Karin Smirnoff

Premier livre d'une nouvelle trilogie écrite par Karin Smirnoff. Je m'étais arrêtée à la première et n'avais pas été tentée par la deuxième car les critiques m'en avaient dissuadée. Ce numéro 7 redonne l'esprit initial et se base d'une façon très intéressante sur les problèmes des dérives financières des actions écologiques dont le Nord de la Suède est loin d'être épargné. Cela donne du muscle et de la chair à l'histoire. et Karine Smirnoff ajoute sa touche personnelle et sa créativité avec talent. Son style est percutant et quand elle insère en italique les pensées personnelles des différents personnages cela marche très bien. Elle instille aussi les rappels utiles sur l'époque des premiers Millenium et installe avec adresse des nouveaux personnages qui si ils prennent le relai de Lisbeth et de Blomkist, cela va très bien "le faire". Je recommande parce que la cause écologique de ce livre est très juste et bien défendue avec une forte énergie.

Malheureusement Karin Smirnoff n’a pas le talent de Stieg Larsson et le résultat s’en ressent. Rythme - écriture - sans parler de l’histoire sont extrêmement décevants. Si vous décidez de lire un bon livre évitez celui la.

Dans ce livre si on retrouve les acteurs historiques de Millénium (Mikael et Lisbeth) l’espoir d’une bonne lecture s’arrête la.

Histoire d’une banalité rare. Un rythme d’écriture basique voir incompréhensible. De nombreuses fois on ne sait plus où on est. Les liens entre les différentes « scènes » sont difficiles à suivre. J’ai failli, après avoir lu une cinquantaine de pages, laisser tomber tant le manque de liant à un sujet qui semblait intéressant était pénible.

7ème tome des aventures de Lisbeth Salander et je me pose cette question existentielle : ne serait-il pas temps de la laisser reposer en paix ?

Il est vrai que la punk rebelle de Stieg Larsson n'avait déjà plus la même saveur depuis que son créateur nous avait quittés. La 2ème trilogie nous avait déjà présenté une Lisbeth quelque peu aseptisée et un Blomkvist moins pugnace.

Ici, on nous fait le grand plan de la relève (assurée à juste titre ou pas) par un nouveau personnage qui nous suggère que l'arbre généalogique de Lisbeth ressemble à la grande famille des influenceurs : on pense qu'on sera tranquille mais on en découvre toujours des nouveaux!

Ajoutez à cela une intrigue vraiment pas fofolle et il ne reste vraiment que le plaisir de retrouver ces quelques personnages de la saga qui nous ont tant marqués dans les 1ers tomes.

Un nouveau Millénium, voilà qui ne se laisse pas passer !

Nouvelle autrice, nouvelle trilogie et nouveau souffle pour ce tome 7, premier de la troisième trilogie de Karin Smirnoff.



Pour ce nouveau roman, petit retour en direction de la première trilogie de Stieg Larsson notamment en ce qui concerne le fond derrière le polar. On retrouve l'essence initiale qui a fait que Millénium ne sera jamais juste un roman pour les Suédois et pour ses lecteurs : la dénonciation des dérives de notre société, un cri de révolte. Un peu oublié dans la frénésie d’action de la seconde trilogie, cette base revient en force ici tout particulièrement sur les thèmes de l'écologie et du racisme.



Karin Smirnoff nous emmène au nord de la Suède (là où elle vit par ailleurs) pour retrouver Mikael Blomqvist et Lisbeth Salander et on va pas bouder notre plaisir de retrouver nos deux comparses. Ce cadre du grand nord ne change pas notre proximité avec le fond du livre qui peut parler à tous, nos sociétés occidentales étant soumises aux mêmes problématiques : Millénium c'est toujours cette critique du pouvoir au plus fort, de la corruption politique et de la violence (envers les femmes) qui gangrène notre monde.



L’autrice n’a pas essayé de copier le style des romans initiaux et elle amène une bouffée d’air frais tout en gardant l’identité de la saga. Sans jamais égaler le niveau des premiers livres, cette suite est plaisante à lire et l’introduction de nouveaux personnages laisse entrevoir une suite intéressante.



