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Critiques de Italo Calvino (696)
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Le Baron perché

Le baron perché est sans doute l'ouvrage d'Italo Calvino qui s'inspire le plus de la science narrative voltairienne.

Le personnage principal, Côme, fils aîné du Baron Laverse du Rondeau, décide à la suite d'une dispute de monter sur un arbre du jardin familial et n'en descendra plus de toute sa vie.

Derrière cette situation incongrue, Italo Calvino développe avec talent des thèmes qui lui sont chers et que nous retrouverons dans d'autres œuvres oulipienne.

Calvino insiste notamment sur :



1°) le mythe positif de l'enfance éternelle et de son insouciance face aux devoirs et contraintes sociales de l'âge adulte



2°) le parallèle très fort avec la philosophie de Diogène, philosophe de l'antiquité vivant dans un tonneau et ayant été visité par Alexandre Le Grand (ici le baron perché est visité par Napoléon)



En résumé, un livre intéressant et original.



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Le Baron perché

Il y a des classiques qui ont pris un coup de vieux, compliqués à lire aujourd’hui car trop datés, dans la forme et dans le fond. Et puis il y a des classiques atemporels, qui passent comme des lettres à la poste, voire présentent une forme de modernité. C’est le cas du Baron perché, qui ne fait pas ses 59 ans.

Le talent d’Italo Calvino est incontestable, qui nous passionne par l’histoire de Côme, jeune nanti qui fait sa crise d’adolescence et se réfugie dans un arbre. Il n’en redescendra jamais…

On dirait aujourd’hui que le thème de départ est un peu léger, mais, - surprise ! - non seulement le roman est passionnant, mais l’humour de Calvino fait toujours des ravages.

Conte philosophique, roman écologique, récit humaniste, Le Baron perché est un bonheur de lecture. On se prend à rêver, à philosopher, à réfléchir, à écouter les oiseaux et à parler avec le peuplier du jardin… le tout avec le sourire.

Une lecture incontournable pour retrouver un peu de sérénité et goûter le plaisir d’un humour intelligent.

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Le Baron perché

Un livre que je voulais lire depuis des années.

Au final, une fantaisie poussant une situation absurde dans ses retranchements. Pas évident d'y percevoir une dimension symbolique, au delà du coté anti-conformiste du héros, et son rapport aux arbres pouvant trouver un écho dans le monde d'aujourd'hui interrogeant notre rapport à la nature.

La succession des chapitres présentant chacun une mini aventure, ainsi que le fil rouge de l'histoire d'amour ainsi que les rapports entre le fils et sa famille (père, mère, frère) apportant du relief à l'ensemble.
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Le Baron perché

Original et surprenant.
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Le Baron perché

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Le Baron perché

Une véritable réflexion philosophique,belle écriture et rondement menée
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Le Baron perché

Parce qu'il ne veut pas manger ses escargots (et on le comprend !), Côme, 12 ans, fils aîné du baron du Rondeau, se perche dans une yeuse (un chêne) et jure de n'en plus descendre. Bouderie enfantine classique. Très vite, la bouderie se transforme en défi comme seuls les enfants savent en lancer ("même pas cap sur tu resterais toujours dans les arbres sans jamais descendre") et comme seuls les garçons savent en accepter pour épater une fille... Côme vit heureusement dans une région très boisée, ce qui met à sa disposition un vaste royaume arboricole. Limité d'un côté par la contrainte de devoir passer d'arbre en arbre, il s'affranchit, d'un autre côté, des limites de terrain et des contraintes sociales.

La bouderie-défi devient jeu, art de vivre, positionnement philosophique, manifeste politique... Comment interagir avec les humains "rampants" lorsqu'on vit de la vie des oiseaux ? Loin d'être isolé sur son perchoir, Côme va se passionner pour les techniques, la philosophie, la politique et devenir un personnage influent et intriguant dans ce siècle philosophe où tant de choses sont remises en question.



J'avais du Baron perché une vague idée sans doute héritée de mes années d'abonnement à Je Bouquine. Dans cette vague idée, j'imaginais que c'était plutôt un roman farfelu et drôle mais je me trompais. le Baron perché commence sur un ton plutôt ubuesque avec des personnages hauts en couleur (l'entourage de Côme) mais l'ensemble s'apparente plutôt à une fable philosophique. À partir du moment où Côme est installé dans les arbres, les chapitres s'enchaînent dans un relatif ordre chronologique, narrant ses aventures. Les histoires sont relativement indépendantes les unes des autres et la plupart pourraient être retirées de l'intrigue sans déséquilibrer l'ensemble. Par ailleurs, l'histoire est racontée par le jeune frère de Côme, ce qui met nécessairement une certaine distance entre le personnage principal et le lecteur. On a dû mal à voir comment Côme vit cette situation. Traverse-t-il des moments de doute ? Ces différents éléments ont fait que j'ai eu du mal à vraiment accrocher à l'histoire. Bien sûr, le but d'Italo Calvino n'était sans doute pas d'écrire un "page turner". Je mettrais le Baron perché dans la catégorie des classiques surement intéressants à étudier mais peu passionnants en lecture loisir. Il n'est pas non plus désagréable à lire. Il n'y a pas de longueurs, le style est fluide, les personnages plutôt sympathiques et la réflexion malgré tout intéressante.



