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3.72/5 (sur 22 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Jacques Delperrié de Bayac est un journaliste, écrivain, historien et romancier français.

Il fut journaliste à Candide et Paris-Presse.

Ses recherches historiques, en particulier son ouvrage de référence, Histoire de la Milice, 1918-1945 (1969), ont servi lors de l'instruction du procès du milicien Paul Touvier.

Il a participé, en 1997, à l'écriture du film documentaire de long métrage d'Alain Ferrari, Milice, film noir, tiré de son livre

Source : Wikipédia
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Citations et extraits (9) Ajouter une citation
Chez les nationalistes, on ne fait pas de prisonniers, on n'accorde aucun pardon.


Ces massacres se font avec la caution morale de l'Eglise, qui recommande seulement que ceux qui vont mourir aient la faculté de se confesser.
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Depuis le début de la guerre, l'opposition reste inconciliable entre ceux qui disent, avec les communistes et les modérés :
" Gagnons d'abord la guerre, et ensuite nous verrons "

et ceux qui répondent, avec le gros des anarchistes et avec le POUM :
" Faisons d'abord le révolution et alors nous gagnerons la guerre. "
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Toujours au plus dur des combats, animés d'un esprit de sacrifice incontestable, les volontaires étrangers ne furent pas tous des chevaliers sans peur et sans reproche, et leur histoire est une histoire d'hommes;

mais pour la cause malheureuse dont ils avaient choisi d'assumer les risques, ils dépensèrent sans compter leur vie et leurs efforts, sans l'espoir d'autre récompense que la conscience de servir,

et c'est pourquoi les Brigades Internationales furent une épopée.
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Contre ce qui était, la Résistance incarna ce qui pouvait être.

Contre la juridiction paresseuse du fait, contre la soumission à la force, contre le pessimisme qui emprisonne, elle fut porteuse d'esprit.
Dire non quand tant de "réalistes" croyaient habile de dire oui, c'était affirmer la liberté humaine.

C'est ce que fit la Résistance.
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Ce dilemme tragique, bien peu de dirigeants républicains sont préparés à l'assumer.

Ils n'ont pas été capables de briser les résistances à ce qui était nécessaire. Ils n'ont pas su se faire respecter et obéir, pas plus de la droite que de la gauche,
Ils sont des tribuns, des parlementaires, des hommes politiques - bien molns des hommes d'Etat
Ils ont manqué souvent et manqueront encore de l'énergie, du froid réalisme, de la cruauté nécessaires à ceux qui commandent et qui sont responsables dans un grand péril.

La guerre d1Espagne sera une guerre de religions, le choc de fanatismes antagonistes, et ils sont hostiles à tous les fanatismes ; ils sont anticléricaux, antimilitaristes : eux aussi sont d'un autre âge, et la République espagnole n'aura ni son Robespierre, ni son Lazare Carnot, ni son Clémenceau, ni son Lénine.
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On fusille ici comme on déboise" dit Saint Exupéry. On tue énormément. On a bonne conscience. On a la vérité, chacun ses évangiles. Aussi, on y va carrément. C'est le temps des "grands cimetières sous la Lune" et des fosses communes creusées au bulldozer. page 29.
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Le 3 mai 1936, le "Front Populaire" obtient la majorité à la chambre, rassemblant la SFIO, le parti communiste, et les radicaux. Le 4 juin, Léon Blum forme son gouvernement.
Les communistes en sont absents, ayant opté pour le soutien sans participation. Très vite, malgré ses réalisations sociales (accords Matignon, congés payés, semaine de 40 heures, etc.), le nouveau gouvernement se trouve pris en tenailles entre la surenchère du parti communiste et les hésitations des radicaux. La guerre d'Espagne et l'hostilité des milieux financiers et industriels avivent les difficultés du régime, et Blum doit démissionner le 21 juin 1937.
Le second ministère Blum ne parviendra pas à remplir les tâches que s'était fixées le "Front Populaire" : la transformation de la société française, et, à l'extérieur, l'organisation de la lutte contre le fascisme. Le monde n'a pas changé de bases. Mais l'illusion lyrique demeure vivace : par delà la seconde guerre mondiale, le "Front Populaire" constitue une référence fondamentale dans l'histoire du mouvement ouvrier.
(quatrième de couverture de l'édition parue chez "Marabout" en 1984)
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Dans les dernières années du VIII e siècle, la gloire et la puissance de Charlemagne étaient au zénith. Son prestige éclipsait celui de tous les autres monarques. En Occident, il apparaissait comme un roi au-dessus des rois. il ne lui manquait plus, consécration suprême, que le titre d'empereur.
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Vouloir surprendre Charlemagne vivant et agissant, vouloir ressuciter ce haut Moyen-Age si éloigné de nous, l'entreprise était ardue.
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