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Critiques de Karim Ressouni-Demigneux (91)
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La Cité, tome 1 : La lumière blanche

Thomas plonge dans un nouveau jeu virtuel. Il découvre la Cité. Aucune règle n'existe, tout semble possible. Seule interdiction : communiquer à l'extérieur. Thomas reste connecté de nombreuses heures et explore peu à peu la ville. Il y fait des rencontres et va peu à peu remarquer que chacun détient certains pouvoirs dans ce monde.



Mais des rumeurs commencent à circuler sur les forums...il est dit qu'on peut y mourir ! Quel est donc le but de ce jeu? Dans la vraie vie, les notes scolaires de Thomas commencent à chuter...puis s'est sa vie entière qui menace de basculer.



Un roman d'aventure intéressant sur le thème des mondes virtuels et de la place qu'ils laissent au réel. Mais c'est aussi une enquête puisque le héros nous fait voyager avec lui dans la Cité et comprendre progressivement les dangers qu'elle recèle ainsi que ses objectifs.L'écriture est agréable et le livre facile à lire. A découvrir.


Lien : http://0z.fr/vmXbK
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La Cité, tome 1 : La lumière blanche

Je remercie les éditions Rue du monde et Babelio qui m'ont fait confiance lors de l'opération Mass Critique et m'ont permis de découvrir ce roman. Merci également pour le poster et le petit mot à l'intérieur du livre qui m'ont vraiment fait plaisir.



La couverture est assez simple mais j'aime beaucoup les lettres qui forment le titre. Le résumé m'a vraiment donné envie de découvrir ce roman et par la même occasion une édition et un auteur que je ne connaissais pas. Le papier est de bonne qualité et le caractère d'imprimerie est gros.



Nous rencontrons Thomas, un jeune adolescent qui vie avec son père depuis la mort de sa mère. Il mène une vie plutôt ordinaire. Un jour, il apprend avec son meilleur ami Jonathan qu'un nouveau jeu révolutionnaire va être commercialisé. Les deux garçons décident d'acheter ce jeu virtuel. Dès que le colis est arrivé chez lui Thomas ne pense qu'a l'essayer. Il crée son profil en répondant à de nombreuses questions mais aussi en total liberté. Dans la CITE, c'est vous qui choisissez votre apparence, celle dont vous avez toujours rêvé. Puis il entre dans le jeu et découvre cet univers parallèle, un jeu où l'on vit en temps réel mais avec un autre que soi-même. Un jeu où l'on pleure, où l'on rit, où l'on saigne. Mais aussi un jeu où l'on peut mourir et où tout peut arriver. Très vite Thomas ne peut plus se passer de LA CITE. Il s'y ait fait des amis, ensemble ils ont trouvé leurs pouvoirs et ils veulent découvrir les règles de ce jeu. Mais les adolescents vont découvrir que les amis deviennent vite des ennemis. Tout s'accélère, le jeu et la réalité se mélange et il est bien difficile de les dissocier. Et si ce jeu n'était pas un jeu?



J'avais hâte de pourvoir le commencer et je dois dire que je n'ai pas été déçu. J'ai été transportée dans l'univers de Thomas et moi aussi je ne pouvais plus décrocher de LA CITE.



Les personnages ont tous deux apparences: celle dans le jeu et celle dans la vrai vie. On peut donc comparer comment ils sont et comment ils voudraient être. Thomas est le seul personnage dont nous partageons totalement les ''deux vies''. On est donc plus proche de lui. Les autres personnages gardent une partie de mystère. Ils ne sont pas vraiment décris et nous ne savons rien sur leur vie réelle. Le personnage de Jules César m'a fait sourire. Il est surprenant de voir un personnage portant ce nom dans un roman mais on s'y habitue vite.

J'aime beaucoup le concept du jeu, où il faut découvrir soi-même les règles, où l'on choisi qui on veut être... Une part de mystère reste sur le jeu car nous ne connaissons pas qui l'a créé et comment il a pu mettre au point une technologie aussi élevée.



L'histoire est très bien construite. Le style est fluide, vraiment très facile à lire. Seul petit point négatif: j'ai regretté que ce tome soit si court. Seulement 200 pages en grosse écriture, j'aurai aimé en avoir un peu plus. J'ai hâte de lire la suite avec un deuxième tome qui s'annonce prometteur.



Pour conclure, une très belle lecture un peu trop courte à mon goût mais qui reste captivante et innovante.
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La Cité, tome 1 : La lumière blanche

Un livre parlant d'un jeu virtuel réaliste ne pouvait que me plaire. Mais je ne pensais pas que j'allais autant aimer ! Je voudrais tout d'abord remercier Babelio & les éditions Rue du monde pour ce partenariat car c'est un énorme coup de coeur !



