Kyosuke Motomi

Un tome un peu plus profond, Teru est harcelée de toutes parts et depuis que kurosaki a été blessé pour elle, elle s'en veut, des gens proches d'elle se font menacer cherchant à la viser et elle culpabilise tout en voulant agir!

Kurosaki la remet dans le droit chemin mais il ne pourra pas éternellement la protéger.. si ?



Arai est sur les lèvres de chacun de la bande…. Est-ce lui le coupable?

Une enquête avec une romance à l'eau de rose, je suis comblée!



Kurosaki fait de plus en plus d'efforts et il a presque failli l'embrasser quand Riko a tout gâché! Rah j'en trépigne d'impatience ! Je voulais un bisou!



PS: je sais enfin que kurosaki a 24 ans alors que Teru n'en a que 16! Mais l'amour n'a pas d'âge, ni de frontières!

Superbe découverte! J'ai à peine lu la quatrième de couverture que j'étais déjà sûr que je devais lire ce manga. Ce n'est qu'après quelques pages de lectures que je me suis rendue compte qui en était l'auteure: Motomi! L'auteure que j'ai aimée toute mon adolescence à travers Dengeki Daisy. En effet, la manière de dessiné mais aussi l'humour et l'écriture m'a interpellé, j'étais ravis d'apprendre que c'était une trilogie d'une de mes mangaka préférée!



C'est un manga mi school-life mi fantastique, dont l'humour et l'originalité est de rigueur. Si l'on résume grossièrement les choses, ont peut dire que c'est une fille pauvre qui cherche à tout prix à se marier (avec un homme riche) et un adolescent qui est issus d'une famille qui détient une entreprise de ménage... Pas très convaincant hein ? Pourtant QQ Sweeper c'est tellement plus que ça, ont touche à des sentiments intérieurs, des personnages iconiques et attachants, des illustrations agréables et de grandes vagues d'humour.
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Je trouve que cette série gagne en qualité et en maturité. Le duo central a trouvé ses marques et voit sa relation évoluer au fil des tomes. Le dessin est toujours aussi dynamique et les intrigues autour des diverses "reines" de Fumi viennent alimenter un scénario bien ficelé.

Vivement la suite !
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Le thème de ce manga n’est autre que le ménage ! Sujet déconcertant et très rare, il faut le souligner.



Fumi Nishioka est une jeune lycéenne assez mystérieuse. On ne sait pas d’où elle vient, ses parents l’ayant apparemment abandonnée. De plus, elle n’a qu’un seul but dans la vie : épouser un homme riche pour pouvoir mener la belle vie et ne rien avoir à faire. Mais la tâche se révèle plus ardue que prévu. Elle jette son dévolu sur un camarade qui semble riche, mais cela la mène vers quelque chose d’assez inattendu : un ailleurs, rempli de salissures.



QQ Sweeper est un manga assez particulier. Sa lecture m’a plutôt déconcertée car ce n’est pas qu’une simple affaire de ménage. L’auteur Kyousuke Motomi a intégré du fantastique dans son histoire. Et du coup, par moment, il m’a un peu perdue.



Cette frénésie du ménage, je ne l’ai pas trop comprise. Peut-être parce que je ne suis pas maniaque. Mettre tout son coeur dans quelque chose qui va redevenir sale dans deux jours, ça ne me parle pas trop.

Mais alors quand le ménage normal devient un « nettoyage d’âme », alors là, je me suis un peu perdue en route. Des créatures qui sortent de partout parce qu’un coeur n’est pas pur et dès lors que les idées sont noires… c’est bizarre.



Ce côté fantastique est pourtant une des choses les plus intéressantes de ce manga. Mais la jonction entre la réalité et cette partie est mal réalisée. Du coup, j’ai eu du mal à m’y retrouver. J’ai toujours du mal quand le fantastique est trop ancré dans la réalité, ce qui est le cas ici. De ce côté là, je n’ai pas vraiment réussi à apprécier ma lecture.



