Citations de Jean-Pierre Petit (41)
Je le pense. Quand cette sorte de "plissement hyperspatial" se produirait, cela mettrait peut-être des systèmes assez lointains, même distants de certaines de milliers d'années lumière, dans des conditions où une excursion sur la Terre deviendrait possible sur une échelle de temps raisonnable.
Les ET ne nous contactent pas parce que nous sommes immatures et en faisons la preuve. Dès qu'il y a manifestation UFO, les armées se ruent sur la moindre parcelle d'info afin d'en faire des armes.
Megabit : S'il est passé par le changement de signe, comment va-t-on le retrouver ? Il aura peut-être changé de sexe...
Anselme : Ce serait un moindre mal, les escargots sont hermaphrodites.
Le nucléaire c'est à la fois un immense espoir et une terrible menace. (p.41)
- Nous estimons que les robots ne pensent pas…
- ...mais, les robots, qu'en pensent-ils ?
Tu sais, Sophie, souvent je me demande d'où viennent les choses, comment s'est fait l'Univers… (p.2)
- Mais l'Univers c'est quoi ?
_ c'est tout et rien à la fois. Il y a mille et une façons différentes de le voir, de le vivre.
c'est drôle ce qui se passe dans une tasse de café
mais si la somme des angles vaut 180°, alors l'espace est bêtement euclidien.
Quand nous percevons n'importe quoi, des sons, des images, c'est déjà en soi un phénomène extraordinaire. Ce qu'il nous faut comprendre c'est ce qui se passe immédiatement en aval d'une rétine, le traitement qui est opéré entre le moment où une image s'est formée au fond de l'œil et celui où cette information est acheminée vers le cerveau. C'est à cela que s'est attaqué votre ami.
- Pourquoi êtes-vous sur Terre ?
- Nous devons vous avertir d'un grave danger.
- Une autre guerre se prépare?
- Non, mais l'invasion de votre planète a été planifiée pour 2012.
- Vous allez nous envahir ?
- Pas nous, les Gris.
- Les Gris?
- Oui, ceux qui sont dans l'aire 51.
Si les trous bleus correspondent à des salles dont le plafond s'est effondré, il est hautement probable qu'il existe d'autres salles de dimensions équivalentes, formant un véritable réseau, qui seraient restées intactes et présentement emplies d'eau de mer. Ce réseau est un des plus grands mystères de la planète. Sa cartographie systématique pourrait être abordée par le biais de la sismographie, mais ceci reste à faire. Les explorations en scaphandre ont permis de détecter directement l'amorce de nombreux conduits, mais l'autonomie des appareils ne permet pas d'aller bien loin et ce type d'exploration reste très dangereux.
On a vu plus haut que l'université de Miami répugnait un peu à opérer des recherches
dans cette région. Précisons au passage que les Bahamas ne sont pas territoire américain
et que les universités américaines ne s'y sentent pas totalement à leur aise. Mais il y a
maintenant le phénomène Berlitz (plus tous ceux qui lui ont succédé). Ils ont fait un tel
battage de mauvais aloi autour du problème que les chercheurs hésitent à s'y aventurer,
coincés entre leur intérêt scientique et la peur d'un sensationnalisme scandaleux (malheur
à celui par qui le scandale arrive).
Cette expérience reste un souvenir assez étonnant. Elle marcha, ce qui est quand même assez rare, au premier essai. Nous chargeâmes le tube et nous procédâmes à la mise à feu. Sceptique, l'un des chercheurs préposés aux mesures avait réglé la sensibilité des détecteurs de courant au minimum, mais lors de l'essai la production de courant fut telle que ceux-ci furent totalement saturés. Il fallut recommencer avec de nouveaux réglages et on mesura cette fois des milliers d'ampères. Nous avions réussi à fonctionner avec un gaz à 6 000" degrés et des électrons à 10 000".
A midi tout était terminé. Personne dans le monde n'avait mais réussi un pareil coup, c'est-à-dire éliminer complètement l'instabilité de Velikhov. Notre générateur MHD était le premier à fonctionner avec deux températures. On tenait quelque chose, visiblement.
Nous ignorons actuellement l'ampleur des connaissances que les militaires américains ont tirées de l'ensemble des études qu'ils ont menées sur le sujet, soit à partir d'observations, soit, comme cela a été parfois écrit, à partir de matériels qui auraient pu être récupérés. Quoi qu'il en soit, il est clair que le Pentagone a eu, et a probablement toujours, le plus grand intérêt à cacher, du mieux possible, toutes ces recherches, qui peuvent, à terme, amener les États-Unis à tenir une position de large suprématie vis-à-vis d'adversaires terrestres, tout en les dotant d'une capacité de riposte non négligeable contre une éventuelle menace venant de l'espace.
Aux Etats-Unis, des chercheurs essayent de réaliser des voyages interstellaires en trouvant une parade à la limitation résultant du fait qu'en principe, selon les lois de la relativité restreinte, il est impossible de se déplacer en dépassant la vitesse de la lumière. Certains ont eu une idée : pourquoi ne pas modifier localement cette vitesse, en l'accroissant, de manière à naviguer dans une « bulle d'espace-temps» à plus de 300 000 km/s.
L'exposé suivant est celui d'un Allemand que je ne connais que trop bien. J'ai participé à une émission de télévision avec ce «monsieur Ovni» d'outre-Rhin, en compagnie d'un autre «monsieur Ovni», belge celui-là. Je m'étais tellement ennuyé sur ce plateau, où les arguments scientifiques se traînaient au ras des pâquerettes, que j'avais failli m'endormir.
Au cours de ce colloque, en plein hiver, dans une petite université anglaise, Jean-Pierre Petit a donc recueilli des confidences de spécialistes. Suite à des accords passés avec eux, leurs véritables noms ne seront pas mentionnés. Ceux qui doutent pourront se reporter aux annexes techniques en fin d'ouvrage. L'auteur attend de pied ferme les scientifiques, ingénieurs, spécialistes de mécanique des fluides, de physique des plasmas et autres avionneurs qui accepteraient de débattre. li est inutile, en revanche, d'espérer assister à un face-à-face entre l'auteur et un spécialiste de MHD : il n'en existe plus en France depuis vingt-cinq ans! Le seul à avoir continué de s'intéresser à cette discipline, où il a joué un rôle de pionnier que les Américains connaissaient d'ailleurs parfaitement, c'est ... Jean-Pierre Petit.
Un générateur MHD convertit l'énergie cinétique d'un fluide, liquide ou gaz, en électricité.
Au programme du colloque figure un exposé de Hal Clancy, physicien théoricien, directeur de l'Institut des sciences avancées d'Austin, aux États-Unis, consacré au "wrap driving", ce qui signifie littéralement "se déplacer en tordant l'espace".
À mach 2 l'échauffement est de 200 degrès. À mach 3 l'accroissement de température dépasse le double de cette valeur. À mac h4 on atteint les 1000 degrès.