Kyosuke Motomi

Dans le quatrième tome, le faux Daisy semait le trouble au sein du lycée de Teru et menaçait même sa vie. Il continue encore de le faire dans ce tome, sans que nous ayons la moindre idée de son identité ni même de ses motivations, si ce n'est jouer avec les nerfs de ses victimes...



Tous les proches de Kurosaki se blâment de ne pas avoir pu éviter l'accident dont il a été victime. Diviser pour mieux régner, telle semble être la devise du faux Daisy. Cependant, plutôt que de se morfondre chacun de leur côté, les proches de Kurosaki décident de faire face, et ensemble, éclaircir le mystère entourant cet usurpateur d'identité. Avec ce nouveau rebondissement de taille, l'auteur installe un véritable esprit d'équipe entre ses personnages. L'enquête commence, le thriller prend le pas sur la romance, même si elle est toujours présente par petites touches.



Dans l'intrigue de ce cinquième tome, on en revient encore et toujours au passé et au mystérieux crime que Daisy a commis. Peut-être aurons-nous droit à quelques révélations dans le tome suivant ? Quoi qu'il en soit, ce tome possède une tonalité plus sérieuse que les précédents. L'auteur interroge les notions de culpabilité et de pardon, invitant ses personnages à sonder leur cœur et leur conscience.



Au fil du temps, l'intrigue présente un rythme plus soutenu ainsi qu'un suspense plus intense. La suite promet d'être passionnante !

Depuis l'incident de la boîte à musique, il est difficile pour Teru de faire comme si elle ignorait la véritable identité de Daisy. Bien que ravie par sa découverte, Teru ne peut s'empêcher d'avoir peur, peur que Daisy disparaisse s'il apprend qu'elle a percé son secret. Mentir a celui qu'on aime n'est pas chose facile, mais Teru est prête à tout pour que Kurosaki reste à ses côtés.



L'une des choses qui m'a frappée dans ce quatrième tome est qu'il y a finalement beaucoup de personnes qui connaissent la double identité de Kurosaki. Il y a évidemment Riko, Andô, Patron, Takeda, Teru, mais aussi les amis de Teru dont Kiyoshi, Rena, Haruka. Ça commence à faire du monde. Je trouve ça dommage. Cela enlève une part de suspense et gâche un peu l'intimité de la relation entre Teru et Kurosaki.



Dans ce quatrième tome, on en apprend un peu plus sur le caractère de Sôchirô, le frère de Teru. C'est dans un mélange de tristesse et de joie que nous découvrons à quel point il était proche de sa petite sœur, combien il prenait soin d'elle avec tendresse. Au fil des tomes, on sent nettement que l'intrigue progresse car de nouveaux personnages font l'apparition, tous liés d'une manière ou d'une autre à Sôchirô. Le frère de Teru est de plus en plus présent dans leur esprit. Il ne fait plus aucun doute qu'il était celui qui fédérait toute l'équipe. Que s'est-il passé pour que les choses deviennent ainsi ?



En guise de dénouement, l'auteur nous offre une chute plutôt impressionnante, au sens propre comme au sans figuré. Afin d'abréger mes souffrances de Dengeki Addict et mettre fin au suspense, une seule solution : lire au plus vite la suite !

L'heure du déménagement a sonné pour Teru. Sa cohabitation mouvementée avec Kurosaki s'achève. Ne soyons pas trop mélodramatique. Après tout, ce n'est pas comme si Teru partait à l'autre bout du monde. En réalité, elle ne va même pas à l'autre bout du couloir, puisqu'elle est désormais la voisine de palier de Kurosaki !



Franchement, quelle bonne idée de la part de l'auteur de nous avoir joué ce petit tour. On peut dire que Kurosaki s'est bien fait avoir par Riko, lui qui commençait déjà à se morfondre à l'idée de se séparer de Teru ! Décidément, cette Riko m'est fort sympathique. Voilà une jeune femme qui ne manque pas de caractère, ce qui explique aussi pourquoi elle s'entend si bien avec Teru. J'aime beaucoup la manière dont elle joue subtilement (ou pas) avec les nerfs de Kurosaki. Pauvre garçon, toujours à se faire mener par le bout du nez par Teru et Riko !