Côté personnages. Fumi est une jeune fille bizarre, lunatique, et assez obsessionnelle. Elle veut épouser un homme riche, quitte à ne pas faire attention à la personnalité du garçon. Cela ne la rend pas forcément très mature.

Par contre, être exposée face à des créatures et devoir faire du ménage (dans le but de pouvoir rester dans son lycée), ça ne la dérange pas le moins du monde. J’espère en apprendre plus sur elle dans les deux prochains volumes car on sent qu’il y a anguille sous roche…

Kyûtarô est, quant à lui, un garçon également bizarre. Fou de ménage, il ne se mélange pas avec les autres. Son boulot passe avant tout. Ses camarades de classe ne le connaissent donc pas, et il s’est forgé une réputation pas terrible. C’est sans doute le personnage, avec celui du directeur de l’école, qui m’a le plus intéressé. Avec son caractère de cochon, il m’a intrigué dès le départ.



Les graphisme restent beaux, à la manière des shojos. Les personnages sont bien faits, de même que les décors.



C’est un manga avec beaucoup de textes (pour un shojo), que j’ai parfois trouvé un peu long.



Comme vous l’aurez compris, je suis un peu mitigée sur ce premier volume. Mais la fin annonce quelque chose d’intéressant : des réponses à certaines questions !
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Même si après seulement quelques pages le lecteur découvre l’identité de Daisy, il est plaisant et parfois frustrant (dans le bon sens) de voir que Teru, elle s’en sait rien. Si ce shojo se démarque des autres est parce qu’il ne tombe pas facilement dans les clichés. Teru n’est pas la demoiselle en détresse qui a besoin qu’on l’aide à chaque instant, ni celle qui s’amourache du « beau gosse » du lycée, qui se trouve être Kurosaki. Non, la jeune fille a beau être jeune elle n’en est pas moins combative, indépendante et ayant une perpétuelle confiance en l’avenir. Le fait que l’on sache très vite qui est Daisy ne s’avère pas être une déception, puisque cela permet de donner une dose de piquant au récit, ainsi que des moments très drôles. Souvent on se demande si Teru ne souffre pas du syndrome dit de « Lois Lane »… Au premier abord Kurosaki est un jeune homme sadique et plein de sarcasmes qui semble ne vouloir passer ses journées qu’à jouer sur son ordinateur. Mais alors que l’on pense qu’il est irrécupérable et un brin pervers, on découvre en lui une sensibilité et bienveillance, qui va très souvent dérouter notre petite Teru.

Un troisième tome qui dévoile le rôle prépondérant de Fumi dans le combat contre les forces obscures. Mais les différentes "reines" qui résident en elle sont convoitées par d'autres gardiens...

La relation entre Fumi et Kyûtarô évolue même si les jeunes gens ne s'en aperçoivent pas encore.

La mangaka continue à distiller humour et gags dans une intrigue fantastique plutôt noire. Le tout donne une série pas comme les autres, fortement plaisante à lire.
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Nous retrouvons donc Fumi et Kyûtarô pour la suite de leur aventure ! Une aventure qui semble nous diriger vers d’autres maisons et vers des dangers inconnus. Byakko, Suzaku et Seiryû, cela vous dit quelque chose ? Et bien nous en avions brièvement entendu parler à la fin du tome précédent et on en apprend un peu plus ici. Et oui, avec Genbu (dites moi que je ne me suis pas trompée ? ;_ ; ) nous avons les quatre points cardinaux représentés. Et, j’ai bien aimé en savoir plus sur ces maisons de nettoyeurs également, de découvrir les différences existant avec Genbu et de réaliser à quel point la vision est différente par rapport à la Reine.



