Critiques de Laure Eve (55)
Il s’agit ici d’un livre résolument moderne où les chevaliers filent à moto et ont tous une arme de poing mais où la loyauté et le respect des règles du combat reste de mise. Clairement un ouvrage que je vais avoir du mal à vous décrire tellement il m’a semblé atypique.
Je dois tout d’abord avouer avoir été un peu perdue concernant la temporalité des évènements puisque les chapitres oscillent entre « il y dix-huit ans » ou « il y a trois mois » et ainsi de suite alors que nous retrouvons les mêmes personnages d’un lieu et d’une époque à l’autre. Je pensais d’ailleurs qu’on arriverait au moment présent plus tôt dans le roman puisque tous les chapitres donnent envie de savoir pourquoi le présent est si important. Si je comprends totalement le fait de mettre le climax à la toute fin, bien évidemment, j’ai cependant trouvé qu’il y avait un peu de lenteur durant une partie du roman où l’on a presque envie que tout aille plus vite pour arriver au moment présent et comprendre la tension et l’impatience qu’on ressent grandir au fil des chapitres.
Les clin d’œil à la légende arthurienne sont très présents au lancement de l’histoire mais s’ils se font ensuite parfois discrets, j’ai apprécié de les découvrir au fur et à mesure, recherchant dans quels détails ou retournement de situation ils se trouvaient. Bien évidemment Arthur et ses chevaliers sont l’une des pierres angulaires du roman et je dois dire qu’il est très facile de s’attacher à ce petit groupe qui voit sa vie changer du tout au tout. L’alternance des temps permet de bien voir leur évolution durant les années, selon les responsabilités qu’ils prennent ou les personnes qu’ils rencontrent. Dans les ouvrages Arthurien, Arthur est souvent effacé et j’ai apprécié ici d’avoir ce jeune homme doux, loyal et qui fait de son mieux malgré tout ce qui le dépasse.
Comme il s’agit de fantasy urbaine, il y a parfois des moments où il faut rester concentrer pour réussir à appréhender totalement les règles en place dans ce Londres différent. L’univers est sombre, les évènements parfois durs et, s’il y a bien évidemment des complots, la connaissance de la légende arthurienne permet d’en déjouer quelques-uns et l’alternance des moments plus calmes et de l’action, entre combats et trahison permet de se poser des questions sur ce qui arrivera (ou pas) dans le dernier et second tome.
En bref, malgré une lecture parfois compliquée dans la temporalité, j’ai passé un bon moment qui m’a donné envie de lire le second tome pour découvrir ce qu’il adviendra de tous ces personnages que j’ai réellement apprécié voir évoluer au fil des chapitres.
Lien : https://tempsdemots.wordpres..
Je dois tout d’abord avouer avoir été un peu perdue concernant la temporalité des évènements puisque les chapitres oscillent entre « il y dix-huit ans » ou « il y a trois mois » et ainsi de suite alors que nous retrouvons les mêmes personnages d’un lieu et d’une époque à l’autre. Je pensais d’ailleurs qu’on arriverait au moment présent plus tôt dans le roman puisque tous les chapitres donnent envie de savoir pourquoi le présent est si important. Si je comprends totalement le fait de mettre le climax à la toute fin, bien évidemment, j’ai cependant trouvé qu’il y avait un peu de lenteur durant une partie du roman où l’on a presque envie que tout aille plus vite pour arriver au moment présent et comprendre la tension et l’impatience qu’on ressent grandir au fil des chapitres.
Les clin d’œil à la légende arthurienne sont très présents au lancement de l’histoire mais s’ils se font ensuite parfois discrets, j’ai apprécié de les découvrir au fur et à mesure, recherchant dans quels détails ou retournement de situation ils se trouvaient. Bien évidemment Arthur et ses chevaliers sont l’une des pierres angulaires du roman et je dois dire qu’il est très facile de s’attacher à ce petit groupe qui voit sa vie changer du tout au tout. L’alternance des temps permet de bien voir leur évolution durant les années, selon les responsabilités qu’ils prennent ou les personnes qu’ils rencontrent. Dans les ouvrages Arthurien, Arthur est souvent effacé et j’ai apprécié ici d’avoir ce jeune homme doux, loyal et qui fait de son mieux malgré tout ce qui le dépasse.
