Jane Feather

Pas mal du tout !



Honneur et héritage, deux sujets pas simples... Quand une situation militaire tragique met le héros dans une situation déshonorante, une seule solution, retrouver la mémoire et trouver des témoins même si ce n'est pas évident du tout car les méchants sont en embuscade. Quand un héritage vous tombe sur le tête avec un choix cornélien à faire entre quatre jeunes et belles demoiselles, les maux de tête insupportables ne sont plus uniquement la conséquence d'une blessure de guerre. Quand finalement le choix se porte sur le garçon manqué de la famille et bien, les étincelles ne manquent pas ;-)



Une plume colorée et bien maîtrisée, un fond historique bien documenté, un rythme soutenu par les nombreux rebondissements de l'enquête militaire, un brin d'humour, un zeste de ‘rouge' et malgré quelques répétitions, une lecture bien agréable ma foi :-)

Très très bien, j'ai adoré !



Devinez, entre Henri VIII et la Reine Marie, on trouve Édouard VI, le fils unique de notre Barbe Bleue anglais. Et voilà déjà la fin de son court règne ; la mort rôde dans les couloirs du Palais, les complots vont bon train, les espions sont à l'écoute, la vie des princesses Marie et Élisabeth ne tient qu'à un fil, les ducs puissants s'en donnent à cœur joie pour modifier la ligne de succession établie par Henri VIII et s'en sortir alors avec les pleins pouvoirs. Mais tout ne va pas se passer comme prévu, la Reine Jeanne sera placée sur le trône, couronnée et n'y restera que six jours avant de perdre la tête comme c'était d'usage à l'époque ; les ducs aux longues dents n'ont pas pris en compte la population qui adorait Marie et y laisseront leurs têtes aussi. Dieu quelle époque violente et sanglante alors qu'on se trouve quand même en pleine Renaissance.



Un rythme bien soutenu, de nombreux rebondissements, un style délié et truffé d'humour, des personnages historiques bien campés et des héros super attachants, sans oublier des détails de vie bien documentés qui donnent au roman une trame qui vous transporte directement dans l'Histoire. Oufti, quel plongeon et quel plaisir de lecture surtout :-)



Je vous le dis, l'histoire de Pennie n'a rien a envier à celle de sa mère ni de sa sœur cadette ; elle n'est peut-être pas aussi férue de droit que sa maman ni aussi pétillante que Pipa mais elle a un cœur de mère qui la rend tout à fait unique et qui donne le ton à ce récit ;-)

Toujours un peu malade, toujours le réconfort dans ma bibliothèque 'rouge' et toujours de belles découvertes.



Je reste avec la même auteure, je parcours le temps et l'Histoire, me voilà sous le règne d'Elisabeth Ière en Angleterre et sous celui d'Henri IV en France. Et le prologue est hurlant de réalisme, la nuit de la Saint-Barthélemy, la nuit de l'horreur, la nuit de l'intolérance religieuse, la nuit de la honte pour tous les catholiques de France, la nuit où le sang versé des innocents ne peut être effacé…



Bon, je vous rassure, c'est bien un livre rouge et donc, l'histoire en elle-même est bien plus légère et beaucoup plus amusante que le prologue si bien écrit, il faut le dire. Un récit où il est question de jumelles de dix mois séparées cette nuit-là ; l'une déjà intrépide, l'autre déjà insipide ; l'une sera élevée et surtout aimée par une troupe de saltimbanques, l'autre sera mise sous serre sans tendresse par une famille ambitieuse ; l'une et l'autre se retrouveront et trouveront l'amour à la cour d'Elisabeth mais ça, c'est toute l'histoire.



Toujours une plume vive et colorée, des descriptions des lieux et des mœurs bien documentées, des personnages historiques plus vrais que nature et les autres, ma foi, toujours aussi attachants et enfin, une aventure riche en rebondissements où l'humour est omniprésent ; j'adore les facéties de Chip, le petit singe.