En résumé : Un classique de la catégorie "ça, c'est fait", intéressant à connaître mais pas très prenant.



Challenge solidaire "Des classiques contre l'illettrisme" 2020
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Le Baron perché

Vivre dans les arbres pendant toute une vie sans jamais en redescendre.



S’échapper du carcan familial, du poids des conventions.

Grimper sur la plus haute fourche, voyager d’arbre en arbre, se nourrir d’animaux chassés, dormir enroulé dans une fourrure de bête, s’abreuver de l’eau d’une cascade, se perdre dans les feuillages verts.

Vivre perché envers et contre tous, envers et avec tous.

S’enivrer du parfum des femmes envieuses d’aventures rocambolesques et s’oublier dans l’amour de la seule qui en vaille la peine.

Lire, lire et encore lire...et puis écrire aussi.

Imaginer, inventer, élaborer des plans ingénieux.

Rencontrer des gens étonnants, batailler, partager.



C’est incroyable tout ce qu’on peut faire dans les arbres !

Et moi qui avais peur de m’ennuyer à la lecture de ce roman. C’est tout le contraire. J’ai adoré suivre Côme, ce personnage étonnant, excentrique, tour à tour rebelle, solitaire, meneur d’hommes, amoureux, défenseur de la nature, philosophe...



L’histoire se passe près de Gênes au siècle de Voltaire. Et cela n’a rien d’étonnant. La siècle des Lumières, c’est celui de tous les possibles, le siècle où les mots liberté et fraternité prendront tout leur sens.

Notre baron perché en est le chantre. Et si nous pouvions en être les fervents disciples...

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Le Baron perché

Côme Laverse du Rondeau, baron italien, décide un beau jour de grimper dans les arbres pour ne plus jamais en redescendre.

Ce qui, paradoxalement, ne l'empêche pas de mener une vie sociale animée : correspondance avec les grands penseurs de son temps, ébats en altitude, action politique ou physique, réception de Napoléon Bonaparte venu le rencontrer, et autres péripéties haletantes pour les lecteurs.



Le baron souhaite vivre perché afin de s'élever physiquement, mais aussi intellectuellement, afin de connaître l'ivresse de la liberté, contrairement à ses semblables trop conditionnés.



Humoristique, ce récit inclut également une dimension politique, à en croire les milieux autorisés : Calvino était alors un communiste convaincu, et entre les lignes du "Baron Perché", il faudrait donc déceler une dénonciation de la société moderne (pas forcément évidente pour le profane).



Car l'attrait principal de cette histoire reste indéniablement sa dimension poétique, que l'on retrouve aussi dans le roman "Le Vicomte pourfendu", du même auteur.



Enfin, Calvino sait titiller nos envies : qui n'a jamais grimpé aux arbres étant jeune ? Qui n'a jamais rêvé de vivre dans une cabane suspendue à un chêne majestueux (d'ailleurs, pendant que votre serviteur écrit ces lignes, ses voisins abattent un arbre de leur jardin à la tronçonneuse, un pan de mur de leur maison risquant de s'effondrer à cause des racines...) ? Qui ne contemple pas notre planète silencieuse depuis un hublot d'avion et ne la trouve pas soudainement moins effrayante ou implacable ?













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Le Baron perché

Côme, 12 ans, décide un jour de grimper dans un arbre pour ne plus en descendre. Il manifeste ainsi sa prise de distance par rapport au milieu social, aux valeurs désuètes et aux attentes de sa famille.

Le narrateur de ce récit est son jeune frère qui porte sur ce coup d'éclat un regard à la fois envieux et attristé, car il perd son camarade de jeu dans l'opération.

Sur la quatrième de couverture figure une phrase issue d'une critique de "Lire" qui annonce un conte philosophique "pas loin d'égaler Candide". Pour moi, il manque l'ironie pour atteindre le brio de Voltaire.

Il y a pourtant de très jolis passages, des réflexions intéressantes et des personnages hauts en couleurs dans ce "Baron perché". Malgré quelques petites longueurs (peut-être dûes à ma fatigue au moment de cette lecture), j'ai apprécié de prolonger ce séjour poétique en pleine nature après la découverte de l'adaptation en BD par Claire Martin.
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Le Baron perché

Quand l'amour (qui comme chacun sait, donne des ailes) vous fait grimper aux arbres... et n'en redescendre que pour vous mettre (très momentanément) aux pieds de votre bien-aimée....