Mon seul petit bémol personnel reste la fin du livre un peu confus. On aurait dit que l’écrivaine ne savait pas comment finir son histoire ou du moins l’a fait de façon bien trop précipité. Lors de la rencontre Babelio, elle a d’ailleurs souligné le fait qu’elle avait du modifier une grande partie de la fin de son livre. J’espère que ce défaut à mes yeux ne réapparaîtra pas dans la suite que je ne manquerai pas de lire.

Style décevant, histoire décousue, ce septième volume de Millenium est véritablement désespérant... Dialogues d'une pauvreté extrême marqués uniquement par la vulgarité ; action longue à se mettre en place... Non, rien ne va dans ce Millenium, et je sens que je vais en abandonner la lecture...

Reprendre la plume d'une série à succès n'est pas toujours simple et je trouve malheureusement que l'actrice n'a pas su relever le défi pour plusieurs raisons :

Tout d'abord, l'esprit de Millénium est absent (et je je parle pas juste du journal) car nous n'avons pas ce grand scandale que Mickael Blomkvist s'efforce à diffuser, parfois même au péril de sa vie.

Pareil pour Lisbeth, son personnage paraît désormais assez vide par rapport à ce qu'elle était dans les tomes précédents.



Parlons ensuite de l'histoire en elle même : tous les ingrédients étaient là et pourtant ça ne réussit pas à nous embarquer. La principale raison de cette situation est pour moi le manque de lien et de clarté entre les personnages ce qui nous empêche de comprendre et donc de nous impliquer dans l'histoire.



Ayant de plus en plus de mal à apprécier les tomes de Millénium, je pense qu'il est temps pour moi d'arrêter de les lire et je pense qu'il est temps pour l'éditeur d'arrêter de vouloir continuer cette série, au prétexte que les livres se sont vendus dans un grand nombre d'exemplaires

J'avais beaucoup aimé les 3 premiers, et pas réussi à terminer le 4eme. Et là, sur ce tome, j'ai retrouvé l'esprit des premiers tomes. Des rebondissements, du renouvellement et des nouveaux personnages surprenants. On s'attache à cette Svala de 13ans, on a envie de la suivre encore longtemps.

Ce qui renouvelle aussi le genre c'est l'actualité du contexte : on est dans une intrigue dans un contexte de greenwashing, de droit de la communauté Sami de garder son mode de vie, en plein dans les grands enjeux du présent et du futur.

Très, très en colère je suis

Après lecture de ce 7e opus, je me pose une question.....

Jusqu'à quand Actes Sud va exploiter le filon Millenium ?

Parce que c'est de pire en pire ! Une vraie daube que ce dernier volume. Mal écrit, aucune vrai intrigue. Du 4e au 6e je me disais déjà que c'était de pire en pire, mais là c'est le summum . Stieg Larsson doit se retourner dans sa tombe.

Et je ne remercie pas les blogueurs et blogueuses à qui l'éditeur a envoyé ce livre gratuitement et qui se sentent obligés d'en dire du bien !

C'est tout ce que j'ai à dire sur ce livre. Non, une dernière chose..... vous pouvez économiser les 20 et quelques euros

que coûte cette chose !

Et si on laissait Lisbeth Salander et Mikael Blomkvist reposer en paix au panthéon des personnages de romans policiers ?



Puisqu'il ne faut pas attendre de Karin Smirnoff le retour de personnages flamboyants, autant abandonner cette franchise commerciale qui s'appauvrit.



Malgré les efforts de l'autrice de s'ancrer dans l'actualité, autour d’un marché d’implantation d’éoliennes à Gasskas, dans le Nord de la Suède, elle semble constamment flotter à côté de son intrigue et peiner à construire un récit cohérent. Les dialogues sont plats et n'apportent que peu d'informations. Elle donne l'impression d'être passée à côté de scènes importantes qui auraient pu dynamiser la narration, pour privilégier des scènes anecdotiques bien fades. Si l'ellipse est un procédé qui favorise le suspense et donne du rythme à l'action, son utilisation est ici contre-productive. On a l'impression de voir les personnages en ombres chinoises sans comprendre la logique de leurs actions.



