Kengo Hanazawa

Objectif de ce promet volet réussi : il donne envie de poursuivre sur le deuxième et dernier tome de ce seinen original et injuste.
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Hiromi et Hideo vont dnc se mettre en route pour accéder au dit refuge sur le mont Fuji mais d'abord il faut se faire une place au milieu de la foule de passants. Ces personnes semblent ne pas prendre au sérieux la situation qu'ils sont en train de vivre ni même faire attention à ce qui les entoure. Hiromi et Hideo ne seront pas toujours en sécurité au milieu de ces nombreuses personnes. En possession d'une arme à feu, ils devront tout de même fuir pour ensuite voir l'arrivée d'une aide miraculeuse. Mais sont-ils toujours en sécurité en restant tous trois entre eux ?
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Une suite très bien orchestrée où l'on retrouve notre protagoniste Hideo tout autant à côtés de la plaque. Il ne remarque toujours pas ce qui se passe autour de lui mais commence à prendre conscience du fait qu'il faut agir. Il va commettre des actes qu'il n'osera pas imaginer et en plus se dénoncera par papier ! - cela montre vraiment dans quel monde il vit. nous retrouvons le même humour que l'on a eu dans le premier tome. Nous nous arrêtons à un moment de l'histoire où nous voulons savoir le suite des événements à venir.
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Les dessins sont en noir et blanc, clairs, précis. Paysages urbains et intérieurs tokyoïtes y sont décrits minutieusement.

Tout débute par un huis-clos dans l'appartement du héros. La serrure a son importance tout au long du manga (il vérifie minutieusement sa porte chaque fois qu'il la ferme) sans que l'on sache pourquoi. Hideo est un jeune adulte. On comprend vite que le protagoniste est sujet à des hallucinations. Il a publié deux tomes d'un manga qui lui permet de dire qu'il est mangaka (auteur de manga) mais le succès a été bref et il est maintenant assistant de mangaka. On le voit travailler dans une pièce étroite avec trois autres personnes. On suit aussi sa relation amoureuse avec une jeune fille (Tekko) absolument exécrable et monstrueuse lorsqu'elle est ivre. On sent la pression portée sur Hideo par sa petite amie pour qu'il devienne un célèbre mangaka ce qui engendre de nombreuses frustrations pour le héros qui propose toujours de nouveaux storyboards à son éditeur qui les refuse. A la fin, il reçoit une invitation pour s'exercer sur un stand de tirs. Il se rend chez Tekko. Il semble ne pas voir ni entendre les alertes des autorités qui demandent aux habitants de rester chez eux. Il découvre sa petite amie dans un état inquiétant et menaçant.

De nombreux sujets sont abordés : la perversité, le rythme de travail, l'image de soi, la BD au Japon, ...

Les personnages sont déjantés, ils semblent normaux mais ont des travers à la limite de l'inquiétant.

Un premier tome qui donne envie de découvrir la suite tant les clés données dans le premier tome sont nombreuses (les hallucinations, le fusil, les morts-vivants, etc.)

On ne suit pas Hideo car on y est attaché mais par curiosité. On veut aussi savoir en quoi ce garçon bizarre pourrait être un héro.

"Cinglé!!!!!! ce manga est cinglé!!!! " voici les mots du vendeur le jour où j'ai acheté le troisième volet de I'm a hero. Et je dois dire qu'il a tout à fait raison. J'aime bien ce manga qui est entre la BD "walking dead" et un bon film gore à la Quentin Tarantino. Bon je vais un peu loin là mais c'est ce que j'ai ressenti à la lecture de ces 3 mangas. J'attends la suite avec impatience!!!!

Vous pensez que les ninja sont cool et ont la classe ? Avec ce titre vous allez voir que ce n’est pas le cas de tous…

Dans des temps anciens, les ninjas étaient des combattants hors pair qui faisait la fierté du Japon mais après la défaite du pays en 45, suite à la seconde guerre mondiale, les dernières organisations ninja encore existantes ont été démantelées. Enfin ça c’est la version officielle, puisque depuis cette date, elles œuvrent simplement dans l’ombre, dans le monde entier.

Les différentes familles se partagent les tâches et si certaines participent activement à la paix dans le monde, d’autres, moins prestigieuses, vivotent de petites missions.

C’est le cas de Kurô, un adolescent déscolarisé de 17 ans qui passent son temps dans son minuscule appartement en attendant d’être contacté. Il sait qu’il est tout en bas de l’échelle mais il ne peut rien y faire, même pas renoncer puisque le code des ninjas lui interdit de déserter. S’il le fait c’est la mort assurée.

Pour tuer le temps, il s’entraîne en s’exerçant à différentes techniques et aussi en étudiant les habitants de son immeuble. Il passe aussi de longs moments à boire avec ses voisins… C’est d’ailleurs une activité qu’il a l’air de particulièrement apprécier !