Dans ce troisième tome, l'auteur choisit de faire intervenir à nouveau le menaçant Monsieur Takeda, qui, finalement, n'est pas si menaçant que ça. Au contraire, on finit par lui trouver des excuses et le trouver plutôt sympa, même si ce n'est pas le cas de Kurosaki, en digne gardien ultra-protecteur de Teru ! A travers ce personnage, l'auteur nous montre que personne n'est ni tout blanc ni tout noir, comme nous le découvrirons probablement pour Kurosaki et d'autres personnages de la série. Il approfondit donc la psychologie de ses personnages tout en avançant doucement mais sûrement dans son intrigue. Avec Takeda, il fait apparaître un nouveau élément relié au frère de Teru et mystérieux drame qui l'entoure.



L'auteur termine son troisième volume en beauté avec un rebondissement de taille : il semblerait bien que Teru n'ignore plus l'identité de Daisy... Comment va-t-elle réagir ? Choisira-t-elle de mentir ou bien de confronter Kurosaki à la vérité,au risque de perdre Daisy? Telle est la question.

Depuis le cambriolage de son appartement, Teru est hébergée par Kurosaki. Une cohabitation qui n'est pas pour déplaire à la jeune fille ! Kurosaki, lui, est plus partagé. Même s'il ne veut pas le reconnaître, cette proximité avec Teru le ravit et l'effraie à la fois. Partageant désormais le même lieu de vie, Kurosaki a peur qu'elle ne découvre sa véritable identité...



Ce second tome continue d'installer avec beaucoup d'humour et de rebondissements la relation triangulaire entre Teru, Daisy et Kurosaki. La cohabitation de Teru et Kurosaki donne lieu à quelques scènes irrésistibles !



Mis à part ça, l'auteur met en scène un nouveau personnage, Riko, une jeune femme qui ne manque pas de punch ! Même si son lien avec Kurosaki reste vague, je ne doute pas que nous en saurons plus le moment venu. Sa présence aux côtés de Teru apporte une touche de féminité et de sensibilité.

Avec l'arrivée de Riko, on prend enfin conscience de la jeunesse, la naïveté et la solitude de Teru. Riko va tour à tour jouer le rôle d'amie, de sœur, et de mère, afin d'aider Teru à grandir et mûrir. Je pense que Riko jouera également le rôle d'entremetteuse entre Teru et Kurosaki, mais ça, ce n'est pas pour tout de suite ! Quoi qu'il en soit, j'espère que l'auteur prendra le temps développer la relation entre les deux jeunes femmes.

J’étais plus que sceptique en ouvrant ce premier tome parce que je craignais de tomber une énième histoire à l’eau de rose entre une jeune fille fleur bleue et son mystérieux sauveur ténébreux.



Et bien j’ai été très agréablement surprise.

Par Teru d’abord, qui est loin d’être une jeune fille en détresse. Certes, les malheurs semblent s’abattre sur elle mais elle ne se laisse pas décourager et se défend du mieux qu’elle peut.

Kurusaki lui aussi cache une profondeur qui en fait un personnage loin d’être lisse.



L’histoire en elle même recèle quelques mystères.

Une romance finira sans aucun doute par ressortir à un moment ou à un autre mais en attendant, l’accent est mis sur les recherches que faisaient le frère de Teru et sur les codes informatiques.

Cette storyline est sans doute loin d’être anodine et j’attends avec impatience d’en apprendre plus.
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Teru est attirée à l'extérieur de l'école et alors que c'était elle qui était visée, Kurosaki se retrouve blessé

C'est l'occasion pour le faux Daisy pour culpabiliser la jeune fille qui a peur pour la vie de celui qu'elle aime

Qui est le faux Daisy et comment le mettre hors d'état de nuire ?



Un peu déçue pour ce cinquième tome Encore une fois, Teru se retrouve dans une situation dangereuse et Kurosaki doit la sauver Je regrette le schéma répétitif de la situation dangereuse et la culpabilité qui suit immédiatement chez Teru. Elle a du caractère mais manque tellement de confiance en elle qu'elle pourrait presque s'excuser d'exister ... je suis lassée.

Cela est dommage car la série est toujours aussi drôle !

La mangaka arrive à mener de front l’intrigue amoureuse entre Teru et Kurosaki (avec un vrai pas en avant) et à conclure les aventures informatiques de l’équipe Soichiro, frère de Teru décédé.

Les dessins sont toujours aussi dynamiques et le trait débordant d’humour.
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Ca y est ! Enfin, Teru a trouvé une solution pour ramener Kurosaki à la maison. Elle veut y croire, et même si le nom semble désespéré (Projet DG), elle est prête à investir toutes ses forces dans la bataille !



