Citations de Jacques Sadoul (143)
- "Quand les dieux accordent à un homme la réalisation d'un rêve, ils se hâtent de le lui arracher, de crainte que dans son triomphe il ne devienne semblable à eux et les fasse joyeusement tomber de leurs trônes célestes."
~ Le présent du Rajah ~
* E. Hoffmann Price *
- "Il n'est pas bon qu'un homme se berce d'un rêve, même un rêve fou, s'il ne fait rien pour le réaliser."
~ Le présent du Rajah ~
* E. Hoffmann Price *
- "L'amour conquiert tout y compris les malédictions familiales."
~ La Malédiction des Phipps ~
* Seabury Quinn *
- "Conjuro te, sceleratissime, abire ad tuum locum !"
~ La Malédiction des Phipps ~
* Seabury Quinn *
Qui nous dit qu'il n'existe pas, parallèlement à la vie que nous connaissons, une autre vie qui ne meurt pas, qui ne possède pas les éléments qui détruisent notre vie? Peut être y a-t-il dans une autre dimension une force différente de celle qui engendre notre vie.
Je ne suis pas certain de réussir mais, si j'y parviens, alors.. le temps n'existera plus pour moi.
Vous êtes supérieurement intelligent mais je... mais mon esprit est surhumain ! Il est donc normal que j'aie conscience de vos limites.
Le Guilde Nationale des Couteliers s'oppose au fait que les épées soient décrites comme des instruments de mort en arguant que, je cite : " Ce ne sont pas les armes qui tuent mais les hommes."
J’ai toujours été persuadée que les jolies blondes au regard candide ne peuvent mentir ;
Amanda Greenwood m’avait pourtant démontré le contraire. Néanmoins je croyais Liz, elle n’était pas de la même race.
J’étais agacée, seuls les faits comptent à mes yeux, je n’aime pas me fier à des impressions. J’ai eu quelques brillants collègues qui suivaient leurs intuitions,ils sont tous morts aujourd’hui ; il est vrai que leurs missions étaient autrement plus dangereuses que le passe-temps auquel je me livrais à l’heure
actuelle.
. « Etre armé, c’est être libre », était la devise de mon père, je l’ai faite mienne. Il nous faudra lutter pour conserver ce droit car l’administration esti infestée de communistes, ceux-là mêmes dont la trahison nous a fait perdre le Viêt-nam.
Quand j’entends quelque misérable politicien parler de restreindre notre droit d’en posséder,
je vois rouge. Elles sont le symbole de la liberté de l’homme américain, de sa démocratie. Un peuple désarmé est un peuple esclave.
Mieux vaut ne pas renouveler une expérience malheureuse,
Dixie, tu n’es pas faite pour ça et puis, de toute façon, tu n’es pas mon type.
Ton corps a une certaine plénitude, il est fait pour plaire aux hommes. Moi, je préfère les filles minces, nerveuses, avec peu de seins.
Répondre à une question par une autre est un bon moyen de ne
pas se compromettre et permet parfois d’apprendre quelque chose.
C’est ça l’ennui, avec les amateurs, ils vont chercher des complications là où il n’y en a pas. Croyez-en mon expérience, si
nous découvrons un jour le fin mot de l’histoire, il s’agira de quelque chose de très banal, une vengeance d’un concurrent ou d’un péon renvoyé.
On ne fait pas fortune sans se faire des ennemis, faut pas rêver.
Puis on vous a tiré dessus, là c’est devenu différent.
Les hommes sont incapables de vivre correctement sans une femme pour les prendre en
charge. Quelle engeance !
Dire que je m’intéresse aux
gens serait faux : je n’éprouve aucune compassion pour eux ; qu’ils crèvent ou s’entre-tuent, je m’en moque. En revanche, j’aime savoir pourquoi et comment ; et – si possible – y assister.
J’ai traversé bien des parties du
monde renommées pour leur beauté sans les voir. Il est vrai que j’y avais un statut assez particulier, de chasseur le plus souvent, parfois de gibier.
Aujourd’hui encore, chaque fois que je vois la réclame d’une agence de voyages pour une île des mers du Sud, je me sens devenir enragée : j’ai fait un
séjour involontaire, et prolongé, dans une de ces îles paradisiaques. J’en garde le souvenir d’un lieu de cauchemar où j’ai failli mourir de faim et d’ennui ; pour ne pas parler de mes démêlés avec insectes, scolopendres et autres bestioles bien décidées à me rendre la vie impossible !
C’est vrai, Mat »est un homme merveilleux, mais il est terriblement autoritaire. Tout va bien si l’on partage ses idées,
sinon... Et John était loin de les partager.