Comme il s’agit de fantasy urbaine, il y a parfois des moments où il faut rester concentrer pour réussir à appréhender totalement les règles en place dans ce Londres différent. L’univers est sombre, les évènements parfois durs et, s’il y a bien évidemment des complots, la connaissance de la légende arthurienne permet d’en déjouer quelques-uns et l’alternance des moments plus calmes et de l’action, entre combats et trahison permet de se poser des questions sur ce qui arrivera (ou pas) dans le dernier et second tome.
En bref, malgré une lecture parfois compliquée dans la temporalité, j’ai passé un bon moment qui m’a donné envie de lire le second tome pour découvrir ce qu’il adviendra de tous ces personnages que j’ai réellement apprécié voir évoluer au fil des chapitres.
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Je ne supporte pas ces nouveaux langages en iel celeux etc.... J'ai donc abandonné après 4 pages quand cela commence.
Je vous préviens donc car vous ne le serez pas avant l'achat, cela vous tombera dessus par surprise dans une phrase puis une autre et cela continue.
Si vous êtes comme moi, je vous le déconseille formellement pour les autres je ne l'ai pas lu
Je vous préviens donc car vous ne le serez pas avant l'achat, cela vous tombera dessus par surprise dans une phrase puis une autre et cela continue.
Si vous êtes comme moi, je vous le déconseille formellement pour les autres je ne l'ai pas lu
Au cœur d’un Londres alternatif, la cité est divisée en 7 communautés plus ou moins soudées, régie par un seul et unique roi. Chaque communauté et le roi possèdent de nombreuses écuries où s’entraînent de valeureux chevaliers (associés à l’image du motard) qui combattront en duel dans des arènes pour départager des conflits ou adopter des nouvelles lois (un semblant de démocratie ?). Voilà pour l’implantation du décor.
Art (le roi Arthur ??), bâtard mais utopiste, se retrouve par un étrange concours de circonstances assis sur le trône. Sa simplicité désarmante, sa naïveté foudroyante, sa compassion enchanteresse sont l’apanage de la bonté de ce roi qui deviendra grand.
Red (je n’ai toujours pas trouvé à qui l’associer ?), orpheline et magicienne, a une seule obsession intégrer l’écurie de Sombrecoeur. Mue par un plan, elle préservera son secret jusqu’au moment fatidique où elle accomplira sa vengeance.
Ce roman chorale et polyphonique se déroule sur deux plans différents qui se rejoignent au point orgue. Cette construction permet d’apprécier l’évolution de la cité et de contextualiser l’ensemble des éléments qui prennent sens au point final. L’histoire est plutôt sympathique mais trop maladroite. Dire que c’est une réécriture moderne de la légende d’Arthur est, pour moi, tiré par les cheveux. Quelques allusions et ressemblances mais bien trop ténues pour y faire écho. Laure Eve veut raconter et exploiter beaucoup de choses, mais ça ne matche pas si bien que ça. J’ai également été confrontée à l’écriture inclusive. Loin de me rebuter, ici je ne comprends pas du tout l’utilisation sachant que les personnages sont genrés dans les descriptions. L’intrigue générale est sans réelle surprise pour nous tenir en haleine. Il manque d’entrain, de rythme. Un soupçon de romance fleurit ici et là, mais là n’est pas l’essentiel du roman.
Une histoire trop décousue, archi structurée, pour moi qui m’a essoufflée dès les premiers chapitres. Je n’ai ressenti aucune accointance avec les personnages. Heureusement j’ai une curiosité prête à relever tous les défis, mais elle a souffert.
Un roman qui aurait pu être original et décapant. J’ai manqué le coche !
Lien : https://misschocolatinebouqu..
Art (le roi Arthur ??), bâtard mais utopiste, se retrouve par un étrange concours de circonstances assis sur le trône. Sa simplicité désarmante, sa naïveté foudroyante, sa compassion enchanteresse sont l’apanage de la bonté de ce roi qui deviendra grand.
Red (je n’ai toujours pas trouvé à qui l’associer ?), orpheline et magicienne, a une seule obsession intégrer l’écurie de Sombrecoeur. Mue par un plan, elle préservera son secret jusqu’au moment fatidique où elle accomplira sa vengeance.