Dans ce tome, on retrouvera également Akira, personnage totalement barge que j'adore détester ! Nous verrons aussi comment Teru s'en sortira lors de sa première nuit à l'hôtel avec Kurosaki... Oui, oui ils sont tous seuls dans la chambre. Non, non aucun moyen d'y échapper ^-^"



Encore quelques moments sérieux où la trame de l'histoire traite de hacking. Mais rien de bien méchant, la légèreté est toujours au rendez-vous !

J'ai bien envie de suivre encore un moment les deux tourtereaux, à bientôt pour le numéro 10 !

Bon eh bien ça y est... Ce qui crevait les yeux au fur et à mesure du shojo s'est enfin déroulé... Ça y est : elle le sait ! Son identité ne fait plus aucun doute Kurosaki et Daisy ne sont qu'une seule et même personne



Pourtant Teru va décider de faire comme si de rien n'était. Elle va continuer à prétendre (non sans mal) qu'elle ne connaît pas l'identité de Daisy...



Moi qui m'attendais à de grande révélations... Il faut croire que c'est pour plus tard. Enfin, la série ne perd pas en intensité, c'est le principal ! Pour le reste, je en peux que vous inciter à la lire :)

Je cède à mon penchant pour les shojos (on ne se refait pas ^^) en m'attaquant à une nouvelle série... assez célèbre. Dengeki Daisy est l'histoire d'une pauvre (au sens littéral du terme) lycéenne, orpheline (oui, elle cumule) qui ne doit sa survie mentale qu'au lien qu'elle entretien avec un téléphone portable.



Enfin, plutôt avec une certaine personne du nom de Daisy. Un hacker que son frère aurait connu, et qui prend soin d'elle à sa place.



Bon le début est cliché, c'est un shojo tout ce qu'il y a de plus banal, mais j'aime bien ^^

On verra la suite avec le tome 2 !

Depuis le décès de son frère, le seul soutien de Teru est Daisy, un mystérieux individu avec lequel elle ne communique que par mail… Du soutien, Teru en a grand besoin, surtout depuis que Kurosaki, le gardien de son lycée, l'utilise comme larbin ! Mais sous ses airs brusques et bourrus, Kurosaki semble cacher une autre personnalité, plus réservée et douce. Y aurait-il une possibilité pour qu'il soit le fameux Daisy ? Teru a bien du mal à y croire...



Dengeki Daisy est une série à la croisée des genres qui oscille entre comédie, thriller et romance. Le mélange est plus que réussi car on est tout de suite conquis par l'histoire et ses personnages. Cette série fait partie de mes préférées. Tantôt comique, tantôt dramatique, elle nous fait passer du rire aux larmes avec beaucoup d'ingéniosité. Je la relis régulièrement et avec toujours autant de plaisir. Il faut dire que c'est une des premières séries mangas que j'ai lu, alors elle tient une place particulière dans mon cœur de lectrice !

j'ai adore se livre j'espere que teru vas se rendre conte que le gardien du lycee et daisy et sortirons ensemble

j'ai adorer se livre j'espere qu'il y a beaucoup de tome parce que je ve tros savoir la suite et j'adore quand teru dit a daysi "soi chauve "

Le résumé ne donne pas envie, n'est-ce pas ? Mais il ne faut jamais resté sur une mauvaise impression telle que la couverture ou le résumé, c'est bien une chose que j'ai retenu, comme par exemple avec 20th Century Boys de Naoki Urasawa !



Dengeki Daisy, c'est l'histoire de Teru, une lycéenne boursière qui n'a plus de famille depuis deux ans, depuis le jour où son frère est mort. Avant de partir, il lui a laissé un téléphone portable contenant une adresse mail, celle de Daisy, promettant qu'à partir de maintenant Daisy le remplacera et sera toujours là pour elle, qu'il l'à protégera quoi qu'il arrive. Depuis ce fameux jour, elle se confie à son mystérieux inconnu, dont elle ne connais que le pseudo, ne l'ayant jamais rencontré.



Teru et les élèves boursiers sont persécutés par les élèves riches, et la demoiselle se laisse faire et part tout raconter à Daisy, qui compatis. Non je rigole, ce shôjo nous fais l'immense honneur de ne pas tomber dans les clichés de ce style, et nous avons une héroïne combattante qui n'hésite pas à faire face à ces élèves et aide ceux qui subissent leur comportement, n'en parlant même pas à Daisy. En voulant renvoyer des balles de tennis sur le terrain, l'une d'entre elle fini malencontreusement dans une fenêtre, et Teru et son camarade fuient l'endroit pour éviter de rembourser les dégâts. En rentrant en classe, elle tombe nez à nez avec Tasuku, le gardien de l'école, qui lui demande de payer en nature pour la fenêtre cassée.



