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Critiques de Gwen de Bonneval (238)
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Racontars arctiques - Intégrale (BD)

Direction le Groenland avec cette intégrale des "Racontars arctiques".

La vie quotidienne tantôt dramatique tantôt comique de trappeurs dans le Grand Nord. Les dessins en noir et blanc sont sobres mais expressifs, les histoires s'enchaînent pour ses personnages pittoresques et hauts en couleurs.

Une BD assez drôle mais parfois cynique, qui retranscrit bien l'humour souvent décalé de Jorn Riel !
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Le Dernier Atlas, tome 1

Un truand nantais piste un robot mis au rebut, sur fond de géopolitique et d’étranges phénomènes en Algérie… Le Dernier Atlas est le premier tome haletant d’une trilogie signée à cinq – dont le scénariste Fabien Vehlmann et le dessinateur Hervé Tanquerelle.
Lien : https://www.telerama.fr/livr..
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Messire Guillaume, Tome 3 : Terre et mère

Retour à la réalité. Notre héros retrouve sa mère et son beau-père pour mieux leur échapper. L'histoire est prenante, les dessins agréables.
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Messire Guillaume, Tome 2 : Le pays de vérité

J'avais bien aimé le premier tome mais là je dois dire que c'est trop étrange pour moi, les personnages oniriques pullulent. Rêve ou réalité ? Notre héros est toujours à la recherche de son père dans un monde des plus "fabuleux".
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Messire Guillaume, Tome 1 : Les contrées loin..

Guillaume quitte le domicile familial à la veille du déménagement chez son beau-père, il suit les traces de sa sœur à la recherche de leur père qui se trouve dans des contrées lointaines. J'ai bien aimé le personnage du chevalier protecteur sosie de Jean Reno dans les Visiteurs. L'histoire est mystérieuse et nous donne envie de poursuivre la lecture.
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La vierge froide et autres racontars (BD)

Aujourd’hui je vous embarque pour un voyage dessiné au pays des ours polaires et de la nuit qui dure six mois, en compagnie des trappeurs. Des seize années que Jørn Riel, le grand écrivain danois, a passées au Groenland dans les années cinquante, il a ramené de nombreux récits, dont la série humoristique de ses Racontars arctiques. Un racontar, « c’est une histoire vraie qui pourrait passer pour un mensonge. A moins que ce ne soit l’inverse ». Cette série a été adaptée en bande dessinée par Gwen de Bonneval au scénario et Hervé Tanquerelle pour les dessins.



Ce roman graphique restitue tout un monde avec talent et justesse, et donne envie de se plonger dans l’œuvre originale. La vierge froide et autres racontars est composé de sept histoires singulières, drôles et poétiques, qui mêlent chaleur humaine et truculence.



« Emma, tiens, c’est comme si elle était faite qu’avec des beignets aux pommes. Les fesses, les seins, les joues et tout et tout. Rien que des beignets mon garçon. Et au milieu de toute cette pâtisserie, deux yeux bleu ciel et une moue rouge. »



On y côtoie des chasseurs-trappeurs bourrus au grand cœur, philosophes de comptoir et grands picoleurs devant l’éternel. Mads Madsen, Valfred, Bjorken, Lasselille, Herbert, Anton et Lodvig. Et avec eux on plonge dans le froid, la nuit éternelle et la solitude, et on se régale d’histoires autant extraordinaires que drôles, voire même génialement absurdes.



« Il se trouve qu’il en va ainsi en Arctique : jamais on ne rejette une idée à priori, primo parce que cette idée pourrait, à y regarder de plus près, se révéler intéressante, secundo parce qu’on y voit toujours l’occasion de longues conversations et de discussions instructives entre chasseurs. »



Le dessin en noir et blanc est expressif et fait vivre avec la même adresse un repas bien arrosé au fond d’une cabane, qu’un ours polaire en train de charger sur la banquise. Les personnalités sont magnifiquement bien campées, plus vraies que nature. Certains ont vraiment des « gueules ».



