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Critiques de Henryk Sienkiewicz (113)
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Quo vadis ? (Intégrale)

Blessé durant les guerres romaines, Marcus Vinicius est accueilli, une fois de retour à Rome, dans la demeure d'Aulus et de Pomponia durant sa convalescence. Là, il rencontre Callina, que tous appellent Lygie. Cette toute jeune fille est une otage de Rome, remise aux légions par son père, le roi du peuple lygien. Vinicius en tombe follement amoureux mais, vite remis de sa blessure, il doit quitter la maison de ses hôtes.

Le jeune guerrier, ne pensant qu'à Lygie décide d'en faire sa concubine. Mais, pour cela, il faudrait que la jeune fille quitte la demeure d'Aulus et s'installe dans celle de Vinicius. Celle Lygie est otage de Rome, il faut l'accord de César pour ce changement de demeure.

Vinicius décide donc de demander de l'aide à Pétrone, son oncle. Ce dernier est un proche de Néron et parvient en général à obtenir de l'empereur les faveurs qu'il lui réclame.

Ce que ne savent pas Vinicius et Pétrone, c'est que, sous l'influence de Pomponia Graecina, Lygie est devenue chrétienne. Or, cette nouvelle religion n'accepte pas les coutumes romaines, jugées barbares. L'idée de vivre en concubinage avec Vinicus choque Lygie qui décide de s'enfuir avec Ursus, son fidèle serviteur.



Quo Vadis fait partie de ces ouvrages intimidants qui ont passé quelques année dans ma bibliothèque avant d'être ouverts. Monument de la littérature, écrit pas un lauréat du Prix Nobel, il semblait inaccessible, trop compliqué pour être apprécié à sa juste valeur.

Il aura donc fallu que Gwen21 m'invite à participer au Challenge 15 Nobel pour que j'ose me lancer. Et là, bonne surprise : Quo Vadis est très accessible. Illustrant des vertus universelles, il contient des éléments qui peuvent parler à tous les lecteurs, quels que soient l'époque et le lieu de la lecture. Ou la confession du lecteur, puisqu'il est surtout question ici de la religion chrétienne.

Sienkiewicz nous parle, en effet, par le biais de l'histoire d'amour entre Vinicius et Lygie, de l'émergence du catholicisme quelques trente années après la crucifixion du Christ. C'est toute un changement de civilisation qui s'opère dans Quo Vadis et l'auteur l'illustre avec brio grâce à l'opposition entre Néron et ses partisans, d'une part, et les chrétiens, d'autre part.

Les fêtes organisées par Néron et ses Augustiens reflètent parfaitement la décadence de l'Empire romain de l'époque. Les orgies sont fréquentes et choquantes. La cruauté du couple Néron-Poppée montre à quel point il était dangereux de simplement déplaire à ces deux personnages particulièrement mauvais.

Les mœurs dissolues des Augustiens, si elles plaisent à Néron, choquent les pratiquants de cette nouvelle religion catholique, qualifiée de secte par les Romains. Les chrétiens ont mauvaise réputation et doivent se cacher afin de pouvoir pratiquer leur culte : on dit qu'ils utilisent le sang de jeunes enfants durant leurs célébrations, qu'ils détestent Rome... Alors que les chrétiens que l'on rencontre au cours du récit sont tout simplement désespérés par la débauche générale régnant à Rome sous le règne de Néron. A aucun moment il n'est question de haine, bien au contraire, puisque Sienkiewicz loue plus d'une fois, au cours du récit, les vertus de ces adeptes du Christ : patience, tolérance, amour du prochain...



Quo Vadis est donc un roman intéressant du point de vue historique. Même pour un lecteur qui n'est pas spécialement intéressé par la religion, ce récit peut se révéler instructif, puisqu'il illustre l'émergence d'une des religions qui possède bon nombre d'adeptes à travers le monde. C'est donc un véritable phénomène humain qui est à l'origine de Quo Vadis : la découverte d'une nouvelle philosophie et d'un nouveau mode de vie, les origines du Vatican, la propagation de l'enseignement du Christ...

Quo Vadis est une histoire universelle et éternelle à lire au moins une fois dans sa vie.



Challenge 15 Nobel : 7/15
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Janko le musicien

Doit-je avouer que je ne connaissais pas le nom de Sienkiewicz jusqu’à il y a peu. Ecrivain semble-t-il majeur puisqu’il a obtenu le prix Nobel en 1905, auteur de Quo Vadis (je connais l’œuvre de nom, je n’aurais pas pu citer son auteur), un livre qui ne m’attire pas du tout… Difficile début pour entrer dans l’œuvre de cet auteur… Alors j’ai profité d’une nouvelle glanée sur le site de la Bibliothèque Russe et Slave, et présentée comme l’œuvre qui l’a fait connaître, pour apprendre à connaître cet auteur.