Cette Reine qui sommeille toujours en Fumi et montre de temps en temps le bout de son nez. Ces Reines devrait-on dire vu que nous avions découvert la « Reine Blanche », tout du moins il semblerait. Pourtant, cette Reine me fiche bien plus la trouille que la « Reine Noire »… Est-ce normal ? Peut-être, peut-être pas, nous ne savons pas encore tant d’éléments que cela par rapport à l’autre Reine sommeillant en Fumi bien qu’on en apprenne un peu plus elles deux. Oui, nous découvrons un peu mieux la Reine Noire durant ce tome et… Et je me suis attachée à elle, à sa manière d’être.



Pour ce qui est des personnages, ils continuent d’évoluer et de faire des choix. Leurs réactions varient en fonction de l’événement ayant lieu ce qui est appréciable et ce n’est pas toujours la plus gentillette qui sera choisie. Nous en découvrons également d’autres vu que l’une des autres maisons finit par montrer le bout de son nez et pas de la manière la plus gentille qui soit. Cela permettra une nouvelle avancée dans l’histoire et le développement de Fumi, mais également de Kyûtarô. Nous voyons également les liens présents entre les différents membres de Genbu, ce qui est plutôt sympathique !



Niveau dessin, ils sont toujours magnifiques. J’aime bien la différence entre la Reine Noire et la Reine Blanche que ce soit dans le monde intérieur de Fumi ou dans le monde réel. Les combats et autres actions restent également très beaux à voir, je ne m’en lasse pas. Pareil pour les designs des personnages, d’ailleurs l’un d’entre eux ne me rassurait pas beaucoup au début… Pourtant il a l’air plutôt sympathique. C’est assez amusant de voir que l’on se fait une idée – comme certains personnages – à cause du physique qui nous fait face ou des histoires que l’on entend. Tous sont différents que ce soit physiquement ou caractériellement et je suis certaine qu’il y aura un ou plusieurs personnages que vous préfèrerez.



Vous vous demandez sûrement comment j’ai trouvé ce troisième volume ? Et bien, sincèrement je l’ai encore une fois bien aimé. Les pages se tournent beaucoup trop vite à mon goût par contre, j’aurais bien aimé faire durer le plaisir encore un peu mais tout comme les deux tomes précédents j’ai passé un très, très bon moment que ce soit lors des moments sombres ou les quelques moments plus doux. J’ai hâte de découvrir les deux autres maisons, d’en savoir plus sur les deux Reines, de voir comment évoluera la relation entre Fumi et Kyûtarô et bien sûr d’en savoir plus sur le passé de Fumi. Oui, ça fait beaucoup ahaha. Donc, c’est bel et bien un nouveau tome qui fut agréable à lire et remplit d’action tout en permettant une avancée de l’histoire et des personnages.
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Orpheline sans le sou fraîchement débarquée en ville, je n’ai qu’une idée en

tête : épouser un homme riche ! En attendant, j’ai été attirée par l’aura mystique d’un bâtiment inhabité de mon futur lycée. Et alors que je m’étais endormie sur place, j’ai été réveillée par un jeune homme aussi séduisant qu’horripilant ! D’ailleurs, ce sadique répondant au nom de Kyûtarô Horikita s’avère être un élève de ma classe. Aux yeux de tous, c’est un virtuose du ménage, mais en ouvrant une porte qui m’a menée à un dédale sombre et infesté d’insectes, j’ai découvert qu’en réalité il s’agissait d’un « nettoyeur d’âme » ! Quelqu’un peut me dire ce qui se passe ?!



un jeune homme obsédé par le ménage + une jeune fille mystérieuse avec un trou de mémoire et l'ambition d'épouser un homme riche = un manga plein d'humour et de sentiments.



Une lecture sympathique qui fait parfois frisonner...
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Manga en 2 tomes qui ce lit rapidement.

