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Critiques de Iceberg Slim (45)
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Pimp : Mémoires d'un maquereau

[Coup de cœur] Lorsque l’on commence à lire Pimp d’Iceberg Slim, on sent dès les premières phrases que l’on va sortir des sentiers battus. C’est la grosse claque comme Voyage au bout de la nuit ou American Psycho, Iceberg nous plonge avec violence dans les sordides bas fonds des cités.



Mais c’est aussi l’histoire d’un voyou beau, intelligent et érudit qui veut absolument réussir du coté obscur, devenir mac et avoir son écurie de prostituées, à cause d’un moment de bascule, cet instant que le personnage principal analyse très lucidement.



L’écriture crue d’Iceberg Slim décrit une société américaine très partagée entre le monde des blancs qui semble totalement inaccessible aux noirs. C’est aussi un roman qui laisse aussi l’espace au pardon et la rédemption.



A lire absolument.

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Pimp : Mémoires d'un maquereau

Une plongée ahurissante dans les ghettos noirs de Chicago des 1930 et 1940.
Lien : https://www.francetvinfo.fr/..
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Du temps où j'étais mac

Un recueil de textes inédits d’Iceberg Slim, auteur de la fabuleuse Trilogie du ghetto (Pimp, Trick Baby et Mama Black Widow).

Entre une magnifique lettre à son père, des conseils sur « les ficelles du maquereautage », ou des considérations plus politiques sur les droits civiques, l’ensemble est trop disparate. On passe de l’excellent au médiocre, de la gouaille rafraîchissante au discours mou du genou, du marquant à l’anecdotique. Vraiment pas indispensable.
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Pimp : Mémoires d'un maquereau

Pimp, c'est l'histoire de Robert Beck (1918-1992), un garçon pauvre ordinaire que rien ne prédestinait à devenir le plus grand mac noir des Etats-Unis sous le pseudonyme de YoungBlood, puis Iceberg Slim. Après avoir fui un père alcoolique et violent, Robert et sa mère trouvent refuge auprès d'un homme de bien, prêt à leur offrir un nouveau départ. Mais la roue du Destin est impitoyable et la jeune femme choisi de prendre la tangente avec un petit voyou minable, qui la maltraitera elle et le gosse avant de les laisser tous les 2 sur le pavé. Fière et courageuse la mère retrouve un emploi mais pour le Jeune Robert, la décision est prise : il ne sera plus jamais du côté des faibles.

Doué d'une gueule d'ange et d'un physique d'athlète il va rapidement débaucher une jeune mineure pour en faire la première pouliche de son écurie. Evidememnt on ne s'improvise pas maquereau et cette aventure de courte durée va se terminer en prison. C'est là qu'il va faire ses classes et prêter l'oreille aux conseils avisés des plus grands macs du pays. De sortie, il met le cap sur Chicago qui est à l'époque la capitale du Crime organisé.

Le lecteur assiste alors à la montée en puissance d'un mac d'une violence inouïe ; froid, calculateur et sans pitié. Fini les petites piaules minables et place aux meublés de 5 pièces, aux grosses Cadillac et aux costumes exubérants, cane sertie de diamants et serval en laisse.



Premier roman de ce "repenti" du crime, qu'on aura toutefois du mal à trouver sympathique au vu du contenu de sa confession, pimp nous immerge au sein de la pègre afro-américaine du cœur de Chicago. On y remarque que même dans ce domaine, tout est plus compliqué pour un noir : contrôles plus fréquents, quartiers assignés, difficulté pour se loger.

Le style est brut, direct et on se laisse facilement entraîner. Néanmoins il y a comme un sentiment de redite, les péripéties se ressemblant toutes plus ou moins sur le modèle montée en puissance, prison, retour à la case départ. Je remarque egalement que de nombreuses critiques mettent même en doute la véracité de l'histoire, tant il est vrai certains passages sont invraissembables. Neanmoins un bouquin culte dans le milieu du hip hop americain que je ne regrette pas d'avoir lu.