Ce roman chorale et polyphonique se déroule sur deux plans différents qui se rejoignent au point orgue. Cette construction permet d’apprécier l’évolution de la cité et de contextualiser l’ensemble des éléments qui prennent sens au point final. L’histoire est plutôt sympathique mais trop maladroite. Dire que c’est une réécriture moderne de la légende d’Arthur est, pour moi, tiré par les cheveux. Quelques allusions et ressemblances mais bien trop ténues pour y faire écho. Laure Eve veut raconter et exploiter beaucoup de choses, mais ça ne matche pas si bien que ça. J’ai également été confrontée à l’écriture inclusive. Loin de me rebuter, ici je ne comprends pas du tout l’utilisation sachant que les personnages sont genrés dans les descriptions. L’intrigue générale est sans réelle surprise pour nous tenir en haleine. Il manque d’entrain, de rythme. Un soupçon de romance fleurit ici et là, mais là n’est pas l’essentiel du roman.
Une histoire trop décousue, archi structurée, pour moi qui m’a essoufflée dès les premiers chapitres. Je n’ai ressenti aucune accointance avec les personnages. Heureusement j’ai une curiosité prête à relever tous les défis, mais elle a souffert.
Un roman qui aurait pu être original et décapant. J’ai manqué le coche !
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Art, le bâtard du roi, devient roi un peu malgré lui suite à la mort de son père. Red, elle, veut se venger à tout prix et pour cela elle va devenir chevalière. Dans un monde moderne où l’électricité est le moyen de paiement et où les chevaliers se baladent en moto, on va suivre ces deux personnages.
Deux temporalités dans ce livre. On suit Art depuis son couronnement (dix-neuf ans plus tôt) jusqu’à « maintenant », et Red depuis sa rencontre avec le Chevalier-Sorcier (douze mois plus tôt) jusqu’à « maintenant ». J’ai largement préféré les parties avec Art. Déjà parce que j’ai adoré ce personnage, mais aussi parce que je trouvais plus intéressant de voir son ascension, ses prises de décision et sa vie, tout simplement. Je ne me suis pas attachée à Red, elle m’a agacé dès le début, et son histoire ne m’intéressait pas tellement. J’ai assez vite compris son désir de vengeance et ses raisons. Art était donc beaucoup plus intéressant.
L’histoire en elle-même est assez simple, on suit surtout ces deux personnages dans leur quotidien, leurs pensées, leurs désirs. Il ne se passe pas énormément de chose mais je ne me suis pas ennuyée. La chose qui m’a le plus dérangé, ce sont les moments où les personnages baisent (et je dis ce mot car c’est ce mot qui est utilisé), j’ai trouvé ça d’un chiant, j’ai souvent levé les yeux au ciel, et j’avoue que ça m’éjectait du récit. D’autant plus que j’ai sauté les scènes trop sexuelles.
J’ai aimé beaucoup de personnages, principalement ceux qui entouraient Art. Red essaye de faire le vide autour d’elle, donc elle est moins entourée.
L’autrice utilise le langage inclusif et c’est très bien, de plus j’ai aimé la diversité dans le livre. Le fait que les personnages ne se posaient pas de question concernant la sexualité, peu importe leurs préférences, homme ou femme.
À la fin, les événements se précipitent, peut-être un peu trop d’ailleurs, on passe d’un point à l’autre à toute vitesse. Je lirai le tome deux pour continuer à suivre l’histoire, même si la fin m’a bouleversé.
Lien : https://jetulis.wordpress.co..
Deux temporalités dans ce livre. On suit Art depuis son couronnement (dix-neuf ans plus tôt) jusqu’à « maintenant », et Red depuis sa rencontre avec le Chevalier-Sorcier (douze mois plus tôt) jusqu’à « maintenant ». J’ai largement préféré les parties avec Art. Déjà parce que j’ai adoré ce personnage, mais aussi parce que je trouvais plus intéressant de voir son ascension, ses prises de décision et sa vie, tout simplement. Je ne me suis pas attachée à Red, elle m’a agacé dès le début, et son histoire ne m’intéressait pas tellement. J’ai assez vite compris son désir de vengeance et ses raisons. Art était donc beaucoup plus intéressant.
