Helene Hanff

Gros coup de cœur : vingt années de correspondances entre une amoureuse des livres et le personnel d'une librairie londonienne spécialisée dans les éditions rares.

 

Tout commence le 5 octobre 1949, lorsque Helene Hanff, auteure new yorkaise fauchée passe une commande d'ouvrages introuvables aux Etats-unis à la librairie Marks & Co située 84 Charing cross road à Londres. Cette première lettre sera à l'origine d'une correspondance de 20 ans de part et d'autre de l'Atlantique jusqu'en 1969.



Au fil des lettres et des années, les relations entre Helene, le personnel de la librairie et leurs proches évoluent, les échanges deviennent plus intimes et des liens d'amitié forts et profonds se développent entre tous les correspondants.



J'ai tout aimé dans ce livre. Il est fin. Les lettres donnent du rythme au récit. Helene l'américaine directe et un peu extravagante contraste avec le style très british de ses correspondants. Leurs échanges sont remplis d'humour, de bienveillance et de passion pour les livres. L'atmosphère de l'après guerre et d'une époque, pas si lointaine, ou les gens prenaient le temps d'entretenir une correspondance manuscrite rédigée dans un style élégant et concis est plaisante et reposante.



À lire et à relire sans modération.

J'ai trouvé cette correspondance très intéressante.

D'une part par l'humour que l'on retrouve dans les lettres, et d'autre part de comprendre la situation dans laquelle chacun se trouve dans leur pays.

Cette correspondance est aussi impressionnante du fait de sa durée, 20 ans c'est quelque chose, mais aussi car ils ne se sont jamais rencontrés.

A travers cette correspondance, on rit mais pas seulement, on suit aussi les déboires et uns et des autres.

Le livre se lit tout seul !

Au début du livre je me suis dit que mon manque de connaissance en littérature anglaise allait me gâcher cette lecture, mais très vite j'ai pu laisser de coté ce "détail" pour m'intéresser et apprécier les échanges entre les personnes qui travaillent dans cette charmante et attirante librairie et la très new-yorkaise, amusante et tellement attachante Hélène.



lu en 2013.

Au vue des nombreuses critiques positives, je suis visiblement passée à côté de

84, Charing Cross Road d'Helene Hanff.



Dans ce roman épistolaire, nous découvrons les lettres échangées de 1949 à 1969 entre Helene Hanff, auteure à New-York, et Marks & Co, une librairie à Londres.



J'apprécie beaucoup le genre épistolaire. J'ai donc été d'autant plus déçue par le contenu des lettres qui se révèle plutôt creux, se résumant aux commandes passées par Helene à la librairie et aux remerciements de la librairie à Helene pour les colis de nourriture qu'elle leur envoie. Il n'y a pas véritablement d'échange.

Et puis, la faute au résumé qui est mensonger, je m'attendais à une véritable évolution au fil du temps dans la correspondance. Mais, si celle-ci devient bien plus intime, il ne sera nullement question d'amour.



J'ai également eu du mal à cerner la personnalité d'Helene. Sous couvert d'humour, elle traite Franck, son libraire attitré, avec arrogance, comme s'il s'agissait de son domestique.



Malgré tout, l'ensemble se lit rapidement et permet d'avoir un vague aperçu de l'Angleterre d'après-guerre.



Ce roman est donc une déception pour moi. Mais, à la décharge de l'auteure, et comme expliqué dans la postface, ces lettres n'étaient pas vouées à constituer un jour un roman.

Court livre épistolaire entre Helene Hanff - vivant à NY - et les employés de la libraire Mark & Co. installée à Londres. J'ai apprécié le côté épistolaire, l'humour caustique américain et celui plus subtil des Anglais. J'ai également beaucoup aimé la place essentielle donnée aux livres dans ce récit, même si je regrette ma faible connaissance des vieux auteurs anglais - mis à part Jane Austen, la plupart des références me sont inconnues. J'en avais entendu tant de bien que je ressors finalement déçue de ma lecture, plaisante mais pas transcendante.

Ce roman m'a été offert par les éditions Autrement que je remercie.

Roman assez court mais que j'ai beaucoup apprécié.

On suit la correspondance entre Helen Hanff qui habite aux States et, Franck Doel un libraire londonien pendant plus de 20 ans.

Helen est sans cesse à la recherche d'ouvrages plus ou moins rares pour lesquels elle sollicite Franck. En échange et en plus de payer ses acquisitions, elle lui fait parvenir des cadeaux souvent alimentaires (l Angleterre connaissant alors de multiples restrictions)

L échange est drôle, fin, débordant de gentillesse et Helen va vite devenir la

coqueluche de cette librairie atypique.