Un manga adorable j'ai bien aimer l'histoire était original

Se manga me donne très envie de le lire donc il vas falloir que je l’achète avec la série :)

Pour conclure Dengeki Daisy, l'auteure a choisit de découper son dernier volume en plusieurs petites histoires indépendantes. Ces histoires courtes se déroulent deux mois après le dénouement du testament M et nous montrent ce que deviennent les personnages principaux comme Teru et Kurosaki.



Maintenant que les ennuis sont derrière eux, le couple peut enfin profiter sereinement de l'instant présent. Finalement, bien que Dengeki Daisy soit un shojo, nous n'avons eu droit qu'à quelques scènes romantiques. Il faut dire que Teru et Kurosaki ont été bien occupés ! Dans ce seizième tome, l’auteure se rattrape et inclut quelques scènes de "fan service", plutôt réussies. Ainsi, les deux tourtereaux se retrouvent chargés de garder un bébé pendant une journée. J'avoue que sur le moment, je me suis dit : autant qu'ils nous en fassent un, petit bambin ! Mais non, leur relation est loin d'en être là (quoique !) Et puis, l'auteure a raison de ne pas brusquer les choses.



Même si l’intrigue principale est désormais terminée, nous continuons d'en apprendre plus sur le passé des personnages, notamment sur Riko et sa relation avec Sôichirô. Finalement, l'auteure n'aborde pas vraiment ce sujet dans l'intrigue. Leur relation amoureuse est mentionnée oralement à plusieurs reprises mais rien de plus. Grâce à une des histoires de ce seizième tome, nous les découvrons tous deux, amoureux et unis. La scène de réconciliation est bouleversante : Riko, consciente que son fiancé est mourant, et Sôichirô, en larmes... Jusqu'à maintenant, nous voyions Sôichirô comme un homme sûr de lui et plein de vie. Ici, nous le découvrons effondré à l'idée de quitter tous ceux qui lui sont chers et terrifié par la maladie qui le tue petit à petit...



Avec ce seizième tome, Dengeki Daisy, c'est fini ! Ce shojo (pas si shojo que ça finalement) m'aura fait passé un très bon moment de lecture. L'intrigue m'a tenue en haleine jusqu'à la fin. Alors que nous pensions qu'Akira était n'était qu'un personnage secondaire, il s'est avéré être l'élément clé de l'intrigue.Toutes les révélations d Je regrette que le dénouement soit si rapide. L'auteure apporte la conclusion finale à son intrigue de manière un peu trop brusque. Je pense qu'elle aurait pu, et aurait du, prendre plus de temps afin de conclure son intrigue en beauté. Non pas que la fin soit bâclée, mais après 15 tomes, on aurait pu espérer que les explications soit plus clairement développées.

Cela ne fait plus aucun doute, il y a bien un traître parmi l'équipe du ministère. La preuve en est que Teru vient de se faire enlever. Kurosaki et ses amis sont ébranlés par cette terrible nouvelle, car cette fois-ci, il ne s'agit pas d'un simple moyen de pression. Ils n'ont que quelques heures pour découvrir le lieu où Teru est détenue et la secourir d'une mort certaine. Le compte à rebours a commencé. Cette nouvelle épreuve est d'autant plus rude pour Kurosaki qui venait juste de déclarer son amour à Teru...



Dans ce quinzième tome, le suspense est à son comble ! Teru et ses amis vivent une aventure périlleuse, la dernière mais la plus dangereuse de toutes. On constate qu'ils sont d'autant plus soudés et combattifs. Dans ces conditions tendues où l'avenir semble incertain, l'auteur nous offre quelques scènes de tendresse entre Teru et Kurosaki. Des scènes où l'on sent la passion monter d'un cran, ce qu'on a finalement peu vu dans la série.



Dans ce tome, nous nous rendons compte que certains personnages ont beaucoup changé, mûrit, au fil de la série. Je pense notamment à Kiyoshi. Il n'est plus un petit gringalet à lunettes, timide et influençable.Il prend activement part à l'enquête menée par Kurosaki et ses amis. Il est devenu courageux et prend bien des risques pour leur venir en aide.