L’histoire en elle-même est assez simple, on suit surtout ces deux personnages dans leur quotidien, leurs pensées, leurs désirs. Il ne se passe pas énormément de chose mais je ne me suis pas ennuyée. La chose qui m’a le plus dérangé, ce sont les moments où les personnages baisent (et je dis ce mot car c’est ce mot qui est utilisé), j’ai trouvé ça d’un chiant, j’ai souvent levé les yeux au ciel, et j’avoue que ça m’éjectait du récit. D’autant plus que j’ai sauté les scènes trop sexuelles.
J’ai aimé beaucoup de personnages, principalement ceux qui entouraient Art. Red essaye de faire le vide autour d’elle, donc elle est moins entourée.
L’autrice utilise le langage inclusif et c’est très bien, de plus j’ai aimé la diversité dans le livre. Le fait que les personnages ne se posaient pas de question concernant la sexualité, peu importe leurs préférences, homme ou femme.
À la fin, les événements se précipitent, peut-être un peu trop d’ailleurs, on passe d’un point à l’autre à toute vitesse. Je lirai le tome deux pour continuer à suivre l’histoire, même si la fin m’a bouleversé.
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Je ne sais pas quoi penser de ce roman. Une bonne partie du livre je ne savais pas du tout où voulait nous emmener l'auteure. Certes le mystère c'est bine mais la quête de l'héroïne était bien trop mystérieuse pour que je m'attache. Néanmoins j'ai beaucoup aimé les 200 dernières pages et ma curiosité a été piquée de même que je n'avais pas prévu certaines choses. Une lecture en demi-teinte.
Commençons par le commencement : j’aime beaucoup les réécritures basées sur la légende arthurienne. Pour vous citer un exemple, je pense à la trilogie l’ascension de Camelot, de Kiersten White, qui m’a fait passer par une ribambelle d’émotions quand je l’ai lue (je dis ça mais je dois encore me procurer le dernier opus). Alors, le jour où les éditions De Saxus ont annoncé la parution prochaine d’un roman qui parle à nouveau de ce mythe — cette fois-ci dans un univers de fantasy urbaine où les chevaliers sont des célébrités qui chevauchent des motos — je me devais de le découvrir.
Dans cette version nous suivons principalement deux personnages. En premier lieu il y a Artorias (plus communément appelé « Art »), un jeune homme de 17 ans ayant grandi loin du palais, de la politique et des complots qui apprend un jour que son père, le roi Uther, est décédé. Il devient ainsi l’héritier d’un trône qu’il ne veut pas. Nous avons également Red, une demoiselle dotée de capacités magiques déterminée à devenir un chevalier pour une raison précise (elle veut se venger) mais mystérieuse (de qui, pour quelle raison ?). L’histoire se déroule dans un Londres alternatif et divisé en sept royaumes. L’intrigue, quant à elle, est répartie sur deux temporalités qui, au bout d’un moment, se rejoignent. Les débuts sont un peu flous mais, très vite, on devine les enjeux et certains plot-twit censés nous tenir en haleine jusqu’au dernier chapitre nous sautent au visage (en même temps, quand on voit les noms, impossible d’être surpris). Dommage. Frustrant, aussi. Pour ce qui est des rôles secondaires, je dois dire que je suis impressionnée. Le casting est important, pourtant, chacun a son rôle à jouer. Notez cependant une chose : j’ai préféré Wyll et Bélisan.
J’aime les histoires riches, complexes et détaillées. J’aime quand la construction d’un monde est maîtrisée, quand l’autrice ou l’auteur sait où elle/il veut nous emmener. J’aime les romans choral portés par des protagonistes intéressants (ici, nous sommes servis : j’ai beaucoup aimé Art et son point de vue qui s’étend sur presque deux décennies, et Red, qui m’a fait penser à une Mia Corvere badass mais un peu trop sentimentale au fil des pages). J’aime quand les pièces d’un puzzle s’emboîtent et que tout s’éclaire. J’aime quand il se passe mille et une choses et que le lecteur n’a pas le temps de reprendre son souffle. Et, plus que tout, j’aime cette revisite sexy, créative, magique, dramatique, sanglante, intelligente et prenante du mythe du roi Arthur. Merci aux éditions De Saxus pour l’envoi de ce livre et pour la confiance qui m’a été accordée. ♥
Lien : http://madameratou.fr/les-ch..