Une lecture détente qui m'a fait un bien fou. Je sens que je guéris :-)

Pas mal du tout :-)



On remonte le temps puisqu'il s'agit du premier tome d'une trilogie dont je viens de faire la critique du dernier tome. Après la Reine Marie on passe donc à son père le roi Henry VIII, le Barbe Bleu anglais ma foi et l'ambiance est tout aussi sanglante même si le cadre est bien différent dans ce récit.



Une jeune femme, riche et intelligente, veuve pour la quatrième fois en douze ans, attire l'attention de Cromwell le vorace, l'impitoyable. Pour lui, elle est coupable de meurtre, quatre fois, et pour son comparse Gardiner, l'archevêque, c'est une sorcière ! S'ils arrivent à démontrer les deux points, l'argent de cette Dame retourne à la couronne avec une petite contribution au premier ministre comme de bien entendu. Et voilà l'histoire dans l'Histoire d'un procès pas mal mené où notre héroïne va jouer du droit pour sauver ses filles et jouer son cœur pour sauver sa tête le tout sous le regard parfois amusé parfois impitoyable du Roi dont l'humeur est souvent volatile et changeante.



Une plume vive et colorée, des personnages attachants et surtout amusants à suivre, une situation pleine de piquants et qui ne manque pas d'humour, une pointe de rouge qui ne gâte rien, beaucoup de questionnements pertinents sur la base d'un couple, quelques rebondissements perturbants, le tout donne un récit fluide, qui se lit d'une traite et qui interpelle aussi sur les droits de la femme au XVIème siècle. Finalement, pas aussi limités que ce que l'on imagine souvent :-p



D'abord l'histoire de Pipa, la cadette ; maintenant celle passionnante de la maman ; il ne me reste qu'à prolonger l'aventure avec Pennie l'aînée que j'attaque tout de suite :-)

Génial, un tout bon livre rouge avec une intrigue bien ficelée, le bonheur par ce temps pluvieux qui n'en finit plus :-)



Une auteure que j'ai dû lire il y a bien longtemps et pourtant elle mérite clairement le détour. Non seulement sa plume est belle et riche mais sa description de la cour d'Angleterre sous le court règne de la Reine Marie dite Marie la Sanglante est passionnante. On y découvre la vie réglementée et superficielle des courtisans ainsi que celle des espions qui tentent de sauver l'Angleterre de l'Inquisition qui a fait tant de mal aux Pays-Bas notamment. Sur cette toile de fond historique, l'auteure va imaginer une possibilité pour le roi Philippe époux de Marie d'avoir peut-être un héritier et donc avoir ainsi l'assurance de rester maître de l'Angleterre si son épouse venait à mourir sans enfant. Et peut-être que ce subterfuge a été pensé à l'époque aussi même si L Histoire nous a montré que Marie est décédée sans descendance et que son époux est bien vite retourné en Flandres en laissant la place à la demi-soeur de Marie, la Reine Elisabeth.



J'ai adoré l'histoire et j'ai adoré les personnages ; un style fluide et vivifiant, truffé d'humour et de tendresse donne au récit un ton guilleret même si la situation est plutôt tragique. Ce n'est peut-être pas de la grande littérature, c'est juste un bon roman, bien écrit qui permet de plonger dans L Histoire en s'amusant et j'aime ça :-p



Bien sûr, j'ai commencé par la fin une trilogie. Bonheur, je viens de découvrir que j'ai aussi les deux premiers tomes en rayon :-) Je vais m'empresser de les lire, dans l'ordre cette fois :-p

Petit retour à la cour du roi Henri VIII pour moi. Période difficile pour la condition féminine, procès très fréquents avec des preuves plus ou moins inventées.

Guenievre est une beauté, veuve à quatre reprises s'enrichissant à chaque fois ce qui ne manque pas d'attirer les convoitises et rancœurs jusqu'au plus haut de la cour.

Hugh revendique des terres ainsi acquises et se voit confier la tâche de ramener la jeune femme pour être jugée pour meurtre voire sorcellerie par Cromwell.

