Citations de James Patterson (1009)
Les directeurs des programmes recommandent aux animateurs de ne jamais passer deux chanteuses d'affilée à l'antenne depuis que la radio existe, poursuivit Ruthanna. Les maisons de disques ont longtemps pensé que les femmes n'étaient pas capables de se produire en tête d'affiche, ou même d'avoir des tubes.
Savez-vous combien de nouvelles chansons font leur entrée sur les plates-formes numériques tous les jours ? Quarante mille, uniquement sur Spotify. Le marché est saturé. Jamais la musique n'a été aussi présente de toute notre histoire.
Tout le monde posséde un égo, et celui des stars est aussi surdimensionné que fragile
Avant de vous écouter, je tiens à préciser que plus de mille cinq cents personnes disparaissnt chaque jour dans ce pays et que l'immense majorité d'entre elles sont retrouvées saines et sauves.
Je prie non-stop depuis que j'ai appris la nouvelle. J'imagine déjà Jésus dans son paradis : " De grâce, faites taire cette femme !"
Quelle différence pouvait-il y avoir entre tomber et voler ?
L'atterrissage, lui répondit son cerveau.
- N'importe quel barman digne de ce nom possède un doctorat honoraire en psychologie humaine, gamin.
Il y avait des roses partout, des roses rouges à tige longue. C’était la fleur préférée de Katherine, le seul détail sur lequel Peter avait insisté pour honorer la mémoire de sa femme et de ses insupportables marmots.
accroche-toi aux rames,matelot.on l'a toutes vue en
meme temps.on l'a toutes mater et j'ai bel et bien eu le coeur chaviré.
si vous, femme mature et évoluées soi-disant
asvez envie de le mater comme une bande d'écolieres,
je n'ai qu'un mot a vous dire maintenant,il va passer me prendre.
Imagines que la vie est un jeu dans lequel tu jongles avec cinq balles.
On les appelle travail, famille, santé, amis, intégrité. Tu les maintiens toutes en l'air.
Mais un jour, tu en viens à comprendre que le travail est une balle en caoutchouc : si tu la laisses tomber, elle rebondit.
Les quatres autres sont de verre : qu'elles t'échappent, et elles seront abîmées, fendillées, parfois brisées.
Une fois que tu as compris cette leçon, tu commences à voir quel doit être l'équilibre de ta vie.
Il travaille avec soin, fier de réaliser ces sièges. Il a toujours aimé se servir de ses mains, le travail manuel constitue à ses yeux un excellent moyen de se valoriser. Un enfant s'assoira sur cette chaise, apprendra à lire ou à compter sur cette chaise. Quelqu'un rira sur cette chaise. (p.166)
L'antenne de police de Bridgehampton n'est pas particulièrement intimidante. Elle se trouve dans un recoin du petit centre commercial de Bridgehampton Commons, à un jet de pierre de Main Street. Des boutiques de chaînes, Gap, Staples, Panera, une épicerie King Kullen, Victoria's Secret et, bien évidemment un Dunkin' Donuts (je sais, l'association entre les flics et les doughnuts relève du cliché). Les voitures de patrouilles noires sont alignées à l'angle du bâtiment, à côté d'une rangée de conteneurs de déchets réservés aux vêtements et aux chaussures à recycler. (p.68)
L'assassin s'avança. Personne d'autre dans le couloir. Il sentait monter une envie irrépressible.
Il enfonça les doigts dans la poche de sa veste, toucha l'acier froid de son arme. Il débloqua le cran de sûreté. Il ne pouvait plus contrôler ce qui lui passait par la tête.
Vas-y, entre, le mettait au défi une voix. Fais-le.
"Je suis restée là, plantée entre le petit salon et le lit, entre la peur et le désir. Oui, j'avais envie de me lover contre lui, de caresser ses cheveux, de sentir ses lèvres sur mon cou, de frotter ma peau contre la sienne."
Le Boucher voyait rouge, et c’était généralement mauvais signe pour la population mondiale.
Après plusieurs heures passées à chanter pour des passants dont la plupart ne lui accordaient pas même un regard, elle se mettait en quête d’un bar où se produire. Le plus souvent, la chance aidant, elle terminait sa journée avec un peu d’argent ou de quoi manger, voire les deux.
Si AnnieLee avait sué sang et eau pour convaincre le barman du Cat’s Paw, ce n’était rien à côté de ce qu’elle ressentait en attendant son tour au fond du bar. Elle avait la poitrine si serrée qu’elle se demanda un instant si elle n’était pas victime d’un infarctus.
Ruthanna n’arrivait pas à se débarrasser de cette fichue mélodie. Une descente en do majeur, tendue comme un élastique, qui n’avait besoin que d’un couplet et d’une ligne de basse pour devenir une chanson.
Dix minutes plus tard, nous étions dans le bureau du chef de la police de Washington. Bryan Michaels, un gabarit de poids moyen luttant contre une bedaine, prit une gorgée d’un liquide fumant et fit la grimace.
- Je ne m’habituerai jamais à cette saloperie ! grommela-t-il avec un frisson en reposant sa tasse. De l’eau chaude au citron. C’est censé être bon pour moi, améliorer mon taux d’alcalinité.
- Ajoutez-y du miel, suggérai-je.
(Un amoureux comme moi de la tisane !)