Au début du manga, il va recevoir un étrange colis qui va lui indiquer sa future mission. Un uniforme de lycée et une veste de ninja sont à l’intérieur, ce qui ne peut signifier qu’une chose, il va devoir retourner en cours, et ça ne va pas du tout l’enchanter !

En parallèle, on suit un russe qui tente d’infiltrer l’organisation des ninjas dans l’espoir de sauver sa fille ! Bien évidemment, les deux histoires vont se rejoindre très rapidement…

On va donc suivre le quotidien étrange de ce personnage qui ressemble énormément aux personnages que Kengo Hanazawa à l’habitude de nous dépeindre : des gens qui ne rentrent pas dans le moule de la société !

Après s’être attaqué aux zombies dans I am a Hero, cette fois c’est les ninjas et leur noblesse qui va en prendre un coup. On reconnaît le style de l’auteur dans le récit aussi bien que sa patte graphique. Le premier tome est plutôt sympa, on nous plante un peu le décor en introduisant du suspense et du mystère pour la suite. Un gros truc se prépare mais on ignore totalement de quoi il peut s’agir. On sait juste que Kurô va se retrouver au milieu de tout ça et que ça ne va pas tellement l’arranger :)

Si vous aimez les anti héros et les histoires rocambolesques vous serez conquis !
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En voilà un nouveau titre qui me faisait vachement envie! J’ai eu très envie de le découvrir et je n’ai pas été déçue le moins du monde! J’ai adoré ce premier tome, il y a un peu un côté complètement barré avec beaucoup d’humour. Je suis déjà hyper impatiente de découvrir la suite de cette histoire, je sens que je vais passer un excellent moment à chaque fois. Moi qui aime les histoires avec les ninjas, je dois bien avouer qu’ici, il s’agi d’une histoire avec des ninjas quelque peu particuliers!



Dans ce premier tome, on découvre que même après des siècles, les ninjas sont parmi nous. Jouissant autrefois d’un grand prestige, ces combattants émérites avaient disparu après-guerre, leur organisation prétendument démantelée par les Forces Alliées. En réalité, il n’en est rien. Aujourd’hui, ces maîtres en infiltration, espionnage ou assassinat compteraient près de 200 000 membres : une partie représente une élite prenant part aux conflits à grande échelle, tandis que l’autre peine à se maintenir en activité. C’est le cas de Kurô Kumogakure, jeune shinobi aussi redoutable que désœuvré… Son quotidien de faux oisif bascule le jour où on lui confie enfin une mission : stopper un tueur d’origine russe, prêt à tous les massacres pour infiltrer l’organisation des ninjas.



Les histoires avec les ninjas, j’adore ça, mais il est vrai qu’ici ce sont des ninjas particuliers. Surtout notre personnage principal, Kurô. C’est un peu un flemmard, appelons un chat un chat n’est ce pas.. Il passe son temps à glander et ne rien foutre. Il n’a aucune mission et passe son temps à squatter chez son voisin. Mais sa petite vie tranquille va finir par basculer lorsqu’il reçoit un ordre de mission, il doit stopper un tueur russe qui est prêt à tous les massacres pour pouvoir infiltrer l’organisation des ninjas.. D’ailleurs ce personnage m’a beaucoup fait rire, la façon dont il s’y prend pour infiltrer l’organisation, c’est complètement déjanté! J’ai beaucoup aimé le personnage de Kurô, il m’a bien fait rire parfois. Surtout la scène avec sa voisine ou même lorsqu’il découvre son voisin avec un soutien gorge. C’est des petites situations comme ça qui m’ont bien fait rire. Je suis très curieuse de suivre sa mission, surtout lorsque l’on découvre le pouvoir de sa veste.. Je sens que la suite va être très intéressante!



Ce premier tome m’a bien fait rire et m’a captivé également. Je suis hyper impatiente de découvrir ce que la suite de ce manga va nous réserver. Des ninjas dans notre monde actuel, l’histoire est super plaisante à découvrir. Le personnage principal est intéressant à suivre, je sens qu’il va bien me faire rire par la suite encore. J’avais hâte de découvrir ce nouveau titre mais maintenant mais maintenant j’ai encore plus hâte d’avoir la suite entre les mains!
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Un premier tome pas terrible à vrai dire, je n'accroche pas aux personnages, ils sont un peu trop médiocres pour nous interpeller réellement. J'ai du mal à discerner ce qui est réel de ce qui ne l'est pas . J'espère que les prochains tomes seront meilleurs.

3ème tentative et 3ème déception car je n’accroche pas à l’histoire, ou plutôt au ton de ce manga où j’ai l’impression que l’ensemble des personnages sont idiots ou en tout cas incohérents dans leur comportement.