Ce roman est un ptit bijou agréablement façonné, rempli de tendresse, d'amitié, de références littéraires et qui met du baume au cœur... Une petite pépite de gaieté

Voici un très joli roman épistolaire qui reprend la correspondance d'Helene Hanff, New-Yorkaise, avec Frank Doel libraire dans une librairie de livres d'occasion à Londres.



Helene aurait pu aller chercher ses livres dans une bibliothèque ou dans les multiples librairies établies à New-York, mais elle a choisi de faire affaire avec la librairie Marks & Co du 84 Charing Cross Road à Londres. Et c'est ainsi que commence une correspondance de dix-neuf années ! Dix-neuf années d'envois de livres, d'échanges, d'amitié... sans jamais se rencontrer.



La richesse de ces lettres provient principalement de l'humour et de la répartie de Helene Hanff. Elle a un franc parlé, elle aime taquiner, on se régale à la lire, réclamer des livres à Frank ou s'extasier devant le nouvel ouvrage qu'elle a reçu. Ce qui fait le charme du roman, c'est aussi la gentillesse d'Hélène qui n'hésite pas à envoyer des vivres à ses nouveaux amis libraires qui subissent le rationnement suite à la Seconde Guerre Mondiale.



C'est un roman plein de vie, plein de gentillesse et d'amour des livres. On se délecte à lire ces échanges et on les apprécie encore davantage en sachant que tout cela est une histoire vraie et que l'auteur a publié sa propre correspondance.



C'est un petit bijou qui se lit en un rien de temps, qui vous donnera le sourire et un peu de chaleur dans le cœur.



Attention, après ce roman, il faut lire La duchesse de Bloomsbury Street de Helene Hanff, qui fait directement suite à 84, Charing Cross Road et qui le complète parfaitement. Même si vous pouvez vous arrêter au premier, vous perdriez beaucoup à ne pas lire la suite !
Lien : http://wlatetedanslesetoiles..

En cette fin d'année 1949, Hélène Hanff, New Yorkaise, décide de prendre contact avec une librairie de Londres afin de dénicher certains livres introuvables en Amérique ou bien à des prix exorbitants.

C'est donc cette correspondance entre New York et Londres que nous allons découvrir avec délectation.

Alors que les premières lettres en provenance de la librairie sont très professionnelles et très courtoises, très vite celles d'Hélène Hanff nous révèlent son caractère direct, sa franchise pleine d'humour caustique et décapant. Épouvantée par le rationnement qui sévit encore en Angleterre en 1950 et pleine de compassion pour son correspondant et le personnel de la librairie, elle leur envoie régulièrement des colis de nourriture malgré ses maigres ressources.

Cet échange épistolaire est empli d'humanité. Ce fut un réel délice de découvrir toutes ces missives et snif, j'aurais tant voulu continuer de me délecter de ces lettres pleines d'empathie. Un goût de trop peu mais je vais m'en contenter et surtout les relire régulièrement.

Magnifique roman épistolaire a l'humour so british! Une belle bouffée d'air pur!

C'est rafraichissant, drôle, touchant, passionnant et instructif ! Je le conseille à tout le monde, à tel point que j'ai bravé ma timidité pour en parler avec quelqu'un dans ma librairie d'occasion préférée. Et elle l'a acheté !

Foncez, allez-y, lisez-le, c'est une des meilleures correspondances ( littéraire ) qu'il existe et en plus c'est une histoire vraie ! Il faut juste se préparer à faire augmenter sa pile de livres de quelques ouvrages.

Un vrai bijou qui mérite d'être lu et relu !

Comme de nombreux lecteurs, j’avais été enchanté par la lecture de 84, Charing Cross Road qui retraçait une vingtaine d’années de correspondance entre la new-yorkaise Helene Hanff, à la recherche de livres rares, et la librairie Marks & Co à Londres, en particulier Frank Doel, l’un de ses libraires.

« La duchesse de Bloomsbury Street » raconte, sous la forme d’un journal de bord, le premier séjour d’Helene Hanff à Londres en juin et juillet 1971. Si elle ne peut rencontrer Franck Doel, décédé quelques années auparavant, la femme et la fille de ce dernier l’accueillent chaleureusement, comme de très nombreux autres admirateurs, y compris quelques célébrités.

A mon sens, le charme n’agit toutefois pas autant dans cet ouvrage que dans 84, Charing Cross Road : les anecdotes de séjour, bien que plaisantes, sont vaguement ennuyeuses, et je me suis un peu lassé des rencontres successives. Reste cependant la plume ironique d’Helene Hanff, mais également son amour immodéré de la littérature anglaise…

Sans doute est-ce l'effet très vivant, presque oral de ces lettres, l'humour d'Hélène bourré de sa vivacité d'esprit, l'évocation d'un époque pas si lointaine de nous et pourtant tellement décalée, qui m'en ont rendu la lecture passionnante.