C'est avec émotion mais aussi stupéfaction que les proches de Sôichirô prennent connaissance du contenu du CD qu'il a laissé à leur intention. Grâce à son témoignage, Sôichirô soulève le voile sur le passé d'Akira. Un passé douloureux, inextricablement lié à celui du professeur Midorikawa mais aussi à celui du père de Kurosaki...



Il semblerait que l'auteur ait plus d'un tour dans son sac. Alors que nous pensions avoir saisi les enjeux de l'intrigue, voilà qu'il remet en question la nature du testament de M et même la cause de la mort du père de Kurosaki ! Autant dire que notre vision de l'histoire est un peu bouleversée.

Le personnage d'Akira revient sur le devant de la scène. Comme je l'avais pressenti, ce dernier a beaucoup souffert dans son enfance et continue encore de souffrir. Après un long débat remporté, Kurosaki et ses amis choisissent de lui venir en aide, mais Akira les acceptera-t-il ? Je suis curieuse de voir sa réaction quand ils se porteront à son secours. La suite promet d'être pleine d'émotion.



Dans ce quatorzième tome, nous assistons au premier différent entre Teru et Kurosaki. La cause de ce différent est le sauvetage d'Akira. Teru n'est pas convaincue qu'une fois sauvé, il sera capable de s'intégrer dans la société et de respecter les personnes qui l'entourent. Kurosaki lui, veut prendre ce risque. Ça fait du bien de voir les amoureux s'embrouiller un peu. C'est un peu lassant à la fin, de les voir toujours sur la même longueur d'onde, 24h/24h. Et puis, qui dit dispute, dit réconciliation ! Et leur réconciliation est des plus tendres...

Le fiancé de Rena est bel et bien impliqué dans l'affaire Néo Jack, il semble même en être l'instigateur. Mais est-ce vraiment le cas ? N'est-il pas plutôt un nouveau pantin destiné à servir de bouc émissaire ? Quoi qu'il en soit, c'est le bras-le-bas de combat pour Teru et ses amis. L'opération "Sauvetage de Rena et destruction de Néo Jack" est sur le point de débuter. Tout le monde est à son poste. Teru, Kurosaki, Andy, Riko, Patron, mais aussi Haruka et Kiyoshi. Leur mission : sauver Rena de ses fiançailles frauduleuses et contrecarrer les plans de Kazuki en détruisant le virus Néo Jack. Rien que ça ! Finalement, ce n'est pas grand chose pour une telle équipe de choc. Encore que, il y a toujours des prévus... et ceux qui vont ce produit rappelleront encore une fois de douloureux souvenirs à Kurosaki...



A l'image de ce douzième tome, j'ai l'impression que Teru commence à s'endurcir. Elle se montre moins naïve et pleurnicharde, plus réfléchie et active dans l'enquête. A certains moments, je la trouvais vraiment agaçante à pleurer sans arrêt. Je reconnais qu'elle a du surmonter des épreuves difficiles. Mais elle devrait apprendre à maîtriser ses émotions car elle n'est pas la seule à traserver une période difficile. Je pense notamment à Kurosaki qui aurait bien plus de raison qu'elle de pleurer et de chercher du réconfort. Quoi qu'il en soit, j'espère qu'elle va continuer de se montrer forte et entreprenante.



Dans ce tome, nous observons une nouvelle fois que Kurosaki n'est pas sans failles et qu'en dépit de sa force, il reste un homme vulnérable hanté par son passé. Par le biais d'un flashback, nous revivons ce terrible moment où il a été poussé au crime par Nagano. Le retour de ce mystérieux individu devrait faire avancer l'intrigue et permettre à Kurosaki de régler ses comptes avec celui qui a détruit sa vie.



