Karin Smirnoff

Une histoire pleine de rebondissements avec un fond social et écolo passionnant, digne de la série !




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En lisant ce dernier tome de la série, je me suis rendu compte que j'en avais raté deux ! En effet le dernier en date que j'ai lu était le Tome 4 je crois. Ce dernier était pas mal, mais ça commençait déjà à sentir la vache à lait.

Ce Tome 7 m'a quelque peu déçu, on y retrouve un peu les éléments qui ont fait le succès de la série, mais certains aspects semblent imposés à l'auteure qui s'en serait surement affranchit, comme Blomkvist qui fait limite de la figuration dans cette histoire. On sent bien que l'auteure a souhaité recentrer l'intrigue autour de Lisbeth. C'est dommage de se passer de la richesse de ce personnage important en le minimisant. Même Millenium est mis plus ou moins côté alors qu'il s'agit du fil rouge de la série. Mais ça n'est pas ce qui m'a le plus déplu.

Le vrai problème vient du manque d'imagination de certaines situations. L'action est poussive et peu détaillée, là encore on sent que ce n'est pas le cœur de la cible et la noirceur édulcorée. Il semble que la série est en train de tournée grand public, ce qui lui retire tout intérêt. Millenium est devenu une série pour ménagère en mal d'émotion semi forte. Il faut de l'horreur, mais pas trop quand même pour ne pas choquer. Le créateur de cette série me manque...

Il s'agit du premier tome d'une trilogie. Je lirai surement la suite par curiosité, mais je n'en attend pas grand chose. Reste à voir si j'ai raté quelque chose avec les deux tomes précédents. A suivre.

Nous sommes dans le Nord de la Suède, à Gasskas.

Lisbeth Salander y vient pour s'occuper de la fille de son demi- frère décédé tant haï : Svala. En effet la mère de celle-ci a disparu et sa grand mère est décédée, Il faut que quelqu'un l 'a accueille.

Lisbeth se rend sur place pour trouver un moyen de ne surtout pas s'occuper d'une ado surdouée.

Mickaël Blomqvist, le journaliste de Millénium est également présent dans la région car sa fille se marie. On le retrouve dans ce septième tome grand-père d'un garçon nommé Lukas.

Le futur gendre est employé dans les sphères municipales et travaille sur un gros projet : un immense parc éolien. Mais tous les habitants n'y sont pas favorables .

Un autre projet ; la réouverture d'une mine à ciel ouvert qui risque de polluer les lacs et les nappes phréatiques.

L' atmosphère est orageuse et il y a des disparitions non expliquées.



Lisbeth et Mickaël vont unir leurs forces pour contrer les forces du mal.



J'ai trouvé une Lisbeth plutôt calme, plus posée.

Quant à Mickaël, plutôt dépressif suite à la disparition du journal Millénium version papier.

L' histoire a été longue à démarrer. C' est vrai que j' attendais les retrouvailles de Lisbeth et Mickaël avec impatience.

C'est un véritable challenge pour Karin Smirnoff de poursuivre l'aventure de Millenium, c'est le premier tome d'une trilogie . Je suis curieuse de lire le deuxième tome.

Premier livre d'une nouvelle trilogie écrite par Karin Smirnoff. Je m'étais arrêtée à la première et n'avais pas été tentée par la deuxième car les critiques m'en avaient dissuadée. Ce numéro 7 redonne l'esprit initial et se base d'une façon très intéressante sur les problèmes des dérives financières des actions écologiques dont le Nord de la Suède est loin d'être épargné. Cela donne du muscle et de la chair à l'histoire. et Karine Smirnoff ajoute sa touche personnelle et sa créativité avec talent. Son style est percutant et quand elle insère en italique les pensées personnelles des différents personnages cela marche très bien. Elle instille aussi les rappels utiles sur l'époque des premiers Millenium et installe avec adresse des nouveaux personnages qui si ils prennent le relai de Lisbeth et de Blomkist, cela va très bien "le faire". Je recommande parce que la cause écologique de ce livre est très juste et bien défendue avec une forte énergie.

Il serait temps de laisser reposer en paix Lisbeth Salander et

Mikaël Blomkvist même si j'ai beaucoup aimé ces deux personnages. Cette sortie de cercueil est de trop car Stieg Larsson n'est plus depuis 2004. La seconde trilogie de David Lagercrantz n'était pas mal mais ce nouvel essai est raté. Tout est raté même les personnages que j'aimais tant sont incolores, insipides et sans saveur. Adieu je ne vous verrais plus.

