Citations de Jean-Luc Istin (567)
Vous allez perdre et disparaître. Tous les tyrans finissent par succomber, c'est ce que nous apprend l'histoire.
Comme toujours, l’humanité se divise en deux camps : ceux qui nourrissent de la haine envers les Anciennes Races, et ceux qui cherchent à coexister pacifiquement avec elles. Et même si les partisans de la paix ne sont pas majoritaires, ils ont le mérite d’agir.
Ce nouveau monde offrait à une grand nombre de nains une roche gorgée d’humidité susceptible de cacher cet or qui rendait fous ceux qui n’en avaient pas, devenant prêts à tout pour en obtenir, et fous ceux qui en avaient, prêts à tout pour le conserver, quitte à tuer frangins et frangines.
Un seigneur a si peu d’amis qu’il les compte sur les doigts d’une main à laquelle il manque le plus souvent quatre doigts… Tel est le fardeau des monarques. On ne peut se fier à personne… La convoitise est si prégnante quand on règne. On veut votre or, vos biens, votre soldatesque et vos fortifications… On convoite votre pouvoir inlassablement.
Là où sonnait l'heure la rébellion, nous intervenions !
La perfection ne peut exister sans la force et la faiblesse, sans la lumière et les ténèbres.
Les mots passent d’homme en homme et les légendes grandissent.
- Lanawyn : Il y a quelqu’un ?
Personne ne répondit mais je sentais une présence… Le genre de présence qui ne pouvait se soustraire aux sens du premier venu…D’abord, une odeur puissante. Celle d’un alcool de la région. Puis un son guttural… Un ronflement…
- Lanawyn : Orshaa…
- Orshaa : ??? Qui est là Par ma gueule de bois !!! Me dis pas que c’est toi, ça risquerait de me foutre en pétard pour la journée !
- Lanawyn : Moi aussi, je suis ravie de te revoir, mon amie.
Un gobelin qui sourit, ça fait peur.
Du déni à l'acceptation, il peut s'écouler parfois beaucoup de temps... Toute une vie ne suffit pas toujours... Mais quand vous débarquez de nulle part dans un endroit inconnu sans aucun souvenir de ce qu'il vient de se passer... Autant vous dire que les sept étapes, vous vous les prenez dans la face comme un missile lancé à pleine vitesse!
Oui, il suffit d'une mine à un nain pour être heureux, disait le dicton...
... mais que fallait-il à nain dont la mine pourtant si généreuse ne parvenait aucunement à le rendre heureux ?
La guerre c'est mon dada. Si je suis dans votre ligne de mire, un conseil, me louper pas parce que moi, je vous louperai pas.
Des conneries comme seuls les faibles peuvent en raconter !!
Quand on connaît la nature de l'homme, on apprend vite à se méfier de lui.
L'homme recèle en son âme nombre de frustrations. Il n'est pas immortel comme un Elfe, il n'est pas puissant comme un Orc, il n'a pas la ténacité et le savoir faire d'un Nain. Au fond, il se sent faible, et c'est là la raison qui explique son envie de tous les détruire. De sa faiblesse naît la frustration, de cette frustration naît l'envie de supplanter les anciennes races, de les tuer, de devenir le seul maître des Terres d'Arran.
- Si je touche à une seule de ses nattes, ma femme ne me le pardonera jamais.
- Et ce que femme veut...
- Ne te moque pas. Elle est la seule personne que je crains en ce monde.
- Sarah : Je parie que l’autre gros con se réjouit qu’on soit dans la merde.
- Evangelisti : Tu ne peux pas faire une phrase sans la moindre vulgarité ?
- Sarah : Sans doute… Mais ça me réclamerait un effort et je préfère rester concentrée sur notre affaire.
- Colboung : Y avait quoi dans ton rêve ?
- Wilson : J’étais en mode gros câlin avec Jones.
- Colboung : Tu crois que c’est ta femme ?
- Wilson : D’après la photo près du lit, c’est plutôt celle de Taylor.
- Colboung : Putain, si c’est un souvenir et que le Taylor est au courant, ça va devenir dangereux ! Des gars comme ça, j’en ai connu, c’est pas le genre à te laisser baiser sa femme sans réagir.
Comme convenu, mon bienfaiteur pouvait consacrer de plus en plus de temps à ses trois grandes passions : se goinfrer, s’aviner et chevaucher tout ce qui portait une paire de miches, me laissant ainsi le champ libre.