Encore de nouvelles révélations dans ce tome. L'auteur complique drôlement son intrigue ! J'ignore si c'est vraiment nécessaire car elle l'est déjà assez. Au départ, il y avait seulement le mystère de l'identité de Daisy, puis les révélations sur son père, la création de Jack'O Frost, son crime. Ensuite arrivent les complices Mme Mori et Akira, puis le Néo Jack. Et maintenant, le testament de M et le mystérieux Antler... Reconnaissez que ça commence à faire beaucoup. si les fils de l'intrigue s'emmêlent, la lecture en sera moins plaisante. J'espère que tout cela va vite s'éclaircir dans les prochains tomes.

Décidément, Rena a vraiment le chic pour choisir ses petits amis... Son fiancé de la haute société est loin d'être aussi impeccable que ses costumes chics. Kazuki semble être en affaires avec Mme Mori, autant dire qu'il ne joue pas du côté des gentils. Quel est son lien avec elle ? Travaille-t-il pour elle ? Convoite-il aussi le virus Jack O'Frost ?



Dans ce onzième tome, le virus Jack O'Frost revient sur le devant de la scène. Il semblerait que quelqu'un soit parvenu a recréer le terrible virus, en y apportant quelques modifications. Cette nouvelle n'est pas sans raviver de douloureux souvenirs pour Kurosaki mais aussi pour les proches de Sôichirô... La mise en vente de "Néo Jack", la nouvelle version de Jack O'Frost, est même secrètement prévue lors des fiançailles de Rena et de Kazuki.



Le fait que Rena se retrouve involontairement impliquée dans l'affaire du virus permet à l'auteur de recentrer son intrigue sur les personnages adolescents, plutôt que sur les adultes. Les difficultés traversées par Rena sont l'occasion pour ses amis de lui montrer combien ils tiennent à elle. Teru, Haruka et Kiyoshi démontrent à Rena qu'il ne faut jamais sous estimer le pouvoir de l'amitié !



Alors qu'Akira était au centre de toutes les attentions dans le tome précédent, il est totalement absent dans celui-ci. J'avoue que je suis un peu déçue. Je pensais que le tome 11 continuerait d'exploiter ce personnage ambivalent et nous en révélerait plus sur ses motivations. Il semblerait que ce ne soit pas pour tout de suite. Je vais prendre mon mal en patience !

Dans ce dixième tome, je trouve que le personnage de Sôichirô tient encore une place importante. Au début de la série, il n'était qu'un nom. Au fil des tomes, nous avons pu mettre un visage sur ce nom, nous avons également découvert quel type d'homme il était : un homme brillant, un excellent chef d'équipe, mais surtout, un frère aimant et un ami exceptionnel. J'en suis venue à beaucoup à m'attacher à ce personnage, presque autant qu'à Kurosaki. Le flashback nous montrant Sôichirô et Kurosaki bras dessus-dessous chantant dans la rue est très émouvante. La réaction de Kurosaki à ce souvenir l'est tout autant...



Mis à part ça, je trouve le personnage d'Akira de plus en plus intriguant ! Il est bien sûr effrayant mais je ne peux m'empêcher de penser qu'en fin de compte, il n'est peut-être pas si méchant que ça. J'ai plutôt le sentiment qu'il se fait manipuler par une personne exploitant ses faiblesses. Malgré ses menaces envers Teru et Kurosaki, j'ai parfois du mal à croire qu'il soit foncièrement mauvais. On a l'impression qu'il a souffert de quelque chose dans son enfance et que cela continue de le faire souffrir. Il semble tout spécialement nourrir une forme de haine envers Kurosaki. A-t-il souffert dans le passé de ses actes de hacker ? Quoi qu'il soit, j'ai hâte de découvrir qui il est vraiment et quelles sont ses motivations.



L'intrigue de Dengeki Daisy ne cesse de gagner en intensité. J'adore la tournure que prennent les événements, une tournure dangereuse mais passionnante à suivre !