Thomas - alias Harry dans La Cité - a la chance de pouvoir participer à un jeu virtuel en temps réel très sélecte. Tout le monde n'aura pas la chance de pouvoir y jouer. Dès qu'il reçoit tout l'équipement, il l'essaye avant le lancement officiel, comme tous les autres joueurs, pour se familiariser à l'environnement de La Cité. Il va de rencontres en rencontres, de découvertes en découvertes. Car rien n'est indiqué. Tout le monde devra découvrir la règle du jeu lui-même. Il n'est pas seul à s'y être inscrit, son meilleur ami aussi. Mais La Cité a beaucoup d'emprise sur la vie réelle, la vie de Thomas va vite basculer..



Mon résumé n'est pas tip top par rapport à ce qu'il se passe vraiment dans l'histoire mais il se passe tellement de chose que c'est dur de ne pas trop en dévoiler ! Je ne sais même pas par où commencer tellement tout se bouscule dans ma tête quand j'essaie de parler de ce livre.

On n'entre pas tout de suite dans le vif du sujet, on apprend d'abord à connaître un peu Thomas ; ce qu'il aime, ce qu'il fait.. Mais dès qu'il reçoit tout le matériel pour jouer, tout s'enchaine assez vite. Dans un premier temps, il ne se passe pas grand chose car il découvre La Cité & d'autres joueurs mais ça commence déjà à être captivant. Thomas est vite devenu accroc au jeu & il en est de même pour nous ! Pour ma part, c'est plus le jeu en lui-même qui m'a intéressé que les personnages mais ça ne gâche rien ! On y trouve son plaisir partout. Il y a toujours de nouvelles découvertes à faire puisque les règles ne sont pas expliquées. Comme Thomas & les autres, on a envie de tout comprendre, de tout trouver mais ce n'est pas si simple & ce premier tome ne nous fournit aucune réponse ! On ne sait pas ce que fait réellement la lumière blanche à ceux qui enfreignent certaines petites règles, comme parler de la vie réelle dans La Cité. Enfin, pour tout, on ne sait rien de ce qu'il se passe, il y a plein de choses étranges qui nous laissent dans le flou & nous poussent à lire encore plus. J'ai donc hâte de lire le deuxième tome pour avoir des réponses à mes questions & savoir ce que Thomas a compris puisqu'apparemment il a compris quelque chose.. J'avoue, le suspense est très dur à supporter de ce côté-là.. Je risque donc de le relire encore & encore d'ici la sortie du second tome !



Thomas est adolescent comme tous les adolescents de notre époque : accroc aux nouvelles technologies. Mais ça le rend bien plus crédible face à son envie récurrente de jouer à La Cité. Car, en effet, ce jeu prend de plus en plus de place dans sa vie, à tel point que ses notes scolaires baissent & que tout le monde le trouve absent, déconnecté de la réalité.

On n'en apprend pas beaucoup sur les autres personnages car le narrateur est Thomas mais je suppose qu'on en apprendra plus par la suite.



Ceux qui jouent ou ont joué à World of Warcraft (ou autres, mais je ne connais pas d'autres jeux qui ont autant d'impact sur la vie réelle..) comprendront alors ce que l'on ressent lorsqu'on lit La Cité. Impossible de décrocher & de poser le livre tellement on est pris par l'histoire, comme si on jouait réellement nous même. L'auteur a très bien su montrer l'indépendance qu'on peut avoir face aux jeux vidéos car on ressent la même chose. Lorsque j'ai terminé le livre, je suis restée sur ma faim, j'avais envie de découvrir plus, de continuer l'aventure. Nocif comme livre finalement, car on ne pense plus qu'à ça. À La Cité, à ses secrets. Un livre surprenant & intriguant où se marient aventures, amitiés & morales.

Mon plus gros coup de coeur de l'année !
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Et Léonard de Vinci réinvente la peinture

Pour célébrer les cinq cents ans de la mort de Léonard de Vinci (1452 -1519), le musée du Louvre présente, jusqu’au 24 février 2020 – une rétrospective consacrée à l’ensemble de sa carrière de peintre et de dessinateur.

Quelque 180 œuvres (peintures, dessins, carnets, manuscrits, sculptures, objets d’art) rendent un bel hommage au génie, épris de savoir et de liberté. Karim Ressoumi-Demigneux, un spécialiste de l'art de la Renaissance, sélectionne les oeuvres. Il fait découvrir l'engagement humain, artistique et scientifique de Léonard de Vinci. Le livre est aussi une initiation à la révolution artistique de la Renaissance. Il la situe dans ses prolongements : par exemple la Joconde interprétée par Léger, Dali ou Duchamp. 500 ans après L de Vinci est toujours vivant ! Un documentaire lié à l’événement qui marquera les publications de documentaire en 2019.
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La Cité, tome 2 : La bataille des Confins

Deuxième tome de La cité dans lequel on suit désormais aussi le parcours de Polly/Liza.

