#JulienAime #Surmesepaulestubâtirastonmonde #Instantssupendus "Sur mes épaules, tu bâtiras ton monde", en librairie le 24 mars aux éditions de l'Archipel L'art délicat d'être père Professeur de français passionné, Louis est le plus heureux des hommes depuis que sa femme Anna lui a annoncé qu'elle attendait leur premier enfant. Tout à leur joie, ils partagent la bonne nouvelle avec leurs proches, se plongent dans les listes de prénoms, l'aménagement de la chambre du bébé Mais leur bonheur est de courte durée : quelques semaines plus tard, on diagnostique à Louis une leucémie foudroyante. Engagé dans une course contre la maladie, Louis fait la promesse à Anna d'être un père présent quoi qu'il arrive. Mais comment accompagner son enfant sur le chemin de la vie s'il est physiquement absent ? Entre rires et larmes, Julien Aime signe un émouvant roman sur l'amour paternel, la transmission et les choix de vie. Le livre : https://www.lisez.com/livre-grand-format/sur-mes-epaules-tu-batiras-ton-monde/9782809843774 Facebook : https://www.facebook.com/editionsdelarchipel Instagram : https://www.instagram.com/instants_suspendus_larchipel/
Le bonheur des autres est cruel. Il vous renvoie à votre existence médiocre et votre avenir sans joie ni promesses.
Mon estomac se serre. C'est donc ça le futur qui a gagner?! Un monde où les hommes sont réduits à être des consommateurs dont le moindre besoin est enregistré, analysé et anticipé par des robots et algorithmes au service de multinationales connaissant tout de leurs vie?
Victor Hugo a écrit : "Les amis sont des anges silencieux, qui nous remettent sur nos pieds quand nos ailes ne savent plus comment voler."
La lecture fait travailler l'imagination, la réflexion. Elle fait appel à ce que vous êtes vraiment, là, à l'intérieur de votre coeur...A ce que vous pensez, à vos souvenirs, à votre vision de la vie...
La majeure partie des résidents n’ont pas choisi de terminer leur vie ici. Ce sont leurs enfants et les médecins qui ont pris la décision pour eux. C’était trop risqué et contraignant de les maintenir à domicile. Alors quand ils arrivent, ils râlent, ils se plaignent : ils auraient préféré continuer leur existence chez eux, dans leur maison ou leur appartement, là où ils ont tous leurs souvenirs, toutes leurs habitudes. Le déménagement est bien souvent vécu comme un véritable déchirement. Une trahison parfois, avec des pleurs et des cris. Et puis, peu à peu, ils s’y font à cette nouvelle chambre, ces nouveaux voisins, ces nouveaux visages. Ils s’y font à ce nouveau rythme de vie, ces repas et activités aux horaires réguliers. Quand ils n’ont pas oublié pourquoi ils étaient là.
Mais j'ai compris qu'il est inutile de s'énerver contre des choses qu'on ne peut pas changer. Ce n'est pas ce qui nous arrive qui est important. C'est la manière dont on réagit.
Est-ce qu'une colère ou un problème passager mérite d'effacer tout ce qui a été construit ? Je ne crois pas. Mamie Flo a une expression que j'adore : " On ne rase pas le jardin parce qu'une rose est fanée."
Lui revint en mémoire une phrase d'un de ses professeurs de philosophie : " Il y a trois types d'êtres humains. Ceux qui vivent pour atteindre leur rêve. Ceux qui l'ont abandonné. Et ceux qui rêvent leur vie faute d'avoir le courage de l'affronter ."
Entre deux gorgées de bière, Fred enchaîne les cocktails pour des quinquagénaires qui demandent s'il y a des bars à filles dans le coin. Le paradis c'est bien, avec des putes c'est mieux quand on est vieux.
Pour être un père, il fallait être présent, donner de l'amour et du temps pour assurer l'éducation de son fils ou de sa fille, son bien-être, et l'accompagner sur le chemin de la vie.
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