Jim C. Hines

Une saga à lire.



En effet, ici nous faisons la connaissance de Isaac Vainio, bibliomancien.

Vous allez me dire, mais qu'est ce que c'est?? Et bien, il plonge dans les livres

pour en tirer des objets, des armes, n'importe quoi. Et franchement, c'est cool, je ne m'attendais pas à ça.



Ici, on va le suivre ainsi que Léna, dryade, et Titache son araignée domestique. Il est attaqué par des vampires et de fil en aiguilles il va se retrouver plonger au coeur d'une affaire qui va le dépasser.

En effet, de créatures s'attaquent aux gardiens, aux bibliomanciens et aussi au créateur de cet univers,Johannes Gutenberg. Il devra chercher accompagné de ces deux acolytes sans l'aide de

quiquonque.

J'ai aimé le faite que l'auteur approfondisse le personnage de Léna, et nous dévoile ses sentiments.

Pour un personnage secondaire, il est très travaillé, peut-être plus que celui d'Isaac.



L'auteur à su façonner son univers d'une telle manière, que je me suis prise à rêver d'être moi-même Bibliomancienne et à pouvoir puiser dans mes livres. Il nous distille de l'humour et de l'action,sous fond d'histoire d'amour.

Et j'ai hâte de savoir comment va se dérouler leur histoire très compliquée.

Magnifique univers qui explore de façon symbolique la fusion entre les lecteurs et leurs livres préférés. Ils se nourrissent de leurs lectures et gagnent un pouvoir imaginaire à la hauteur de leur engagement littéraire, sauf qu'ici cette puissance se matérialise grâce à l'investissement affectif de millions d'individus au cours du temps.Le héros a ce côté désenchanté du polar noir tout en s'émerveillant comme un enfant.J'ai adoré cette ambiguïté qui mélange ces deux attitudes en principe inconciliables.5/5

Je n’ai entendu que du bien de ce livre jusqu’à présent donc peut être que je mettais la barre trop haute au point de passer à un cheveu de l’abandon et pourtant il a du potentiel et c’était sympa.

L’idée de départ où l’on peut sortir des objets des livres, avec une caste de bibliomanciens qui semblent partir en cacahuète est super. L’histoire est rythmée, on a de l’action et des retournements de situations bien dosé. Et pourtant les 40% de départ m’ont laissé perplexe. Quelque chose dans l’écriture et/ou la traduction me bloquait. C’est un sentiment étrange de lire de l’action tout en ayant l’impression que c’est lent. Je passais à côté de l’histoire dont l’idée continuait à être prometteuse. Au moment où j’ai décidé de finir le chapitre avant d’abandonner ça a changer c’est devenu fluide immersif et intéressant. Je pense même tenter le tome 2 à l’occasion.

J'ai apprécie Magie Ex libris mais j'en attendais beaucoup plus au vu de l'univers décris et de mon enthousiasme de départ.

Attention, il y a ce qu'il faut d'action, d'humour, et de sensualité pour appâter l'amateur de science-fiction. C'est une lecture agréable et légère mais ça aurait pu être tellement plus... ambitieux.



Le côté brouillon, le trop grand nombre de références et l'histoire d'amour étrange avec la dryade ont rendu cette lecture moins magique que ce à quoi je me préparais.

Mais l'idée de base, rendre réel les mots d'un livre, donner du volume à un objet fictionnel, reste assez grandiose et l'auteur a su m'intriguer suffisamment pour que j'ai envie de lire le deuxième tome un jour.

Le rythme y est plus entraînant que dans le premier tome et Lecteurs Nés fournit ainsi une lecture qui sans être inoubliable par sa forme s’avère au moins distrayante et enlevée.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..

Quel plaisir de retrouver cette série dont j'avais adoré le premier tome ! On découvre ici la suite des aventures d'Isaac, bibliomancien, qui a le pouvoir de plonger la main dans les livres pour en sortir tous les objets dont il a besoin. Isaac fait partie d'une organisation, Les Gardiens, créée par Gutenberg il y a cinq cent ans, et dont le rôle est d'étudier et de contrôler les menaces magiques (une sorte de Men in Black pour vampires et loups garous !).

Dans ce second tome, Isaac est en difficulté : en enquêtant sur la mort d'un wendigo, il se trouve confronté à une armée d'insectes mécaniques très agressifs, qui s'en prennent à lui, mais aussi à Lena, sa partenaire, une dryade sortie d'un roman. On en découvre ainsi un peu plus sur la « bibliomancie » (la magie par les livres), notamment grâce à une adolescente impertinente capable de sortir des objets d'une liseuse, mais aussi à un groupe de bibliomanciens chinois très anciens. Cette théorie du pouvoir des livres est vraiment fascinante, et on plonge avec plaisir dans cet univers fantastique, certes, mais totalement cohérent et dont Isaac nous dévoile les mécanismes complexes au fur et à mesure de ses découvertes. L'auteur parvient également avec brio à mêler les différents courants de l'imaginaire, en faisant cohabiter la magie avec les créatures fantastiques mais aussi avec les automates.