Dans le jeu La cité, de nouveaux personnages apparaissent : les Ombres (des avatars déboussolés et maniplulés, mais par qui...), le Planificateur et l'Oracle.

Nos 3 héros sont toujours à la recherche d'Arthur et ne peuvent compter que sur leurs pouvoirs et les nombreuses informations (vraies ou fausses) données dans les forums. Chacun essaie de comprendre quel est finalement le but de ce jeu virtuel capable de dévoiler des secrets de famille...

Un roman toujours aussi plaisant, avec de nombreuses références aux ouvrages de Tolkien et de Victor Hugo, une fin qui laisse en suspens l'intrigue et qui donne à nouveau envie de découvrir le dernier tome de cette trilogie.
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La Cité, tome 1 : La lumière blanche

Quand Thomas découvre le nouveau jeu vidéo en ligne à la mode, La cité, il est loin d'imaginer à quel point sa vie va changer.

Ce qui au départ ne devait être qu'un jeu devient peu à peu une obsession et sa vie dans le monde réel en pâtit (ses notes chutent, il ne voit plus ses amis...).

Dans ce monde virtuel, tout est possible et Harry, son avatar, va vite s'en rendre compte. Une seule règle est à suivre : ce qui se passe dans le jeu doit rester secret, interdiction d'en parler à l'extérieur sous peine de sanction.

Il faut dire que dans La cité, les événements se bousculent : il découvre qu'il a des pouvoirs, Jonathan (son copain dans la vie) devient son ennemi, il sympathise avec d'autres joueurs (Arthur, Liza et JC) et la violence pointe le bout de son nez...

Lorsqu'Arthur disparait, Les 3 nouveaux amis se lancent à sa recherche et vont découvrir un monde où tout a des conséquences.

Un roman très prenant, que l'on dévore d'une traite, une écriture simple mais efficace et une dernière phrase qui laisse planer le suspens et qui donne envie de se plonger dans le deuxième tome de cette trilogie.
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La Cité, tome 3 : Le pacte des Uniques

Quand ça ne prend pas, mieux vaut en rester là... Mais que voulez-vous, je suis quelqu'un d'entêté... J'ai voulu laisser sa chance à cette saga très bien notée sur la toile et qui, je le reconnais, est haute en révélations ou rebondissements. Malheureusement, la sauce n'a pas pris et ce, avec les trois premiers tomes. Bien que j'aime lire des romans jeunesse/ado/young adult, cette série n'est pas du tout pour moi. Je me suis ennuyée... J'ai suivi sans grand intérêt les tensions éclater entre les personnages, leur quotidien (hors de la Cité) s'assombrir et j'ai essayé de comprendre ce que voulaient ces fameux "Uniques"... Toutefois, cela ne me passionnait pas. J'étais en dehors du récit... Serais-je "trop vieille" pour apprécier l'intrigue ? Je l'ignore... Une chose est sûre : je peux expliquer mon désintérêt par le fait que je n'ai finalement pas accroché aux protagonistes malgré les trois opus... Ce qu'il leur est arrivé ne m'atteignait pas... Je trouve ça dommage, car j'aurais voulu apprécier les œuvres de Karim Ressouni-Demigneux. En lisant les quelques critiques sur les blogs ou les sites dédiés à la littérature, je pensais sincèrement adhérer au scénario. Hélas, ce troisième tome était en trop pour moi. J'avais envie de l'abandonner, cependant j'ai préféré lire en diagonale, en espérant tomber sur une révélation pouvant provoquer un regain d'intérêt (ce qui, vous vous en doutez, n'est pas arrivé).



Je trouve dommage que la quatrième de couverture en dise tant... À mes yeux, c'était un élément à découvrir dans le récit. L'identité de JC était une véritable surprise, car je pensais que l'on ne pouvait pas "mentir" à ce point avec son avatar. Je croyais que l'on pouvait se vieillir/rajeunir, changer quelques traits ou se vêtir selon ses goûts, etc. Mais non, JC a réussi à passer outre les règles de la Cité. Je pensais qu'on allait en savoir davantage sur ce personnage ou sur sa quête consistant à retrouver son frère... Néanmoins, la narration passe sans cesse d'un protagoniste à l'autre et se concentre davantage sur les mystères qui entourent le jeu en ligne. Cela m'a un peu frustrée, car je commençais par être touchée par JC : on ressent ses émotions pour son aîné et on peut comprendre son obstination. Hélas, cette piste a vite été balayée pour laisser place aux amourettes de chacun et chacune et à la Cité où une étrange maladie frappe les joueurs, où les fameuses Ombres deviennent agressives et où un étrange phénomène permettrait de rendre les joueurs uniques...



