L'attaque du Haut-Karabagh par l'Azerbaïdjan est la plus récente des nombreuses crises qu'a connues l'Arménie au cours de sa douloureuse histoire.
Premier état chrétien de l'histoire et, depuis des siècles, foyer de résistance soumis aux pressions impérialistes russes et turques, c'est trop souvent dans un silence coupable et dramatiquement isolée que l'Arménie se bat pour sa survie. Lors d'une soirée exceptionnelle, le Collège des Bernardins a accueilli Sylvain Tesson et Jean-Christophe Buisson entourés de Mgr Gollnisch, Tigrane Yégavian, Nora Martirosyan et Pascal Bruckner afin de faire entendre la voix des Arméniens et de lancer un plaidoyer pour leur venir en aide.
#arménie #tesson #buisson #hautkarabagh
Chapitrage :
0:00 Attente
8:55 Discours du directeur du Collège des Bernardins
16:26 Propos de Mgr Gollnisch
23:10 Début de la table ronde
1:35:30 Propos de Pascal Bruckner
1:43:40 Questions-Réponses
1:55:00 Concert
Le Collège des Bernardins est un espace de liberté qui invite à croiser les regards pour cheminer dans la compréhension du monde et bâtir un avenir respectueux de l'homme.
Pour tout savoir de l'actualité du Collège des Bernardins, suivez-nous sur les réseaux sociaux
Facebook : https://www.facebook.com/CollegedesBernardins/
Twitter : https://www.twitter.com/CBernardins
Instagram : @collegedesbernardins
+ Lire la suite

Waterloo, Camerone, la bataille des ponts de Saumur, Diên Bien Phu : quatre cas emblématiques de ces moments où une guerre est perdue pour l'un des belligérants, mais où une poignée d'hommes luttent jusqu'au bout, même s'ils savent que leur camp a succombé, et peut-être surtout s'ils le savent. Ces quatre exemples sont si connus que le lecteur ne les trouvera pas dans ce volume autrement que par une allusion : priorité a été donnée ici à des épisodes moins célèbres, ou à des perspectives plus larges qu'une seule bataille.
En vingt-cinq chapitres signés par vingt-trois historiens et journalistes, cet ouvrage collectif veut montrer comment, de l'Antiquité à nos jours, lors de guerres entre nations ou de conflits civils, il existe toujours un « dernier carré » de combattants.
Mais à quels mobiles obéit leur lutte? L’héroïsme, l'honneur, la foi, le devoir, la fidélité, le sacrifice, la promesse, l'instinct de survie, le fanatisme ? Il existe autant de réponses que de cas, sachant que ces facteurs peuvent se combiner.
L’idée même d’une découverte de l’Amérique est désormais jugée absurde et témoignerait d’une conception eurocentrique de l’univers : apparemment, il n’est plus permis aux sociétés occidentales de voir le monde à partir de leur propre point de vue, et les pionniers qui ont construits des sociétés neuves sont désormais ravalés au rang de pillards, voire de soudards.
La Grèce a toujours eu pour compagne la pauvreté, mais une autre la suit : la valeur, fruit de la sagesse et de lois fermes.
"Un homme courageux trouve dans la souffrance le chemin de son propre destin."
A sa fidèle Irma, elle avoue qu'il lui arrive de penser à la mort. Et d'en avoir peur. "N'est-ce pas ensuite la paix, le bonheur ?", lui suggère sa dame d'honneur, pétrie de foi chrétienne. "Qu'en savez-vous ? , lui rétorque sèchement sa maîtresse. Aucun voyageur n'en est encore revenu."
"[...] la clémence est la meilleure des protections contre les ennemis."
"La compassion humanitaire a ses limites."
À Sainte-Hélène, Napoléon dira : " Ma vraie gloire, ce n'est pas d'avoir gagné quarante batailles ; Waterloo effacera le souvenir de tant de victoires. Ce que rien n'effacera, ce qui vivra éternellement, c'est mon code civil. "
L'immortelle ne fane jamais, même après avoir été cueillie. En 1819 Napoléon sema dans son jardin à Sainte-Hélène des graines d'immortelle originaires de Corse. Aujourd'hui ces fleurs ont recouvert toute l'île, comme si un peu de l'âme de Napoléon s'était répandue au vent pour incarner le merveilleux.
... "Le vrai c'est que tout est merveilleux autour de nous." Napoléon.
C'est-à-dire un système politique qui se définit par un usage permanent de la violence physique ou psychologique, une économie dirigiste, l'absence de débat politique, l'instauration d'un parti unique, l'écrasement de tout corps social intermédiaire. un contrôle quasi absolu de la culture et de l'éducation. le musellement de l'opinion publique. un culte du chef divinisé, une radicalisation continue de son discours et de sa pratique du pouvoir, etc.