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Critiques de Juan Rulfo (102)
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Pedro Páramo

J ai lu ce livre pour un club de lecture dont je fais partie.Le sujet ne m a pas accroché, compliqué à suivre, ne me laisse pas tellement envie de dire du bien mais si c est le seul livre de cet auteur
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Pedro Páramo

Pedro Paramo est un roman étonnant, peu commun. A la mort de sa mère, Juan Préciado, le narrateur principal part, à la rencontre de son père dans un petit village méxicain, Comala. Rapidement, ce récit est entrecoupé d'une autre narration, celle de Pedro Paramo lui-même. Les personnages morts et vivants se croisent d'un récit à l'autre. C'est un beau roman sur le souvenir, par ailleurs bien écrit mais rendu difficile d'accès par l'éclatement chronologique des récits. Il n'est pas toujours évident de savoir qui parle et à quelle époque.
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Pedro Páramo

Cet unique roman de Juan Rulfo est étonnant. Nous suivons Juan Preciado à travers la ville perdue de Comala, ville aux allures de western, vide à la recherche de son père, Pedro Páramo. Qui est cet homme ? À travers des fantômes du passé qui semblent si réels, nous découvrons cet homme, homme mauvais et violent qui gouvernait ce petit village. Les femmes défilent chez lui comme les tourments. La chronologie est très aléatoire, il faut être attentif pour comprendre ce roman ou les événements et les personnages passent comme dans un rêve, la frontière entre le passé et la réalité étant très mince. Ce roman, inscrit dans les traditions mexicaines de la vie et de la mort à été une très belle surprise, j'en suis sortie groggy, comme sortie d'un songe ou la poésie et les morts ne font qu'un.
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Pedro Páramo

Fort heureusement, le snobisme qui rendait obligatoire l'affichage de son admiration des oeuvres littéraires marquées par le courant surréaliste des années 1950 n'a plus court: c'est à son tour d'être démodé. Aussi nous n'hésiterons pas à dire combien ce livre nous a rendus perplexes: assemblage chronologique sans dessous-dessus, personnages morts ou vivants (ou morts-vivants?), comment peut-on suivre un tel récit, qui n'est qu'ajout de fragments disparates? Autrement dit: nous ne nous associerons au choeur des admirateurs béats de cette chose.

Cela ne veut pas dire qu'il faut éviter ce livre. On y trouve, malgré tout, les couleurs du Mexique, et ce n'est pas déplaisant. Rien que pour cela, et parce que, c'est vrai, il faut tout lire, ou tout tenter de lire, nous ne regrettons pas les deux petites heures que nous avons consacrées à nous perdre dans ce livre décousu, mais parfumé. Parfums de Mexique et de mort.
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Pedro Páramo

Je ne suis pas vraiment un grand fan du réalisme magique, et en général je n'aime pas la littérature latino-américaine qui en est fortement imprégnée. J'ai donc commencé ce roman emblématique avec un certain scepticisme. Le Mexicain Juan Rulfo l'a publié en 1955, et il est généralement considéré comme le véritable début de la littérature latino-américaine. Le roman commence de manière assez conventionnelle, avec l'histoire d'un jeune homme qui se rend dans le village de son père présumé, Pedro Paramo. Mais ce qui suit est une succession de scènes étranges et hallucinatoires, avec des personnages ténébreux dans ce qui semble être une ville fantôme, un village où le temps et l'espace s'entremêlent, et la mort est omniprésente. Le père primordial, Pedro Parama, est à peu près le seul élément de connexion, une figure de la mafia qui règne sur la vie et la mort sans trop de scrupules, mais avec un faible touchant pour une femme qui vit isolée dans le noir depuis des années. En d'autres termes, ce roman est une expérience de lecture très déroutante, intrigante et frustrante à la fois. Le seul point de comparaison récent me semble être « Lincoln in the Bardo », de George Saunders (2017). Mais en comparaison, Rulfo met certainement des accents plus tragiques et existentiels.
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Pedro Páramo

Pour les experts Padro Paramo est un des romans fondateurs du réalisme magique caractéristique de la littérature sud-américaine et c’est un chef d’œuvre.

La chronologie y est abolie, les personnages entrent et sortent du roman sans qu’on les y invite, les morts nous délivrent leurs pensées et devisent avec les vivants. Au lecteur de s’accrocher et de reconstituer une histoire assez simpliste : Pedro Paramo est un très vilain tyran villageois, il exploite sans vergogne ses pauvres paysans et culbute toutes les femmes qui passent à sa portée, mais il verra mourir son fils et la seule femme qu’il a aimé.

Pour le reste les paysans sont sans espoir et préfèrent presque la mort à la vie, ce qui se comprend car au Mexique les morts restent fringants, les révolutionnaires se laissent acheter pour un plat de lentilles et les prêtres croient plus aux esprits qu’au royaume de Dieu.

