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Le Livre du thé de Kakuzô Okakura
“Certaines fleurs se font gloire de la mort : les fleurs du cerisier japonais, par exemple, qui, librement, s’abandonnent aux vents”
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Le Livre du thé de Kakuzô Okakura
“Certaines fleurs se font gloire de la mort : les fleurs du cerisier japonais, par exemple, qui, librement, s’abandonnent aux vents”
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Le Livre du thé de Kakuzô Okakura
"Le vide est tout-puissant parce qu’il peut tout contenir. Dans le vide seul le mouvement devient possible. Celui qui pourrait faire de soi-même un vide où les autres pourraient librement pénétrer deviendrait maître de toutes les situations. Le tout peut toujours dominer la partie."
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Le Livre du thé de Kakuzô Okakura
On voit ainsi que le système de décoration propre à nos chambres de thé s'oppose nettement à ce qui se pratique en Occident, où l'intérieur des maisons est par trop souvent transformé en musée. Pour un Japonais, accoutumé à la simplicité ornementale et aux changements de décor fréquents, un intérieur occidental – où s'entasse en permanence un bric-à-brac de tableaux, de statues et d'objets de toutes les époques – donne l'impression d'un vulgaire étalage de richesses.
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Le Livre du thé de Kakuzô Okakura
Mais si l'on considère combien petite est, après tout, la coupe de la joie humaine, combien vite elle déborde de larmes, combien facilement, dans notre soif inextinguible d'infini, nous la vidons jusqu'à la lie, l'on ne nous blâmera pas de faire tant de cas d'une tasse de thé. (Ed. Dervy, p.13) |
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Le Livre du thé de Kakuzô Okakura
En attendant, dégustons une tasse de thé. La lumière de l'après-midi éclaire les bambous, les fontaines babillent délicieusement, le soupir des pins murmure dans notre bouilloire. Rêvons de l'éphémère et laissons-nous errer dans la belle folie des choses.
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Le Livre du thé de Kakuzô Okakura
Celui-là seul qui a vécu avec la beauté mourra en beauté. (Ed. Dervy, p.132) |
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Le Livre du thé de Kakuzô Okakura
La conception taoïste selon laquelle l'immortalité réside dans le changement éternel imprégnait tous leurs modes de penser. C'était le processus en lui-même et non le résultat qui était digne d'intérêt, l'acte d'accomplir et non l'accomplissement qui se révélait vital.
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Le Livre du thé de Kakuzô Okakura
(...) si l'on considère combien petite est, après tout, la coupe de la joie humaine, combien vite elle déborde de larmes, combien facilement, dans notre soif inextinguible d'infini, nous la vidons jusqu'à la lie, on ne nous blâmera pas de faire tant de cas d'une tasse de thé. [ NB : Minuit passé. Cela fait pile deux ans - et 750 critiques plus tard - que je navigue sur ce site ! Bibliothèque virtuelle, partage de lectures, petite bulle de respiration quasi-quotidienne... MERCI à tou(te)s de votre fidélité, pour nos échanges riches et variés !! Il se fait trop tard pour une tasse de thé, mais je la boirai en pensant à vous dans la journée. Donc, à tout à l'heure...... :-) ] |
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Le Livre du thé de Kakuzô Okakura
Selon un vieux dicton japonais, une femme ne peut s'éprendre d'un homme réellement vaniteux, car il n'existe dans le cœur de ce dernier aucune faille par laquelle l'amour puisse pénétrer. En art, la vanité est tout aussi fatale au sentiment de communion, qu'elle soit le fait de l'artiste ou celui du public.
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Le livre du thé (illustré d'estampes de Katsushika Hokusai) de Kakuzô Okakura
Un vieux dicton japonais dit qu'une femme ne peut aimer un homme vaniteux car le cœur de ce dernier ne possède nulle fissure par où l'amour puisse pénétrer
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Georges SIMENON et le commissaire Maigret c'est combien de romans ? (que les romans !)