Un excellent moment de lecture !



« Pourquoi pas se fader une bouteille ? On y voit un peu plus clair quand on a sifflé une bouteille entre copains. »
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Messire Guillaume - Tomes 1 à 3 : L'esprit pe..

L'histoire débute avec la disparition de la soeur de messire Guillaume suite au remariage de sa mère avec messire Brifaut. Guillaume s'enfuira donc à son tour afin de rejoindre sa tante qui pourra certainement l'aider à retrouver sa soeur. Ensuite, on aura le droit à un pur délire de Guillaume, délire qui se situera dans un monde fantastique. J'avoue que j'ai pas compris grand chose dans ces délires là. Finalement, messire Guillaume retrouve sa soeur et partent à la recherche de leur père décédé... Mais, ils sont capturés et emmenés vers messire Brifaut...



Seule note positive, les dessins de Matthieu Bonhomme sont beaux, comme toujours.



Bref, c'est une histoire vraiment étrange qui ne vaut certainement pas l'achat. Pour moi, c'est une déception parce j'ai juste l'impression qu'il ne s'est rien passé qui vaille la peine.
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Messire Guillaume - Tomes 1 à 3 : L'esprit pe..

Il suffira d'un trait, un matin

Un matin dessiné, un trait noir sur le blanc de la page

De la neige pour donner une image puissante, émouvante, forte, c'est certain

C'est dessiné dans ce livre, d'une habilité de mage

A se demander ce que la couleur amènerait de plus Dans ce conte mêlant voyages,

Trahisons, ensorcellements, légendes, artifices et magnifiques images.
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Messire Guillaume - Tomes 1 à 3 : L'esprit pe..

Guillaume de Sauhnac part à la recherche de sa soeur Hélys qui s'est enfuit car elle refuse le mariage de sa mère avec le seigneur Briffaut. Elle n'accepte pas la mort de son père. Elle est persuadée qu'il n'est pas mort. Guillaume du haut de ses 10 ans, n'hésite pas à se lancer lui aussi à sa recherche, aidée par sa tante Ysane, une très belle femme qui vit recluse dans la forêt, telle une enchanteresse.



Sur sa route, il croise une homme qui se prétend chevalier et qui promet à sa tante de guider Guillaume vers les " lointaines contrées". Mais les routes ne sont pas sûres et pullulent de bandits et de pillards. Guillaume semble avoir hérité de certains dons de sa famille, et il pourra aussi compter sur les " esprits" qui le guideront dans sa quête.



Belle histoire qui flirte avec les légendes, l’ésotérique et la magie. Au premier abord, j'ai été destabilisé par le format à l'italienne. Il rend l'album énorme. Mais au final, je lui trouve beaucoup de charme. Le choix des graphismes noir et blanc m'avait aussi laissé sceptique , finalement je trouve qu'il renforce le caractère des personnages. J'ai beaucoup aimé le personnage de Guillaume, le coté fantastique du récit ( même si les hommes troncs m'ont laissé sceptique). Certaines planches n'ont pas été sans me rappeler des tableaux de Jérôme Bosch. Les élèves y seront-ils aussi sensibles ?
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Varulf, tome 2 : Mon nom est Trollaukinn

Nous retrouvons nos petits garous scandinaves fugueurs aux prises avec un étrange cavalier, apparemment immortel et des plus étranges. Sous prétexte de les protéger il va les guider jusqu’à l’antre d’une vieille géante qui les retient prisonnier pendant qu’il va mettre fin à la malédiction qui a tout déclenchée. Le scénario de De Bonneval après nous avoir présenté les protagonistes et posé son ambiance si particulière dans le premier tome, déroule maintenant son intrigue, empruntant avec intelligence aux contes et croyances populaires d’ici et d’ailleurs. Suspense et fantastique sont au rendez-vous de ce diptyque de fantasy jeunesse que le style ligne claire anguleux et stylisé de Piette rend encore plus sympathique. L'
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Messire Guillaume, Tome 1 : Les contrées loin..