La grandeur de la littérature est d’être diverse et d’offrir les œuvres les plus variées pour que chacun y trouve son compte, ce ne fut pas le cas pour moi avec Padro Paramo. J’aurais appris encore une fois que les chefs d’œuvre ne sont pas universels.

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Pedro Páramo

Pedro Paramo. J'ai eu la chance unique de découvrir cette oeuvre à travers une adaptation radiophonique diffusée sur France-Culture. Le texte, dans sa quasi totalité, l'interprétation, l'adaptation, rendent cette oeuvre sans doute plus abordable que le texte nu. On peut trouver cette adaptation en la cherchant sur Youtube. Si vous plongez dedans comme je l'ai fait, vous y trouverez... A vous de jouer.
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Pedro Páramo

J'ai dû lire ce livre dans le cadre de mes études d'espagnol et j'ai eu du mal à le comprendre et à l'interpréter. L'auteur créé ici un vrai monde complexe et lui seul a le secret de ses écrits fantastiques. Après avoir ''débrouisaillé'' les zones d'ombres de ce livre j'ai vraiment changé d'avis quant à celui ci. C'est un livre qui se d'être passé au peigne fin pour être compris. En conclusion malgré la complexité de l'histoire ( Lu en espagnol) c'est un intemporel
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Le Llano en flammes / El Llano en llamas

Un style sec, abrupt, à chaque instant on est dans l'essentiel, le vital, l'obligé, on tue parce qu'il le faut, on fuit, on affronte, on crève de faim, de soif, de trop de soleil et de désert. Des phrases et un ton encaissés frontalement.

Ce qu'en dit J.M.G. Le Clézio :"Le Llano en flammes brûle dans la mémoire universelle, chacun de ses récits laisse en nous une marque indélébile, qui dit mieux que tout l'absurdité irréductible de l'histoire humaine, et fait naître la ferveur de l'émotion, notre seul espoir de rédemption."
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Pedro Páramo

Ce livre m’avait été chaudement recommandé par ma libraire et je n’ai pas réussi à m’émerveiller Comme elle mais il m’en est resté une impression de voyage apaisant dont beaucoup de clés m’ont échappé... il faut se laisser porter
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Pedro Páramo

Très belle histoire dont l'action se déroule dans les petits villages indiens du Mexique.
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Pedro Páramo

Si on ne devait retenir qu’un seul titre de la littérature latino-américaine ce serait ce livre.

La lecture est souvent déroutante, vous vous perdez entre le monde des morts et des vivants, tous menacés par ce terrible Pedro Paramo.



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Pedro Páramo

voulant lire un roman en espagnol ce mois-ci à la fois pour élargir ma culture littéraire et pour mon niveau de langue, je me suis tournée vers ce livre qui avait le mérite d'être court (période des partiels...) et d'avoir l'air intéressant. Malheureusement, je n'ai pas vraiment accroché, contrairement à ce que je pensais initialement. Il s'agit d'un roman très perturbant car on fait des allers-retours entre le présent (la visite du village parental par le narrateur) et le passé (vie du père et des habitants du village) sans en être jamais prévenu. Je pense que sans les nombreuses notes de bas-de-page, je ne m'en serais jamais sortie. J'ai trouvé ce livre long, endormant et l'intérêt m'a paru assez limité tellement j'avais du mal à cerner l'intrigue. Quand on y réfléchit bien, après la fin, on comprend un peu plus en quoi la plume de Juan Rulfo est impressionnante, mais honnêtement j'étais tellement perdue que ça m'a gâché le plaisir de la lecture.

Et le lire en espagnol ? Pourquoi pas puisqu'il s'agit d'un livre court mais ce n'est pas le roman espagnol qui vous permettra le plus de progresser puisque le vocabulaire est très axé vieux patois mexicain ou latino-américain, avec beaucoup de mots qu'une édition espagnole se sent obligée de préciser. ça reste compréhensible malgré tout et accessible avec un niveau B2-C1.
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Pedro Páramo

Vila-Matas m'a conduit vers ce livre, c'est une claque et pourtant je n'en suis qu'au début: la construction est déconcertante mais éblouissante...un peu plus de détail lorsque je l'aurais terminé...
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Pedro Páramo

Un livre qui mélange le réel et l'au-delà, les fantômes, et les revenants, les croyances. Un livre d'un auteur Mexicain qui est totalement dans l'esprit de ce pays et de ces petits villages.

On peut s'y perdre facilement et se retrouver.

a rester concentrer

un bon livre j'ai lu mieux mais il y aussi pire mais si une histoire d'avis personnel.
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Pedro Páramo

Gaboseverlerin sempatiyle yaklaştığı bir yazardır Juan Rulfo.