Tasuku, gardien pervers de l'école ? Noooon. Enfin si. Un peu. En vérité Teru se retrouve ''larbin'' et s'occupe de l'école à sa place, tandis qu'il joue au Mah-jong sur son ordi. On ne tarde pas à faire le lien entre Daisy et lui dès les premières pages, et on sent qu'une histoire d'amour né entre nos deux protagonistes, même si Tasuku se refuse tout sentiment envers Teru, et que la demoiselle ne voit que par Daisy. Plusieurs questions se posent quand même. Comment Tasuku connaissait le frère de Teru ? Comment est-il mort ? Et leurs parents, pourquoi eux aussi sont morts, et comment ? Pourquoi Tasuku, informaticien de son état se retrouve gardien d'un lycée ? En bref, des questions dont j'aimerais bien avoir les réponses au prochain tome...



Côté graphisme, le travail est de qualité, les dessins sont soignés et le découpage des scènes est fluide. Seul petit bémol, à trop vouloir faire passé des émotions, certains dessins en deviennent presque ridicules, trop exagérés, ce qui tranche avec le reste du manga .



Que de dire plus? Je veux la suite!
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Une série décapante à découvrir absolument !
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Ah c’est vraiment un manga que j’adore ! Ce shojo est plein d’originalité autant dans la forme que dans le fond. Les personnages secondaires sont vraiment très drôles et apportent un réel plus à l’intrigue. !!! SPOILERS !!! Maintenant chacun sait que Kurosaki et Daisy ne font qu’un mais personne ne le dit. Des complications en perspective pour tous.
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La jeune héroïne est une orpheline ; elle vient de perdre le seul membre de la famille qui lui restait, son frère, qui lui a laissé, en guise de legs, un téléphone portable relié à un mystérieux "Daisy" chargé de venir en aide à la jeune fille quand ça ne va pas.

Ce shojo renferme tout ce que j'aime.

Commençons par l'héroïne : c’est une battante, qui essaie de se débrouiller seule, malgré les attaques incessantes de ces camarades d’école, qui s’en prennent à la boursière qu’elle est. Et elle a cette pudeur qui la pousse à cacher ses états d’âme, à ne pas se plaindre.

On découvre rapidement qui est Daisy ; le suspense ne repose pas du tout sur son identité. Non, ce qui est vraiment mystérieux, c’est le caractère de ce garçon qui est comme scindé en deux. En tant que Daisy, il est tout sucre ; ses paroles, envoyées uniquement par textos, sont compréhensives, réconfortantes, enveloppantes, à l’image du frère protecteur que l’héroïne a perdu. En tant que concierge rebelle du lycée, il est sadique et pervers, égratignant l’image du prince charmant (et au passage celle de la princesse). Ce comportement qui introduit d’ailleurs une touche d’humour bienvenue.

Qu’a-t-il donc en tête, ce garçon, pour avoir un comportement aussi paradoxal ? Qu’est-ce qui le retient ? Quelles étaient ses relations avec le frère de l’héroïne ? Pourquoi a-t-il accepté ce rôle de Daisy ?

L’intrigue repose donc sur le principe de l’identité secrète (On n’est pas loin du thème du super-héros à la double identité) sur une communication difficile, maladroite mais pavée de bonnes intentions. Les héros ne parlent jamais de l’essentiel, mais leurs gestes, leurs regards, leurs attentions disent tout.

Deux tomes qui font considérablement avancer la relation amoureuse entre Teru et Kurisaki puisque le secret de l’identité de Daisy et de son passé est désormais levé. Mais leurs amours comme les intrigues policières nous réservent encore bien des surprises au vu des indices laissés ici et là par la mangaka. Une série qui ne perd pas de son intérêt et qui sait se renouveler.
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Un très bon manga shojô !! J'ai tout de suite bien aimé le duo Teru / Hurosaki, même s'il n'y a pas beaucoup de suspens. L'ijime est le point de départ du manga : Teru est maltraitée par les autres élèves du lycée parce qu'elle est pauvre et qu'ils ont tout pouvoir. Mais elle ne se laisse pas faire. Pour avoir cassé une vitre par erreur, elle se retrouve à faire le "larbin" pour Hurosaki, le gardien du lycée. [...]
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Voilà quelques tomes que je ne trouvais plus grand intérêt à lire cette série... et je n'ai même pas trouvé le courage de finir celui-ci. Les dessins sont toujours aussi bien menés et fourmillent de détails. Mais le scénario devient de plus en plus confus et j'ai trop de mal à suivre pour continuer.




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