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Critiques de Jorn Riel (496)
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Le Canon de Lasselille et autres racontars

Bienvenue au sein des paysages grandioses du groenland, où parmi les hommes fleurissent les racontars.



Les racontars sont les petites anedoctes donc les racines sont ancrées plus ou moins profondément dans la réalité et la mémoire collective.



Les racontars ont les visages changeant au fur et a mesure que les hommes rudes mais attachants de ces contrées se les échangent sur un fameux banc, le banc aux racontars.



(...)

http://lelabo.blogspot.com/2005/09/le-canon-de-lasselille-jorn-riel.html
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Le Canon de Lasselille et autres racontars

Nous voici parti pour un petit paradis où il se passe quatre mois entre le moment où le soleil se lève et celui où il se couche !

C’est avec le Lodvig que commencera notre périple … dégustons le … avec Alice, la belle Alice qui n’oubliera pas ce qu’elle lui doit …

Continuons avec une petite séance chez le dentiste … pauvre Bjorken, il nous donne une belle leçon de courage …

Et ces touristes fous qui se sont laissés tenter par un voyage tout au nord parmi ces citoyens isolés du reste du monde … Mads Madsen essaiera de donner une leçon de savoir vivre en harmonie à un drôle de couple …

Les histoires de Fjordur, où on apprend qu’il est préférable de ne faire aucun trou quand on tue quelqu’un sinon les mauvais esprits de la victime pourraient s’échapper…

Satisfaire Lasselille pourquoi pas, le but, que ce soit emblématique, préventif et dissuasif pour Bjørkenborg …

Nous rejoignons Lodvig, il est temps de laver son tricot et son caleçon, cérémonie importante car cette opération ne se renouvelait que deux fois dans l’année au printemps et à l’automne, les autres vêtements seront juste racler un peu avec un couteau, ça suffit bien …

On retrouve Anton, l’écrivain d’une trilogie … la foi et l’espérance, les deux premiers tomes déjà écrits, il ne restait à rédiger que la troisième partie traitant de la charité.

Et pour finir partons tester le traîneau à vent avec Doc et Mortensen, et bien sûr car on est prudent avec « un peu de provisions de bouche, au cas où. Huit morceaux de chocolat noir et quatre bouteilles d’eau de vie » … c’est ça être prudent dans le nord est du Groenland !

Des petites histoires qui nous amusent et nous permettent de voir le monde autrement.
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Le chant pour celui qui désire vivre

Ecrivain danois, né en 1931, Jorn Riel a vécu seize ans au Groenland dans les années 1950-60 et fut notamment un ami de l'explorateur français Paul-Emile Victor.
Lien : https://www.lesechos.fr/week..
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

Un grand livre sur la vie des peuples du Grand Nord canadien au X ème siècle.

Ces hommes et ces femmes avec des relations intimes très différentes des nôtres. Ils vivent en harmonie avec la nature. La vie et la mort n'ont pas les mêmes significations que pour nous.

Heq entreprend un grand voyage qui va l'amener jusqu'au Nord du Groenland.

Captivant et violent. Très éloigné de notre conception de la vie.....
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

Jorn Riel est l’auteur bien connu des racontars arctiques. Il a aussi écrit des trilogies.

« Le chant pour celui qui désir vivre » en est une. « Heq » en est le premier tome.

Il retrace alors le long chemin qu’on suivit des hommes venus d’Asie, des pêcheurs-chasseurs désireux d’explorer de nouveaux territoires de chasse, pour arriver au Groenland…

« Les peuples des tribus du nord et de l’est décident que ce serait bien de vivre de l’autre côté de l’eau gelée… de chasser le bison et le mammouth ».

Le peuple indien (les hommes-chiens ou Athabascan)comprenant :

Les Kutchin, les Nellagotinne, les Peau-de-lievre, les Dogrib, …

Partons pour découvrir comment les Itqiliit (nom donné aux indiens par les Inuits, signifie «  les mangeurs de poux ») allaient côtoyer les Inuits pour finalement ne faire qu’un peuple.

On est dans un autre monde …

Lors du voyage pour se mettre à l’abri pour l’hiver, la troupe faisait de longues étapes avec de courtes haltes pour dormir et pour que Tewee-soo puisse accoucher…

Le nouveau né fut appelé Orulo, (« car l’âme de ce nom réclamait une demeure »), « mais le garçon cria pendant des jours et des jours, faisant ainsi savoir qu’il n’était pas satisfait du nom ». On l’appela alors « Taq, et le nom d’Orulo fut donné à un chiot, qui le reçut sans se plaindre ».