Et puis voir comment la relation entre une "cliente" et son "fournisseur" devient peu a peu un véritable lien amical.

Et surtout savoir qu'il s'agit là d'un véritable échange épistolaire, et non d'une version romancée : cela donne encore davantage de piquant à ces 20 années de correspondance entre deux personnes qui ne se seront jamais rencontrées !!!

Sinon, comment ne pas faire le parallèle avec "le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates", à mon avis beaucoup plus passionnant (parce que romancé ? parce que très largement inspiré de ce livre d'H.Hanff ?).

Super génial!!! Je vous passe le résumé, il a largement été détaillé dans les précédentes critiques.

Mais c'est léger, c'est drôle, ça se lit vite et ça parle de l'amour de la littérature! Que demander de plus!!

Hélène Hanff est vraiment drôle et je suis contente que la publication de ces lettres lui ait apporté le succès qu'elle méritait.

Le style m'a un peu fait penser au cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates. Autre roman épistolaire certes mais aussi léger et aussi drôle.

Cela faisait très longtemps que je voulais découvrir ce livre grâce aux nombreux avis enthousiastes que j'ai pu lire à propos de cet ouvrage.



Et peut-être en attendais-je trop, toujours est-il que je ressors de cette lecture extrêmement déçue...



En effet, je me suis ennuyée tout du long ! Je n'ai pas vraiment trouvé d'intérêt à cet échange de lettres : durant 150 pages, il n'est autant dire question que de livres (pour la plupart inconnu et dont les descriptifs ne me donnent pas du tout envie de les découvrir), de nourriture et de remerciements. Honnêtement, je n'ai pas saisi quel était le but de publier cette correspondance.



De plus, et cela n'a pas aidé, je n'ai pas aimé la personnalité d'Helene, ou tout du moins ce qui en transparaît dans ses lettres. Elle m'a donné l'impression d'une personne capricieuse et désagréable. Et si les "ordres / reproches" étaient de l'humour, et bien cela m'a plutôt donné l'impression qu'elle se prenait pour quelqu'un qu'elle n'était pas.



Je pensais que les lettres, au fil du temps, iraient plus loin dans les liens d'amitié (quant à l'amour dont on nous parle dans le résumé, nous en sommes très loin), mais les missives sont restées très commerciales, elles gardent un ton très formel malgré les années.



Toutefois, j'ai apprécié les bribes d'informations qui nous sont données à propos des conditions de vie des années 50 et plus, en Angleterre. Je n'avais aucune idée de tout cela, j'aurais donc appris des choses !



En quelques mots :



Cette lecture est une grosse déception pour moi car je n'ai pas aimé la personnalité d'Helene, ni le ton trop formel qui n'évolue pas au fil des lettres et des années. Je n'ai pas trouvé grand intérêt à ce livre si ce n'est les conditions de vie en Angleterre à cette époque dont je n'avais absolument aucune idée !
Lien : http://books-all-around-etc...

Ajouter ma pierre à l'édifice des nombreuses jolies critiques qui fleurent ici sur 84, Charing Cross Road, est je crois inutile. Tout est dit. Un livre qui se lit vite, qui est agréable et plein d'humour. Et qui nous donne un bon aperçu de la vie quotidienne d'après-guerre.

Mais quelle idée ! Pourquoi réduire 20 ans de correspondance en moins de 200 pages ? Pourquoi ?



Hélène, une américaine férue de livres et toute l’équipe d’une librairie anglaise vont correspondre pendant de nombreuses années. Commandes spéciales, bribes de vie, guerre en arrière-plan… À travers ces lettres, c’est tout un mode de vie qui s’offre à nous.



Pauvre lectrice que je suis, je me retrouve frustrée, déçue, en manque d’un petit peu plus.



J’avoue avoir même décollé l’étiquette « plaisir d’offrir » (oui, c’est un cadeau d’anniversaire) pour vérifier que le texte était bien dans son intégralité.



Éditeur de l’édition originale, si je t’attrape !

Helene Hanff vit à New York et adore la lecture. Mais voilà, elle ne trouve que des livres d'occasions en très mauvais état et pas très variés. Elle s'adresse à une librairie à Londres qui en a fait son fonds de commerce. Commence alors une correspondance entre elle et Franck Doel et certains autres membres du personnel.

Ces lettres sont au départ fort professionnelles mais petit à petit une relation se rapprochant de l'amitié se développe.



Mademoiselle Hanff a son petit caractère et quand elle n'est pas contente, elle le dit. A côté de ça, elle envoit régulièrement des colis alimentaires surtout mais aussi vestimentaires. Nous sommes après la seconde guerre mondiale et l'Angleterre subit un rationnement sur certains produits.

J'ai beaucoup apprécié la passion de l'auteure pour la lecture, sa gentillesse et sa forte personnalité par contre j'ai été déçue de l'épaisseur du livre. Je me suis sentie un peu frustrée en arrivant à la fin.