Pedro Paramo ise Marquez'in ezberleyecek kadar çok okuduğu o meşhur kitap.

Dış yapısıyla edebi teknikler sarmalına düştüğümüz kitabın içeriği de geri kalmaz. Hele okuru bir yerinden yakalamayagörsün; zamansızlığın gizeminden, ölümlülerin ölümsüzlüğünden sağlam kafayla çıkmak güç ister. Bir yandan da ağzımıza çalınan şiirsellik yok mu!

Ova Alev Alev'den antrenmanlıyım neyse ki. Meksika Devrimi,Diaz yönetimi, kilise zorbalığı...

Fakat burada çok daha başka bir kişisellik çekiyor okuru. Travmaların yakıcılığı, işte orada bir ölüm. Ölümü merkeze almadan anlaşılması hayli zor bir kitap.



Pedro Paramo zorba bir insan, birçok kadınla birlikte oluyor, sahip çıkmadığı birçok çocuğu var, köylünün toprağına el koyuyor ve daha niceleri...

Sahip çıktığı fakat yine kendisinin büyütmediği bir oğlu var Miguel. Paramo'dan geri kalmayan adi bir kişiliğe sahip.

Paramolar kadar kötü bir karakter daha var: Peder Renterina. Peder tam olarak 20. yy din adamlarını temsil ediyor. Çıkarcı ve açgözlü. Comala kasabası, Peder'in görevini kötüye kullanması yüzünden hayaletlerin dolaştığı bir yere dönüşüyor.

Günahları bağışlamadığı için Araf'ta kalan yoksul ölülerin hayaletleridir bunlar.

Romanın girişinde Juan, annesinin ölüm döşeğinde, git baban Pedro Paramo'yu bul, demesi üzerine Comala kasabasına gider. Annesinin anılarını anlattığı yer ile vardığı kasaba arasında ciddi farklılıklar vardır. Karşılaştığı her kişinin ölü olduğunu fark eden Juan korkudan ölür ve bir tabutun içinde tüm hikaye akar. Ölülerin konuşmalarından Pedro Paramo'ya ait tüm gerçekleri öğrenir.

Paramo, Juan'ın annesiyle parası için evlenmiş mal varlığını aldıktan sonra da onu Comala'dan uzaklaştırılmıştır. Anlaşılan o ki Juan'ın annesi de sadece sanrılardan oluşan bir bellekte yaşamış gerçeği kabullenememiştir. Juan, ölülerden başka şeyler de öğrenecektir.

Pedro Paramo'nun düğünü esnasında babası Lucas yanlışlıkla öldürülmüştür. Paramo da suçluyu bulamadığı için kasaba halkını öldürdüğünü, çocukluk aşkı Susana'nın kasabaya geri dönüşünü, kardeşi Miguel'in zalimliğini ve Peder'in para karşılığında cennete yolladığı ölüleri ve yine aynı pederin yeğenine tecavüz eden Miguel'i bağışlayıp da fakir insanları affetmediğini ...



Rulfo, bu karmaşa içerisinde her şeyi bir şekilde yerine oturtuyor ve hatta okurun Pedro Paramo'nun aşkına saygı duymasını bile sağlıyor.



Zira yeri göğü inleten Pedro, çocukken sevdiği Susana'yı (başkasıyla evlenmesine, ilk kocasına aşkla bağlı kalmasına ve babasıyla ensest bir ilişki yaşayıp delirmesine rağmen ) eksilmeyen bir tutkuyla sevmeye devam eder. Susana'nın ölümüyle de yaşamdan kopar.



Eserde konu bütünlüğü zaman kırılmaları arasında verilmiştir. Dolayısıyla girişteki karakterlerin romanın sonunda halkayı tamamladığı görülür; ölülerin ölme zamanı ya da hangi durumdayken konuştukları bölümler arasında düzensiz bir dağılım gösterir.

Tüm bunlara rağmen eser oldukça akıcıdır ve anlaşılır bir sona ulaşır.

1001 kitap listesinde de yer alan Pedro Paramo keyifli bir okuma vadediyor.





DİPÇE 2

Daha erken bir okuma yapsaydım muhakkak Meksika tarihine, darbelere, toprak reformuna çok fazla odaklanıp imgelerin izinde bir okuma yapardım. Bahsettiğim gibi Ova Alev Alev'de bu bilgilerin izini sürmenin tesiri ve katkısıyla bu kitapta salt okumanın ritmine kapıldım. Büyüleyici şiirselliğine...



Keyifle okuyun, esen kalın.