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Pimp : Mémoires d'un maquereau

L’auteur Robert Lee Maupin ou plus joliment auto-nommé Iceberg Slim et Chester Himes ont en commun d’avoir fait de la prison, l’un épisodiquement, l’autre de manière plus soutenue et d’être contemporains Le style diffère : l’un rapporte sa vie et en fait un business au thème porteur, l’autre un objet militant pour la cause des noirs



Quel crédit peut on porter sur la véracité de cette narration présentée comme autobiographique ?

Elle semble très bien romancée et documentée mais limités dans la diversité on rabâche !. Le préambule est plutôt précautionneux . Un prétexte pour ce qui suit !

Évidemment quand on a été projeté, par son père, contre un mur en bas âge ça traumatise de même que d’être convié à un coït féminin sans l’avoir demandé et au même âge...Et donc les circonstances atténuantes… Ça excuse !



Et puis une fin larmoyante au sujet de maman du bandito contrit





Avec le QI élevé 175 dont il dit être doté il est étonnant qu’il ait suivi ce parcours car d’autre au QI plus modestes ne sont pas tomber dans ce banditisme sordide d’égout . Pour un petit mac à chaussures à 500 dollars combien de millions de besogneux : noirs , petits blancs, petits asiatiques et autres?

Donc si on considère cela, la fierté, vantardise , la satisfaction évidente de s ‘épandre sur les sévices infligés, alternés de repentance et brèves interrogations dignes de St François d’Assise, on constate un savant mélange de genre et donc Maupin avec sa verve , peut-être, crue, vulgaire à bon escient ainsi que policée lorsqu’il le faut nous raconte des histoires mais des histoires merdeuses





Ce livre n’est même pas un livre social qui explicite la condition des noirs car toute la malfaisance montrée s’exerce par des noirs sur des noirs Il y a des bons noirs comme le père nourricier, travailleur, bon père de substitution, aimant sincèrement sa conjointe mais il est broyé par le mal idem pour la mère repentante mais qui a bien contribué à la future déchéance de son fils encore que…



La logorrhée incessante des « putes » , « négresses », « pétasse », « négro », « salopes » d’une part montre la limitation du vocabulaire de ce soi-disant écrivain au QI 175 et d’autre part sa satisfaction non dissimulée à se vautrer dans la fange. Le vocabulaire, encore, ou parfois ce scribouilleur hésite : femme ou pétasse, noire ou négresse, michetons ou macs, petits blancs ou homme Blanc, soit avec minuscules soit majuscules idem sans parler de « maman » ( à son âge!) pour les noirs montre une recherche du sensationnel il ne sait plus comment rendre son texte encore plus avilissant ! De la surenchère



La satisfaction aussi de rabaisser ses « employées » en leur donnant le QI d’une huître malgré quelques raisonnements très sensés. Etrange !



La satisfaction de s’interroger philosophiquement sur lui-même assez prétentieuse.

Une tchatche toute négroïde assumée et une autolâtrie insupportable

La satisfaction de prendre le Blanc pour une pourriture finie, un dégénéré en comparaison du noir à haut idéal : le Mac !



Une narration complaisante sur la prostitution : manne financière certaine





Livre assez désagréable car il ne peut être tenu pour une œuvre littéraire proprement dite avec un style exécrable

Il ne peut pas être tenu pour un livre social et donc un acte militant car l’auteur ne semble pas savoir ce qu’est l’humanité et chie autant sur les noirs que sur les blancs Son seul soucis étant la propreté de ses godasses blanches à maquereau à bouts noirs et fleuris et ses costards

Et comme biographe, Robert Beck ne vaut pas tripette : ses souvenirs magnifiés sonnent très faux, il restera toujours le petit vaurien sans envergure qu’il a été  !