Entre conte philosophique et aventures à la Munchausen, ce livre admirablement écrit, se dévore d'un bout à l'autre. Sorte de Voltaire italien, Calvino met ici en valeur l'esprit des lumières, à travers l'histoire assez délirante d'un homme de la fin du XVIIIème qui, passé l'enfance, ne vivra plus que dans les arbres.

C'est d'ailleurs un très bel hommage aux arbres que ce livre ! On vole de branche en branche, de feuillage en feuillage, d'arbre en arbre, de saison en saison, et pour finir, on voit notre baron disparaître dans les airs, aussi mystérieusement que dans ses apparitions. Homme-oiseau, homme-mystère, héros quasi légendaire dans son pays, autant respecté que redouté, Côme finira comme il a vécu : au-dessus de la médiocrité et des pesanteurs terrestres.

Un très bon moment de lecture, aussi désopilant que suscitant des reflexions sur notre façon de vivre et sur notre rapport au monde.



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Le Baron perché

J'ai adoré ce roman à la fois loufoque et profond. A l'âge de douze ans, un petit baron dit merde à un monde qu'il trouve déplaisant et injuste et décide de passer sa vie dans les arbres. Vivre là-haut ne l'empêchera pas de vivre, d'être amoureux et de s'entretenir avec d'autres hommes, parfois même de grands hommes.

Jubilatoire.
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Le Baron perché

Le baron perché est un classique que j'ai eu du mal à entamer. Cette idée d'un homme qui s'accroche à sa branche me paraissait très ennuyeuse. Mais la plume intelligente, foisonnante de Calvino m'a tout de suite fait oublier cette immobilisme. Avec son art du dialogue, du conte, il nous transporte un peu partout dans le siècle des lumières et c'est un véritable délice pour l'esprit!
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Le Baron perché

Il barone rampante.

Le narrateur retrace le long événement de son frère Cosimo di Rondo qui a vécu dans la seconde moitié du XVIII Siècle à Ombroso, en Ligurie.

Cosimo, pour fuir une punition qui lui est infligée pour avoir refusé de manger des escargots décide de grimper dans un arbre et de ne plus en redescendre.



Il restera dans les arbres mais ne se coupera pas pour autant des contacts avec les autres, il ne renoncera pas aux rapports humains. A plusieurs reprises il manifeste la volonté, la nécessité de communiquer et d'interagir avec les autres.

L'âme humaine ne supporte pas la solitude absolue;



Cosimo montre sa fidélité à sa promesse et symbolise également la rébellion : à sa famille, à la société qui l'entoure.

Il assume son projet de vie dans les arbres avec une noble persévérance.



Lu en italien.
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Le Baron perché

Un jour de 1767, le jeune baron Cosimo Piovasco di Rondo grimpe dans un chêne de la propriété familiale pour protester contre le plat d’escargots qu’on veut lui faire manger alors qu’il a essayé de les libérer quelques temps plus tôt pour mettre fin à leurs souffrances... Il n’en redescendra jamais mais mettra à profit la distance que sa nouvelle position lui permet pour s’instruire différemment, créer, partager et même aimer avec ardeur. Quel délice de se replonger dans cette fable humaniste, pleine de poésie et de fantaisie ! Raconté à la manière d’un livre d’aventures, Le baron perché est aussi un roman nourri des idéologies des lumières, d’un lyrisme bucolique et nostalgique, d’un humour grinçant et désabusé. Avec tous ses niveaux de lecture, historique, philosophique, naturaliste, politique, Le Baron perché reste avant tout un roman d’imagination au style fleuri, un conte drôle et sensible, en empathie avec un homme qui vit en accord avec ses idées, aussi absurdes semblent-elles. La nouvelle traduction de Martin Rueff permet d’apprécier à sa juste valeur la langue magnifique qui sert cette histoire abracadabrante et pourtant si touchante.
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Le Baron perché

Bien qu'ayant mieux apprécié l'humour sans détour du 'vicomte pourfendu', j'ai trouvé ce roman plus fin quand à l'exploration de la dimension humaine. Je dois admettre que j'étais en syntonie avec le baron perché dans ses branches. Ce côté d'indécrottable décalage qui permet le renouveau des relations sociales sous d'autres formes, un autre engagement. Il éclaire avec finesse et poésie les tenants et aboutissants du fonctionnement des idéalistes jusqu'au-boutiste, en découvrants avec douceur et caricature leurs possibilités et limites. En bonus petit clin d'oeil au roman de 'guerre et paix'. J'ai découvert qu'il fait partie d'une trilogie avec le vicomte pourfendu, il n'y a plus qu'a lire le troisième j'ai hâte.
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Le Baron perché

En tant que baron des livres auto-proclamé dans cette communauté, il me tardait de découvrir ce chef-d'oeuvre empreint d'une virtuosité, d'une ingéniosité technique qui n'a d'égale que la sensibilité indéniable d'un auteur mettant en scène le drame touchant d'un baron perché.