Grâce à son ami Hiyoshi, Teru s'est enfin remise de ses émotions et est prête à passer à l'action. Avec le soutien de ses amis, elle a mis au point un plan afin de retrouver et ramener Kurosaki parmi eux. Avec un plan concocté par Teru, on peut s'attendre à tout. Pourtant, il fonctionne, à merveille. Kurosaki retourne parmi les siens, la conscience et le cœur apaisés.



Après les événements dramatiques des deux précédents tomes, les révélations sur Kurosaki et le virus Jack O'Frost, la tension redescend d'un cran. L'auteur accorde un moment de répit à ses personnages. Après les épreuves qu'ils viennent de traverser, il leur fallait bien ça ! C'est l'occasion pour Kurosaki et Teru de partager quelques moments d'intimité. Après les épreuves qu'ils ont traversé, leur relation ne sera plus jamais la même. Néanmoins, l'auteur ne brusque pas les choses. Même si désormais la véritable identité de Daisy et le passé de Kurosaki ne sont plus un secret pour Teru, Kurosaki et elle vont devoir apprendre à se construire un présent.



Rien n'est encore gagné pour nos héros car la menace Akira est toujours présente. D'ailleurs, ce personnage m'intrigue de plus en plus. Qui est-il ? Quelles sont ses motivations ? Est-il vraiment une menace pour Kurosaki et Teru ? Le mystère entoure ce jeune garçon. Il semble doté de capacités proches de celle de Daisy le hacker... Cela promet de nouveaux rebondissements pour la suite de l'histoire !

"Daisy, je ne peux pas pardonner à celui qui a tué mon frère. Disparais."

C'est la conscience et le cœur meurtris que Kurosaki quitte ses amis et sa bien-aimée. Que ces mots sont douloureux... Ce qu'il redoutait le plus s'est produit. Sa bien-aimée Teru a découvert son crime et ne peux lui pardonner. Certes, il sait que le mail n'a pas été écrit par Teru, mais le silence dans lequel elle s'enferme est plus révélateur que n'importe quel message... Bien que sa peine soit immense, Kurosaki n'a guère le temps d'y songer. La réapparition du virus qu'il a créé, Jack O'Frost, l'oblige à mener l'enquête. Pendant ce temps, Teru entend le récit du passé des deux personnes qu'elle aime le plus au monde : Kurosaki et Sôichirô.



La tension dramatique qui s'installait dans le tome précédent n'est rien comparée à celle de ce huitième tome. C'est avec une grande émotion que nous découvrons enfin le crime de Daisy ainsi que les événements qui y ont conduit. Riko, Masuda, Andô, Takeda, tous sont réunis afin de raconter à Teru le passé de Kurosaki mais aussi celui de Sôichirô. L'intrigue de ce tome est donc chargée d'émotion, de tristesse. Nous prenons pleinement conscience de la souffrance de Kurosaki, du mal-être et de la culpabilité qui l'étreignent depuis tant d'années.



Vous l'aurez compris, l'auteur consacre exclusivement ce tome aux révélations autour de Kurosaki et du virus Jack O'Frost. Cela fait beaucoup d'informations simultanées pour le lecteur. Cela fait au moins trois fois que je lis la série, mais arrivée à ce stade de l'histoire, j'ai toujours besoin de relire plusieurs fois certains passages afin de bien comprendre toutes les subtilités de l'intrigue. Nous ne sommes plus vraiment dans un shojo au sens strict du terme. On est bien loin de l'intrigue romantique et de l'humour des premiers tomes. Le manga bascule désormais vers le thriller et un registre plus dramatique.



Ce huitième tome est peut-être bien mon préféré depuis le début de la série !