Il y a de quoi faire dans ce tome : beaucoup d'intrigues sont abordées et s'entremêlent. Le fait que l'on passe d'un narrateur à un autre permet d'avoir une meilleure vision d'ensemble et de comprendre les positions de chacun. Tout est loin d'être rose... Je pense que cet ouvrage peut plaire à de jeunes ados, surtout ceux qui aiment les MMORPG. Mon avis est très personnel et, de ce que j'en vois sur Livraddict ou Babelio, je fais partie d'une minorité n'ayant pas accroché au livre... Le mieux est encore de vous faire votre propre avis. Pour ma part, je m'arrête là pour cette saga.


Lien : https://lespagesquitournent...
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La Cité, tome 1 : La lumière blanche

Thomas, un lycéen va entrer avec ses amis Liza et JC dans l'univers virtuel du jeu appelé La Cité.

Un jeu dont le but final n'est pas dévoilé, un univers qui fascine le héros qui navigue entre virtuel et réel.

Un héros habité par le jeu, un jeu qui pénètre insidieusement sa vie réelle.

On hésite parfois entre les deux mondes : les ellipses narratives entre les paragraphes accentuent cette sensation de brouillage des frontières du virtuel et du réel cependant que les joueurs ne doivent pourtant pas confondre jeu et réalité, la mystérieuse lumière blanche en est la sanction.

Un thriller haletant, passé le seuil du jeu Thomas/Tom devenu Harry (son avatar) dans le jeu et ses amis nous plongent au coeur des actions qui s'enchaînent très rapidement, on éprouve également les angoisses du héros et de ses proches, les battements des coeurs nous parviennent en écho.

Une phrase mystérieuse à la fin du roman indique que Thomas a compris...Quoi ? On ne le saura que dans le deuxième tome.

Un livre fascinant sur les enjeux de la réalité virtuelle et ses dangers.

Un livre d'action parsemé de suspense qui se démarque par son originalité.





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La Cité, tome 1 : La lumière blanche

Avec une image de couverture et une présentation de l’éditeur aussi réussites, je suis tombée de haut dès que je me suis plongée dans les premières pages.



Le concept du livre m’a vraiment emballée : Thomas, jeune homme de quinze ans, découvre l’univers d’un jeu électronique, la Cité. Ce jeu consiste a évolué dans un monde totalement virtuel mais en temps réel. Les participants ne connaissent pas leur but, ils doivent découvrir par eux-mêmes en quoi consiste cette énigme. Accompagnés de ses amis virtuels, Arthur, Lisa et Jules César, il va apprendre à maîtriser son corps et ses pouvoirs dans cet univers. Mais, il va vite se rendre compte que sa vie virtuelle le rattrape dans la vie réelle, son copain de lycée, Jonathan, devenant vite son ennemi.



L’idée qui fonde le récit est donc convaincante mais ne parvient pas à me convaincre tant j’ai été gênée par le style d’écriture de l’auteur. Dès le début et ça persiste tout le long de l’histoire. Les phrases sont en grande majorité très courtes, parfois mal construites. J’ai noté beaucoup de maladresses au niveau de la syntaxe. La construction des phases semblent empêcher l’auteur de dire tout ce qu’il voudrait. Du coup, on a très peu de détails et les faits s’enchainent beaucoup trop vite pour qu’on puisse apprécier un évènement, une action ou une révélation. Pour vous donner un exemple du style de l’auteur, voici l’extrait d’un dialogue entre Thomas « Harry » et Jonathan « Harry » lors de leur première rencontre dans le monde virtuel : « Et pourquoi tu as choisi ce prénom ? – Parce que Harry Potter. Pas toi ? » (p.118). Non, il ne manque pas un bout, c’est bien l’auteur qui a écrit ça comme ça. Et c’est dire à quel point Karim Ressouni-Demigneux épure son texte et ses idées, beaucoup trop à mon goût pour pouvoir apprécier l’histoire.



Si le fond s’était éloigné des chemins déjà exploités dans d’autres histoires, peut-être aurai-je pu faire fis de la forme. Or, ce n’est pas le cas. Ce roman est donc pour moi une grosse déception. Merci aux éditions Rue du monde et à Babelio de m’avoir fait parvenir cet ouvrage !