Une belle romance servie par une plume fluide, les personnages sont assez forts. Une femme aussi indépendante à cette période est rare face à un roi aux humeurs changeantes. Mais aussi un peu suicidaire à cette époque si troublée. Deux autres livres portent sur ses filles, à noter pour de prochaines lectures.

Une plume fluide, des personnages forts en caractère et assez durs. Normal vu la période du 17ème siècle où les guerres et querelles entre familles font légion.

On commence sur le meurtre d'un couple adultère, le mari tuant l'amant appartenant à la famille ennemie. Une génération plus tard, la reine Anne souhaite faire entériner les inimitiés en arrangeant le mariage entre les deux familles.

Arielle est plus que peu enthousiaste à une telle union. Élevée par un père violent dans la haine de l'autre famille, ses frères étant tout aussi dominateurs, Arielle cherchait à acquérir son indépendance en s'enfuyant avec son début de haras. Mariée de force, elle a du mal à être complice des tentatives de meurtre de ses frères envers son mari. Même si balafré, handicapé par sa jambe, bien plus vieux qu'elle, elle est tiraillée par des sentiments contradictoires. C'est le fils du meurtrier de sa mère mais il est plus doux et patient que ses frères.

Des personnages qui ont du mal à se comprendre, élevés dans la méfiance. Des caractères forts vu l'époque.

Une lecture sympathique, il me manque quelques notes d'humour mais le contexte s'y prêtait moins.

Lu dans le cadre d'un challenge pour un item autour de Fort Boyard



Vite lu et sera vite oublié.

Peu de lecteurs, une couverture aussi peu attrayant qu'il pouvait le faire à l'époque d'un rouge passion. Mais là la passion est un peu tiède....



Epoque où l'honneur passait au dessus de tout. Des nobles désoeuvrés pour lesquels des dettes de jeu étaient le summum de l'honneur.

Ennemis depuis de longues années, Lacey et Fortescu s'affrontent aux cartes, le dernier s'attachant à rattacher toute dette faite par le premier pour l'acculer à la perte. Lors d'une dernière partie aux enjeux astronomiques, Lacey perd tous ses biens et ne pouvant supporter ce déshonneur, se suicide dans la foulée. Pour finaliser sa vengeance, Fortescu propose le mariage à la soeur du défunt, procédure alors permettant que le titre de Lacey lui revienne, ôtant le dernier vestige de dignité de son ennemi.

Arabella ets victime de cette vengeance mais essaie d'en tirer le meilleur parti et romance oblige tombera amoureuse.



Des passages parfois trop vite abordés qui auraient mérités d'être creusés pour qu'on s'attache aux personnages.

Enfin de la littérature romantique avec des femmes volontaires. A lire!

Ce livre est une très bonne surprise et, jusqu'à présent, le meilleur de Jane Feather.

Le scénario est bien ficelé avec une histoire d'amour mouvementée qui nous en fera voir de toutes les couleurs grâce aux personnages charismatiques de Théo et Sylvester.

Si au premier abord, le nom de notre héros peut vous paraitre "tu l'amour", sachez que la personnalité attachante de ce dernier vous fera succomber. En effet, Sylvester se révèle être un homme sensible sous cette énorme couche d'homme fier, un peu calculateur. D'ailleurs, Théo ne pourra faire autrement que de tomber sous son charme, malgré ses efforts pour le repousser!

Au final, une romance historique très agréable où les personnages sont bien fouillés et une enquête en toile de fond assez intéressante.
Lien : http://1001chroniquesenfolie..

Une guerre opposant deux familles depuis quelques générations, l'une puritaine l'autre protestante. Leur pratique religieuse et leur conflits politique ne sont néanmoins pas les réelles causes de cette haine viscérale. Le premier chapitre le prouvera d'ailleurs en assistant à la mort de deux amants assassinés par un mari jaloux. L'identité des deux amants se révélant être les parents du futur couple de "Pour une rose d'argent".