Au final, un livre passionnant, à la fois très bien écrit et très drôle (le texte est bourré de clins d'oeil aux classiques de l'imaginaire), mais aussi prenant et fascinant, grâce à la qualité de l'histoire et à un univers intrigant et complexe. Un vrai régal pour tous les amateurs de littérature de l'imaginaire !

"Le bibliomancien", c'est un mélange de fantasy (magie), de fantastique (vampires) et de science-fiction/steampunk (automates). le tout bien écrit, très drôle, et bourré de clins d'oeil aux classiques du genre. Un vrai régal pour tous les amateurs de littératures de l'imaginaire !

Il s’en est fallu de peu que ce soit un coup de cœur, celui-là. Le contexte s’y prêtait bien. Je sortais d’écrits de concours et de révisions drastiques, et je n’ai presque rien lu en avril — pas de lecture suivie depuis Marcovaldo, en tout cas. J’avais besoin de quelque chose d’amusant et de léger. Et puis, alors que je ramenais des bouquins (en retard) à la bibliothèque de quartier, je suis tombée là-dessus sur la table de nouveautés. J’ai feuilleté, compris que ce serait sûrement quitte ou double, et je l’ai emprunté. Pour voir.



Le héros est un bibliomancien ayant pour nom Isaac Vainio et est membre des Gardiens, une société secrète régie par Gutemberg, où chacun détient le pouvoir de puiser dans les livres pour en tirer les objets décrits dans la fiction. Chaque bibliomancien a sa spécialité, dérivée de ses lectures fétiches : certains ne jurent que par la mythologie et la chanson de geste, d’autres ne piochent leurs armes que dans des chroniques historiques. La préférence de Vainio va à la science-fiction et la fantasy, et il utilise tant Narnia que Star Wars et des manuels de jeu de rôle pour se soigner et se défendre. Cependant, pour une instabilité certaine, il est mis au placard et est chargé de cataloguer les livres pouvant intéresser les bibliomanciens, leur signalant les ouvrages devant être verrouillés, pour éviter des dangers trop grands. Cette situation initiale est bien sûr bousculée dès les premières pages par un élément perturbateur de taille : trois vampires déboulent dans sa petite bibliothèque pour lui régler son compte, déclarant que les Gardiens leur auraient déclaré la guerre. Accompagné de Titache, son araignée-flamme et de Léna, dryade, toutes deux sorties d’un livre, Isaac Vainio se replonge dans la bibliomancie et tente de démêler une situation qui se révèle, bien sûr, bien plus compliquée que prévu.



Que celui qui n’a jamais attendu sa lettre d’admission à Poudlard me jette la première pierre : l’idée est plus que séduisante. Et lorsqu’on commence à avancer dans l’intrigue, on se rend compte en plus qu’elle est plutôt bien exploitée. Tout monde magique, pour ne pas basculer dans le fantasme le plus débridé, repose sur des règles, et on se rend compte que l’art des bibliomanciens en est truffé. Des livres verrouillés par prudence (comme par exemple Le Seigneur des anneaux, pour éviter une irruption de l’anneau unique dans notre monde) au fait d’éviter de trop recourir à un même source sous peine d’épuiser l’ouvrage, en passant par les contraintes matérielles de production et de diffusion d’un livre pour qu’il soit possible d’y puiser quelque chose par magie, les différentes lois de la bibliomancie servent à l’occasion à métaphoriser certaines questions d’écriture. Par exemple, les vampires qui attaquent notre héros au début de l’histoire sont des meyerii, créatures tirées d’une célèbre saga vampirique pour adolescents, et scintillent au soleil. Si l’idée semble prête à rire, les déconvenues du héros devant ce type de vampires rappellent avant tout l’absence de faiblesse de personnages pensés comme trop parfaits.