Autre problème dans l'écriture du roman : l'absence de passages descriptifs. Les paysages autour de Gasskas, le nid d'aigle de Branco, la ville elle-même sont si peu évoqués qu'ils empêchent toute projection géographique et spatiale. Il en va de même pour les personnages, alors même qu'ils sont nombreux à être nouveaux pour les lecteurs de Millénium, et qui sont à peine esquissés physiquement et psychologiquement.

Restés à distance tels des marionnettes , ces personnages ne suscitent ni identification, ni empathie, ni même colère à part Svala, la nièce de Lisbeth que l'on perçoit rapidement comme le clone de sa tante.



Et puis, il y a Mikael Blomkvist à qui l'autrice a concédé le rôle de potiche. Il s'agite un peu lorsque son petit-fils est enlevé mais est directement mis hors circuit par une blessure. Ses relations avec Pernilla, sa fille inconnue des lecteurs, sont décrites avec le minimum de perspicacité.

"Comme tous les papas, il veut aider son enfant. Comme beaucoup de papas, il ne sait pas comment faire."

En séducteur vieillissant, il se tient à côté de Birna, l'enquêtrice qui a succombé à un charme que l'on n'avait pas soupçonné.



Lisbeth bénéficie d'un espace plus conséquent, mais elle semble ne le mériter que parce qu'elle est la tante d'un nouveau petit prodige sur lequel elle doit veiller. En endossant cette responsabilité, elle perd ses talents de hackeuse, son intelligence et sa mémoire exceptionnelles pour devenir une banale enquêtrice.



Alors même si l'on conçoit que les héros peuvent vieillir, changer de méthodes ou laisser la place à une nouvelle génération, cet épisode raté ne mérite pas que l'on s'y arrête.

La romancière suédoise Karin Smirnoff signe “La fille dans les serres de l’aigle”, premier volet d’une trilogie sous son nom et poursuite de la saga de Stieg Larsson.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..

La fille dans les serres de l'aigle, tome 7 de Millénium, de Karin Smirnoff m'a beaucoup plu.

Quel plaisir de retrouver Lisbeth Salander, mon héroïne de thriller préférée ! Elle va être appelée dans le Nord de la Suède à Gasskas, sa nièce de 13 ans étant seule depuis la disparition de sa mère et le décès de sa grand mère. Mikael Blomkvist se rend là bas également pour le mariage de sa fille.

Mais plusieurs éléments vont faire que Lisbeth va vite se retrouver à enquêter sur ce qu'il se passe dans cette ville et à chercher la mère de sa nièce.

Un roman très intéressant sur plusieurs sujets, la corruption et la transition écologique notamment. La nièce Svala est un personnage central qui est vraiment très intéressant, j'espère la retrouver dans les deux prochains romans, celui ci étant annoncé comme le début d'une trilogie.

Je pense qu'il peut se lire sans avoir lu les précédents même si c'est intéressant de connaitre la passé des personnages.

Je ne me souvenais pas que Millénium était aussi violent. Et j'étais perplexe. Comment se faisait-il que j'ai pu oublier cette violence? Qu'est-ce qui faisait que j'avais autant aimé les premiers tomes alors?

C'était Salander et Blomkvist. Bien sûr. Ha quels personnages ! Travaillés, atypiques, intelligents, attachants. Également la défense des droits, sans concession. Celui des femmes, des enfants, de l'homme en général. Malgré le sordide et les personnages entourant nos héros tous plus abjects, répugnants et immoraux les uns des autres, j'ai aimé Millénium.

Alors je me suis dit, tiens je vais retrouver Lisbeth et Mikaël avec bonheur sous une autre plume (encore) celle de Karin Smirnoff.

Que nenni ! Quelle déception. En ce qui concerne Blomkvist, il vient faire le jars quelques instants dans un journal local et le reste du temps ma foi, il fait le bibelot. Salander, se découvre une nièce, quasi un clone d'elle même côté QI et se demande ce qu'elle pourra bien en faire.

Le reste du récit ce sont des personnages insipides qui jouent les gros durs et les gros bras, ce sont des édiles municipaux corrompus au service du développement régional sans concession, bref des personnages sans couleur dans un récit confus et maladroit. Pour donner du goût à cette sauce qui ne prenait pas, on y a ajouté des scènes, bien évidemment, de violence, de violence sexuelle, de bagarres bien senties et de batifolage. Malgré tout, le plat est, disons, plus qu'imparfait.