Quelle magnifique album que ce premier tome de Messire Guillaume ! L'histoire se déroule au Moyen Âge, elle installe progressivement des petites touches d'étrange pour tout d'un coup plonger dans le fantastique, à la toute dernière planche de l'album.

Un extrait pour vous donner une idée :

"- Elle est gentille ta chèvre, elle a un nom ?

- Ce n'est pas ma chèvre. Elle n'est ici que depuis hier... Elle portera le nom que tu voudras bien lui donner.

- Ah ? Et qu'est-ce qu'elle fait là ? À qui elle est, alors ?

- Apparemment, à toi..."

Le personnage de Guillaume est intéressant. Il est calme et pensif, tout en n'ayant pas peur de se lancer dans un voyage dangereux ou de dire ce qu'il pense. Les personnages féminins, tous mystérieux, me plaisent particulièrement : sa soeur Hélis, sa tante Ysane, qui nous offre une belle apparition dans les brumes, sa mère, difficile à cerner...

Le graphisme est ce qui m'a poussée en premier lieu à acheter cette bd. Il est superbe, notamment grâce aux crayonnés gras qui lui donnent toute sa matière. Les personnages, représentés dans un style proche de la ligne claire, son néanmoins beaux et expressifs. J'aime particulièrement les paysages et les représentations de lieux : leur maison en pierre contre la falaise (la toute première case de l'album), l'atelier du père de Guillaume, les forêts en automne, l'ascension de Guillaume dans la montagne lorsqu'il part en cavale, la brume qui entoure le lieu où vit Ysane...

Le scénario est bien ficelé et bien rythmé, entre rebondissements aventureux et conversations étranges. Un émerveillement !
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Les Derniers Jours d'un immortel

Une des très bonne surprises de ce début d'année !

Dans ce livre, nous suivons les questionnements d'Elijah. Dans un futur éloigné, les hommes ont atteint un état de quasi immortalité. Ils peuvent de plus se cloner à l'infini, générant des échos à durée de vie limitée. Et si leur "corps premier" venait à mourir, un clone peut endosser le rôle de "corps premier", asurant la pérennité de l'individu. Le seul inconvénient, c'est que lorsque le corps premier et les clones unissent leur mémoire, les souvenirs les plus anciens risquent de s'effacer. C'est un risque que Elijah redoute. il a toujours limité au maximum le nombre de ses clones et préfère qu'ils leur raconte de vive voix ce qu'il ont vu que de pratiquer cette fusion. Ce n'est pas la seule réticence qu'Elijah nourrit face aux possibilités de son monde; Il préfère aussi la fadeur des relations sexuelles normales aux plaisirs infinis que les nouvelles technologies peuvent lui procurer.

Etrange personnage, donc, un peu obsolete, mais égalemnt un des meilleurs membres de la police philosophique. Dans ce futur éloigné, les humains sont en contact avec de nombreuses espèces extraterrestres aux traditions et coutumes infiniment variées et élognées des coutumes humaines. Comment interpréter les réactions desuns et des autres ? Comment se comporter pour éviter les problèmes ? C'est le travail qu'effectue Elijah, le meilleur dans sa partie.

Mais, alors qu'il est contraint de découvrir les causes d'un conflit naissant entre 2 civilisations coexistant sur une planète lointaine, et dont les conséquences risquent d'affecter tout l'univers, il découvre que l'un de ses proches à décide de mourir. Son corps premier est déjà mort, et il ne subsiste dèjà plus de lui que quelques échos en train de disparaitre. Cette nouvelle ébranle Elijah. Pourquoi un immortel voudarit-il mourir, et pourquoi son ami ne l'a pas prévénu, et ne l'a pas convié à ses funérailles ?