Simon Hawkesmoon lasse de cette haine sans fin décide par le biais de la reine Anne de contracter un mariage avec la fille de la famille Ravenspeare afin de réunir les deux familles, ainsi les futures enfants à naitre de cette union enterreraient la hache de guerre. Cependant c'est sans compter les frères d'Arielle voyant en ce mariage une opportunité de récupérer des terres leur ayant été spoiler lors de la dernière guerre. Le stratagème du vil frère ainé d'Arielle Ranulf, accepter en apparence cette union et profiter du mois de la fête des noces au château Ravenspeare pour éliminer une bonne fois pour toute le dernier de la famille Hawkesmoon.



Jane Feather, dès le prologue nous plonge d’emblée dans une ambiance sombre et sanguinaire qui étreindra tout le roman. Un récit assez dure et résolument sans concessions. Le personnage qui en fera d'ailleurs le plus les frais sera l’héroïne Arielle Ravenspeare. Jeune femme ayant perdu sa mère lorsqu'elle n'était encore qu'un bébé, élevée par un Père violent puis plus tard par trois frères ayant suivi les pas de leur père, Arielle a dû très vite s'adapter et faire preuve de beaucoup de courage auprès de cette fratrie répugnante. Entre violence et humiliation, Arielle est tout de même parvenue à conserver son caractère rebelle, indomptable et nourrit en secret une ambition depuis toujours celui d'avoir sa propre indépendance et quitter ce lieu maudit un jour. Ce rêve est sur le point de se réaliser grâce à son élevage de chevaux de courses qui pourrait la libérer financièrement de tous. Son plan si bien préparé sera cependant contrecarrer par l'arrivée de son futur époux Simon Hawkesmoon.

Simon est un ancien soldat ayant été obligé de mettre fin à sa carrière suite à une grave blessure à sa jambe. Il est a présent dans l'obligation de se déplacer avec une canne et d'en souffrir de temps à autre le martyre. Homme souhaitant plus que tout instaurer la paix entre les deux familles ennemis HawkesMoon et Ravenspeare, Simon fera tout pour que son union avec Arielle se déroule pour le mieux. De 14 ans son ainé, Il fera d'ailleurs preuve de beaucoup de patience avec cette jeune sauvageonne ambiguë qui le protègera à plusieurs reprises des pièges mortelles tendus par ses frères. J'ai beaucoup souris lors des remises en question de Simon envers Arielle, son caractère effronté, les attitudes excentriques et d'insoumission de sa femme le dépassant et l'exaspérant au plus au point tout en l'intrigant à la fois. Une relation se tissant lentement mais surement. J'ai cependant été déçu en ce qui concerne le manque de passion assez probant entre Arielle et Simon malgré un attachement assez éloquent réciproque les unissant. Les personnages secondaires englobant les frères Ravenspeare ce sont voulu détestables et cruels au possible. Ranulf l'ainé vil et pervers au possible, utilisant sa petite sœur sans sourciller et ayant par le passé dépassé les limites en l'ayant offert à son meilleur ami Oliver Becket. Entreront en scène d'autres personnalités importantes et charismatiques comme Jenny et sa mère Sarah deux guérisseuses amies d'Arielle, ainsi que Jack Chauncey l'ami de Simon sans oublier l'ancienne maitresse de Simon: Helene Kelburn.



"Pour une rose d'argent" s'est révélé être une lecture divertissante et agréable conté par l'écriture fluide et agréable de Jane Feather. Le récit à été palpitant du début à sa fin mais j'ai été cependant désappointé par le dénouement trop facile. La fin s'est révélée trop rapide et abrupt, et aurait mérité quelques chapitres en plus. Une chose m'ayant également gêné, ce livre ne répond pas à toutes les questions d’où mon sentiment de frustration en ayant refermé cet ouvrage.

un résumé intéressant; il promet des moments explosifs et des dialogues houleux.

une histoire intéressantes. des dialogues intéressants. bon moment de lecture.

La magie de l'extreme orient au service d'une histoire romanesque envoutante. Quelle bonheur de partager les aventures de Ayecha/Annabelle... Exotisme, sensualité, aventures, amour... Tous les ingredients sont réunis pour faire de ce roman, un succes "Aventures et passions".