Quelle déception. Il va falloir arrêter d'essayer d'égaler Stieg Larsson. personne ne lui arrive à la cheville. Lisbeth et Mickaêl (quasiment inexistant dans cet opus) ont perdu leurs personnalités, leurs exubérances.. et l'alchimie qui les liait. L'intrigue est légère, c'est poussif, mal écrit. En bref, passer votre chemin.

Merci à Babelio de m'avoir permis de lire ce livre alors que j'avais pas lu les tomes de 4 à 6.

J'ai eu plaisir a suivre à nouveau Lisbeth et Michael dans ce nouvel opus. Ils se retrouvent dans une ville du nord de la Suede face à de nouvelles intrigues et un nouveau grand méchant.

Le style est different de l'auteur initial et il manque un peu de percussion.

Le livre plante les personnages et le contexte qui seront developpes dans les 2 prochains tomes.

C'est un bon policier mais pas un livre exceptionnel qui peut se lire sans souci.

Style décevant, histoire décousue, ce septième volume de Millenium est véritablement désespérant... Dialogues d'une pauvreté extrême marqués uniquement par la vulgarité ; action longue à se mettre en place... Non, rien ne va dans ce Millenium, et je sens que je vais en abandonner la lecture...

Karin Smirnoff est partie pour une trilogie, tentant de copier le rythme vif et intrigant de Stieg Larsson sans y parvenir. L’autrice s’essouffle vite, les lecteurs aussi.
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Quatre ans.

Quatre ans qu’on attendait le retour de Lisbeth.

Et même si la deuxième trilogie n’avait pas vraiment su convaincre, peu importe, Millenium reste Millenium. Vous allez vous demander si on doit ABSOLUMENT avoir lu les précédents tomes avant d’entamer ce nouveau roman ? Je vous répondrai qu’effectivement les personnages évoluent au fil des enquêtes. MAIS les mentions d’autres enquêtes sont parfaitement amenées si bien que non, vous ne serez pas perdu(e)s si vous n’avez pas lu le tome 6. De toute façon, quatre ans après, qui se souvient exactement de tout ce qui a pu se passer dans le précédent ?

Cette année c’est une femme qui reprend le flambeau et entame une nouvelle trilogie : Karin SMIRNOFF. Je vous conseille d’ailleurs d’aller sur le site d’Actes Sud où vous pourrez visionner une vidéo de l’auteure qui vous parle de son roman, d’elle et de son pays. Très intéressant.

La fille dans les serres de l’aigle replace d’entrée la saga en haut du hit-parade des meilleurs polars Suédois. On retrouve enfin le rythme, la psychologie des personnages créés par Stieg Larsson et dont la seconde trilogie s’était un petit peu éloigné. A la décharge de David Lagercrantz, il était très attendu au tournant et il n’est jamais bon de comparer deux auteurs. Stieg Larsson a ses aficionados mais c’est quand même génial de pouvoir retrouver ses personnages. Karin Smirnoff lui rend hommage avec brio.

L’histoire se déroule à Gasskas, dans le nord de la Suède où vit l’auteure, et dont Henri Salo est le maire mais aussi un industriel qui a pour vœu de développer un immense parc éolien sur les lieux d’élevage des rennes en expropriant, en menaçant, des gens du village qu’il connait, parfois, depuis sa plus tendre enfance. Mais en dehors de ses fonctions, Salo est aussi le futur gendre de Mikael Blomkvist, l’ancien journaliste du Millenium devenu un podcast et nostalgique de ces années passées auprès de Lisbeth.

Cette dernière, toujours aussi solitaire, se voit confier une ado indomptable pour un certain temps… à Gasskas.

Le duo va se reformer pour faire face à des magouilles et des cadavres plus ou moins anciens.

Comme je le disais, c’est très rythmé, le style est totalement adapté au scénario.

Le message écologique est également très présent, l’énergie éolienne encore une fois pointée du doigt. Là encore on voit bien qu’il est compliqué de concilier avancées technologiques et recherches d’énergies alternatives aux énergies fossiles avec préservation de l’environnement et protection des élevages.

Karin Smirnoff nous promet avec ce septième volet une nouvelle trilogie de qualité et si Millenium n’est plus, Mikael et Lisbeth sont toujours là.