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La Cité, tome 4 : La dernière éclipse

Ce tome 4 de la Cité était très attendu par ceux qui ont été charmés par les trois précédents romans de Karim Ressouni-Demigneux. L'auteur continue d'entourer le jeu et la société CCC d'une aura mystérieuse tandis que nos héros voient La Cité impactée de plus en plus leur vie quotidienne. La Dernière éclipse se laisse lire sans difficulté et avec intérêt mais on a aussi hâte de mettre fin à tout ce flou qui entoure l'histoire ;)



Chronique complète sur Lirado
Lien : http://www.lirado.fr/cite-de..
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La Cité, tome 2 : La bataille des Confins

La cité 2...

On y retrouve cette fascinante interpénétration du réel et du jeu déjà présents dans le tome 1.

Le but du jeu reste toujours un mystère et les personnages bravent le danger pour le découvrir... Ce jeu en ligne fait d'ailleurs de plus en plus d'adeptes sur le Net.

Le suspense, l'action, l'aventure sont toujours au rendez-vous, l'amitié aussi ainsi qu'un un amour naissant.

Les changements de point de vue narratif rythment le récit, Liza, une jeune anglaise qui s'ennuie reprend du flambeau pour nous raconter l'histoire et devient l'un des personnages principaux de ce tome, on y retrouve également avec plaisir Thomas/ Harry, le héros du premier volume ainsi que JC, tous trois à la recherche d'Arthur disparu.

Ce changement de point de vue nous pousse nous lecteur à entrer dans l'action par la lecture...Une sorte de mise en abyme.

Ce jeu exerce une fascination sur les personnages et sur le lecteur.

A mettre entre toutes les mains de 7 à 77 ans.

Je débute la lecture du tome 3... A suivre...
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La Cité, tome 3 : Le pacte des Uniques

Dans ce troisième volet, un nouveau narrateur arrive : il s'agit de JC, qui dans la réalité est une jeune brésilienne à la recherche de son frère.

Après avoir retrouvé Arthur, nos 4 héros poursuivent leur découverte du monde virtuel de La Cité avec ses dangers (car désormais une étrange maladie rôde) et ses nombreux mystères (qui a créé le jeu et dans quel but ?)...

Avec leurs nouveaux alliés, les Affranchis, ils vont devoir aussi contrer les Uniques qui ont découvert le moyen de fusionner les joueurs entre eux.

Après des références à Tolkien et Victor Hugo, c'est maintenant au tour des mathématiques de s'inviter dans l'histoire.

Moi qui croyais que La Cité était une trilogie, l'aventure se termine une nouvelle fois sur une phrase énigmatique et il va me falloir attendre les 2 prochains tomes pour découvrir, comme nos héros, ce qui se cache vraiment derrière ce jeu...

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La Cité, tome 1 : La lumière blanche

A renfort de campagnes publicitaires surdimensionnées, un nouveau jeu fait son apparition. Il s'appelle LA CITE. Thomas, comme bon nombre de ses camarades, est intrigué par ce jeu dont personne ne sait rien. Il suffirait de mettre un bonnet et des gants pour faire vivre son avatar dans un monde parallèle répondant au nom de LA CITE. Thomas et ses amis sont sceptiques, serait-ce une arnaque? Mais ils sont obligés de se rendre à l'évidence lors d'une séance de démonstration: ce jeu ne ressemble à aucun autre, il est extraordinaire. Tout le monde se l'arrache mais seuls les dix premiers millions inscrits pourront en faire partie. Commence alors une plongée dans un jeu d'un nouveau genre, un jeu dont personne ne connaît le but et donc l'issue. A chacun de le découvrir. Des élements se mettent en place, chacun possède des pouvoirs qu'il peut utiliser en fonction des gens avec qui il se trouve. Mais attention, dans LA CITE, il est impossible de parler de sa vie réelle, gare à ceux qui franchiront cette règle.



La lumière blanche, premier tome de la série LA CITE est un roman efficace. A première vue, destiné à la jeunesse dans la veine des romans d'aujourd'hui (science-fiction, magie, télé-réalité...) avec son plein d'action, c'est également un roman qui aborde des thèmes importants amenant à la réflexion. Il évoque notamment le sujet du deuil, Thomas a perdu sa mère et nous explique en quoi sa vie ainsi que celle de ses proches en a été changée. Le repli dans une vie virtuelle et l'addiction à celle-ci, notamment au moment de l'adolescence, sont traités avec beaucoup de justesse.