Alors certes, le personnage principal est clairement un anti-heros plutôt simplet et idiot mais tout autour de lui porte le sceau du second degré. Ce n’est pas un style que je n’apprécie pas mais là je n’accroche pas. L’histoire est également un peu longue à se mettre en place, on est un peu perdu (comme le personnage principal) et cela fait trois tomes qu’on suit ce seul personnage sans aucun personnage secondaire valable et sans rien d’autre que des scènes de zombies improbables.

Je n’ai pas du tout accroché à ce manga mentionné comme horrifique, tout simplement parce que pour l’horreur, il faut la chercher.

Alors je veux bien que ce soit le premier tome, celui qui présente la série mais je n’ai pas accroché au style de l’auteur, au scénario pour le moins alambiqué.

Les dernières pages du manga vont peut-être me faire tenter le second tome, on ne sait pas ce que nous réserve la suite mais il faudra, cette fois-ci, que l’histoire décolle dès là début !

Monstre indétrônable depuis plusieurs années, le zombie fait encore fantasmer les fans d’apocalypse. Et le désormais classique I AM A HERO est un excellent manga pour se faire peur tout en ayant un point de vue différent sur la catastrophe. Habitués aux films et séries américains sur le genre, les lecteurs se retrouvent dans une société où le droit de port d'armes est extrêmement réglementé. Votre mission : abattre le plus de zombies avec un parapluie ! Si j'ai grossièrement caricaturé l'enjeu, l'idée reste assez vrai. Ne tombez pas dans le panneau avec la couverture du premier tome. Si le héros a en sa possession un fusil, le manga nous répétera de nombreuses fois qu'il est l'exception qui confirme la règle ! Ajouté à cela des citadins très respectueux des codes de société - du moins au début de l'épidémie - et vous obtiendrez des scènes atroces presque hallucinantes dans les rues de Tokyo ! Avec en prime un style graphique terriblement réaliste et une panoplie de zombies aux corps grotesques, le manga a de quoi faire reculer tous les futurs touristes. A vos risques et périls !
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Le héros est étrange, il est difficile de s'identifier à lui à cause de son côté parano très développé, mais il est attachant d'une certaine façon.



La mise en place de l'intrigue diffère de ce que j'ai pu lire auparavant, car elle prend son temps. On suit et on apprend à connaître le héros dans son quotidien, à son lieu de travail. A travers son métier d'assistant mangaka, on voit les dures conditions de ce métier, ainsi qu'une critique de la société japonaise moderne.



En même temps, des choses étranges se déroulent aux alentours: le mangaka parvient bien à distiller de petits indices au fil des pages et la fin de ce premier tome nous confirme nos craintes.



L'histoire est intelligente, bien menée dans ce premier tome que je viens de finir. Le dessin accompagne la lecture, les traits sont maîtrisés, soignés et donnent un côté réaliste aux personnages et paysages. Le meilleur reste la fin, avec la terrible découverte que fait le héros. Le trait est tellement bien fait que moi-même j'ai eu peur! L'aspect donné à ce que l'on voit est horrible et pourtant superbe en même temps dans sa précision.

Nous sommes enfin dans un univers post apocalyptique où les morts s'entassent. Hideo est toujours un peu à l'ouest mais il semblerait qu'il prenne un peu plus en compte tous les petits détails qui prouvent que tout ne tourne pas rond. Même s'il monte dans un taxi avec deux personnes infectées, il devient tout de même plus réaliste, il prendra donc les choses en main. Nous découvrons qu'il est assez peureux même s'il fait face à tous les obstacles qu'il rencontre. Ce tome se terminera que une nouvelle rencontre qui promet des tas de rebondissements.
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Mon avis sur ce manga...


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L'histoire ne décolle toujours pas, ça tourne en rond, il ne se passe rien. Quelques dessins de zombie par-ci par-là pour donner l'impression d'un manga type "horreur", mais finalement, ils ne font pas grand chose...

On est bien loin de "the walking dead", avec lequel "I am a hero" a beaucoup été comparé...

Je ne suis pas sûre d'aller jusqu'à essayer le tome 4...

La mise en place de l'histoire est très longue, ce qui peut être un peu décourageant. Mais à part ça, j'ai beaucoup aimé ce manga, avec un personnage principal qui travaille lui-même dans l'édition de manga, d'où quelques réflexions intéressantes sur le monde du manga aujourd'hui.

Quand à l'histoire en elle-même, à la fin du premier tome, on ne sait pas encore grand chose, mais on a envi de savoir comment Hidéo, qui n'a vraiment rien d'un héros, réagira face à la catastrophe qui arrive.