Fabien Vehlmann et Gwen de Bonneval réussissent un beau livre qui s'interroge sur l'humanité et le rapport à l'autre. Contrairement à Rohagus, j'ai été directement séduit par le parti-pris graphique, très épuré, qui rappelle le rétro-futurisme des années 60 et 70 sans tomber dans la caricature. Le scénario de Vehlmann étonne par son sens de l'ellipse, son économie de frioritures et par sa justesse de ton. La construction est fragile, mais tous les éléments se répondent parfaitement.
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Un petit détour et autres racontars (BD)

Voilà le troisième volume des racontars de Jørn Riel adapté en bande dessinée. Celui là regroupe trois histoires : "La balle perdue", nous raconte la rencontre épique entre un ours qui malgré l'hiver était sorti d'hibernation et Siverts avec son traineau et ses chiens...

"Un petit détour", c'est l'histoire de Valfred et Hansen qui partis à la chasse au phoque font la rencontre d'un iceberg et se retrouvent en fâcheuse posture...

"Ce qu'il advint d'Emma par la suite", Emma est la compagne des trappeurs polaires, elle passe de chasseurs en chasseurs en échange de cadeaux symboliques...



C'est toujours aussi savoureux et bien au chaud chez soit on apprécie de découvrir les aventures et la vie mouvementée des trappeurs groenlandais au milieu du XXème siècle... C'est dépaysant, plein d'humour...



Les dessins en noir et blanc sont très réussis. Et j'apprécie de découvrir ou redécouvrir tous ces racontars groenlandais.
Lien : http://aproposdelivres.canal..
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Les Derniers Jours d'un immortel

EXTRAIT "Quel fantastique imagination développée dans ces pages… Fabien Vehlman ose tout réinventer. Une organisation politique, des civilisations, une façon différente de vivre son humanité, même. Ce dernier point est d’ailleurs un concept d’une richesse folle : l’humain devient immortel dès lors qu’il peut se cloner à volonté immédiatement, et se réintégrer à sa guise pour acquérir les expériences de ses doubles et les faire siennes."
Lien : http://chroniquesdelinvisibl..
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Messire Guillaume - Tomes 1 à 3 : L'esprit pe..

C'etait bien mais la fin etait déçevante!!!!!!!!
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Le Roi Oscar et autres racontars (BD)

Les vastes étendues glacées du Nord-Est du Groenland sont des territoires où l’on ne s’attend guère à rencontrer l’humour, mais plutôt la génuflexion la plus stricte, compte tenu de la rigueur des éléments sous cette latitude extrême.



Le Danois Jorn Riel, avec ses contes drolatiques basés sur l’infini ridicule de l’existence humaine, prouverait presque le contraire si ses trappeurs scandinaves exilés au Groenland riaient vraiment. Mais n’est-ce pas plutôt le lecteur qui sourit à leurs dépends ? Une part du rire, dit Baudelaire, vient du fait qu’autrui, par sa dégringolade, nous fait éprouver le sentiment d’être en position supérieure.



Certes, il y a de quoi se réjouir de ne pas devoir faire la conversation au «Roi Oscar», vulgaire cochon, jusqu’à s’en éprendre, comme Vieux-Niels et Halvor dans leur chalet coupé du monde par le blizzard, tandis qu'on dispose en France de «tout ce qu’il faut», et bien plus, pour nourrir les sentiments. Jorn Riel ne se limite d’ailleurs pas au rire gras; l’immensité blanche et glaciale de l’Arctique, cet auteur nous la montre comme un alcool fort, auquel nul homme, fût-ce Danois, ne résiste bien longtemps.



Autant dire qu’il fallait pas mal de talent de la part de Gwen de Bonneval et Hervé Tanquerelle pour traduire fidèlement en BD ces quelques contes ironiques. Le comique de situation est seulement une question de technique pour l’auteur de BD et son scénariste: une question de la bonne case au bon moment. Mais pour l’humour noir, il faut un peu plus que de l’encre de cette couleur, comme la rareté des réussites dans ce domaine témoigne.



