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Citations de Jennifer Lynn Barnes (427)


Mais prenez garde : la banque gagne toujours. 
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Venez vous divertir, là où les anges n’osent venir. 
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Une fois que tu verras ces myriades de possibilités qui s’offrent à toi, sans te laisser arrêter par la peur d’avoir mal ou d’échouer, ni par la préoccupation de ce que tu peux ou ne pas faire, de ce que tu dois ou ne dois pas faire… que feras-tu de ce que tu verras ? 
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Quand les mots sont sincères, quand ils sont bien choisis, quand ils te touchent au plus profond, ça fait mal.
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- Si le cœur t’en dit, Fille Mystère, je veux bien que tu m’appelles Garçon Mystère.
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"Il se souvint d'avoir écrit un haïku après l'autre quand il avait huit ans, biffant les mots dans son calepin, déchirant calmement page après page. Parce que, quand on n'avait que trois lignes, il fallait qu'elles soient parfaites.
Il avait tellement voulu qu'elles soient parfaites. Il avait trimé sur la précision, le contenu, les métaphores et la formulation. Une goutte d'eau. La pluie. Le vent. Un pétale. Une feuille. Amour. Colère. Chagrin. Mais en relisant ce qu'il avait écrit, la seule impression qui lui venait était que ce n'était pas parfait.
Il n'avait pas été parfait ; et il en payait le prix."
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Je ne peux pas l'affirmer, continuai-je, parce que je ne crois pas au destin ou à la fatalité. Je crois aux choix qu'on fait. (Je m'accroupis en face de lui et tâtonnai à l'intérieur du compartiment.) Tu m'as choisie, Jameson, et j'ai choisi de m'ouvrir à toi, à toutes les possibilités qui s'offrent à nous, comme je ne l'avais encore jamais fait avec personne.
-Avery Kylie Grambs, p. 362
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En quittant la pièce, je repensai à ma mère toute que nous avions en commun. C'était d'elle que ten sa
leninis pas parlé fort, mais ma
force. Mon sourire. Ma couleur de cheveux. Cette tendance à me protéger, et cette capacité, une fois que j’avais baissé ma garde, à aimer farouchement, profondémen, corps et âme.
Sans avoir peur de rien.
-Avery Kylie Grambs p. 144
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"Les regrets ne paient pas, les garçons, n'oubliez jamais ça. Quand vous commencez à remettre vos choix en question, vous avez déjà échoué."
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"L'étau qui semblait comprimer la poitrine de Grayson se desserra un peu. Pas beaucoup, pas assez, mais tout de même suffisamment pour lui permettre de respirer, et de réfléchir. Non pas au fait que Sheffield Grayson avait fini par l'appeler "son fils". Non pas au rôle que ce baiser avait joué dans le déclenchement des événements qui avaient suivi : l'attentat à la bombe, l'enlèvement d'Avery, la mort de Sheffield Grayson.
Non, comme toujours, Grayson réfléchit à ce qu'il devait faire maintenant. Certaines personnes pouvaient commettre des erreurs. Pas lui."
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"Parfois, quand on coinçait son adversaire, la meilleure solution de vous assurer qu'il prenne la porte de sortie que vous lui offriez consistait à lui témoigner un tout petit peu d'humanité ; juste assez pour qu'il se dise que vous n'êtes pas obligés d'être des ennemis, mais pas trop, pour ne pas lui faire oublier qui avait la dessus."
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"_C'était juste un baiser, se défendit Grayson d'un air buté.
_Deux baisers, je crois, rectifia le vieil homme. Vous avancez sur un terrain dangereux, les garçons. Certains baisers ne sont que des baisers, qu'une frivolité sans importance.
Jameson repensa à l'instant où il avait posé ses lèvres sur celles d'Emily.
_Vous n'avez pas de temps à perdre avec ces bêtises, ricana le vieil homme. Un baiser, ce n'est rien. Mais l'amour . (Il baissa la voix.) Quand vous serez assez vieux, quand vous serez prêts, vous découvrirez une chose : il n'y a rien de frivole dans la manière dont un Hawthorne tombe amoureux."
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Il y avait quelque chose de douloureusement familier dans ses traits ; pas le nez ni la mâchoire, plutôt la couleur des yeux, le rictus au coin des lèvres. L'amusement.
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"_Qu'est-ce qui est noir et blanc et noir et blanc et noir et blanc, dit-elle d'une voix pâteuse.Et noir et blanc et noir et blanc et...
_Un pingouin qui roule au bas d'une colline, chuchota Xander."
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"_J'aurai besoin d'une mallette.
Grayson ne formula pas cela comme un ordre ni comme une demande, mais il y avait une différence entre dire "J'ai besoin" et "J'aurai besoin". Dans le deuxième cas, cela signifiait qu'on s'attendait à ce que ce besoin soit satisfait avant de devenir urgent.
_Une mallette, monsieur ?
Graysin toisa l'employé.
_Cela pose-t-il un problème ?
Dix minutes plus tard, il sortait de la banque avec une mallette à la main."
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"Nous avons notre manière de régler les problèmes, Jameson Hawthorne."
Ce n'était pas sans raison qu'il avait gardé pour lui ce qu'il avait appris à Prague. Qu'il n'avait rien dit à ses frères. Ni même à Avery. Certains secrets étaient dangereux. Mais c'était sa chance, une occasion unique. Il n'en n'aurait pas d'autres."
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"Jouer son va-tout une fois pouvait être un signe de désespoir. Plusieurs fois d'affilée, cela devenait une stratégie."
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"Prague. Jameson Winchester Hawthorne repensa à cette soirée : à ce qu'il y avait entendu, à ce qu'il savait, à ce qu'il n'était pan censé savoir. Puis il fit un choix. Pas le plus évident, pas même le plus malin. Un choix qui n'était pas sans danger. Mais quoi de plus tentant que la connaissance ? Quoi de plus inattendu qu'un pari qu'on n'a, semble-t-il, aucune raison de placer ?"
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Avery avait son jeu, désormais.
Ève aurait le sien.
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"_Vous êtes au courant pour le Grand Jeu, dit Avery, et il n'y avait aucune note interrogative dans sa voix. Vous voulez intégrer la parie - si ce n'est pas déjà fait. Pourquoi voulez-vous nous aider ?
M'aider moi, rectifia Jameson.
_Parce que je le peux, répondit Zella, regardant tour à tour Avery et Jameson. Et parce que l'avantage, quand on choisit ses adversaires, c'est qu'on les connaît."
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