Un voyage déconcertant dans un autre temps … dans un autre monde … voyage à poursuivre !
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

C’était il y a mille ans. A peine entrée dans l’âge adulte, Shanuq l’inuit fut enlevée par les indiens des forêts, ceux que l’on appelait les Hommes-Chiens. Mariée de force au chef Shapokkee, elle lui donna un enfant qu’elle prénomma Heq, comme son grand-père maternel. Fuyant les indiens avec son fils accroché sur le dos, Shanuq fut recueillie par des chasseurs venus de la côte. Elle trouva rapidement sa place dans la communauté. Par la suite, elle eut deux autres enfants, un garçon qu’elle prénomma Tyakutyik et une fille, Pukiq. Heq se révéla à l’adolescence un leader charismatique aux pouvoirs de chaman. C’est lui qui, après de nombreuses péripéties, mena les siens vers L’inlandsis, le pays de tous les inuits.



Une superbe adaptation en album d’un ouvrage paru en poche en 2001 aux éditions 10/18. Il y a d’abord le texte de Jorn Riel. Le lecteur se voit proposer une plongée quasi ethnographique dans le quotidien des tribus ancestrales du Grand Nord. Sous la forme de la fiction, il découvre les mythes et la culture inuit. Le récit mélange aventure, émotion, violence et sauvagerie. Le froid, l’âpreté de la nature, la vie dans des conditions extrêmes, tous ces éléments sont rendus avec force détails et précisions. Une grande place est également occupée par la quête de spiritualité. Il y a ensuite le dessin de Benjamin Flao. Chaque illustration pleine page est un petit tableau. Le travail sur la lumière et les couleurs est remarquable et participe grandement à installer l’ambiance envoutante qui traverse le texte. Pour couronner le tout, il y a l’objet-livre lui-même. Du très grand format (24 x 38 cm) au cartonnage épais et au papier brillant du plus bel effet.



Au final, il suffit de se pelotonner au coin du feu et de se laisser embarquer pour les étendues infinies et glacés du Grand Nord canadien. Un voyage inoubliable !




Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

De toute l’œuvre de Jorn Riel, cette trilogie est la moins connue du grand public.

Et pourtant, quelle merveille!

En saveur, en simplicité, la vie du peuple ancien, sa poésie, sa cruauté, sa beauté ...

Une œuvre majeure pour ceux qui aiment comprendre les racines des peuples!
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

j'ai adoré ce roman. desuite je suis rentrée dans cette histoire comme un membre de la famille. je sais pas, vraiment j'ai adoré

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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

Ce roman est comme un conte ethnologique, raconté par les anciens et les ancêtres d'une tribu du grand Nord. La vie de la tribu est décrite et les personnages sont attachants, notamment Heq, né de l'union d'une inuit et d'un indien, il va devenir chamane.
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

En l'an mille, alors que l'Alaska et le Groenland se rejoignaient, Shanuq se sauve du clan où elle était esclave avec son fils Heq. Épopée périlleuse et aventureuse qui les amène dans une communauté pacifique où la jeune femme reconstruit sa vie. Et où l'enfant grandit et devient guerrier et chamane, respecté par ses pairs. Mais l'arrivée d'un peuple ennemi les oblige à quitter leur village près des côtes et à changer de continent, pour partir vers le Groenland. Là encore, les péripéties sont nombreuses et le groupe migrant va se retrouver confronté à de multiples dangers.



Jørn Riel évoque ici les peuples premiers, leur culture et leur spiritualité. Mais on est loin d'un angélisme du bon sauvage. La violence est une constante et les femmes y sont traitées comme des esclaves sexuelles. Dans ces contrées hostiles, les humains sont constamment face au danger, chaque événement pouvant entrainer leur mort et celle de leur communauté. Mais il y a aussi une solidarité entre les êtres, une spiritualité liée à la nature, qui si elle est rude pour l'homme, n'en est pas moins belle. Un chant d'amour pour ces terres arctiques.



"Heq" est le premier volume d'une trilogie qui nous raconte les origines du Groenland.
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

Une magnifique épopée qui nous emmène, nous soulève, nous emporte, des confins de l'Alaska jusqu'au Groënland, vers l'an mil aux côtés des Inuit.

Shanuq est encore une toute jeune fille lorsque les Indiens Athabaskan attaquent son campement en bord de mer, massacrent toute sa famille et l'enlèvent jusqu'à leur territoire de forêts loin de la côte.

Après des années d'esclavage, elle parvient à s'enfuir et marche pendant des jours et des jours, seule avec son enfant attaché dans le dos, dans un voyage désespéré au cours duquel elle survit par miracle. Car il est hors de question pour elle que son fils grandisse loin des siens, dans les coutumes d'une nation étrangère : non, il doit être élevé chez les Inuit, parmi les siens.