Les amateurs d’œuvres originales, portés souvent eux-mêmes à se croire des spécimens «uniques», ont tendance -par principe- à dénigrer l’adaptation en BD de chefs-d’oeuvres de la littérature. Cette espèce de puritanisme fait oublier que les œuvres d’art les plus indémodables ont une existence autonome de leurs auteurs. Plus utilement, on fera le tri entre les ouvrages littéraires qui se prêtent à la traduction, et ceux qui n’y sont pas, ou peu, propices, comme les ouvrages de style.



En ce qui concerne le dessin d’H. Tanquerelle, il m’a fait penser à de nombreux dessinateurs aussi variés que Gus Bofa, Dimitri, Blutch, Crumb, et on ne peut pas dire qu’il soit original lui non plus, mais justement placé entre le grotesque et le réalisme, comme l’exigent les contes de Jorn Riel.
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Les Derniers Jours d'un immortel

J'ai eu un peu de mal au début de ma lecture avec le dessin, mais très rapidement l'histoire a pris le dessus et je me suis régalée de cette histoire futuriste. J'ai trouvé qu'il y avait plein de bonnes idées (vous me direz des nouvelles de la piscine...) sur ce que pourrait être notre vie dans quelques centaines d'années. Un bon moment.
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Le Roi Oscar et autres racontars (BD)

J'ai retrouvé avec plaisir les personnages du premier volume : William le noir, le Comte, Valfred, Lodvig, Bjorken ou Herbert. Un nouveau volume de petites histoires dans lesquelles le quotidien tend vers l'absurde. L'arrivée de quelques nouveaux personnages comme Lause et ses « tinettes ». On fait ripailles en toute occasion et ici le livre s'ouvre sur des funérailles. Il y a aussi l'histoire croquignolesque de l'introduction de toilettes extérieures dans le Grand Nord et les jalousies qu'elles suscitent chez les voisins. Et puis le roi Oscar, qui est le cochon qu'on voit trôner sur la couverture et fait un peu le pendant du coq Alexandre adopté par Herbert dans le précédent volume.
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Les Derniers Jours d'un immortel

Encouragé par de nombreuses bonnes critiques, j'ai voulu essayer cette BD bien que je n'accroche que trés rarement à la science fiction, que ce soit au cinéma ou dans la littérature.

Hélas, les derniers jours d'un immortel ne sera pas l'oeuvre qui me fera changer d'avis sur ce genre: Ici, le propos se veut trés ambitieux, sorte de conte philosophique qui est une grande réfléxion sur le rapport de l'homme aux robots, mais tout m'a paru confus et assez prétentieux, du dessin, pour le moins approximatif , au discours quand même confus et convenu. Mais peut-être suis je trop rationnel et peu imaginatif pour me laisser séduire par ce genre de BD.
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Messire Guillaume - Tomes 1 à 3 : L'esprit pe..

Ce qui m'a attirée dans cette bande dessinée, de prime abord, c'est le macaron "Fauve-Prix intergénérationnel du Festival Angoulême 2010", vu que c'est un nouveau prix depuis l'année dernière destiné à présenter une BD capable de séduire n'importe quel public.



Mais il n'y a pas eu que ça pour expliquer mon choix, puisque l'opus se présente dans un très beau format à l'italienne (comprendre que le format est inversé et est horizontal) et comporte près de 300 pages . Le trait est net et précis, avec de très belles images en noir et blanc, autre originalité de cette bande dessinée.



Mais surtout, au bout de quelques pages, l'histoire classique du parcours initiatique s'emballe et s'aventure vers des terres plus obscures et plus complexes. Le monde du rêve et ses formes étranges et intrigantes se mêlent à la réalité et les pages défilent sans qu'on s'en rende compte.Et puis enfin le personnage de Guillaume est très attachant : jamais porté sur la violence, toujours ouvert aux autres et au pardon, guidé par une étrange force..
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