Italo Calvino est en réalité un poète qui a trouvé le tour de faire des romans. Un peu à la manière de Poe, qui produisait des nouvelles, ses récits fantastiques sont relativement brefs et surtout très inventifs. Dans son triptyque intitulé Nos ancêtres, l'auteur pousse la réflexion sur la condition humaine et l'histoire de la littérature en explorant et en redécouvrant ses formes les plus primitives, telles le conte et le mythe. Présenté sous le signe des Lumières du XVIIIe, le baron perché est définitivement le volet dans lequel l'humour est le plus léger, bien que la critique sous-jacente soit sûrement la plus élaborée.



Côme, garçon de douze ans, né d'une famille noble tout juste avant la Révolution Française, décide de faire une fugue dans les arbres en guise de protestation, seul moyen d'échapper à la férule de ses parents et des devoirs reliés à son état, à condition de ne jamais en redescendre. C'est donc de branches en branches qu'il mènera une existence ludique et périlleuse, jouissant de la particularité de son point de vue sur les autres, desquels il se retrouve à la fois au-dessus mais aussi en-deça, comme lors d'intempéries ou en cas d'urgence où il se retrouve totalement dépourvu, dépendant de leur charité. Cette révolte toute personnelle et originale du personnage principal, qui se déroule en marge de la Grande Révolution, est le point de départ du récit de Blaise, son petit frère. Ce dernier, en étant le narrateur du roman, permet une énonciation qui évoque l'oralité des légendes épiques. Cette révolte est aussi l'occasion parfaite pour Calvino de développer un conte philosophique qui prend les allures de la fable et dans lequel se multiplient les réflexions autant politiques que psychologiques, en somme sur les limites qu'imposent les lois autant naturelles qu'humaines à nos grandes aspirations.



Le style unique de Calvino se déploie ici de nouveau comme par enchantement. Dans un univers où se mêle à la perfection l'invraisemblable et le réel, il réussit à faire de Côme, son personnage, une figure aussi complexe que binaire ; tantôt, il est le héros d'un roman picaresque, tantôt le Socrate d'un Platon, ou le chevalier sentimental, tourmenté et amoureux de sa belle, ou encore le représentant de l'artiste, de l'homme moderne en quête de sens, de spiritualité et d'individualité dans un monde désenchanté, et tantôt, évoluant strictement dans cet univers sylvestre, il paraît bien innocent, limité, peu nuancé, comme le héros d'un essai plus ou moins simple destiné à divertir la jeunesse.



Bref, à mon sens Côme évolue finalement en hommage à ce grand art, représentant mille et une figures de la littérature tout en se présentant accessible à tous, d'un intérêt universel. En ce sens, à l'instar du mythe, le baron perché est riche de sens et ouvre la porte à une possibilité infinie d'interprétations.



Si on y retrouve quelques grands thèmes communs à chaque opus de la trilogie, tel la guerre et l'amour, on peut voir enfin dans l'histoire du baron perché, qui chemine ainsi entre ciel et terre, une allégorie, celle de l'écrivain et de son sort incertain dans une société qui se méprend nécessairement sur le rôle, l'action des agents qui en sont les observateurs, prenant ces derniers autant parfois pour des dieux que pour des demi-fous.







Bref, bref, bref, c'est un grand classique.
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Le Baron perché

Magnifique Conte philosophique
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Le Baron perché

1770. Côme, baron du Rondeau, monte à 12 ans dans un arbre pour protester contre les injonctions de ses parents, et décide de ne plus jamais en descendre. Il tiendra sa promesse, et passera sa vie perché dans les arbres, passant de l'un à l'autre pour se déplacer. Il prouvera ainsi à ses contemporains que l'on peut vivre libre et heureux en s'affranchissant des contraintes sociales et en s'élevant au-dessus de la médiocrité humaine.



Un conte philosophique original sur la liberté et l'écologie, regorgeant de fantaisie et de péripéties extravagantes. À lire absolument !
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Le Baron perché

L expression" il est perché" : d un coup me vient l idée que c est Calvino qui l à inventée au final...pour les personnes qui ne connaissent pas Calvino je vous conseille de foncer sur tout ses romans ou le titre associe un substantif et une épithète, le tout formant un couple insolite : le vicomte pourfendu, le chevalier inexistant....

Calvino avec son style part de postulats improbables voire extravagants voire impossibles...ou inhumains... pour construire des recits pétris d humanités. La découverte de Calvino m ouvrit à l époque une porte nouvelle de la litterature. Auteur unique et à part et vive le droit à la différence !!!

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