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Critiques de Guido Crepax (45)
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Anita

Une ode au fantasme médiatique.
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Anita

Pour les fans du maître, une belle curiosité !
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Anita

Anita relève à la fois du surréalisme et du psychédélisme, du désir et du rejet, du libre-arbitre et de l’asservissement, du jouissif et du douloureux.
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Bianca

Peut-être moins "engagé" que Valentina ou Anita, cette Bianca mérite tout de même toute votre attention, ne serait-ce que pour se régaler les yeux !
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Bianca

Que ce soit au travers des rêveries érotiques de ses propres héroïnes ou de celles des autres, Guido Crepax nous a transmis une certaine vision de l’esthétique féminine et des délices de la transgression…
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Bianca

Un gigantesque trip sous acide, voila à quoi me fait penser Bianca. Cette intégrale regroupe l’ensemble de ses voyages oniriques. Pensionnaire dans une institution pour jeunes filles, Bianca plonge chaque nuit après s’être endormie dans un monde où elle passe son temps à se faire attacher, fouetter, caresser, déshabiller ou trainer en laisse. Bianca la soumise est souvent à quatre pattes, Bianca la mutique est une proie entre les mains de celles et ceux qui usent et abusent de son corps, mais Bianca la docile ne serait-elle pas, au final, celle qui mène la danse ?



Guido Crepax a commencé sa carrière en illustrant des pochettes de disques de jazz. Son récit ressemble à une grande impro musicale aussi spontanée qu’incontrôlable laissant l’imaginaire prendre le pouvoir. Sorti en 1970, le premier album de Bianca a tout du délire psychédélique mâtiné de sadomasochisme et saupoudré d’une belle dose de saphisme.



Autant l’avouer, je n’ai pas vraiment compris le but de ce délire. Bon, ok, je n’y ai même rien pigé du tout. Mais on s’en fiche. Car l’essentiel est ailleurs. Dans le noir et blanc élégant et ultra sophistiqué d’un maître de la bande dessinée érotique mais aussi et surtout dans la plastique d’une héroïne à la classe folle. Bianca aimante les regards, elle est le seul et unique centre d’attention, tout ce qui gravite autour d’elle n’est qu’accessoire, tant les personnages secondaires que les décors et l’histoire elle-même.



Loin d’une pornographie gratuitement bestiale, Crepax privilégie la suggestion et l’esthétique, menant sa barque en toute liberté pour créer un univers délicieusement sulfureux. Culte et incontournable pour les amateurs du genre.


Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Bianca: Une histoire excessive

Un album tout en noir et blanc qui comprend quatre histoires dont une se déroule à Odessa en 1905. On a l'impression de lire une bande dessinée sous ecstasy. Mais à part pour les amateurs de fouets, châtiments, douleurs et autres soumissions ou asservissements, je ne vois pas qui peut apprécier ce genre.
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Casanova

Battaglia 5* et Crepax 4*

Les autres font baisser le niveau car ni le dessin ni le scénario n'est à la hauteur du personnage dont ils sont censés dresser le portrait

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Darwin : Cinq ans autour du monde

Après L’histoire de France en bandes dessinées, Larousse avait sorti cette découverte du monde à la toute fin des années soixante-dix. Ce tome rassemble deux explorations du dix neuvième siècle : la découverte (ou plutôt la formalisation) de l’évolution des espèces par Darwin, suite au voyage du Beagle, et la découverte de l’intérieur de l’Australie au fur et à mesure de l’expansion coloniale britannique.

La partie du consacrée à Darwin est franchement ratée. Le dessin de Guido Crepax est une horreur : peut-on rendre hommage à la nature avec ces gribouillis ? Le scénario se contente de baliser l’itinéraire de Darwin d’événements ponctuels, sans expliquer l’avancée de sa pensée. Il y a certes quelques flashs, mais pas de progression d’ensemble. Le diptyque consacré à Darwin par Clot & Bono dans la collection Explora est cent fois plus intéressant.

La seconde partie sur le cinquième continent - la traversée de l'Australie bénéficie elle d’un dessin plus standard d’Eduardo Coelho, bien dans la lignée de L’histoire de France… La trame reste chronologique, mais instruit sur les différentes étapes de l’avancée occidentale en Australie. Des bagnards aux chercheurs d’or… Avec de grands absents : les aborigènes, dont on ne rappelle la présence que par opposition.