C’est une jolie surprise que cette nouvelle, dans un style mêlant réalisme et mélancolie. Ianko, fils d’une fille-mère, enfant pauvre et difficilement aimé, n’a pour lui que son oreille musicale, et il peut se perdre des heures dans une prairie à écouter la musique de la brise dans l’herbe. Mais quel destin pour une âme d’artiste dans un coin déshérité de la campagne polonaise ?

J’ai pensé au Mozart assassiné de Saint-Exupéry dans Terre des Hommes en lisant cette nouvelle, un texte qui m’avait beaucoup marqué et qui est peut-être beaucoup dans ce que je suis devenue. Mais ici, Sienkiewicz se place dans un registre beaucoup plus bucolique et fataliste, faisant un tableau de ce frêle enfant, et non une fable dont on pourrait tirer un enseignement. Cela donne une lecture au goût doux-amer, un peu de tristesse dans les doigts qui tournent les pages en sachant que rien de bon ne peut attendre Ianko.

Une jolie nouvelle qui se lit en quelques minutes seulement mais qui m’a transporté bien loin de l’avion dans lequel je me trouvais pour rentrer enfin chez moi, et j’ai laissé longtemps errer mes yeux sur les nuages en-dessous de moi après avoir refermer ce petit opuscule, rêveuse et un peu triste.
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Quo vadis ? (Intégrale)

"Quo vadis ?" est un roman que j'avais lu étant ado et qui m'avait profondément marquée, sans doute davantage par le tableau de la décadence de Rome et du martyr des Chrétiens que par l'histoire d'amour qu'il raconte. De fait, venant de le relire, je me suis plus intéressée à cette peinture de la Rome de Néron. Au final, les personnages secondaires m'ont plus marquée que les deux héros. C'était d'ailleurs déjà le cas dans mes souvenirs de ma première lecture. Des personnages comme Pétrone, Néron ou même Chilon Chilonidès ont une épaisseur et/ou une évolution captivantes et une telle place dans le récit (surtout les deux premiers) que c'est à se demander s'ils sont vraiment des personnages "secondaires". Le portrait de Néron est sidérant. On dirait un enfant capricieux mais avec un pouvoir incommensurable. Avec lui, le mot "mégalomanie" prend tout son sens. Vinicius et Lygie, quant à eux, sont bien gentils mais un peu fades, quoique la conversion de Vinicius soit effectivement racontée avec beaucoup de sensibilité et de minutie.

Le contraste entre la vie orgiaque et démente de Néron et de son entourage et celle, toute simple, des premiers Chrétiens, est vraiment saisissant.

Il faut noter aussi la virtuosité et la minutie des descriptions. On croirait effectivement, comme l'a souligné un autre Babelionaute, que l'auteur a été témoin de tous ces évènements.

En bref, un roman épique et marquant qui n'a pas pris une ride.
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Les Chevaliers teutoniques I

Henryk Sienkiewicz 1846-1916, prix Nobel de littérature 1905, nous offre un récit épique d'aventures chevaleresques dans la Pologne du XIVème siècle, entre polonais et Chevaliers Teutoniques.



Guerres d'intimidation, de territoires, de conquêtes, faits historiques héroïques comme la fameuse bataille de Grunwald (victoire polonaise), toutes les facettes d'une épopée lyrique pour appuyer le propos nationaliste quelque peu virulent et manichéen de l'auteur.



Un grand roman d'aventure, de littérature jeunesse, qui n'a pas pris une ride, aux grands sentiments de patriotisme, de sens du devoir, d'honneur et de galanterie.



A lire, devenu adulte, en tenant compte du contexte belliqueux entre la Pologne et la Prusse, à l'aube de la première guerre du XXème siécle, et de ce que deviendront les deux pays sous le régime nazi.

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Quo vadis ? (Intégrale)

Une plongée dans le monde antique où l'auteur avec une verve colorée nous fait vivre un véritable péplum. A la folie de Néron, il oppose l'épicurisme de Petrone et la sagesse de Pierre et si le roman est centré sur une belle histoire d'amour, il nous parle surtout de la foi des premiers Chrétiens.

C'est un roman bien documenté sur la vie des Romains au premier siècle où la « philosophie » sans conscience tient lieu d'érudition, où la vie des petits mais aussi des grands ne tient souvent qu'à un fil, où la politique ressemble étrangement à ce qu'elle est encore aujourd'hui : du pain et des jeux quand le peuple gronde !