L'essentiel est assuré, à condition d'être assez réceptif à la tonalité décalée du mangaka.
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Titre : Under Ninja vol.2

Auteur : KENGO HANAZAWA

Éditeur : Pika



Le volume 2 de Under Ninja vient de sortir et KENGO HANAZAWA continue son récit toujours aussi particulier.



Le rythme de l’histoire, si particulier du volume 1, est toujours présent dans ce deuxième opus. Les personnages évoluent, toujours, au sein du bâtiment « miteux ». Leurs échangent, entre eux, sont plus intimes, KENGO HANAZAWA livre au lecteur des tranches de vies de gens écarté ou oublié de l’ascenseur social.



Le quartier dans lequel ils évoluent est leur monde, ce qui renforce encore plus l’intensité de ce huis clos !

Même dans les scènes d’actions KENGO HANAZAWA , avec un cadrage serré dans ses cases, arrive à garder cette sensation, oppressante, d’enfermement.

Les dessins sont sublimes comme dans le premier volume, les arrières plans des bâtiments comme ceux des espaces communs deviennent des personnages à part entière !



Pour ce qui est de l’histoire, KENGO HANAZAWA, en dit plus sur les Ninjas, ainsi que sur la quête de l’assassin Russe.

Pour en savoir plus, je vous laisse dans la lecture de ce deuxième opus.



Under Ninja est une série où c’est au lecteur d’investir les chapitres. Après la lecture de ce tome 2, je suis conquis par le style, l’ambiance, les personnages de cette histoire. J’ai envie de continuer à les connaître. D’être témoin de leur lendemain qu’il soit bon ou mauvais.



Lire Under Ninja c’est se regarder dans la glace en se posant la question : ai-je atteint mes rêves ?



Bonne lecture...

Notre personnage principal est dorénavant tiraillé entre la vie réelle et le virtuel, pendant que dans le virtuel une guerre s'annonce et que Tsukiko est en danger.



Ce tome diffère du premier, nous sommes beaucoup dans l'action, les choses se corses et nous avons au fil des pages les informations manquantes sur Unreal et Tsukiko.



Nous avons ici une fin qui me rend perplexe, je suis mitigée, je l'aime bien mais elle me gène aussi, elle est hors-normes et je lui trouve un côté déplacée et dérangeant.



Je fais très court car je vais en parler plus sur la duologie au complet juste après !



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Ressentiment duologie



Les deux tomes séparément sont différents entre le premier beaucoup plus humoristique et décalé et le second plus dans l'action et qui prend une tournure plus sérieuse.



L'un complète l'autre et donne une histoire remplie de péripéties toutes axées sur l'amour, le tiraillement du réel et du virtuel, de la réflexion sur le statut d'un personnage virtuel au niveau affectif et sur le progrès d'une étendue virtuelle très élaboré.



La duologie m'a fait sourire à plusieurs reprises même parfois un peu rire par son côté humoristique et décalé mais à la fois, ce même côté décalé m'a aussi rendue perplexe et mal à l'aise.



On retrouve dans mes sentiments le sentiment de tiraillement, loin d'être le même tiraillement que dans l'histoire. Le mien est entre le côté plaisir de l'originalité de l'histoire, le brisage de tabou, le culot et la mentalité chinoise et le côté morale et principes que ce soit de la normes, de la France, de moi personnellement, de la loi française et de la loi religieuse.



En tout cas je me suis attachée à Tsukiko, j'ai été marquée par le personnage dérangeant de notre héro amoureux et l'histoire m'a marquée au point de ne pas me l'a sortir de la tête et d'y penser régulièrement après plus d'une semaine sortie de celle-ci.



Petite parenthèse qui me perturbe aussi, j'ai cru comprendre que le héro à été inspiré de l'auteur, de ce qu'est l'auteur, je ne sais pas jusqu'à quel point et c'est ce qui me tiraille encore plus car sortir de notre morale dans du fictif ok mais s'il s'avère que c'est la morale de notre auteur là c'est problématique à mes yeux. Je ne sais quoi en penser mais je ne veux spoiler les petits détails qui vous feront comprendre de quoi je parle.



Histoire marquante mais coup de coeur je ne sais pas, je pourrais le dire seulement plus tard quand je me serais un peu éloignée de celle-ci, que mon tiraillement sera moins prononcé.

La couverture et le titre ne me donnaient pas trop envie au départ mais on se prend bien à l'histoire, elle est à la fois drôle, triste et dérangeante.



Le personnage principal est gerbant que ce soit physiquement ou mentalement, c'est littéralement une 💩 à mes yeux mais Tsukiko, celle qui doit normalement être sa petit amie virtuelle est mignonne, drôle et enfantin, le duo est drôle à voir.



L'idée est bien pensée, le déroulement est super, on ne s'ennuie pas mais il reste ancré quelque part en moi ce sentiment de gêne quant la relation de nos deux personnages.



Curieuse de découvrir la suite !