Quand enfin elle retrouve son peuple, on y admire grandement le petit Heq pour sa capacité de survie, et "Celui qui pense offrit à Shanuq le palais d'un ours mort de mort naturelle afin que le garçon continue à être fort dans les situations dangereuses."

Shanuq vivra assez longtemps pour voir Heq grandir, pour lui donner des frères et soeurs, pour devenir grand-mère. Et au fil des années, le groupe va migrer vers l'Est, irrésistiblement attiré par ces terres qu'on dit verdoyantes au-delà des mers.

Si vous avez lu Paul-Émile Victor (et rêvé enfant devant les dessins d'Apoutsiak) vous pouvez mettre des images sur toutes ces descriptions de paysages, de l'intérieur d'un igloo, de la construction d'un oumiak.

Mais même sans images, Jorn Riel est un si merveilleux conteur que vous y serez, vous aussi, sur la banquise, dans l'igloo, dans l'oumiak.

Un formidable roman historique qui fait rêver et voyager.

Traduction parfaite d'Inès Jorgensen.

Challenge Globe-trotter (Danemark)

Challenge Solidaire 2023

LC thématique mai 2023 : "Littérature étrangère non francophone"
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

Ce conte dépeint une humanité infiniment vivante. On pénètre dans l'univers du grand Nord Inuit en l'an 1000 en se mêlant à une population truculente où chacun possède un caractère bien trempé, et une place active dans la communauté.



Au travers de ce récit aux accents picaresque, Jorn Riel fait vivre dans notre esprit une culture différente à l'extrême de ce que nous connaissons.

Lorsque je parle d'altérité il n'est pas question ici de simples querelles de voisinage, mais de massacres sanglants. Par bien des côtés j'ai pensé à la description de l'anthropophagie dans Rouge Brésil à la lecture de Heq : qui a créé lors de ma lecture un rejet d'une trop grande différence, mais aussi suscité une compréhension grâce au talent de l'auteur pour faire revivre en ses personnage une essence commune de l'humanité.

Peut être même une essence commune de toute la vie animale si on en croit cette description de la vieille tradition Inuit.

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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

Jorn Riel a écrit de nombreux volumes de racontars arctiques : de ces histoires qui sont vraies sans avoir l'apparence de la vérité, à moins que ça ne soit le contraire ; de courtes nouvelles souvent drôles à souhait, se déroulant chez les trappeurs du Groenland. Mais c'est ici l'autre talent de cet auteur qu'on rencontre : celui du conteur d'histoires d'une autre époque et d'une autre culture...
Lien : http://wp.me/p1zUAr-c1
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

épopée parfois un peu ennuyeuse.
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 1 ..

J'ai voulu m'ouvrir à d'autres horizons littérairres avec cette chronique du peuple inuit, et ses coutumes à mille lieux des notres, entre ses chasses au caribou, sa quete de l'eau et de la glace. Et hélas, sans doute dois je etre étroit d'esprit car tout ceci m'a semblé ennuyeux au possible, et je n'ai pu me raccorcher à aucune branche possible... peut etre que le froid de la laponie les avais tous gelés :o)
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 2 ..

Aux environs de l’an 1500 de notre ère, Arluk (un lointain descendant de Heq, autre ouvrage de Riel) décide de faire le tour du monde (de son monde en tout cas) après avoir eu une vision chamanique. Il prend donc armes, bagages et famille et commence à descendre la côte du Groenland, sans trop savoir où il va. Un voyage qui va durer de nombreuses années, fait de rencontres, de meurtres, de trahisons, mais aussi de bonheurs et d’amours avec bébés en prime. De rencontres qui sont à chaque fois une inconnue puisque les inuits font confiance à autrui de prime abord, avec parfois de mauvaises surprises.

Jørn Riel à travers ce périple nous fait découvrir une culture ancestrale, de tradition orale, où tabous et mythes sont racontés durant les veillées en famille ou avec les proches. Une culture avec des critères moraux très différents de la nôtre : ainsi la partouze est-elle un sympathique jeu de société entre voisins. Mais aussi où l’empathie envers les victimes d’accidents ou de meurtres est limitée. Habitué à côtoyer la mort, le chasseur inuit préfère regarder vers l’avant plutôt que s’apitoyer sur la disparition d’un proche. Par exemple, dès le début du roman, Riel nous explique que durant une disette hivernale, les deux bébés filles ont été tués et confiés aux loups. Et le cannibalisme, en dernier recours, n’est pas tabou.