Mais la réflexion est davantage poussée avec le personnage de Léna, dryade et être magique. (Si l’on ne peut dans l’univers de Magie ex libris, extraire quoi que ce soit qui dépasse en taille le cadre le page, des êtres magiques ont pourtant pris place dans notre monde. Il suffit pour cela qu’un lecteur un peu exalté plonge la main dans un livre et se fasse mordre par un vampire ou qu’un imprudent saisisse un gland enchanté et relâche par inadvertance une dryade dans la forêt… Léna, donc, est un cas à part, car elle provient d’un ouvrage intitulé Les Nymphes de Neptune, où les dryades sont de puissantes guerrières se battant entre elles, pensées pourtant comme devant se plier aux moindres désirs des hommes. En somme, Léna vient d’un ouvrage érotique de qualité littéraire douteuse. Or le roman insiste sur l’absurdité et même la cruauté de sa destinée. Compagne d’une bibliomancienne, la dryade se met à fréquenter le héros lorsque ladite bibliomancienne est faite prisonnière par les vampires : étant condamnée à la satisfaire, il devient en effet dangereux de rester avec elle au cas où celle-ci serait transformée en vampire. Cependant, entamer une relation avec Léna n’est pas sans poser plusieurs dilemmes moraux : est-il correct de répondre à ses séductions, sachant qu’elle est programmée pour se comporter ainsi ? Comment penser une relation avec elle ? Quelle est sa part de libre-arbitre dans l’histoire ? Quand on y pense, un tel personnage crée un réel gouffre de questionnements dès lors qu’il se met à réellement exister. Or, si Magie ex libris offre quelques remarques intéressantes sur le sujet et souligne en passant les problèmes inhérents à ce genre d’écriture du fantasme, le traitement du sujet n’est pas exempt de quelques maladresses. Sans vous la dévoiler, la résolution du dilemme ne m’a ainsi pas tout à fait satisfaite, même si je dois avouer qu’il n’y avait sans doute aucune façon élégante de sortir de cette situation…



D’une certaine façon, cette situation est même assez représentative du livre dans son ensemble. C’est drôle (j’avoue tout : j’ai ri aux blagues de bibliothécaire), très divertissant, c’était tout à fait ce dont j’avais besoin, mais le concept est tellement plein de potentiel qu’on aurait sans doute aimé le voir poussé plus avant. Histoire de faire une petite analogie pop-culture, c’est un peu comme regarder la première ou deuxième saison de Buffy the vampire slayer : c’est créatif, ludique, il y a de bonnes idées et du potentiel, mais la série se cantonne encore un peu à décliner ses thèmes sans leur donner toute la résonance qu’ils auront ensuite. Soyons pleins d’espoir : l’auteur nous cite à plusieurs reprises Firefly, du même Joss Whedon. Et comme lui, il a le choix après ce premier tome un peu fou : décliner univers et personnage sans trop s’aventurer, en maintenant quelques allusions où ça marche bien, ou exploiter possibilités et même failles et manques d’un univers fictionnel délirant. Je jetterai sans doute un œil au tome suivant, afin de voir où cela nous mène. A voir s’il y a assez de matière pour justifier d’une nouvelle chronique !
Lien : https://gnossiennes.wordpres..

L’ensemble est donc plus distrayant que vraiment drôle, même si l’on n’ira pas jusqu’à dire que l’on s’ennuie. Bref, un roman vite lu et vite oublié.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..

Quand le petit chaperon rouge décide d'éliminer Talia, alias la belle au bois dormant, seule guerrière à lui avoir résisté jusque là, en utilisant Cendrillon, princesse de Blanche-Rives, comme appat!!! Mais c'était compter sans l'enchanteresse Blanche-Neige... Et qui est derrière tout ça? serait-ce la belle-mère... de Talia ?



Je cherchais quelque chose de plus gai que ma dernière lecture, plus rapide tout en étant passionnant, je me suis donc décidée pour le tome 3 de cette série que je conseille fortement!



Davantage pour ados et adultes que pour enfant, même si elle peut être lue à partir de 11 ans, c'est vraiment une belle découverte!
Lien : http://abrrracadabra.canalbl..

Un univers très riche et très prenant qui mériterait d'être décliné sur des supports aussi fous que du jeu de rôles, du jeu vidéo, voire même en série ! ;)



Concrètement, c'est une très bonne histoire, pleine de références historiques et littéraires que je recommande à tous les lecteurs avides de nouvelles pistes de lecture, car la narration donne régulièrement des envies d'exploration littéraire.

J'ai ainsi découvert que ce roman avait une suite que j'ai hâte de lire prochainement.

Vous passerez un bon moment et vous lirez d’une traite ce « prologue », qui introduit à peine - et d’une manière un peu artificielle et inutile - la véritable intrigue de la série
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..

J'aime bien les livres qui détournent les contes de fées. Avec "Princesses mais pas trop" je n'ai pas été déçue.

Reprendre les princesses les plus célèbres étaient assez osé mais le résultat est plutôt réussi.



On a ici trois princesses qui sont en fait les espionnes de la reine. Elles ont chacune un caractère bien trempé et des personnalités qui se complètent bien. Elles forment un trio qui fonctionne bien. L'une est une guerrière aguerrie, l'autre une sorcière puissante et la dernière une princesse débutante.