On retrouve la même complaisance que dans « American psycho » de Ellis la qualité et l’imagination en moins

Un torchon au niveau du caniveau qui pourtant se laisse lire

Le fait est que ce genre d’ouvrage est nettement en dessous de la vérité la vie réelle dépasse très souvent la fiction et de loin mais ce qui est déplorable c’est que ce gratte-papier se refasse du fric avec ses méfaits passés

Ses « employées » doublement exploitées Terrifiant !
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Mama black widow

Pour le gogo qui jalousait la vie rêvée des afro-américains en regardant "Ma famille d'abord" su M6, ce bouquin d'Iceberg Slim aura l'effet d'une douche froide.



En fuyant le Mississipi pour Chicago, la famille Tilson échange un enfer rural ouvertement ségrégationniste contre un enfer urbain qui l'est tout autant mais de façon plus sibylline.



Le tableau que nous dresse l'auteur de l'Amérique Noire de 1918 aux années 60 et d'un réalisme plus sombre encore que celui d'un Richard Wright.



Refermant ce livre, on mesure ce que la mort de George Floyd peut signifier pour ces gens dont la mémoire collective est une litanie, de cruautés, d'injustices, d'avanies et d'humiliations.



Il nous rappelle que "Black Life Matter" n'est pas qu'un slogan de plus, passé à la moulinette des omniprésents "réseaux sociaux" et placardé sur des T-shirt branchouille mais l'expression de siècles de luttes impuissantes face à un mur de mépris, de haine et d'hypocrisie.









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Mama black widow

impossible de rentrer dans l histoire pour ma part. j ai lu un tiers du livre, j ai beaucoup aimé une des scenes sombre de ce premier tiers, mais ce n est pas suffisant pour adherer a la psychologie des personnages et à l univers décrit. j ai trouvé la narration moins fluide que l autre roman (Pimp) que j avais adoré écrit par ce meme auteur. Déception.
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Du temps où j'étais mac

Je m'attendais à tomber sur un ensemble d'anecdotes sur la vie d'un pimp. Mais il n'en est rien.

Du temps où j'étais mac est une sorte de mémoire de l'auteur, un retour sur sa vie et presque un avertissement pour tout individu attiré par le glamour de cette profession.

Iceberg Slim s'engage dans un discussion sur la race et la traitement de la population noire du ghetto dans les années 60/70.

Ce fut intéressant autant que surprenant.
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Pimp : Mémoires d'un maquereau

"Cet écœurant monument de racisme et de haine des femmes datant de 1967, dans lequel Iceberg Slim se vautre avec une insoutenable auto-complaisance, est tristement devenu culte. Petit manuel du parfait mac, il est récité par des batelées de tarés dans les universités nord-américaines et révéré par des seaux de rappeurs-commandeurs acharnés à glorifier leur vomitatoire animalisation des femmes. On trouve là l’une des origines de la morale de maquereau importée des États-Unis (avec son slogan phare : pétasse) qui a tout d’abord contaminé la production musicale avant d’infecter les marmailles d’aujourd’hui.

« – Écoute bien, pétasse, répondis-je, même quand ton cul merdeux sera mort et enterré, tu seras toujours une pute. Un de ces quatre matins, tu vas casser ta pipe et je te tirerai ma révérence en t’appelant la Demi-portion des cimetières. Je le sais bien, connasse, que tu es un être humain. Tu es un être humain tout noir qui sert de poubelle à ces connards de Blancs pour qu’ils puissent se vider les couilles. »

Sans commentaire. D’autant que les choix de traduction de ces sinistres mémoires de mac édulcorent le propos. Car non, dans ce contexte, le récurent kick her ass, leitmotiv de l’auteur à propos des femmes qu’il esclavagise, revenant toutes les 2 pages jusqu’à la nausée, ne signifie pas lui botter le cul ! Pourquoi ne pas traduire par : la défoncer, l’éclater, ou encore la déchirer, ou lui foutre une trempe ? Imagine-t-on les nuées de malfaisants du Gangsta Rap scander : Je vais te botter le cul ? Ou encore, à propos de cocaïne : Ce truc, ça botte le cul ? Non-sens !

Tant qu’à proposer une nouvelle édition de ce torchon, on aurait espéré un peu plus de rectitude. Mais sans doute est-ce là un domaine où l’éthique n’a pas droit de cité."