J'avais aimé ce livre quand j'avais 16 ans et je ne regrette pas de l'avoir relu dans le cadre du challenge Nobel (Sienkiewicz 1905). Un très beau roman qui donne envie de lire, de l'auteur, les autres ouvrages qui évoquent l'histoire de la Pologne, son pays.

Pour info :

Les historiens sont de plus en plus persuadés que Néron n'a jamais voulu ni organiser le grand incendie de Rome mais que ce dernier serait soit accidentel soit d'origine criminel. Et là, deux coupables possibles, les chrétiens eux-même qui furent directement désignés pour les jeux salvateurs ou Othon, futur empereur, et surtout premier époux de Poppée, femme de Néron...
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Quo vadis ? (Intégrale)

C'est en mars 1895 que parut "Quo Vadis" sous forme de feuilleton dans le journal "Gazeta Polska". Dix ans plus tard, cet ouvrage valut à son auteur le prix Nobel de Littérature.

Son auteur, Henryk Sienkiewicz est un écrivain polonais qui laissera à la postérité un autre chef d’œuvre, "Les chevaliers Teutoniques", un récit sombre de vengeance plein de fracas et de fureur des batailles et teinté du désir de la Pologne à devenir libre.

"Quo Vadis" eût d'abord en France un très mauvais accueil, provoqué par une campagne menée par la presse et quelques écrivains. La mauvaise qualité des éditions et des traductions offertes, alors, au public, n'aidant pas à rehausser le prestige d'une œuvre méprisée par nombre d'intellectuels.

Pourtant "Quo Vadis" est un ouvrage puissant et dense, où les descriptions, tellement vivantes, laissent à penser que l'auteur a assisté lui-même aux événements qu'il peint. L'incendie de Rome est dessiné avec tant de force et de détails que les flammes semblent s'animer sous nos yeux.

Il nous présente deux grands personnages païens : Néron et Pétrone, il donne à l'un la séduction derrière laquelle se cache le monstre vulgaire et à l'autre la nonchalance qui le mènera au suicide par peur du tracas.

Ce livre est une grande fresque, presque archéologique et la force de son récit lui fait traverser le temps sans lui infliger son outrage.

Longtemps, on a dit de "Quo Vadis" qu'il était un ouvrage teinté de religion, il s'avère qu'en traversant le siècle, il aura fini par être compris comme ce qu'il est : un roman historique fort plein d'humanisme.

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Quo vadis ? (Intégrale)

Quo vadis? est un roman historique qui décrit un impossible amour entre un romain patriote, Vinicius, et la belle chrétienne Lygie, sous fond du règne de Néron et des persécutions subies par les chrétiens, roman pour lequel Sienkiewicz a reçu le prix Nobel.



J’ai apprécié la description de la transformation de Vinicius et de son amour pour la belle Lygie ainsi que l'écriture du livre qui fait ressortir le romantisme de cet amour pur (parfois un peu désuète et naïve j'en conviens), mais je dois admettre que, n'ayant pas un attrait aussi poussé pour la religion, j'ai été déçue par la suite du roman qui m'est apparue comme trop manichéenne.



J'ai beaucoup appris quant aux tortures infligées aux chrétiens mais l'opposition entre les romains assoiffés de sang et les chrétiens, tous décrits comme des martyrs affrontant la mort sans peur, était trop répétitive à mon goût.



Malgré tout, ce livre est à conseiller pour ceux qui souhaitent davantage connaitre cette période historique (le règne de Néron, l'incendie de Rome) et qui ne fuient pas devant un hymne à la chrétienté.
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Quo vadis ? (Intégrale)

J'avais essayé de le lire trop jeune et j'avais abandonné. La visite du Muséoparc Alésia, en Côte d'Or, m'a soudain donné envie de m'intéresser d'un peu plus près à l'Antiquité et particulièrement à l'époque romaine (avec laquelle j'étais fâchée depuis la fac d'Histoire). C'est donc assez naturellement que j'ai choisi de redonner une chance à l'oeuvre.



Quelle vanité ! C'est l'oeuvre qui m'a redonné ma chance !



C'est un roman superbe qui n'a pas volé sa place au Panthéon des Grands Classiques. J'ai littéralement été transportée au Ier siècle, j'ai écouté les discours plein de sagesse et de poésie de Pétrone, j'ai vécu le terrifiant incendie de Rome aux côtés de ses habitants, j'ai marché dans les pas des apôtres Pierre et Paul, j'ai accompagné les martyrs chrétiens jusque dans l'arène... Bien sûr, je me suis émue de la très belle histoire d'amour qui naît entre Vinicius et Lygie mais j'ai été encore plus troublée par la conversion de Vinicius, par sa quête spirituelle, par l'incroyable transformation que subit son être au fur et à mesure de ses épreuves.