A lire chez Actes Noirs et à suivre donc…


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Quand j'ai appris qu'un septième tome de millenium allait paraître j'étais ravi de retrouver Michael et Lisbeth. Mais ce septième tome n'est pas aussi bon que les tomes précédant. On apprend dans ce livre que Michael Blomqvist est devenu grand-père et que sa fille se marie avec un homme qui veut se faire de l'argent. La deuxième nouvelle : Lisbeth Salander se retrouve à avoir une nièce. Son frère a eu une fille qui a 13 ans. L'enquête en elle-même est bien mais il manque un petit quelque chose pour vraiment aimer cet opus. Je vais quand même suivre les prochaines aventures de Michael et Lisbeth.

Après plusieurs années de silence, voilà que le Millenium va refaire parler de lui. Et pour cause, le journal a tiré sa révérence pour laisser place aux podcasts ce qui n'est pas au goût de tous ses actionnaires.



Qui dit nouveauté dans cette saga signifie également nouvel auteur ! La fille dans les serres de l'aigle constitue le premier tome d'une nouvelle trilogie écrite par la romancière suédoise Karin Smirnoff pour laquelle la maison d'édition lui a donné carte blanche.



Dans ce premier opus, Karin Smirnoff va évoquer de nombreux sujets d'actualité notamment en lien avec les questions environnementales. En proposant une intrigue qui se déroule dans le grand Nord de la Suède, l'auteure va se pencher sur la question très intéressante du peuple lapon et de leur devenir dans cette région tiraillée entre tradition et expansion économique.



J'ai pris plaisir à découvrir les différentes intrigues, mais, j'ai regretté que leurs résolutions soient trop rapides et fassent l'objet de certaines facilités même si la plume de Karin Smirnoff est agréable à lire et se révèle moins journalistique et plus romancée que celle de Steig Larsson.



On retrouve nos deux protagonistes principaux ainsi que d'autres rencontrés ponctuellement, mais finalement, Michaël devient un personnage très secondaire au profit d'une nouvelle génération constituée de la nièce de Lisbeth.

En redistribuant les cartes et en offrant une place centrale à la jeune Svala, Karin Smirnoff insuffle un vent de fraîcheur et d'espoir qui marque son souhait de tracer son propre chemin à l'instar de celui pris par David Lagercrantz.



Je tiens à remercier les Éditions Actes Sud et Babelio pour l'organisation de cette rencontre qui m'a permis d'en apprendre plus sur le travail d'écriture de Karin Smirnoff pour cette nouvelle trilogie.

Je ne me souvenais pas que Millénium était aussi violent. Et j'étais perplexe. Comment se faisait-il que j'ai pu oublier cette violence? Qu'est-ce qui faisait que j'avais autant aimé les premiers tomes alors?

C'était Salander et Blomkvist. Bien sûr. Ha quels personnages ! Travaillés, atypiques, intelligents, attachants. Également la défense des droits, sans concession. Celui des femmes, des enfants, de l'homme en général. Malgré le sordide et les personnages entourant nos héros tous plus abjects, répugnants et immoraux les uns des autres, j'ai aimé Millénium.

Alors je me suis dit, tiens je vais retrouver Lisbeth et Mikaël avec bonheur sous une autre plume (encore) celle de Karin Smirnoff.

Que nenni ! Quelle déception. En ce qui concerne Blomkvist, il vient faire le jars quelques instants dans un journal local et le reste du temps ma foi, il fait le bibelot. Salander, se découvre une nièce, quasi un clone d'elle même côté QI et se demande ce qu'elle pourra bien en faire.

Le reste du récit ce sont des personnages insipides qui jouent les gros durs et les gros bras, ce sont des édiles municipaux corrompus au service du développement régional sans concession, bref des personnages sans couleur dans un récit confus et maladroit. Pour donner du goût à cette sauce qui ne prenait pas, on y a ajouté des scènes, bien évidemment, de violence, de violence sexuelle, de bagarres bien senties et de batifolage. Malgré tout, le plat est, disons, plus qu'imparfait.

D'abord on se demande pourquoi encore une suite à cette histoire alors que l'auteur de cette série, le vrai, n'est plus là ? Et puis on retrouve les "protagonistes", bien sûr le temps a passé avec l'empreinte du temps que Karin Smirnofff a choisi pour eux ... et ça marche ! on attend les tomes 2 et 3 ...