Pierre-Romain Valère
Lien : https://doublemarge.com/pimp..
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Mama black widow

Genial, Marck Twain aurait pu enfiler son string léopard, sa robe fuseau en latex et un débardeur fruit of the loom pour saisir sa plus belle plume et nous servir ce superbe ouvrage.

Tom Sawyer en travelo noir au cul rendant jalouse Beyonce, Joe l'indien dans ce rôle sordide de suprématie blanche asservissant ses ouailles noires et avilisant ceux voulant la vaincre.

Ah mon grand faut avoir l'estomac solide devant ces sodomies à volo, ces bouches pulpeuses gobant tout ce qui passe à porter.

C'est glauque, c'est hilarant, c'est beau et sombre mais c'est tellement humain.

J'ai été gay le temps du livre et à défaut de pouvoir connaitre les sensations je me suis régalé devant cette histoire de vie
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Pimp : Mémoires d'un maquereau

J'ai adoré ce livre, très dur, pas conseillé aux âmes fragiles.
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Pimp : Mémoires d'un maquereau

Iceberg Slim est devenue une des grandes références de la littérature noire américaine au même titre qu'un Richard Wright mais dans une forme de récit, de rédaction, de style, d'utilisation de la langue très, très différentes. Radical dans son propos, Iceberg Slim livre avec Pimp une oeuvre violente, violence amenée et exposée à bon escient car inséparable et indispensable au récit. La langue est travaillée sous ses apparences de simplicité et d'emploi récurrent de l'argot. La conduite du récit est parfaitement maîtrisée. Iceberg Slim sait faire monter la tension, amène le lecteur tranquillement mais sûrement vers l'aboutissement de son histoire. Le fond est classique, la ségrégation des Noirs américains malgré une guerre civile, l'abolition de l'esclavage etc...Une jeune Noir américain, plutôt bon élève mais qui ne parvient pas à sortir de sa catégorie et reste discriminé et ségrégrationné. Le petit coup de génie : Iceberg Slim est ambigu sur sa volonté ou non de rester dans le droit chemin ou de choisir la face obscure de la vie. Sans circonvolutions, Iceberg Slim montre comment il croit s'être émancipé et dépassé la puissance blanche en devenant le 1er maquereau Noir américain à faire travailler des femmes blanches. Comme l'escalvage affranchi à Rome, Iceberg Slim a certes puissance, argent et on le craint mais il n'a pas l'essentiel, l'absolu. Il reste un Noir américain avec tout ce que cela charrie dans une société ségrégrationiste. L'écriture va lui faire comprendre sa situation, va l'élever au sens noble du terme. Et même si la littérature ne lui donnera pas totalement cet essentiel, cet absolu elle le libère de ses démons les pires, elle lui procure mieux que la drogue car elle n'est pas un leurre ni une tricherie. Pimp est devenu un récit culte aux Etats-Unis. Il est devenu une des clefs de la culture rap américaine, notamment la partie la plus violente du rap, le gansta 'rap. Des chanteurs comme Ice-T se réclame de Iceberg Slim, de son héritage culturel et littéraire (d'ailleurs Ice-T a réalisé un excellent documentaire sur Iceberg Slim). Pimp est un excellent livre. Je n'ai qu'un regret je n'ai pas réussi à le lire en anglais car je ne suis pas du tout connaisseuse de l'argot (slang) des gangs américains. Dommage....
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Pimp : Mémoires d'un maquereau

Mélange entre une biographie et une étude sociologique, Pimp nous dévoile les bas fonds des états unis pendant une période de près de 20 ans, s'étalant de 1940 à 1960.

A lire par tout passionné de l'histoire des States
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Mama black widow

Bon, je vais essayer de ne pas sombrer dans le jeu de mot facile, mais que c'est noir !

Et comme dirait l'autre, noir c'est noir ! Il n'y a plus d'espoir, mais plus du tout pour le pauvre personnage de ce roman.