Dans cette version nous suivons principalement deux personnages. En premier lieu il y a Artorias (plus communément appelé « Art »), un jeune homme de 17 ans ayant grandi loin du palais, de la politique et des complots qui apprend un jour que son père, le roi Uther, est décédé. Il devient ainsi l’héritier d’un trône qu’il ne veut pas. Nous avons également Red, une demoiselle dotée de capacités magiques déterminée à devenir un chevalier pour une raison précise (elle veut se venger) mais mystérieuse (de qui, pour quelle raison ?). L’histoire se déroule dans un Londres alternatif et divisé en sept royaumes. L’intrigue, quant à elle, est répartie sur deux temporalités qui, au bout d’un moment, se rejoignent. Les débuts sont un peu flous mais, très vite, on devine les enjeux et certains plot-twit censés nous tenir en haleine jusqu’au dernier chapitre nous sautent au visage (en même temps, quand on voit les noms, impossible d’être surpris). Dommage. Frustrant, aussi. Pour ce qui est des rôles secondaires, je dois dire que je suis impressionnée. Le casting est important, pourtant, chacun a son rôle à jouer. Notez cependant une chose : j’ai préféré Wyll et Bélisan.
J’aime les histoires riches, complexes et détaillées. J’aime quand la construction d’un monde est maîtrisée, quand l’autrice ou l’auteur sait où elle/il veut nous emmener. J’aime les romans choral portés par des protagonistes intéressants (ici, nous sommes servis : j’ai beaucoup aimé Art et son point de vue qui s’étend sur presque deux décennies, et Red, qui m’a fait penser à une Mia Corvere badass mais un peu trop sentimentale au fil des pages). J’aime quand les pièces d’un puzzle s’emboîtent et que tout s’éclaire. J’aime quand il se passe mille et une choses et que le lecteur n’a pas le temps de reprendre son souffle. Et, plus que tout, j’aime cette revisite sexy, créative, magique, dramatique, sanglante, intelligente et prenante du mythe du roi Arthur. Merci aux éditions De Saxus pour l’envoi de ce livre et pour la confiance qui m’a été accordée. ♥
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J'aime beaucoup la légende arthurienne, donc une réécriture "moderne", dans un monde qui pourrait être à notre époque m'intriguait énormément. De plus, un roman en un seul tome pouvant être une rareté c'était doublement tentant.
Le premier point qui m'a marqué c'est l'écart entre la description du monde sur la quatrième de couverture et l'histoire - écart valable aussi bien sur la VF que sur la VO !
En effet, on nous dit que l'électricité c'est de la monnaie, sauf qu'on s'en fiche totalement de l'électricité ! Jamais il n'y ait réellement fait allusion. Oui on nous dit qu'il y a des pauvres etc, mais l'électricité ? Bof. On nous dit que la monnaie s'appelle la combine (ce qui m'a fait drôle tout le long) mais c'est tout !
Ensuite, la magie est omniprésente ? Oui et non. Disons plutôt courante.
Dans cette histoire nous avons deux timeline : d'un côté l'arrivée du "Roi Combinard", Art, au pouvoir et de l'autre l'histoire de Red, pauvre orpheline qui veut devenir Chevalier de la Caballaria.
Art est un enfant bâtard qui n'a jamais voulu être roi mais que les circonstances vont propulser sur le trône. Déchiré alors entre ses idéaux et la charge et les contraintes de la fonction, il va avancer tant bien que mal en essayant d'améliorer le pays. Il découvrira au passage que l'amour est dangereux et pourrait bien le tuer.
Red est une orpheline sorciere avec une goût très (trop) prononcé pour la violence.
On comprend rapidement, lors de ses passages, qu'elle a un agenda caché : elle veut s'approcher du "héros" de la Caballaria, le chevalier Sorcier et le tuer. Pourquoi ? Mystère.
Tandis que ces deux êtres luttent pour atteindre leurs objectifs, le monde ne leur fait pas de cadeau et les façonnent, parfois insidieusement.
