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Citations de Johan Heliot (457)


Les hommes-oiseaux appartenaient au corps d’élite de la Légion. Maîtres des vents, dompteurs des courants aériens, rapides et furtifs, efficaces et silencieux assassins, ils étaient les héros de nombreuses légendes.
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« J’ai eu tout juste le temps de bidouiller les scores officiels avant leur annonce. Tu as truqué le résultat de la sélection. Idriss avait passé l’épreuve haut la main. Elle avait obtenu 99 % » Page 226

astid
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« J’ai eu tout juste le temps de bidouiller les scores officiels avant leur annonce. Tu as truqué le résultat de la sélection. Idriss avait passé l’épreuve haut la main. Elle avait obtenu 99 % » Page 226
citation choisie par astrid
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J’ai eu tout juste le temps de bidouiller les scores officiels avant leur annonce. Tu as truqué le résultat de la sélection. Idriss avait passé l’épreuve haut la main. Elle avait obtenu 99 % »
astrid
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Un pas de géant pour lui, un petit pas pour l'humanité privée du plaisir de repousser les bornes de sa fantaisie
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" Vous formez vraiment un couple à part. Une Naturelle et un Augmenté... De vrais amants du Génome, ma parole."
page 179

Sébastien DB
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- Ne te fais aucun souci, minauda Ekin, je saurais convaincre le général de me donner ce que tu m'as refusé tantôt !"
Piqué au vif, je m'en allai au pas de charge, pour ne pas céder à la pulsion qui m'avait pris d'étrangler ma belle, puis de la couvrir de baisers...
Je crois que c'est ce qu'on appelle l'amour.
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Tu me manques aussi. Chaque jour, chaque heure, chaque minute...
Louise D.
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Oh, mais tu n'est pas venu seul,cette fois . Qui est cette charmante jeune fille, dit moi ?
Elle s'appelle Lise. C'est notre fille, Eva.
P.59

Eva.D
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Baba-Yaga se trouvait exactement là où elle le souhaitait. Les ténèbres l'enveloppaient, mais la sorcière ne les avaient jamais redoutées, car elles étaient venues au monde ensemble, une éternité plus tôt.
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- Rien n'est immortel, il suffit juste de découvrir le bon moyen de souffler la flamme qui brûle dans l'âme de ton ennemi pour l'éteindre à jamais.
- Vous pensez avoir une réponse pour chaque question posée sur cette Terre. Peut-être avez-vous la même prétention de connaître chacune des questions ?
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Les tours de Notadam offraient une vue unique sur le territoire des tribus. Les premières lueurs de l'aube embrasaient la forêt à l'horizon. Des volutes de brume s'élevaient ver le ciel, telle la lente fumée des incendies provoqués par la réapparition du soleil. Mais Soria demeurait insensible à la beauté de ce spectacle.
page 85
Lauryne.G
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Nous rêvions encore, loin de songer à quel point il était déjà trop tard
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tant que je vivrais sous le même toit que mes parents, ils seront un obstacle entre nous. Je refuse de les laisser régenter le reste de mon existence.

Citation choisie par TicusLeFaune
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Je ne me sentais pas le droit de compromettre le bonheur de mes parents, aussi me suis-je efforcé d'accorder mon humeur à l'ambiance générale.

Citation choisie par TicusLeFaune
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Puis j'ai repris la direction des bois, tournant le dos à l'Enclave - définitivement, cette fois.
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Celui-ci suspendit son geste. Pendant un court instant, il eut la sensation, aussi nette que désagréable, qu'un œil malveillant se posa sur lui. Il sut sans l'ombre d'un doute que l'instigateur des attaques l'observait.
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Tout me paraissait soudain évident, naturel : nous deux, dans ce jardin isolés du reste du monde et de ses laideurs, protégés par la magie de la science à l'oeuvre dans l'Enclave.
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Dans sa vision du monde, mon père a toujours divisé l’humanité en deux catégories : lui et ses adversaires, à savoir tous les autres. Cela lui avait plutôt réussi dans ses affaires, impossible de le nier, mais ça finissait par m’exaspérer, surtout quand il appliquait ce principe à tout et n’importe quoi.
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L’argent n’était pas ma motivation principale, mais un poste dans l’Enclave me permettrait de mettre les miens définitivement à l’abri du besoin. Exclus très tôt du système scolaire faute de résultats satisfaisants, mes parents avaient toujours trimé comme des bêtes dans les pires boîtes à sueur autour de Paris. J’étais le premier – et le seul – de ma famille à avoir atteint le niveau de la terminale, qui m’autorisait à participer à la Sélection. Je souhaitais réussir autant pour moi que pour eux, parce que je voyais mon père et ma mère se crever au boulot à petit feu, paraître déjà vieux et usés à moins de quarante ans. Avec le salaire offert par Carmin, je pourrais leur assurer une retraite anticipée, plus que largement méritée.
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