ne souffle mot de la BD belge, un de nos plus importants produits d’exportation.

Mais ses trouvailles et tournures de phrases valent la peine de lire, comme celle à la page 109 par exemple : "... tout lieu est une occasion d’aimer".

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Petit éloge de la Belgique

Pour continuer dans la littérature belge, Petit éloge de la Belgique est hymne au plat pays. Bon nombre de citoyens reconnaitront leurs vacances passées "à la mer" . Pour le reste, le récit retraçant l'histoire de Belgique, est franchement décalé, volontairement anachronique et même surréaliste. La Belgique n'est-elle pas le pays du surréalisme ?
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Excusez les fautes du copiste

C'est l'histoire assez peu crédible d’un faussaire, un raté, ce qui n'est guère origoinal. Ses relations avec sa fille et ses trois complices éclairent le personnage d'un jour différent à l'impression initiale mais tout est trop évident. Seul le dernier quart du livre devient plus vif et ménage des surprises.

Les personnages sont des ombres, des pions, ils n’ont guère de chair.

L’auteur semble peu au courant de ce qu’est un peintre, une peinture. Méconnaissance des contraintes techniques.

Spéculations concentrées à la fin sur la problématique du faussaire, la question éthique avec un jugement censé être « disruptif » mais au fond pas très original non plus.

Ecrit trop vite et c’est dommage car le sujet méritait mieux et l'écriture est fluide, on a malgré tout envie de savoir comment cela se termine..
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Petit éloge de la Belgique

Drôle de lecture, un peu surréaliste.



Je pensais lire des petites chroniques de la vie de tous les jours, style Karambolage en mode Belgique, mais pas du tout.



J'ai bien aimé même si je me suis sentie un peu perdue de temps en temps. Je n'ai pas toutes les références culturelles et historiques, et par moment j'ai eu un peu de mal à suivre mais malgré tout j'ai quand même découvert et appris certaines choses, une lecture très intéressante et surprenante.
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Petit éloge de la Belgique

C’est d’abord comme un brouillard. Le gris. La « source du gris » comme dit l’écrivaine Marie Gevers, qui est aussi « une grande joie ». En Belgique, tout commence par l’humidité, par la pluie que les phares de l’auto peinent à percer, par « un ciel si bas qu’il fait l’humilité », chantait Jacques Brel, par la mélancolie, qui est aussi un chemin vers la lumière.




Lien : https://www.lesoir.be/465827..
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La bataille du rail : Cheminots en grève, écriv..

Un recueil de textes courts par une trentaine d’écrivains et écrivaines, sur le thème du train et du chemin de fer, en soutien aux cheminots en grève en 2018. Comme souvent dans ce genre d’ouvrage, il y a du très bon et des textes moins mémorables, mais l’ensemble est plutôt plaisant à lire, et engagé.
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Madrid ne dort pas

Une fresque bariolée de personnages qui se croisent, observent sans se savoir observés, vivent une histoire, leur histoire qui recoupe celle d'autres qu'ils ne connaissent pas. J'ai aimé le style naturel et haut en couleur de l'auteur, les surprises qu'il nous réserve comme la séquence dans l'hélicoptère et la technique qu'il utilise pour rapporter une conversation où les intervenants s'interrompent sans cesse. Un premier roman plein de fraîcheur.
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Leurs vies éclatantes

Cinq étoiles pour la façon de mélanger,d’imbriquer des petites histoires entre elles. A tout moment on peut voir débarquer un personnage d’une précédente histoire. Si à certains moments on peut se perdre dans les nombreux protagonistes, cela ne gâche pas le plaisir de cette lecture. Un livre qui m’a surpris, que je ne sais comparer à aucun autre.
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Soucoupes volantes

✒Il y a des lectures qui sont des chemins de croix, je pense avoir connu la mienne avec cette lecture .Je ne suis pas client pour ce genre là. 😑 (trop hermétique).

Le style est d'une qualité supérieur avec un style qui allie la description et la narration avec virtuosité même si ses courtes histoires n'ont pas de fil conducteur (a moins que je n'ai pas remarqué le lien 🤔)

Une série de nouvelles où l'étrange côtoie le bizarre, il n'y a pas phénomène paranormal mais les personnages ont de drôle de petite aventures.

Ses courts chapitres racontent des petites histoires qui pourraient arriver à Monsieur tout le monde et Madame n'importe qui 🤭.

Des événements qui peuvent toucher le voisinage comme Bernie le comptable ou JP qui a un voisin Serbe observateur d'O.V.N.I....Je vous laisse le plaisir de découvrir la suite pour ceux qui ont le courage 😉.

Si ça vous tente lancez vous..
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Armistice

A l'occasion du centenaire de l'armistice, Gallimard a proposé à différents écrivains un hommage aux poilus. Le résultat est sublime. Trente et un auteurs contemporains se livrent à l'exercice difficile. Daeninckx, Hatzfeld, Jourde, Moï, Rufin, pour n'en citer qu'une poignée ont accepté cette écriture mémoire.

Chaque texte est illustré par une peinture, une gravure, un dessin. C'est ainsi que j'ai découvert l'histoire de vie et les peintures de Rik Wouters.



Cet ouvrage collectif fait écho aux chefs d'œuvre qui ont eu pour sujet la 1ere guerre mondiale: Voyage au bout de nuit, Les sentiers de la gloire, Au revoir là haut, capitaine Conan...



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