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Citations de Karen Marie Moning (887)


Je vous préviens, dit-elle, si vous avez l'intention de me tuer, je...
- Cesse de parler, femme. Viens ici et donne-moi tes lèvres.
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- Deux jours! lança-t-elle d'un ton accusateur. J'ai passé deux jours affreux à me faire tremper sur le dos d'une rosse irascible. Il ne cesse donc jamais de pleuvoir, dans ce trou misérable? Deux jours pour arriver ici! Et à la minute même où je mets enfin les pieds à Dalkeith, le charmant Grimm me laisse tomber comme une vieille chaussette! Vous-même n'êtes pas là pour m'accueillir... Personne pour me montrer où je peux m'installer. Personne pour me donner à boire ou à manger.
Adrienne fit une pause dans son catalogue des griefs pour prendre appui contre un arbre, les mains sur les hanches.
- Alors, reprit-elle, puisque je ne pouvais choisir un lit sans craindre qu'il ne soit déjà celui de quelqu'un d'autre, j'ai dû me résoudre à vagabonder jusqu'à ce que vous décidiez enfin de vous montrer. Et en plus vous avez le toupet de me fusiller du regard? Eh bien, laissez-moi vous dire...
- Silence, lass.
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Avec un grondement de colère, elle se mit à plat ventre pour se glisser sous le sommier et en avoir le cœur net. La première chose qu'elle ramena à elle fut une petite culotte en soie noire bordée de dentelle, suivie d'un emballage de préservatif, puis d'un autre, et d'un autre encore. Au quatrième emballage - sur lequel s'étalait de manière suggestive la mention "XXL" -, elle renonça avec un soupir à ses recherches. Elle n'avait pas besoin de preuves supplémentaires pour comprendre que le Fantôme Celte n'était pas seulement un voleur, mais aussi un fieffé coureur de jupons.
Elle s'efforçait de sortir de sa position inconfortable en se tortillant maladroitement quand une voix masculine à l'accent écossait prononcé retentit derrière elle.
- Je n'avais jamais essayé sous le lit. Mais si c'est ce que vous préférez, et si ce que je ne vois pas est aussi désirable que ce que je vois, je n'ai rien contre le fait de tenter l'expérience.
Trop tétanisée pour crier, Chloé sentit une main ferme se refermer sur sa cheville.
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A cette occasion, il avait pu s'apercevoir que le sexe et le cerveau du mâle humain ne disposaient pas d'un volume de sang suffisant pour fonctionner simultanément.
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- Cesse donc de t'arrêter aussi brusquement! Par Danu, es-tu vraiment obligée de nous catapulter en avant à chaque arrêt? Es-tu certaine que nous avons arrimé solidement le Miroir? Tu devrais descendre pour t'en assurer. Et pour l'amour du Christ, il faut ménager ta monture! Tu la talonnes trop vivement.
Puis, après une série de jurons qu'elle n'avait pas compris, probablement en gaélique, il avait demandé:
- Où sont les chevaux? Vous n'en avez plus? Ils sont tous morts à la guerre?
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Celle qui revenait aujourd'hui arborait une chevelure brune taillée aux épaules (plus discrète pour se cacher des monstres qui recherchaient sa version blonde). Elle portait un jean et un tee-shirt noirs (moins salissants en cas de projection de sang ou de tout autre liquide vital plus ou moins répugnant). Ses pieds aux ongles laqués de Myrtille Glacée étaient chaussés de confortables tennis (plus pratiques pour courir en cas de danger). Elle avait complété cet ensemble par une veste noire trop grande pour elle, qu'elle avait décrochée d'une patère dans le vestibule en quittant l'immeuble (plus commode pour cacher la lance glissée dans la ceinture de son jean, la pointe protégée par une boulette de papier d'aluminium, unique accessoire de cette tenue choisie avec soin). Enfin, ses poches étaient pleines à craquer de lampes torches de toutes tailles, et elle se déplaçait d'un pas déterminé, les pieds fermement posés sur le sol.
En un mot, Mac 2.0 était une version considérablement améliorée de Mac 1.0.
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J’esquissai un léger sourire. Un seul mot : badass.