Un premier tome qui m'a beaucoup plu, des personnages vraiment attachants, qui nous ressemblent (presque un coup de coeur, je me réserve pour le prochain volume). Si quelqu'un connaît la date de sortie de la suite, je suis preneuse!
Lien : http://cestdurdetreunetortue..
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Je suis un gros menteur

Pas facile de s'y retrouver quand l'annonce de votre prénom Ismaïl semble gêner les inconnus, quand votre père est Français mais d'origine arabe et marocaine, quand votre mère est Bourguignonne, que vos parents se prétendent athées mais ont tenu à vous faire circoncire... Alors Ismaïl croit simplifier les choses en annonçant dans sa nouvelle école qu'il est Juif. Et puis comme il est décidément "un gros menteur", il ajoute que son oncle lui a offert un lion, qu'il possède un jacuzzi dans sa chambre, etc. La situation devient franchement embarrassante lorsque ses parents décident d'inviter toute la classe pour fêter ses 11 ans...

Un roman émouvant sur les mensonges et les subterfuges des pré-adolescents pour ressembler aux autres, se fondre dans la masse. Des réflexions également très intéressantes sur les religions et les (non)choix des parents en la matière qui manquent parfois de clarté...

De cet auteur, j'ai beaucoup aimé "Je ne pense qu'à ça", où l'on retrouve Ismaïl adolescent.







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La Cité, tome 3 : Le pacte des Uniques

La Cité 3 ...Le pacte des Uniques.

Ce roman qui fait suite à la bataille des confins se laisse littéralement dévorer.

Le suspense, par le jeu des actions qui se succèdent rapidement et des points de vue alternés, est toujours au rendez-vous et on ne se lasse pas de suivre les aventures de nos 4 héros toujours "accros" à ce jeu virtuel et des possibilités qu'il confère : déploiement de l'imagination, rêve, virtualité des actions etc.

Cette addiction au jeu n'est pas sans susciter quelques inquiétudes chez les parents de nos héros, mais que ceux-ci se rassurent, l'auteur, à travers la voix des personnages fait quelques clins d’œil culturels : Victor Hugo et Juliette Drouet, les suites de Fibonacci et la multiplication des "Uniques", personnages étranges et inquiétants qui peuvent se reproduire à l'Infini et à propos desquels les héros se posent de nombreuses questions.

La modernité technologique intègre la culture littéraire, scientifique, cinématographique par petites touches sans lasser le lecteur.

Addiction pour le lecteur garantie, ultime rebondissement à la fin du livre.

Aventures à suivre... Plus que 2 tomes
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La Cité, tome 2 : La bataille des Confins

Bien que déçue par le premier tome de "La Cité", j'ai décidé de laisser sa chance au second tome car celui-ci était très bien noté sur internet. Malheureusement, je n'ai pas été satisfaite de cette lecture. Les goûts et les couleurs ne se discutent pas, cependant je pensais réellement m'aligner aux avis que l'on trouve sur les blogs ou les sites littéraires, car ils faisaient l'unanimité...



Tout d'abord, j'ai été surprise, car je pensais n'avoir que Polly/Liza en narratrice racontant la même histoire mais de son point de vue comme avec les sagas "U4" et "Blue cerise" où chaque protagoniste a la parole dans "son" roman... Ce ne fut pas le cas, car Thomas/Harry est également narrateur (c'est indiqué grâce à un petit symbole d'étoile ou de soleil). Je me suis demandée pourquoi le premier tome n'avait pas suffit à ce personnage, car je souhaitais vraiment en savoir davantage sur Polly. Finalement, il s'avère que chaque tome ne peut pas se lire individuellement. "La bataille des Confins" est bien la suite du précédent. Même si les trois-quarts se passent au même moment que "La lumière blanche", le reste de l'ouvrage est une suite et apporte de nouveaux événements ainsi que son lot de révélations. J'ai été un peu gênée, car je m'étais fait une image erronée de la série. De plus, j'ai eu la sensation de schéma similaire, puisque Polly a, comme Thomas, une famille et un ami qu'elle va délaisser à cause du jeu... Cette fois-ci, il s'agit de Ben, son meilleur ami, malheureusement amoureux d'elle alors que ce n'est pas son cas...



Globalement, l'action dans le jeu ou en dehors m'a moins plu qu'avec Thomas. Certes, les pouvoirs entre compagnons ont été mieux expliqués ici, néanmoins la jeune fille se pose énormément de questions sur elle-même ou sur le jeu, si bien que le rythme est très lent voire comporte des réflexions redondantes. Elle ne cesse de se demander si elle va continuer ou non de jouer... Tout en y retournant quand même. Bien qu'elle soit davantage consciente de son addiction que Thomas, elle reste tout de même prisonnière de La Cité puisqu'elle ne peut s'en passer. Ainsi, elle va passer la plupart de son temps à réfléchir. Le gros de l'action survient surtout au moment où la narration s'alterne, c'est-à-dire, vers la moitié du récit...