Si les premiers tomes m'avaient vraiment plu, je n'ai pas réussi à entrer dans ce dernier volume. Beaucoup trop violent à mon goût, et pourtant, je lis des thrillers et autres polars... Les scènes de viols surtout, sont trop réalistes à mon goût. J'ai dû reposer le livre à plusieurs reprises. Et j'ai finalement décidé d'arrêter de me faire du mal. Je l'abandonne donc sans être arrivée à la moitié.

Tant pis pour mes 23€!...

L’écrivaine suédoise Karin Smirnoff signe "La Fille dans les serres de l’aigle", le septième volet de la saga policière, entamée il y a près de vingt ans par Stieg Larsson [...]. Un défi qui implique d’imposer sa marque sans trahir l’esprit du best-seller.
Lien : https://www.la-croix.com/cul..

La série Millenium continue autour de ses personnages centraux, lisbeth Salander et Mikael Blomkvist, et apporte quelques ingrédients pour lancer une nouvelle trilogie : nouveaux décors, nouveaux méchants, nouveaux gentils, mais est-ce suffisant pour renouveler une saga qui commence un peu à s'épuiser ?

J’étais heureuse de la parution d’un nouveau millenium et je remercie Babelio et actes sud pour l’envoi de ce tome 7.

Mais, c’est comme quand on retrouve des anciennes connaissances qu’on aimait beaucoup et qui ont changé, on est un peu déçu..

Lisbeth n’est plus vraiment Lisbeth, elle est devenue plus sage, elle fait du karaté, elle tombe amoureuse.

Millenium n’existe plus, Mikael va au mariage de sa fille. Il est impliqué mais assez inconsistant.

Cependant l’histoire est bien. La volonté d’implantation dans le grand nord d’un parc éolien géant par des individus sans scrupules et assoiffés d’argent et la résistance des habitants pour préserver leur terre et leurs élevages est très intéressante. Et puis il y a Marthä et Svala, les vraies héroïnes du scénario. Svala une petite « Lisbeth » que j’aimerais bien retrouver par la suite.

J’ai aimé les clins d’œil aux premiers tomes, on retrouve d’anciens personnages comme le policier Hans Faste, des anecdotes, des rappels…Karin Smirnoff cite même Stieg Larsson et Svala, Naomi Rapace ! Un régal !

Ce qui m’a moins plu ce sont les apartés très présents et qui parfois m’ont déroutée.

C’est cependant très rythmé et agréable à lire. Il devait être difficile de nous surprendre encore et au final, c’est plutôt réussi. J’attends la suite…

Le livre «Millenium:La fille dans les serres de l'aigle» de Karin Smirnoff est un roman dynamique , de suspense , à découvrir et où le lecteur se laisse surprendre par les différentes péripéties. On retrouve les personnages de Lisbeth Salander et Mikael Blomkvist et l'apparition d'un nouveau personnage central, Svala (la nièce de Lisbeth)

Lisbeth doit recevoir une nièce qu’elle n’a jamais vue. En effet, Svala, qui est une adolescente débrouillarde, se retrouve seule suite à la disparition étrange de sa mère. De son côté, Mikael s’apprête à assister au mariage de sa fille, avec le conseiller municipal Henry Salo. Ce dernier semble être mêlé à des affaires douteuses de pots de vin en ce qui concerne l’établissement d’un parc éolien qui pourrait provoquer le délogement des certaines personnes habitant le territoire convoité.



Je vais m’arrêter là quant au synopsis, ce roman étant très complexe. L’auteure va donc reprendre la saga Millénium et c’est une véritable réussite. J’ai trouvé qu’elle avait réussi à garder l’essence même des personnages, et à créer une intrigue qui va à toute vitesse.



D’emblée, j’ai été prise dans cette histoire pas toujours simple. C’est pourquoi il faut rester bien attentif, puisque de multiples ramifications nous amènent de pistes en pistes et beaucoup de personnages seront présents tout au fil des pages.



Ce roman peut bien évidemment se lire indépendamment des autres tomes, mais malgré tout, je ne peux que vous conseiller de découvrir les précédents, puisque bien évidemment, les personnages ont une évolution au fil des tomes.



La plume de l’auteure m’à beaucoup plu. J’y ai retrouvé beaucoup d’entrain et de rythme, notamment grâce à de courts chapitres. Les pages ont défilé.



Un premier tome de l’auteure pour poursuivre cette saga. C’est très réussi et j’ai passé un excellent moment de lecture.
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