Je n'ai pas lu les tomes 4à 6 de Millénium, mon opinion se porte donc uniquement sur une comparaison avec les 3 premiers tomes.

Je m'attendais à une suite, à une cohérence sur les personnages, la rédaction, l'histoire par rapport à la triologie initiale. J'avais certainement tort. Comment peut-on attendre d'un auteur qui a son propre style, son propre message à faire passer et qui écrit de surcroit des années après l'histoire initiale de la reprendre là où elle a été laissée.

J'ai eu l'impression que l'auteur utilisait le succès de Millenium pour vendre une histoire qui aurait très bien pu exister seule. Même le personnage de Lisbeth, personnage central, a bien changé et perds selon moi de son identité.

L'histoire est très dense, parfois trop, j'ai eu la sensation que l'auteur avait trop de choses à raconter et ne savait pas quoi choisir. Mon avis est mitigé

Lisbeth doit recevoir une nièce qu’elle n’a jamais vue. En effet, Svala, qui est une adolescente débrouillarde, se retrouve seule suite à la disparition étrange de sa mère. De son côté, Mikael s’apprête à assister au mariage de sa fille, avec le conseiller municipal Henry Salo. Ce dernier semble être mêlé à des affaires douteuses de pots de vin en ce qui concerne l’établissement d’un parc éolien qui pourrait provoquer le délogement des certaines personnes habitant le territoire convoité.



Je vais m’arrêter là quant au synopsis, ce roman étant très complexe. L’auteure va donc reprendre la saga Millénium et c’est une véritable réussite. J’ai trouvé qu’elle avait réussi à garder l’essence même des personnages, et à créer une intrigue qui va à toute vitesse.



D’emblée, j’ai été prise dans cette histoire pas toujours simple. C’est pourquoi il faut rester bien attentif, puisque de multiples ramifications nous amènent de pistes en pistes et beaucoup de personnages seront présents tout au fil des pages.



Ce roman peut bien évidemment se lire indépendamment des autres tomes, mais malgré tout, je ne peux que vous conseiller de découvrir les précédents, puisque bien évidemment, les personnages ont une évolution au fil des tomes.



La plume de l’auteure m’à beaucoup plu. J’y ai retrouvé beaucoup d’entrain et de rythme, notamment grâce à de courts chapitres. Les pages ont défilé.



Un premier tome de l’auteure pour poursuivre cette saga. C’est très réussi et j’ai passé un excellent moment de lecture.
Lien : https://mavoixauchapitre.hom..

La fille dans les serres de l’aigle de Karin Smirnoff, présentation

Le nettoyeur vit seul dans la forêt. Il n’est rien. Il s’occupe à donner à manger aux aigles. Il observe la nature. Une seule personne a son numéro de portable. Il doit accomplir une nouvelle mission. On lui livre une femme, il peut en faire ce qu’il veut.



Avis La fille dans les serres de l’aigle de Karin Smirnoff

#Millenium7





Et le premier d’une nouvelle trilogie. J’ai profité de ma Kube Majuscule pour le recevoir car j’avais lu la sortie de ce nouvel opus. En quelques lignes, cela ne valait pas le coup de faire une nouvelle suite à Millenium. J’avais pas mal aimé les trois précédents opus.





Premier point, je ne me rappelais pas que Mikael avait une fille, Pernilla. Deuxième point, je ne me rappelais que Lisbeth avait tué son demi-frère.



Svala est une jeune adolescente de 13 ans, qui attend le retour de sa mère. Elle arrive à décoder tous les systèmes à nombres et elle ne ressent pas la douleur. Elle est utilisée pour ses facultés par l’ancien compagnon de sa mère qui souhaite retrouver tout l’argent qu’il a investi.



Mikael est invité au mariage de sa fille. Il ne connait pas son gendre. L’été précédent, il a passé quelques semaines avec son petit fils. Mikael n’a plus aucune relation avec Erika car Millenium c’est fini et il ne veut pas s’y faire.