Par contre, j'ai aimé le fait que l'on puisse voir les liens entre la jeune fille et les garçons. Cela permet de comprendre pour quelles raisons ils sont si proches (hormis leur amitié imposée par le jeu). Les révélations sur la mort, la violence entre joueurs ou la traduction instantanée des langues m'ont également intéressée. Ce sont des éléments qui manquaient au premier volume. D'ailleurs, j'ai trouvé que le petit résumé en début de roman était le bienvenu, même si c'était encore très frais dans ma tête. Enfin, j'ai été ravie de retrouver les nombreux témoignages des joueurs sur les forums souvent mis en début de chapitres.



Il n'y a pas que de mauvaises choses dans ce récit, toutefois j'ai quand même été déçue... Je pense tout de même poursuivre cette saga, car elle est disponible à la médiathèque et semble bien notée sur la toile. Peut-être que les trois autres personnages me satisferont davantage ?


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La Cité, tome 1 : La lumière blanche

Contrairement à ce que je pensais, cette lecture m'a laissée avec une pointe de déception... La quatrième de couverture annonçait un récit prometteur et divertissant, tandis que les critiques sur la toile donnaient vraiment envie de s'attaquer à cette saga... Et pourtant, j'ai trouvé le récit de "La lumière blanche" court et redondant et l'écriture de Karim Ressouni-Demigneux très simple... En outre, je pensais que ce roman s'adressait surtout aux grands ados ! Or, un sixième peut aisément le lire s'il n'a pas peur de parcourir 230 pages...



C'est assez rare, mais ce qui m'a déplu le plus, c'est le style d'écriture de l'auteur. Je l'ai trouvé concis, peu développé et sans grand rythme. Hormis certains lieux, le reste était comme survolé. J'aurais souhaité un peu plus de description, surtout au niveau des personnages car on se cantonne à une brève description physique (cheveux, visage, carrure). Même les scènes d'action sont très rapides, alors qu'elles pourraient être largement développées afin de maintenir le lecteur en haleine ! Hélas, les phrases sont beaucoup trop courtes et vont rapidement à l'essentiel. On passe trop vite à autre chose. C'est ce qui fait que je n'ai pas pu m'attacher aux personnages, ni à ce qu'il arrivait à notre jeune héros.



Pourtant, l'univers s'annonçait riche et prenant ! Dans ce premier tome, on suit le quotidien de Thomas, un ado, qui va découvrir un nouveau jeu : La Cité. Mieux que Les Sims, que GTA ou d'autres jeux vidéos, La Cité est capable de créer une ville entière en 3D où la vie se déroule en temps réel. Les avatars sont uniques : chaque joueur doit passer des tests et divers questionnaires afin de façonner un avatar à son image avec sa personnalité. Seules quelques caractéristiques physiques peuvent être modifiées. J'avoue avoir admiré tout le travail de l'auteur : le jeu donne clairement envie ! D'autant plus que les joueurs ne connaissent pas le but du jeu. C'est à eux de le découvrir en interagissant avec les autres. Un système de traduction instantanée permet à tout le monde d'échanger sans avoir à se heurter à la barrière de la langue. (Combien de fois ai-je rêvé qu'un tel système existe dans certains MMORPG...) Ainsi, j'ai adoré suivre Thomas lorsqu'il découvrait les règles, puis ses premières heures dans le jeu. C'était un véritable régal ! D'autant plus qu'un petit groupe va se former (Arthur, Liza et JC) et va se découvrir des pouvoirs... Quel dommage que mon enthousiasme se soit essoufflé... Très vite, mon ressenti vis-à-vis de la plume de l'auteur a fait surface. Certaines scènes me frustraient : j'avais envie d'en savoir plus ! Alors que d'autres comme le spectacle de magie ne m'intéressaient pas vraiment... Ajoutons à cela un effet de redondance avec des scènes qui se ressemblent un peu trop entre elles ainsi qu'une fin qui laisse le lecteur plein de questions et vous aurez un petit aperçu de ma déception.



Par contre, j'ai aimé le fait que Karim Ressouni-Demigneux mette en avant l'addiction des jeux vidéos. En effet, Thomas passe beaucoup de temps dans La Cité au point de ne plus dormir autant qu'avant, de négliger ses cours, sa famille ou ses vrais amis (pas les virtuels), d'oublier sa passion (la magie) et d'être sans arrêt dans la lune. Il passe son temps sur le jeu... Et lorsque son père le lui confisque, il surfe sur internet afin d'avoir des informations sur La Cité : forums, facebook, sites en tout genre, etc. Il ne quitte pas cet univers un seul instant ! C'est ce qu'il arrive fréquemment, que l'on soit jeune ou non... Pour ma part, j'aime beaucoup jouer sur console ou sur des jeux en ligne. Il fut un temps, j'ai même été comme Thomas : une gameuse qui passait son temps sur un MMORPG. Je trouve donc important de mettre en avant l'effet d'une addiction (qui, rappelons-le, ne concerne pas que les jeux : tout est sujet à une addiction... Cigarettes, alcool, TV, nourriture, sport, etc.).