Après la disparition de Mme Mori, la vie semble reprendre son cours pour Teru et ses amis, même si la menace Akira plane plus que jamais. Kurosaki se dit qu'il est peut-être temps pour lui d'avouer la vérité à Teru, quitte à la perdre pour toujours. Après tout, il ne pourra pas indéfiniment y échapper. Sa décision est prise. Pour leur première sortie ensemble, les amoureux se rendent au parc d'attractions. Mauvais timing ou coup du destin, leur sortie tourne au cauchemar avec l'apparition d'Akira et de Mme Mori. Les deux complices leur tendent un piège qui risque de briser à tout jamais leur relation...



Dengeki Daisy est décidément une série pleine de surprises ! Alors que l'intrigue commençait à stagner, l'auteur nous offre un septième tout bonnement génial. Alors qu'on pensait le calme revenu pour Teru et ses compagnons, l'action repart de plus belle. De plus, l'auteur parvient à créer une véritable tension dramatique.



Le dénouement m'a vraiment serré le cœur. Les tristes événements qui concluent le tome n'ont fait que renforcer mon affection pour Kurosaki. C'est la première fois que nous le voyons souffrir à ce point. Le fait de le découvrir ainsi, vulnérable et meurtri, le rend encore plus attachant mais surtout, donne de la profondeur à son personnage. Jusqu'à maintenant, nous étions habitué à observer son comportement tantôt goujat et brusque (Kurosaki), tantôt tendre et protecteur (Daisy). Dans ce tome, c'est une autre facette de sa personnalité qui transparaît, celle d'un homme hanté par son passé, rongé par la culpabilité. Une facette que j'espère bien retrouver dans les prochains tomes. Vous l'aurez compris, la suite promet d'être passionnante !

Vous souvenez vous du professeur Arai ? Ce dernier avait truqué les comptes du lycée de Teru mais avait été démasqué par Daisy. Il faut croire qu'Arai n'a pas digéré sa défaite car il a ensuite envoyé des mails de menace à de nombreux élèves en se faisant passer pour Daisy afin de le discréditer.

C'est du moins ce que l'auteur nous a laissé croire dans le tome précédent. Dans ce sixième tome, nous découvrons un tout autre aspect de cette affaire. Il semblerait qu'Arai ne soit en réalité qu'un bouc émissaire, un pantin manipulé par des personnes sans scrupules qui en ont après Daisy. Qui sont-elles ? Kurosaki et ses amis se mettent en chasse. Les masques ne vont pas tarder à tomber...



Dans ce sixième tome, l'aspect romantique de la série (la relation entre Teru et Kurosaki), est relayée au second plan. Nous avons le droit à quelques scènes touchantes, mais l'essentiel de l'intrigue est consacrée à l'enquête, et donc, à de l'action. J'approuve ce changement car cela évite à l'histoire de devenir trop simpliste ou mièvre.



Ce tome est très riche en rebondissements et en révélations. Ainsi, nous découvrons qu'en dépit de son apparente vulnérabilité et innocence, Madame Mori est une femme dangereuse, manipulatrice, dissimulant de nombreux secrets. Quelles sont ses motivations ? Que veut-elle à Kurosaki ? Le mystère s'épaissit à mesure que nous avançons dans l'histoire. En témoigne dans les dernières pages l'apparition de ce mystérieux Akira à l'air menaçant. Un nouvel ennemi en perspective pour Kurosaki...

J'espère que l'auteur nous apportera quand même quelques éléments de réponse afin de ne pas me lasser. Je suis notamment très impatiente de découvrir quel est le fameux crime que Daisy a commis... De manière générale, je pense qu'il serait temps que l'auteur commence à nous parler de l'équipe que formait Sôchirô, Riko, Patron, Andô et Kurosaki, ainsi que de leur passé commun.



L'auteur choisit de conclure ce tome avec une histoire autour d'une petite chienne. Un petit supplément qui nous permet de croiser à nouveau Monsieur Takeda, ancien collège de Sôichirô. Il serait intéressant qu'il apparaisse de manière plus fréquente dans l'intrigue principale, il pourrait apporter son aide à Kurosaki et ses amis.