Citations de Jean-Luc Istin (573)
En suivant un groupe de tueurs, on a des chances d’avoir beaucoup de travail, en suivant les militaires aussi. Et puis, parfois, on suit des portes-guignes. Les poisseux entraînent beaucoup de morts sur leur chemin avant de trépasser eux-mêmes…
C’est difficile d’appartenir à une race dont on ne se sent pas solidaire.
(...) quand on tue à tout va, sans se poser de questions, ça finit par attirer l'attention des justiciers.
Il n’y a pas de chance ou malchance, il n’y que des événements qui s’entrecroisent, des bons et des mauvais.
Ces derniers temps, le braquage des banques Wagner était devenu le grand jeu à la mode. Leurs employés, mal payés et maltraités, n’allaient pas risquer leur vie pour défendre quelques liasses de billets.
Un peu moins de poison et on sauve une vie, un peu plus et on tue. Tout n’est qu’une question de dosage.
Vous allez perdre et disparaître. Tous les tyrans finissent par succomber, c'est ce que nous apprend l'histoire.
Comme toujours, l’humanité se divise en deux camps : ceux qui nourrissent de la haine envers les Anciennes Races, et ceux qui cherchent à coexister pacifiquement avec elles. Et même si les partisans de la paix ne sont pas majoritaires, ils ont le mérite d’agir.
Ce nouveau monde offrait à une grand nombre de nains une roche gorgée d’humidité susceptible de cacher cet or qui rendait fous ceux qui n’en avaient pas, devenant prêts à tout pour en obtenir, et fous ceux qui en avaient, prêts à tout pour le conserver, quitte à tuer frangins et frangines.
Un seigneur a si peu d’amis qu’il les compte sur les doigts d’une main à laquelle il manque le plus souvent quatre doigts… Tel est le fardeau des monarques. On ne peut se fier à personne… La convoitise est si prégnante quand on règne. On veut votre or, vos biens, votre soldatesque et vos fortifications… On convoite votre pouvoir inlassablement.
Là où sonnait l'heure la rébellion, nous intervenions !
La perfection ne peut exister sans la force et la faiblesse, sans la lumière et les ténèbres.
Les mots passent d’homme en homme et les légendes grandissent.
- Lanawyn : Il y a quelqu’un ?
Personne ne répondit mais je sentais une présence… Le genre de présence qui ne pouvait se soustraire aux sens du premier venu…D’abord, une odeur puissante. Celle d’un alcool de la région. Puis un son guttural… Un ronflement…
- Lanawyn : Orshaa…
- Orshaa : ??? Qui est là Par ma gueule de bois !!! Me dis pas que c’est toi, ça risquerait de me foutre en pétard pour la journée !
- Lanawyn : Moi aussi, je suis ravie de te revoir, mon amie.
Un gobelin qui sourit, ça fait peur.
Du déni à l'acceptation, il peut s'écouler parfois beaucoup de temps... Toute une vie ne suffit pas toujours... Mais quand vous débarquez de nulle part dans un endroit inconnu sans aucun souvenir de ce qu'il vient de se passer... Autant vous dire que les sept étapes, vous vous les prenez dans la face comme un missile lancé à pleine vitesse!
Oui, il suffit d'une mine à un nain pour être heureux, disait le dicton...
... mais que fallait-il à nain dont la mine pourtant si généreuse ne parvenait aucunement à le rendre heureux ?
La guerre c'est mon dada. Si je suis dans votre ligne de mire, un conseil, me louper pas parce que moi, je vous louperai pas.
Des conneries comme seuls les faibles peuvent en raconter !!
Quand on connaît la nature de l'homme, on apprend vite à se méfier de lui.