Karen Merran

Aider les autres stimule la production de dopamine, l'hormone du plaisir, et réduit celle du cortisol, l'hormone responsable du stress.

Un bonheur de lecture tintée d’humour, d’amour et de sensibilité!
Encore une fois Karen Merran nous a émis par sa plume agile, tendre et espiègle.
Vivement le prochain!

- Tu as un grand cœur, c'est ça ton problème ! Les vraies souffrances, ton cœur il sait pas gérer !

Tu connaîtras la valeur de ta mère quand arrivera ta belle-mère!

Je me suis moquée du temps et le temps s'est moqué de moi.

" Fais semblant d'être une reine, et tu deviendras une reine" ! Faute de meilleure méthode, l'image de la princesse Diana occupait mon esprit depuis le début de la journée. J'étais Diana, en version française, brune, sans les yeux bleus ni les bijoux royaux.

Une étude scientifique a montré qu'aider les autres stimule la production de dopamine, l'hormone du plaisir et réduit celle du cortisol, l'hormone responsable du stress.

(...) : une personne triste vous rend triste, une personne joyeuse vous donne envie de sourire. C'est à cause de nos neuronnes miroir.

Les aînés s'occupaient des plus jeunes. On avait pris l'habitude de choisir pour moi car tous les choix me convenaient. Et quand on ne vous demande jamais votre avis, vous prenez l'habitude de ne jamais le donner.

Mes fils m'appelaient souvent après dîner. Ils suivaient mes aventures de P.D.G. comme une série sur Netflix.

Vous saviez que le poisson est un antidépresseur naturel ?

Une étude américaine réalisée auprès de sept cents étudiants a montré que ceux qui mangeaient régulièrement des cornichons ou de la choucroute avaient un taux d'adrénaline, une des hormones responsable du stress, moins élevé que ceux qui n'en consommaient pas.

(...), on a découvert que dans les facteurs éterminants de notre bonheur, 50 % viendrait de la génétique, 10% uniquement de nos conditions de vie, et 40 % de notre attitude.

- " Mais sa marraine lui recommanda sur toutes choses de ne pas passer minuit, l'avertissant que si elle demeurait au bal un moment davantage, son carosse redeviendrait citrouille, ses chevaux des souris, ses laquais des lézards, et que ses vieux habits reprendraient leur première forme."

En vingt et un jours, c'est prouvé, les affirmations s'ancrent dans le cerveau.

Ce que nous mangeons a un impact direct sur la production d'hormones produites par notre cerveau.

Le lendemain de cet échange, il me proposa une ballade au parc, m'indiquant une nouvelle étude réalisée sur les rues de Londres : les habitants vivant dans les quartiers où il y a des arbres consommaient moins d'antidépresseurs. La vue de la nature remontait le moral.

Rentrer, dîner, dormir, se réveiller, repartir, travailler et recommencer. Dans quel but ?

On ne va pas se mentir. Pour accepter un boulot pareil, il faut avoir oublié son cerveau dans le ventre de sa mère, et ne rien pouvoir faire avec ses fesses. Donc j'en déduis que vous êtes moche et bête.

De manière générale, ma mère s’inquiète trop. Elle voit le mal là où il n’y a rien de spécial. Et puis j’ai découvert ce que ça voulait dire être angoissé. La peur s’est installée chez nous, comme si c’était un nouveau membre de la famille.