Cela a été dit, redit, écrit, répété, Iceberg Slim a mis beaucoup de sa personne dans ses trois livres ; il a lui même été maquereau durant sa vie.

C'est donc mi-autobiographique, mi-romancé et cela fait encore plus froid dans le dos car le thème principal n'est pas tant la rue en tant qu'homosexuel que la ségrégation régnant encore de façon farouche et violente aux USA à cette époque. Bien sûr, cette discrimination d'état est encore plus visible et horrible dans ces milieux interlopes et clandestins, où chacun cherche sa place, tente de progresser en écrasant les autres au mieux, survit en volant son voisin tout aussi misérable, etc...

On a vraiment un catalogue des horreurs dans ce livre, une série de vilenies humaines, de perversions morales sans fin, de misères subies et transmises: bref une cour des miracles noire, noire de peau, noire de crasse intellectuelle, morale et sociale.

Mais de miracle il n'y a point, ceux qui ont trimé pour s'en sortir sont volés, ceux qui ont volés sont violentés et ceux qui violentent sont tués tôt ou tard ou subissent les pressions et exactions des policiers blancs ou de leurs congénères jaloux...

C'est horrible tout de long et on sort horrifié de ce récit cru, violent, vulgaire (le langage réel est utilisé, pas de jolies périphrases !) et tragique.

Ça vaut le détour, mais pas tous les jours...
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Pimp : Mémoires d'un maquereau

le seul livre où il n'y a pas besoin de lire le 4ème de couverture pour connaître l'histoire, regarder la couverture suffit.

Embarquez vous dans le sordide sous la plume superbe d'un écrivain qu'on pourrait presque remercier de la façon dont il parle des femmes si tout cela n'était pas vrai.(c'est ironique!!!)

La réalité est crue et cruelle, d'un point de vue dérangeant mais qui permet d'avoir ce regard en nous plongeant pas uniquement dans les Mémoires mais dans la peau du Mac.



Il n'est pas du côté jouissif et fantasmé de la prostitution mais plutôt pervers et déshumanisé.



Je recommande vivement
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Du temps où j'étais mac

J’ai été très touchée par ce récit, par l’analyse incroyablement précise des mécanismes qui régissaient, et qui régissent toujours malheureusement dans une certaine mesure, les rapports entre les communautés aux Etats-Unis. Et puis la figure d’Iceberg Slim est assez fascinante et aussi très ambigüe : bien que « rangé des voitures » et reconnu pour la force de son oeuvre littéraire, son passé refait sans cesse surface et il suscite une certaine défiance chez ses pairs et défenseurs de la cause afro-américaine, état de fait qu’il admet avec beaucoup de sincérité.



Je regrette simplement de ne pas avoir lu la trilogie avant de me lancer dans ces textes, (mais tant pis, je ferai les choses à l’envers, j’ai l’habitude), car j’ai eu du mal à me représenter le climat de l’époque et à vraiment m’emparer du texte, surtout au début.



Je vous conseille donc, et m’auto-conseille aussi de lire Iceberg Slim, dans l’ordre ou dans le désordre, pour la force du témoignage et le style coup-de-poing.
Lien : https://prettyrosemary.wordp..
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Pimp : Mémoires d'un maquereau

un texte brut et violents

Un texte authentique dont la littérature noire ne peut se passer.

Oui, rarement un bouquin a autant mérité le qualificatif "culte".

A lire absolument !
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Pimp : Mémoires d'un maquereau

Avant de faire l'amour à une femme il faut qu'elle sorte les billets. Ainsi, elle ira volontiers au coin...

Passionnante tranche de vie d'un "bad boy".

J'ai lu la suite "Trick Baby" et "Mama black widow" avec le même intérêt.
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Trick baby

un peu de fraicheur dans la trilogie du ghetto de iceberg

bon ca reste tres noir mais le sujet est moins violent que les deux autres (pas trop non plus je vous rassure)

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Mama black widow

livre noir et percutant sur un sujet plutot tabou, l'homosexualité dans les ghettos noirs

iceberg toujours au top pour des romans vérités sur le ghetto des années 70
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