Si la partie sur Darwin est aujourd’hui dépassée, la lecture de la seconde partie comme introduction à l’histoire de l’Australie reste valable.
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Dr Jekyll et Mr Hyde BD - Le tour d'écrou - L..

Vous vous en souvenez peut être, je n’avais été qu’à moitié emballé par le précédent recueil d’adaptations signées Crépax sorti chez Actes Sud (qui, pour le prix et vu l’épaisseur des bouquins pourrait se fendre d’une couv’ cartonnée d’ailleurs). En effet si son Dracula était assez réussi, son Frankenstein l’était beaucoup moins, c’est donc avec une certaine retenue que j’ai abordé ce second album, où sont rassemblées 4 versions de romans et nouvelles littéraires fantastiques (le Casanova étant l’exception à la règle). Pour les bons cotés on notera une vraie évolution de la narration graphique qui va du classicisme bavard des nouvelles de Poe à un affranchissement des codes graphiques traditionnels case/bulles qui, s’il n’atteint pas les sommets des contemporains de Crépax (DeLuca en tête), est très agréable. Par contre au niveau des scénarios/choix d’adaptation, c’est moins abouti, et je pense même que les lecteurs qui n’auraient pas connaissance des textes originaux auront bien du mal à apprécier les histoires à leur juste valeur (celle d’origine), c’est notamment le cas pour l’histoire titre ou encore celle de Casanova où les ellipses sont trop nombreuses. L’ajout, plus ou moins justifié, de scènes érotiques parfois assez explicites, ne comble pas par sa sensualité manifeste un certain manque niveau narratif. Pour les amateurs de curiosité old school au trait soigné et voulptueux.. Et voici de quoi écouter avec: http://bobd.over-blog.com/2015/07/docteur-guido-et-mister-crepax-dr-jekyll-mr-hyde-vs-lisa-e-il-diavolo.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..
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Dr Jekyll et Mr Hyde BD - Le tour d'écrou - L..

"Crepax dessine les plus belles fesses de l'histoire de la bande dessinée, et je m'y connais en bande dessinée"

Préface signée Wolinsky



La plus petite des pudeurs gâche le plus grand des plaisirs

alors Casanova se lâche dans ses plus vils désirs

textes Inspirés de Robert Stevenson, James Henry,

Edgard Allan Poe et Giacomo Casanova dans Histoire de ma vie

Etranges excoriations, multiples positions

pages collées, bande à part, qu'aucun filou, polisson

Perdre tous ses sens, suivez la flèche, le sex-tend

sexes pas triés, jambes en l'air, fin de partie ,s'exit-temps

Tête bêche , dard-dard, il sex-crime

par les dessins érotiques, Crepax sexe-prime



pour lecteur averti



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Dr Jekyll et Mr Hyde BD - Le tour d'écrou - L..

Mea Culpa, je ne connaissais pas Guido Crepax, mes lacunes sont désormais comblées, merci pour cela à Babelio, aux masse critiques, et aux éditions Acte Sud Bd, très rapides dans l’expédition.

Les lecteurs de presse français ont découvert Crepax dans les années 70 par le biais de Charlie hebdo dans lequel il publiait sous la direction de Wolinski. Si vous avez été séduit par ‘’les plus belles fesses de la bande dessinée’’, alors vous avez dû repérer Crepax.

Les fesses sous tous leurs angles ne font pas exception dans ce recueil, particulièrement dans Docteur Jekyll et Mr Hyde, et évidemment dans Histoire de ma vie de Casanova. Dans le premier, Hyde, le double de Jekyll, n’a aucune inhibition. Qui dit amoral, dit…des pages de dessins érotiques, qui semblaient même au début de l’histoire, déconnectées du récit, avant que le narrateur explique la particularité de Hyde.

Dans les histoires qui se prêtent moins aux scènes de sexe, les dessins de femmes, vivantes ou mortes, restent néanmoins fort sexys, tout le monde n’est pas capable de rendre séduisante la posture d’une jeune fille assassinée et enfilée à l’envers dans un conduit de cheminée.

Ces adaptations sont inspirées par les auteurs d’origine, certes, mais l’imagination débridée de Crepax les revisite parfois très librement. Un recueil à ne pas mettre entre toutes les mains, jeune public s’abstenir !!!