Malgré ma note et mon ressenti, je pense me pencher sur les autres tomes disponibles à la médiathèque, car la saga permet à chaque protagoniste de s'exprimer (comme la série "U4" ou "Blue Cerises"). Ainsi, si dans le premier tome on suit Thomas, le second va narrer l'histoire de Liza. Les trois autres seront racontés par JC, Jonathan et Arthur. D'après ce que j'ai lu, ce dernier révèlerait beaucoup de choses et permettrait au lecteur de tout comprendre. Il me semble que l'on peut lire les quatre premiers livres dans l'ordre que l'on souhaite (à vérifier), cependant il vaut mieux lire "La Bulle" en dernier...


Lien : https://lespagesquitournent...
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Petit Pablo deviendra Picasso

« J’ai mis toute ma vie à savoir dessiner dessiner comme un enfant. »



C’est sur cette citation de Picasso que se termine le livre de Karim Ressouri-Demigneux consacré à l’enfance du plus célèbre peintre du XXe siècle. Illustré par Zaü, Petit Pablo deviendra Picasso, publié dans la collection Petit deviendra grand des éditions Rue du Monde, offre aux jeunes lecteurs une façon bien agréable de faire connaissance avec celui qui a marqué la peinture dès 1907. En effet, quand le jeune Pablo Ruiz, qui a choisi de porter le nom de famille de sa mère, signe Les demoiselles d’Avignon, il n’a que 25 ans.



Le livre, qui compte une quarantaine de pages, ne prétend pas faire le tour de la vie de Picasso, pas plus qu’il ne tente d’expliquer en quoi l’artiste espagnol a révolutionné les règles de la peinture. Petit Pablo deviendra Picasso a plutôt pour but de piquer la curiosité des enfants en nous le montrant sans cesse en train de dessiner, car à peine savait-il marcher qu’il réclamait déjà des crayons.



Voilà ici une belle entrée en matière pour parents et éducateurs prévoyant une visite au musée. Et pour tout enfant curieux de tout. Je sais qu’il y en a encore.
Lien : http://lalitoutsimplement.co..
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Artistes maudits : Le récit de 30 destins tra..

Le destin tragique d'une trentaine de peintres ou sculpteurs célèbres ou moins connus : Pollock, Séraphine de Senlis, Hugo Van der Goes, le pauvre Hercules Seghers, la courageuse Gentileschi, Courbet, Basquiat, Felix Nussbaum, Modigliani...Suicide, malchance, enfance traumatisée ou pas, alcoolisme, hasard, femmes artistes dans un monde exclusivement masculin, manque de reconnaissance, mélancolie, contexte historique dramatique, l'ouvrage retrace de façon concise et originale les destinées malheureuses de ces artistes.
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La Cité, tome 1 : La lumière blanche

Thomas, lycéen passionné de magie, s'inscrit pour participer à un nouveau jeu vidéo, La Cité. Des affiches et un lancement mystérieux. Le but du jeu : trouver le but du jeu. Etrange, n'est-ce pas ?



Dans le jeu, Thomas devient Harry, un peu plus âgé que dans la réalité. Il rencontre Arthur, Liza (prononcez "Laïza") et Jules César. Les quatre jeunes gens s'aperçoivent vite qu'ils sont dotés de pouvoirs. Petit à petit, ils explorent la Cité. Thomas y rencontre l'avatar de son meilleur ami, Jonathan. Le jeu se déroule tranquillement jusqu'au jour où Arthur est enlevé. Thomas est sûr d'avoir entendu la voix de Jonathan parmi les ravisseurs. Et si, dans la Cité, les amis et les ennemis se confondaient ? A partir de là, la violence fait son apparition dans le jeu et plus personne n'est en sécurité.



Un premier tome plutôt réussi. L'auteur prend quelques raccourcis pour avancer plus vite dans l'histoire. Le jeu n'ayant pas de but précis, les personnages ne s'étonnent pas d'avoir des pouvoirs, de découvrir des passages secrets... Mais le héros est attachant ainsi que les personnages secondaires. Les passages de magie sont agréables et instructifs. La fin est plutôt inattendue et les derniers mots m'ont vraiment donné envie de lire la suite "Oui, je crois que j'ai tout compris". Moi aussi, je voudrais tout comprendre !
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