Citations de Jennifer Lynn Barnes (439)
"Si tu laisses aux gens la possibilité de te décevoir, lui avait dit son grand-père une fois, sois certain qu'il le feront. Ne la leur offre pas."
_"[...] Je m'appelle Zella.
_Seulement Zella ?
_J'ai toujours considéré que les titres en disent moins long sur une personne que le jeu lui-même, répondit Zella avec un petit haussement d'épaules élégant. Vous pouvez me donner le mien si vous le souhaitez. Personnellement, je ne m'en sers pas - sauf quand j'ai une bonne raison pour cela.
L'instinct de Jameson lui souffla aussitôt la réflexion suivante : Cette femme ne fait jamais rien sans raison."
- Ta mère est une personne spéciale, me fallut-il reconnaître.
- Une femme très compliquée, ajouta-t-il, hochant la tête d'un air sagace. Mais elle m'a appris à tirer les cartes et à humidifier mes cuticules, alors je suis mal placé pour me plaindre.
Quand on a été abandonnée, il ne faut jamais se laisser aller à regretter la personne partie.
"_Faire travailler un enfant ? dit Avery en s'arrêtant juste devant Rohan. C'est à coup sûr illégal.
_Certains enfants savent mieux garder un secret que les adultes. (Il n'y avait pas la moindre trace d'excuse dans le ton de Rohan!,) Le Mercy ne peut pas sauver tous ceux qu'il trouve dans une situation dramatique, mais ceux qu'il sauve le regrettent rarement."
"Grayson savait que chaque problème avait ses solutions, au pluriel. Considérer qu'il n'y en avait qu'une était un piège qui pouvait voue empêcher de trouver la meilleure combinaison."
Tu aimes jouer. Tu aimes gagner. Et quoi que tu gagnes, il t’en faut toujours plus.
Ce que j’attends de toi n’a pas grand-chose à voir avec le fait que tu sois un Hawthorne. Ce qui compte c’est que tu es mon fils.
Un jour, quelqu’un… Pourquoi pas toi ?
Je n'avais pas ma place dans ce monde, dans ce genre de soirées, assise à côté de Grayson Hawthorne. Et je ne l'aurais jamais.
- Je suis un Hawthorne, répondit Xander avec dignité. Il n'est jamais trop tôt pour les coups bas.
"_Dix-sept syllabes ? s'indigna Jameson. Tu te fiches de moi. C'est tout ?
_Il faut que ce soit parfait, explique Grayson en levant les yeux vers son frère. C'est ce que le vieux m'a dit. Il n'y a aucune marge d'erreur. Quand on n'a que trois vers, on doit peser soigneusement chaque mot. (Il se racla la gorge.) Il faut que ce soit beau. Que ça veuille dire quelque chose. Et que ça fasse mal.
Jameson se renfrogna.
_Que ça fasse mal ?
Grayson glissa une main dans sa poche et la referma sur le médaillon qu'elle contenait.
_Quand les mots sont sincères, quand ils sont bien choisis, quand ils touchent au plus profond, ça fait mal."
"Il y avait une différence entre expliquer aux gens ce que vous vouliez et leur faire clairement comprendre qu'il était dans leur intérêt de vous l'accorder. Les menaces explicites étaient bonnes pour ceux qui avaient besoin d'affirmer leur pouvoir. N'affirme jamais ce que tu peux considérer comme allant de soi, Grayson."
— Un assassin ! répondit Max en frétillant. (Elle lisait trop de romans policiers et regardait trop de séries télévisées.) Désolée, s’excusa-t-elle en levant la main avant de faire un effort pour paraître moins excitée par la tournure des événements. Les assassins, c’est mal.
La vie entière n'est qu'un jeu, Avery Grambs. La seule chose qu'on doit décider, c'est si on joue pour gagner.
Au sommet de l' horloge
En plein milieu
Quand vient la fin du jour
Et s'en va le matin
Une bascule, un demi tour
Qu'avez vous sous les yeux ?
Et venez jusqu'à moi.
Le petit surnom "l'héritière"
Mais pourquoi un Hawthorne de contentait-il de faire mieux, murmura une voix dans la tête de Grayson, quand il peut devenir le meilleur ?
C’est toi qui es au piano, maintenant, ma petite.
Ne sois jamais désolé, Grayson. Sois meilleur.
- Ma mère dit souvent que les Hawthorne ne sont jamais vraiment des enfants.