On est donc loin du mythe du bon sauvage, simplement la description d’une communauté de femmes et d’hommes confrontés à un environnement particulièrement hostile. Ce voyage de presque toute une vie est une formidable initiation à la culture inuite, mais aussi le début pour ce peuple de rencontrer une nouvelle population dans ces terres : l’homme blanc, puisque des hommes venus de Norvège et d’Islande viennent s’installer même si beaucoup mourront de la peste noire qui ravagea alors toute l’Europe.



Un grand roman d’aventures mâtiné d’humour.
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 2 ..

Énorme coup de coeur pour ce roman, qui au travers de l'épopée d'Arluk, nous fait voyager au Groenland avec les inuits.



C'est une histoire passionnante, pleine d'humanité, pleine de légendes aussi, qui nous fait découvrir le mode de vie de ce peuple.



Je n'aurais pas assez de superlatifs pour décrire ce roman, juste, je ne peux que vous conseiller de le lire.



Waouh !
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 2 ..

J'ai enfin réussi à relire Arluk ... C'est le second volet d'une trilogie mais peut se lire indépendamment (ce que j'ai fait deux fois !!).

C'est un superbe roman sur les Inuits qui nous fait pénétrer avec réalisme dans leur monde à travers l'histoire d'Arluk jeune orphelin élevé par son grand-père qui lui raconte toutes les légendes de son peuple...Là, au milieu des glaces de l'arctique le lecteur découvre un peuple pacifique, blagueur et chaleureux qui s'amuse intensément et sait profiter de la vie et de l'instant.

En écoutant les légendes racontées le soir à la veillée, les jeunes apprennent les coutumes et les tabous de leur peuple et savent ainsi toute leur vie comment se comporter...

A cette époque, les inuits nomades descendus du Grand nord vers l'Est et le Groenland rencontrent les descendants des vikings venus de Norvège ou d'Islande et qui peuplent les côtes du sud...

Les pirates qui bordent les côtes, la peste noire déciment peu à peu les habitats vikings...

C'est dans ce contexte que naît Arluk...

Arluk devenu Angakok (chaman). On lui prédit qu'il fera le tour de la terre (la terre des hommes c'est-à-dire le Groenland). Il veut respecter la parole qu'il a donné et, un beau matin, il quitte son village ...



Au début du XVI° siècle, cette expédition ne peut être que périlleuse. Arluk va vivre des moments de bonheur intense et des périodes de grande solitude et de souffrance inévitables mais il terminera sa vie auprès des siens...

Au contact de ses nombreuses rencontres avec les autres peuples, Arluk et ses proches vont découvrir la violence, l'alcool, la trahison...mais aussi l'amour. Lui-même rencontrera Svava, une Kavdlunait, seule rescapée d'un massacre, dont il fera sa deuxième épouse et qui lui donnera une fille blonde comme elle, Panikpak.

Le roman alterne les scènes de chasse, les aventures de la vie quotidienne, les mythes et coutumes, les scènes familiales plus intimes et la description des paysages immenses dont la beauté transparaît à chaque page...



C'est magnifique !
Lien : http://www.bulledemanou.com/..
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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 2 ..

Au XVe siècle le Groenland est peuplé d'inuits sur sa partie ouest, tandis que l'est connait une émigration en provenance d'Islande et scandinavie.

Arluk est inuit et décide de réaliser le tour du monde, soit du Groenland, comme Heq un illustre inuit avait pu le faire des siècles auparavant.

Ce 2e tome de la trilogie permet une nouvelle fois de décrire le monde particulièrement rude dans cette terre hostile, où le froid est partout et les comportements des humains, inuits et européens sont souvent envisagé pour permettre la survie du clan ou des plus forts.

L'immersion dans la culture inuit et dans l'environnement groenlandais sont riches et apportent tout l'intérêt de ce roman.

J'avais lu Heq, il y a une douzaine d'années et en ai conservé un souvenir émerveillé. Ici le style est simple, facile, mais il m'a peut-être manqué une petite touche de poésie ou d'aventures, pour être pleinement touchée. Cependant ce fut un agréable et très instructif voyage sur les coutumes et le mode de vie des inuits.

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Le chant pour celui qui désire vivre, tome 2 ..

Arluk un jeune inuit mais avec du sang de gens venus des pays nordiques ou d'Islande.

Il a les vertus d'un chaman et il reçoit la mission de faire le tour du monde (le Groenland).

Il part avec femme et enfant pour ce voyage initiatique.

Les mœurs sont difficiles à appréhender pour nous.

Mais cette aventure est riche en événements et en enseignements...
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