Il va falloir maintenant que je relise Le Tour d’écrou (dans sa version originale), je n’avais aucun souvenir de personnages aussi ...inspirés.

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Dr Jekyll et Mr Hyde BD - Le tour d'écrou - L..

Un très bel album atypique paru aux éditions Actes Sud. La plume de Crepax est nette, efficace, intrigante. Son découpage intelligent fait sens et emporte le lecteur. L'érotisme du dessin sert l'amoralité.

Par contre, en choisissant un angle (très) précis, Crepax oublie l'ambiguïté et la subtilité des différents récits et ne nous présente "que" un résumé illustré et adulte... Je reste donc sur l'impression "waouw avec un sérieux gout de trop peu".
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Emmanuelle (BD)

Guido Crepax, célèbre auteur de bandes dessinées italien, principalement connu pour sa série de bande dessinée érotique intitulée "Valentina a toujours été réputé pour son style graphique distinctif et son approche unique de la narration visuelle. Il s’est emparé du roman Emmanuelle pour le transposer dans ses mondes visuels. Un sujet qui avait tout pour lui plaire. Attention, il convient de noter que l'œuvre de Crepax peut être explicite et destinée à un public mature. Comme toujours, le dessin est soigné.
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Emmanuelle (BD)

Le traitement de Crepax, comme à son habitude, s’inscrit dans son style inimitable. Les corps sont systématiquement élancées, trop d’ailleurs, tout comme les quelques verges qui apparaissent dès qu’Emmanuelle approche. L’auteur se permet quelques audaces formelles, comme cette utilisation particulière des contrastes, qu’il s’agisse des personnages et de leurs apparats, ou des paysages. Ses bulles adoptent toute sorte de placement, y compris vertical, et ses cases échappent régulièrement à un sage alignement.
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Emmanuelle (BD)

vagues souvenirs oniriques de mon adolescence troublée
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Emmanuelle (BD)

Hugo Crepax a donné un visage au personnage d’Emmanuelle. Il a pris la liberté d’interpréter le roman pour faire œuvre personnelle. Une variation en noir et blanc, parce que l’éditeur n’avait pas les moyens de lui permettre la polychromie. Pas un problème ! Le dessin serait roi ! On le sait, avec Crepax, le trait reste majeur pour agir sur nos fantasmes et notre libido. Par la suite, son travail a été reconnu et étudié, avant de faire l’objet de spéculation et d’entrer dans les musées. Des mises en scène dont l’audace et la charge érotique ont parfois engendré des malentendus. Il était avant tout un esthète, même si certains l’ont taxé de pornocrate, chose qu’il n’a jamais été.
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Emmanuelle (BD)

Comme c'est dur pour moi de critiquer une BD. Je n'y connais rien du tout. Et en plus, je ne sais pas comment apprécier le 9ème art.

Cette Emmanuelle-ci m'est apparue différente de celle de mes souvenirs adolescents, lorsque je regardais en douce le film de minuit. (Eh oui, à l'heure des premiers émois sexuels, Emmanuelle était la grande soeur, l'amie, l'amante, l'amoureuse de nombreux jeunes inquiets, aux hormones en éveil).

Cette Emmanuelle-ci, dessinée par Bruno Crepax, est directe, brute, insatiable et peu romantique.

Le dessin est vif, précis, émouvant, excitant mais trop brouillon parfois. Le mélange de rêve et de monde réel m'a perturbée. Le sens de l'histoire est difficile à suivre.

Troublée, je l'ai été à la lecture ce cette BD mais subjuguée et transportée, non. Dommage.

Cela reste une belle découverte sans être un coup de coeur.
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Emmanuelle, Bianca et Vénus à la fourrure

wanda l héroïne de la venus à la fourrure. Emmanuelle sex symbole des années 70 et Bianca une création personnelle de Crepax réunis en un seul volume d'une subtile maitrise du dessin par un grand maître de la bd érotique.

un vrai régal 😋 visuel.👍

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Emmanuelle, tome 2 : L'anti-vierge

Crepax à nouveau aux commandes d’une adaptation BD du célébrissime personnage d’Emmanuelle Arsan. Où comment conserver un style unique tout en insufflant la dose réglementaire de scènes explicites.
Lien : http://www.actuabd.com/Emman..
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