Même si je n'adhère pas à tous les changements réalisés, j'ai beaucoup aimé ces princesses.

Ce ne sont pas des princesses en détresse, loin de ça, et c'est un vrai plaisir.



Ce livre mêle action, magie, amour, amitié... le mélange est très bien fait et rend ce livre très agréable à lire.

L'auteur ose écrire des choses assez douloureuses. Quand on découvre le passé des princesses, on se rend compte qu'elles n'ont pas été épargnée.

Cela les rend très attachantes.



Ce livre permet de passer un bon moment en compagnie d'héroïnes fortes et courageuses.

c est super bon

je vous le conseil

roman d aventure

les personnages sont extremement personnaliser et ont beaucoup de super bizarre et des aventures palpitantes et amusante j adore se livre parce qu il vient m attacher au livre c est comme si je pouvais pas m arêtter

Au départ le principe de la bibliomancie m'a captivé. Et au fur et à mesure, le charme s'est émoussé... Avoir des idées c'est une chose, pouvoir les ordonner et en faire un récit qui tient la route en est une autre.

A plusieurs reprises j'ai du rebrousser chemin et retourner quelques pages auparavant car je ne comprenais pas l'enchaînement d'un chapitre à l'autre.

Je lirais tout de même la suite par curiosité, en espérant que la suite soit moins brouillon.

J’ai adoré cette lecture auquel je n’ai aucun reproche à faire même si, je dois l’avouer, j’ai pressenti le twist final et imaginé la conclusion telle que Jig ne pouvait que la concevoir. Car pour Jig comme pour quiconque, on ne choisit pas sa famille, on peut même la détester, mais c’est la seule que la vie nous donne.
Lien : http://latannieredelork.free..

J’ai vraiment passé un bon moment avec ce roman ! Imaginez un monde où des personnes, les bibliomanciens, ont le pouvoir de puiser des objets dans les livres. Vous en ressortiriez quoi ? C’est le postulat de départ du roman. J’ai vraiment aimé l’intrigue mis en place par l’auteur. Nous allons découvrir les bibliomanciens et leur organisation, les règles qui entourent la pratique et les abus, les personnages importants et ceux qui ont quittés l’organisation, pourquoi ? Des questions morales vont se poser et le suspens va nous accompagner tout au long de la lecture. L’intrigue va amener le héros à mener l’enquête sur des agissements étranges. Sans soutien, il va réussir tant bien que mal à avancer. Nous retrouvons alors une bonne dose d’action. L’histoire est bien menée et maîtrisée, j’ai beaucoup aimé le dénouement final qui m’a beaucoup touchée. L’auteur écrit une ode à la lecture et à la puissance de l’imagination du lecteur.
Lien : https://amelireenrouge.wordp..

Un roman plein d’humour, et plus encore pour qui s’est jamais attaché aux jeux de rôle.
Lien : http://www.vagabondsdureve.f..

Je suis au tome 2 de cette série dont on ne sait, finalement, si elle vise les jeunes ados, les plus vieux ou les adultes.



Le "détournement" de conte de fée s'associe à des jeunes femmes modernes, combatives et drôles, des allusions un peu "lestes" qui font sourire, et des romans à la taille plus qu'honorable (le tome 2 fait 450 pages en version papier).



En tous cas, c'est toujours un plaisir de retrouver les trois princesses, un an après leur dernière aventure, face aux attaques des ondins menés par Lirea, princesse sirène trahie par son amant humain...



Laissez-vous tenter, c'est vraiment une série très sympa!
Lien : http://abrrracadabra.canalbl..

Après une mission qui a très mal tournée, Isaac, bibliomancien membre d'une organisation secrète se retrouve simple catalogueur. De sa vie passée ne lui reste que Titache, une araignée pour le moins particulière qui (me) ferait presque apprécier cette espèce d'arachnide. Mais sa petite vie bien tranquille est sur le point de basculer quand, par une banale journée de travail, il est attaqué par trois vampires. Décidés à le tuer, Isaac s'en sort grâce à Titache et à Lena, connaissance de son ancienne vie venue lui prêter main forte. Le voilà de nouveau, et malgré lui, enquêteur de terrain avec pour mission empêcher une guerre entre vampires et Gardiens.



Une idée de départ (la bibliomancie) intéressante, des personnages sympathiques, de nombreuses références qui font sourire (mais peut être moins ceux à qui elles ne parleront pas), des livres et de la magie...tout était là pour me plaire. Une lecture en effet assez plaisante pleine de rebondissements, mais j'avoue ne pas avoir été totalement conquise. Après il ne s'agit que d'un premier tome de présentation qui met tous les éléments en place. Dans tous les cas cela a suscité mon intérêt et je ne manquerai pas de lire la suite.