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Pedro Páramo

On tient là un court roman considéré comme un chef d’œuvre de la littérature hispanique du 20e siècle, ayant inspiré Marquez, Vargas Llosa, et d’autres encore. J’ai voulu me plonger dessus, étant moi-même, un aficionados de la littérature d’Amérique du sud.



Juan Preciado part à la recherche de son père, promettant au lit de sa mère agonisante de le retrouver pour lui demander des comptes. Mais les choses ne se passent pas comme prévu. Tout ce que Juan a escompté de son périple, est une accumulation de rencontres improbables, de visions d’outre-tombe, de lamentations spectrales. Bref, la réalité et l’irréel ne font plus qu’un dans le récit, créant ainsi, ce qu’on appellera plus tard dans la littérature, le « réalisme magique ».



Cette lecture fut éprouvante pour plusieurs raisons. Déjà, on comprend assez vite, malgré un début excluant toute connotation du genre fantastique, qu’il y a une part au merveilleux dans Pedro Paramo. Les morts apparaissent comme des vivants, dialoguant avec Juan Preciado, disparaissent, réapparaissent dans la suite du texte. La première difficulté du roman, est de connaître qui prend la parole, cela n’est pas souvent explicité. Deuxièmement, il n’y a pas d’intrigue à proprement dite. La recherche du père n’est qu’un prétexte romanesque pour insuffler au récit une myriade de dialogues déconcertants, entremêlés entre eux, jusqu’à perdre le lecteur. Troisièmement, et c’est peut-être là la principale difficulté de Pedro Paramo, la chronologie racontée par les apparitions, toutes victimes de la tyrannie de Paramo le père, est volontairement déconstruite, déstructurée de son unité. Le style d’écriture est souvent remarquable, sans chuter dans le pathétique. Juan Preciado comprend que son père était une sorte de bourreau à calvaires, ayant commis, de son vivant, un nombre incalculable de méfaits et de crimes. D’ailleurs, Pedro Paramo n’est plus, depuis longtemps, mais son esprit est toujours là, ravivant d’anciennes blessures d’un passé pas tout à fait enterré.



Faire parler les morts n’est pas vraiment nouveau en littérature. La littérature gréco-latine a inventé les bases de ce qu’on appelle de nos jours, « dialogue des morts ». Mais dans le dialogue des morts, tel que les auteurs antiques l’avaient pensé, était clair, car on savait toujours qui prenait la parole. Cela était nominatif, comme dans une pièce de théâtre. Tandis que dans Pedro Paramo, le doute persiste parfois, ce qui peut être frustrant pour le lecteur.



Ce roman classique de la littérature hispanique m’a laissé perplexe et pensif. L’atmosphère du livre a beau être mélancolique, lugubre par moment, un récit de la pénombre, où les morts deviennent vivants, la lecture reste malaisée pour toutes les raisons que j’ai citées ci-dessus. J’aime qu’un texte me surprenne par sa dimension poétique, stylistique, psychologique… Là, je me contente qu’un roman atmosphérique, hermétique, dont le sens nous échappe, si ce n’est, peut-être, la hantise du passé qui ne peut jamais s’en aller.

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Pedro Páramo

Parmi les dix meilleurs livres latino-américains jamais écrits.

Un livre culte.

A lire impérativement.

….

Eh bien, j’ai dû passer à côté. L’écriture est complexe et nécessite une grande concentration, sans doute ce qu’il m’a manqué, pour capter le génial message.
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Pedro Páramo

Livre exigeant, déroutant, dans lequel je ne suis malheureusement jamais rentré. Un ami a qui je l'ai prêté ensuite l'a trouvé bluffant... Il faudra donc que je prenne le temps de le relire, puis de mettre cette critique à jour si jamais l'expérience se passe mieux !
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Pedro Páramo

Voulant approfondir une thématique pour mes cours, je me suis lancée dans ce roman énigmatique. L'histoire commence lorsque Juan Preciado promet à sa mère mourante d'aller retrouver son père à Comala. Il se met alors en quête de celui-ci dont il ignore tout. Tout au long de son périple, il va rencontrer d'étranges personnages qui lui confieront des bribes d'histoires, plus étranges les unes que les autres. On s'aperçoit vite qu'il règne sur la ville une atmosphère pesante, délétère et que la vie s'échappe sans qu'on puisse la retenir. Juan découvre alors le passé de son père, son emprise sur une ville qu'il a peu à peu conduite vers l'agonie. C'est une lecture complexe dans la mesure où l'auteur ne respecte aucune chronologie : les épisodes se succèdent de façon aléatoire, les voix se font entendre sans qu'on puisse réellement comprendre qui parle. Si vous tentez l'expérience, sachez qu'il s'agit d'une véritable expérience de lecture, susceptible de laisser certains lecteurs un peu hermétiques...
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