K. A. Tucker

– Si je meurs, je vous tue.
– Voilà qui demanderait un certain talent, maugrée-t-il en actionnant le levier.

– Oh, ne vous en faites pas pour Jonah, se rattrape-t-il. Il doit avoir un truc dans le cul, aujourd’hui.
Il marque une pause et ajoute :
– Un truc énorme.
– Eh bien, qu’il se l’enlève, dis-je à mi-voix en empaquetant mes chaussures de marche. Ça lâchera du leste.

See you above water.

You don't want me, I'm seven layers of fucked up with a side of batshit crazy.

I feel safe with him. And that scares the shit out of me.

You can't change what happened. You can't resurrect the dead. You can only find ways to help yourself come to terms with it all. That's the only way you'll ever move on.

I can honestly say that I've come to appreciate the peace that solitude can provide. At least I can judge myself in privacy.

-You'll be all right.
-How do you know that? Because right now, I'm wishing I hadn't had my seat belt on either that night.

I destroyed her life and then got caught in her wake. And I realize now that it's exactly where I'm meant to be.

Mes paumes se posent de chaque côté de son visage. Jamais je ne pourrai me lasser de cette sensation. Les mains plaquées dans mon dos, il presse mon corps contre le sien et enfouit son visage au creux de mon cou. Son souffle chaud fait accélérer le flot de mon sang. Je sens combien il est dur entre mes jambes. Il me désire mais n'ose pas me réclamer.

Alors je tourne les talons.
Et je laisse derrière moi ces voix, ces cris, toutes ces désillusions.
Je laisse derrière moi mes trahisons, mes erreurs et mes regrets.
Je laisse derrière moi tout ce qui, dit-on, me définit et que je ne parviens pas à devenir.
Car tout n'est que mensonge.

Nous sommes deux bonnes personnes avec des passés difficiles, à la recherche d'un futur parfait.

Dix petites inspirations. Saisis-les. Sens-les. Aime-les.

- Tu as raison, ce n'est pas la même chose...
Il me serre dans ses bras et je savoure a sensaion de son corps chaud, puissant et vivant. Brett est à moi.
- ... C'est beaucoup mieux.

Pas étonnant que les gens veuillet nous voir "vivre haureux".
Moi aussi, je veux la fin du conte de fées.
"Et ils vécurent heureux..."
Même si j'ai du mal à y croire.

Je sens aussi un parfum que je reconnais immédiatement.
Et je sursaute en apercevant ses magnifiques yeux bleus.

J'ai déjà vécu ça. Et la seule façon de tourner la page, c'est d'oublier et d'avancer.

Il recule un peu la tête et dépose un baiser sur ma joue, à un centimètre de ma bouche.
Je ferme les yeux. Il suffirait qu'il déplace ses lèvres légèrement vers la droite.
Et voilà qu'il le fait.

- Tu fais la moitié de mon gabarit, tu es un enfant et tu as réussi l'impossible. C'est grâce à toi que je suis encore là aujourd'hui.

Nous vous serons éternellement reconnaissants.
La famille Madden