Lorsque Mikael rencontre son gendre, il a très vite compris à quel type d’homme il a affaire. Une sorte de maire de sa commune qui essaie d’oeuvrer tant et plus pour le bien de ses administrés mais aussi pour le sien, en tentant de récupérer des contrats qui vont asseoir son autorité, son pouvoir. Après une enfance chaotique auprès d’un père v!olent, il s’est fait tout seul, sans l’aide de sa famille, ni de son frère car à un moment de leur adolescence, ils ont été placés. Mais les enjeux sont très importants avec cette énergie verte, qui va permettre à la Suède de pouvoir produire de l’électricité et d’avoir des entreprises qui vont investir. Mais une poignée d’irréductibles veulent contrecarrer ce projet car cela va défigurer la nature et chasser les animaux.



Svala retrouve sa grand-mère morte, elle est maintenant seule au monde, sauf que les services sociaux ont retrouvé sa tante qui n’est autre que Lisbeth. Les services sociaux demandent à cette dernière de s’occuper de sa nièce. Après avoir tergiversé, elle accepte pour quelques jours et au fur et à mesure du roman, elle va se prendre d’affection pour cette jeune fille qui lui ressemble, qui a besoin d’aide pour retrouver sa mère, qui est très intelligente et insensible à la douleur, elle se moque de qui meurt ou pas. Toujours en thérapie, Lisbeth va se découvrir une fibre familiale. Libeth en veut toujours à Mikael, mais leur enquête va les amener à se recontacter, se retrouver, surtout lorsque le petit fils de Mikael est enlevé.



Un cocktail explosif avec un homme qui veut assouvir ses fantasmes, maintenir son pouvoir occulte, un jeu de pouvoir, de pots-de-vin avec en ligne de mire le bien de la planète. Ceux-là ne s’occupent pas du bien de ceux qui n’auront plus rien.



J’ai bien aimé retrouver Lisbeth et ses relations avec sa nièce, Svala, laquelle retrouvera la famille de sa mère mais conservera des liens avec sa tante. Les retrouvera-t-on dans un prochain tome ?



Ce roman ne m’a fait ni chaud, ni froid. Je n’ai eu aucune difficulté à le lire, mais je me rends compte qu’il m’est très difficile d’en écrire une critique réellement constructive. Millenium évolue avec le temps, les scandales politiques, l’actualité de la planète. Les journaux tendent à disparaître mais pour le moment, pas les livres. Les personnages ont également évolué, ils tendent à être moins présents, comme Mikael, mais ils sont remplacés par d’autres, comme Slava. Quand je commence des séries, il m’est difficile de dire stop, même si les romans ne remportent pas forcément mon adhésion. Par conséquent, je lirai les deux suivants et j’espère que ce sera beaucoup mieux.
Lien : https://livresaprofusion.wor..

(Jusqu'à présent j'écrivais ici essentiellement des critiques de livres que j'avais particulièrement appréciés. En 2024, j'essaierai de chroniquer tous les livres que je lirai jusqu'à la fin.)



Je ressors assez mitigé de ce tome 7 de la saga "Millénium". Il y a des points positifs, et avant tout selon moi un réel respect de l'œuvre du regretté Stieg Larsson et de ses personnages, avec de réguliers et appréciables rappels d'événements survenus lors des trois premiers tomes.



Mais je n'ai malheureusement accroché ni avec le style d'écriture de l'autrice, ni avec l'intrigue, qui m'a semblée bancale par moments, avec de surcroît un air de déjà-lu (je n'en dirai pas plus car je suis contre le divulgâchis ^^).



Je crois que l'aventure "Millénium" s'arrête là pour moi. J'en retiendrai une première trilogie remarquable, des tomes 4 et 5 presque tout aussi passionnants, puis malheureusement des tomes 6 et 7 qui m'auront nettement moins emballé, surtout ce dernier.

Suffit-il d’avoir été un livre à (très grand) succès pour mériter une suite ad vitam aeternam ? La question se pose très sérieusement à propos de "Millénium", avec le septième volet des aventures de Lisbeth Salander et de Mikael Blomkvist.
Lien : https://www.lexpress.fr/cult..

J’étais heureuse de la parution d’un nouveau millenium et je remercie Babelio et actes sud pour l’envoi de ce tome 7.