Quand je serai grande, je veux être Jericho Barrons.
page 107
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On devrait toujours adorer le parfum de l’autre quand on baise, ou alors ce n’est pas la bonne personne.
page 100
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Cela ne servait à rien d’être désolé. Cela ne changeait rien. Ça obligeait seulement votre victime à pardonner quelque chose que vous n’auriez jamais dû faire.
page 45
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_Eh bien mademoiselle Lane ?
_Je réfléchis.
_Ne vous faites pas mal.
_Inutile d'être désagréable.
_Je compte jusqu'à trois. Deux.
_Entrez, dit-elle d'un ton agacé.
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_Puis-je entrer ?
Je ne souris pas. Mon sourire ne mets pas les gens à l'aise.
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_Vos seins sont durs, murmurais-je lui laissant le choix d'entendre ou non.
Elle bat des cils et secoue la tête
_Qu'avez-vous dit au réceptionniste ?
Ah. L'oreille humaine a des filtres extraordinaires.
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Pour lui, je deviendrai Shiva, celui qui dévore les mondes...
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Quand tu sauras ce que je suis, laisses moi être ton homme.
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Je continue d'espérer voir la lumière revenir dans ses yeux, même si cela signifie qu'elle va me dire adieu.
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— Je ne me pavane pas, moi, rectifia Dree’lia d’un air outré. Aurais-tu oublié les délices que tu as connues entre mes bras ?Je regardai Barrons, incrédule.
— Tu as couché avec elle ?
Il leva les yeux au plafond.
— C’était il y a une éternité, et uniquement parce qu’elle prétendait avoir des informations sur le Livre.
— Mensonges, l’Ancien. Tu me suivais comme un toutou…
— Barrons n’a jamais suivi personne comme un toutou, l’interrompis-je.
Son regard noir pétilla d’amusement.
Voilà qui est inattendu. Merci de me défendre.
Eh bien, c’est vrai, non ? En tout cas, avec moi !
C’est discutable. Ryodan ne serait pas d’accord avec toi.
Couche avec une autre fée et je me fais Pri-ya personnelle de V’lane.
Une lueur meurtrière passa dans ses yeux, mais il répliqua avec légèreté : Serais-tu jalouse ?
Ce qui est à moi est à moi. Il se figea.
Est-ce ainsi que tu me considères ?
Le temps sembla interrompre sa course tandis que nous nous dévisagions. Les discussions autour de nous s’estompèrent. La crypte se vida. Il n’y avait plus que lui et moi. L’instant s’étira entre nous, vibrant de mille possibles. Je déteste ce genre de situation. Impossible de mentir. Il voulait une réponse. Et il ne s’en irait pas tant qu’il ne l’aurait pas. Je le voyais dans ses yeux. J’étais terrifiée. Si je disais oui, et qu’il répondait par une réplique cinglante ? Si je sombrais dans la sensiblerie larmoyante, et qu’il me laissait me dévoiler entièrement ? Pire encore, que se passerait-il lorsqu’il découvrirait que je n’avais pas obtenu le sortilège qui libérerait son fils ? Allait-il retirer ma nouvelle enseigne, saccager ma librairie adorée et s’en aller avec son enfant au cœur de la nuit, s’évanouir comme de la brume dans le soleil du matin et disparaître à tout jamais de ma vie ? J’avais appris une ou deux petites choses.
L’espoir renforce. La peur tue.
Mets-toi bien dans la tête que tu es à moi, mon gars, rétorquai-je.
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— Tu ne pourras pas me protéger éternellement.
Il me décocha un regard qui signifiait Aurais-tu perdu la tête ? Bien sûr, je le peux.
Tu me demanderais de vivre comme cela ?
Le mot-clef ici étant : vivre.
Ne m’enferme pas dans une cage. J’attends mieux de toi.
Il me sourit faiblement. Touché
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— J’ai besoin de toi, dis-je simplement.
Un voile pourpre teinta ses iris. Il enfila un pull-over, faisant saillir ses muscles et rouler ses tatouages.
— Il n’est pas trop tard, dit-il d’un ton rude. Nous pouvons laisser le monde aller au diable. Il y en a d’autres. Plein d’autres. Nous pouvons même y emmener tes parents. Qui tu voudras.
Je cherchai son regard. Il était sincère. Il était prêt à partir avec moi, à emprunter le réseau des Miroirs pour aller vivre ailleurs
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_Jolie fille et tout ça. Qui me supplie. J'adore.
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_V'lane n'a pas la queue assez longue pour pisser !
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