Spoiler: j'aurai aimé qu'Helene puisse aller en Angleterre et rencontré tout ce petit monde (un peu comme dans "Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates":p).

J’ai tellement aimé 84, Charing Cross Road que quand a paru La duchesse de Bloomsbury Street en 2004, je n’ai pas voulu le lire. J’avais peur d’être déçue, que ça ait le goût du réchauffé.



Or, j’ai été séduite par La duchesse de Bloomsbury Street, le nom que se donne Helene Hanff dès son arrivée à Londres ou presque alors qu’elle est sous le charme du quartier dans lequel se trouve son hôtel, à deux portes de Russell Square. Et avec raison! Le parc est magnifique, le quartier tout autant. Il a d’ailleurs abrité le peintre Thomas Lawrence et les éditions Faber & Faber à l’époque où T. S. Eliot y était éditeur de poésie. Et c’est aussi dans ce quartier que se trouve le British Museum où quiconque y entre ne veut plus en sortir! (D’accord, je le concède, j’exagère. Mais un peu, juste un peu.)



Bref, nous voilà à Londres, à deux pas de Russell Square, en 1971, alors qu’Helene Hanff, passionnée de littérature anglaise, rêvant de voir Londres depuis de nombreuses années, peut enfin se permettre traversée et séjour grâce aux droits d’auteur de 84, Charing Cross Ross Road. Une Helene Hanff qui n’a rien perdu de sa verve ni de ses sautes d’humeur ou de la révolte qui sourd en elle, et qui note tout dans un carnet qui nous est donné à lire. Autant ce qui la frappe chez les Anglais que son coup de foudre pour certains lieux. Autant son étonnement face à la notoriété qu’elle a à Londres que celui devant la gentillesse et la disponibilité des gens.



Vous l’aurez compris, j’ai beaucoup aimé La duchesse de Bloomsbury Street. Parce qu’Helene Hanff n’a pas changé. Parce que c’est Londres. Parce que c’est aussi ce quartier où était mon hôtel en 1988. Parce que les anecdotes sont savoureuses. Parce que chacune page vous fait sourire. En faut-il plus pour vous convaincre?
Lien : http://lalitoutsimplement.co..

Un succulent échange épistolaire entre Hélène Hanff, scénariste américaine de New York, et Frank Doel, salarié de la librarie Marks & Co au 84, Charring Cross Road à Londres. Passionnée de littérature, Hélène s'adressera dès 1949 et jusqu'en 1969 à son libraire préféré pour lui demander des ouvrages rares, beaux et abordables. D'autres lettres d'employés de cette librairie d'occasion, et de Nora, l'épouse de Frank, complètent les échanges, et permettent d'enrichir cette relation amicale, respectueuse, intime qui se développe entre les correspondants. Du côté d'Hélène, pleine de verve, d'humour, de générosité, on est ravi de découvrir une femme intelligente, pleine de malice, qui se bat professionnellement, et qui fait face aux aléas de la vie. La découverte de la publication de ces lettres est un véritable coup de coeur, qu'il est possible de prolonger avec l'adaptation de 1987 par David Jones, avec Anne Bancroft et Anthony Hopkins.

Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec 84 Charing Cross Road ?

"Cela fait littéralement des années que je veux le lire et que les copines insistent sur le fait que je ne peux qu'aimer. Et puis soudain, les astres s'alignent à l'occasion d'un book club et d'une visite en libraire anglaise."



Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

"Il s'agit de la correspondance entre Helen Hanff, depuis les États-Unis, dans les années 50 et une librairie londonienne, en particulier Frank Doel, qui lui fait parvenir les livres qu'elle commande..."



Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

"Je ne m'attendais pas vraiment à ça, je pensais qu'il s'agissait d'un roman épistolaire alors qu'il s'agit en fait de la véritable correspondance de l'auteur et cela ajoute encore au plaisir de lecture. En quelques pages seulement, on se prend d'affection pour ces personnes qui disent tant de choses d'elles-mêmes en si peu de mots. J'ai adoré, je le relirai sans aucun doute, tous les éléments sont réunis pour un coup de coeur et j'ai été très touchée de partager cette aventure, d'être témoin de cet épisode de vie. J'ai même versé une petite larme."



Et comment cela s'est-il fini ?

"La suite du roman, la Duchesse de Bloomsbury Street, était incluse dans mon édition, j'ai donc prolongé le plaisir. Ici, plus de lettres mais plutôt un journal de voyage. Même si cela reste en-dessous de la première partie, j'ai également passé un excellent moment, avant tout parce que Helen Hanff est extrêmement attachante dans sa candeur et sa gentillesse sans que son humour incisif n'en pâtisse."
Lien : http://booksaremywonderland...