Mais, c’est comme quand on retrouve des anciennes connaissances qu’on aimait beaucoup et qui ont changé, on est un peu déçu..

Lisbeth n’est plus vraiment Lisbeth, elle est devenue plus sage, elle fait du karaté, elle tombe amoureuse.

Millenium n’existe plus, Mikael va au mariage de sa fille. Il est impliqué mais assez inconsistant.

Cependant l’histoire est bien. La volonté d’implantation dans le grand nord d’un parc éolien géant par des individus sans scrupules et assoiffés d’argent et la résistance des habitants pour préserver leur terre et leurs élevages est très intéressante. Et puis il y a Marthä et Svala, les vraies héroïnes du scénario. Svala une petite « Lisbeth » que j’aimerais bien retrouver par la suite.

J’ai aimé les clins d’œil aux premiers tomes, on retrouve d’anciens personnages comme le policier Hans Faste, des anecdotes, des rappels…Karin Smirnoff cite même Stieg Larsson et Svala, Naomi Rapace ! Un régal !

Ce qui m’a moins plu ce sont les apartés très présents et qui parfois m’ont déroutée.

C’est cependant très rythmé et agréable à lire. Il devait être difficile de nous surprendre encore et au final, c’est plutôt réussi. J’attends la suite…

Quelle déception ! 😭

J'ai vraiment été très déçu par ce nouveau roman de la série Millenium que je me faisais pourtant une joie de decouvrir. 😠😠😠

Autant j'avais adoré les 2 précédentes trilogies (que j'ai lues plusieurs fois, d'ailleurs !), autant j'ai été déçu par l'intrigue quasi inexistante, le manque de rythme, l'écriture...

J'ai lu que Karin Smirnoff prévoyait encore 2 tomes, je suis d'ores et déjà certain que je ne me fatiguerai pas à les lire.

Karin Smirnoff, ce n’est toujours pas la bonne descendance de Stieg Larsson.



Certes un peu mieux que David Lagerkrantz dans l’écriture, le style et la structure, mais toujours rien à voir avec les trois premiers Millenium écrits par Stieg Larsson. Celui-ci avait le don de vous captiver. Malgré les descriptions de scènes terribles, ses livres étaient des page-turner ou si je veux parler un français correct, des accrolivres. Avant Stieg Larsson je ne supportais pas les scènes trash mais étonnamment, avec lui, ça passait.



Dans ce 7ème volume il y a aussi quelques très moches actions, mais ce sont surtout certains personnages qui m’ont foncièrement déplu. Blanco, par exemple, un sombre entrepreneur postulant pour l’acquisition d’un immense terrain pour l’implantation d’éoliennes dans un magnifique environnement suédois, est physiquement et moralement plus près de l’animal primitif que de l’humain.



On retrouve de temps en temps les deux personnages principaux que sont Lisbeth Salander l’extraordinaire et attachante hackeuse et Mikael Blomkvist, le rédacteur du journal Millenium ; mais pas assez à mon goût, d’autant qu’à part la petite Svala de 13 ans, fille du demi-frère de Lisbeth, les autres sont fades.



L’histoire. Mikael Blomkvist rejoint la ville de Gasskas dans le Nord de la Suède où sa fille doit épouser l’excentrique Henry Salo, éminent ponte municipal. En parallèle, Lisbeth apprend qu’elle doit s’occuper de la fille de son horrible demi-frère qu’elle avait elle-même dû abattre dans un précédent Millenium.



Les propositions d’acquisition de terrains pour l’implantation du gigantesque parc éolien affluent d’autant plus que dans cette région il y a déjà une production hydroélectrique qui génère une telle quantité d’électricité que le prix de l’énergie est modique dans cette région.

Bien sûr la municipalité va devoir régler des refus de vente : celui d’une sympathique mamie qui veut mourir dans sa maison près de la forêt et des ruisseaux, ainsi que celui des éleveurs de rennes et des écolos. C’est là que Blanco va semer la terreur et utiliser les failles du passé d’Henry Salo, le futur gendre de Blomkvist, pour semer la recteur dans les deux familles.



Si, comme moi, on n’a que ce livre sur soi, on le lit : l’écriture et la traduction étant plus que corrects eux !