Dans le même temps, c'est avec plaisir cette fois (contrairement à mes cours de fac) que j'ai découvert l'univers de la vie quotidienne des patriciens romains et de la plèbe et que j'ai ouvert mon esprit aux divinités domestiques, aux banquets, aux jeux, aux délires impériaux...



J'ai lu "Quo Vadis" alors que je m'offrais une parenthèse (ou une bouffée d'oxygène, c'est égal) dans la lecture des "Bienveillantes", ce qui peut aussi expliquer mon enthousiasme pour une oeuvre qui bien qu'étant assez noire m'est apparue définitivement lumineuse.





Challenge AUTOUR DU MONDE
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Quo vadis ? (Intégrale)

Superbe histoire d'amour dans la Rome antique ! Magnifique !
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Quo vadis ? (Intégrale)

Un énorme coup de coeur. Comment, quand on est passionné de la Rome Antique, ne pas être concquis par cette fresque merveilleuse ? Un livre sublime, tout est parfait, les personnages sont profonds et manichéens, pas de clichés, une reconstitution recherchée et passionnante de Rome sous Néron, une belle histoire d'amour, que demander de plus ? Un de mes romans préféré sans aucun doute, un roman qui donne très très envie de se replonger dans ses cours de latin et dans cette époque passionnante.
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Quo vadis ? (Intégrale)

Quo vadis domine?

A Rome!

C'est bien à Rome que se situe ce roman publié en 1895 par Henryk Sienkiewicz,ce succés mondial, cette fresque historique sur fond de persécution des premiers chrétiens par le cruel empereur Néron (règne de 54 à 68).

On retrouve là, la Rome Antique chère à Montherlant et plus particulièrement dans Les bestiaires où son héros Alban combat le taureau comme un gladiateur combattrait un fauve dans l'arène pour l'offrir symboliquement à sa belle comme Mithra l'avait offert au soleil.

Dans Quo Vadis,point de corrida, mais un amour impossible entre Marcus Vinicius, un patricien romain qui a combattu les Parthes et Lygie fille du roi des Lygiens otage à Rome en gage de non agression.

Mal contre bien.

Deux mondes dissemblables.

Celui du Palatin et des débauchés,celui de Vinicius qui veut posséder de force, celui de l'incendie de Rome par Néron qui cherche l'inspiration d'un poème et accuse à tort les chrétiens.

Celui des chrétiens, dont le sigle est "ichtus" un mystérieux poisson, qui croient en un seul Dieu juste et tout puissant,celui du prêcheur Pierre tout pureté et vérité,celui de Lygie chrétienne qui enlevée pour devenir l'esclave de Vinicius préfère la mort au déshonneur et s'insurge contre la volonté de César, celui de la plèbe qui vocifère,celui d'Ursus le bon géant qui sauve Lygie,celui de Vinicius qui se convertit,celui du bien qui triomphe lorsque César accorde grace tandis qu'Ursus maitrise le buffle sauvage sur lequel Lygie est ligotée, celui de l'amour malgré tout lorsque Vinicius converti retrouve la belle Lygie.

Un beau roman dont le titre est tiré d'une question posée au Christ portant sa croix.

Un auteur écrivain et journaliste du XIX° siècle surtout connu pour ses romans historiques.

Catholique et polonais,s'opposant au réalisme social de Zola, Henryk Sienkiewicz a voulu transmettre dans Quo vadis? un message d'espoir en mettant en parrallèle Rome et la Pologne.Lygie représente la résistance polonaise(alors partagée entre Prusse,Autriche et Russie), elle aurait d'ailleurs pu être polonaise, car les lygiens habitaient l'Europe de l'est.

A lire et à relire!
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Quo vadis ? (Intégrale)

J'ai ressenti un peu de nostalgie en lisant ce roman car j'ai pensé à l'époque de mes cours de latin depuis longtemps révolue.

Ce roman nous fait revivre l'époque romaine de Néron avec ses orgies, sa folie meurtrière et son envie obséssionnelle d'être considéré comme un poète inégalable.

Pendant ce temps,Vinicius, un patricien égoiste s'éprend de Lygie une chrétienne qui lui apprendra à aimer et à s'ouvrir à une autre façon de vivre et de croire.

Néron ne tardera pas à incendier Rome pour le plaisir de son art et à faire porter le chapeau aux chrétiens qu'il persécutera sans remords.

Ce roman dépeint avec beaucoup de précision cette époque sauvage et grandiose et suit l'évolution de Vinicius et son combat pour Lygie.

Un grand moment de lecture.
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Quo vadis ? (Intégrale)

Lu et relu! Un de mes premiers "grands romans" quand je devais avoir environ 14 ans.
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