Le début est très très lent. Il est compliqué de comprendre ce que désire l'autrice. On ne sait pas quel sont les objectifs de chacun ou le but global du roman. C'est déstabilisant et pour ma part un peu gênant. Ce n'était pas juste un voyage et j'aurai aimé avoir une idée des agenda de chacun pour plus facilement m'attacher à eux peut être.
De plus, le monde est dans l'ensemble peu décrit et on a du mal à s'y projeter, s'y représenter et ainsi compatir ou suivre avec plaisir les personnage dans leurs déambulations.
Dans le dernier tiers de l'histoire, les événements se précipitent et on comprend davantage de choses. On devine grâce aux dates que les histoires de Red et d'Art vont se croiser et avoir une incidence l'une sur l'autre. On comprend également rapidement (enfin j'ai compris rapidement) le secret de Red et son but. Toutefois, ça manque clairement d'explications. Quant à la fin, elle reste sur une question en suspens.
Cela aurait pu être un coup de maitre, cette fin abrupte où le lecteur ne peut que s'interroger, mais ça n'a pas marché autant que prévu (mais un peu quand même) sur moi. Car même si on suit Red depuis longtemps, l'autrice ne nous a pas assez parlé de ses secrets et de ses objectifs cachés. Cela manque vraiment à l'histoire pour comprendre son geste, apporté un nouvel éclairage sur l'ensemble du roman, voir même donner envie de le relire à l'éclairage de ses révélations.
Si maintenant on reprend l'idée que l'autrice voulait s'inspirer du mythe arthurien, nombre de choses paraissent davantage évidentes, mais pour quelqu'un n'y connaissant pas grand chose, ce lien lui échappera complètement.
Au final on a de bonnes idées, de l'ambition, mais une réalisation plutôt maladroite. Ce sera un bof pour ma part même si je ne regrette pas ma lecture.
2/5 "it was ok"
Lien : http://www.nyx-shadow.com/20..
Le premier point qui m'a marqué c'est l'écart entre la description du monde sur la quatrième de couverture et l'histoire - écart valable aussi bien sur la VF que sur la VO !
En effet, on nous dit que l'électricité c'est de la monnaie, sauf qu'on s'en fiche totalement de l'électricité ! Jamais il n'y ait réellement fait allusion. Oui on nous dit qu'il y a des pauvres etc, mais l'électricité ? Bof. On nous dit que la monnaie s'appelle la combine (ce qui m'a fait drôle tout le long) mais c'est tout !
Ensuite, la magie est omniprésente ? Oui et non. Disons plutôt courante.
Dans cette histoire nous avons deux timeline : d'un côté l'arrivée du "Roi Combinard", Art, au pouvoir et de l'autre l'histoire de Red, pauvre orpheline qui veut devenir Chevalier de la Caballaria.
Art est un enfant bâtard qui n'a jamais voulu être roi mais que les circonstances vont propulser sur le trône. Déchiré alors entre ses idéaux et la charge et les contraintes de la fonction, il va avancer tant bien que mal en essayant d'améliorer le pays. Il découvrira au passage que l'amour est dangereux et pourrait bien le tuer.
Red est une orpheline sorciere avec une goût très (trop) prononcé pour la violence.
On comprend rapidement, lors de ses passages, qu'elle a un agenda caché : elle veut s'approcher du "héros" de la Caballaria, le chevalier Sorcier et le tuer. Pourquoi ? Mystère.
Tandis que ces deux êtres luttent pour atteindre leurs objectifs, le monde ne leur fait pas de cadeau et les façonnent, parfois insidieusement.
Le début est très très lent. Il est compliqué de comprendre ce que désire l'autrice. On ne sait pas quel sont les objectifs de chacun ou le but global du roman. C'est déstabilisant et pour ma part un peu gênant. Ce n'était pas juste un voyage et j'aurai aimé avoir une idée des agenda de chacun pour plus facilement m'attacher à eux peut être.
De plus, le monde est dans l'ensemble peu décrit et on a du mal à s'y projeter, s'y représenter et ainsi compatir ou suivre avec plaisir les personnage dans leurs déambulations.
Dans le dernier tiers de l'histoire, les événements se précipitent et on comprend davantage de choses. On devine grâce aux dates que les histoires de Red et d'Art vont se croiser et avoir une incidence l'une sur l'autre. On comprend également rapidement (enfin j'ai compris rapidement) le secret de Red et son but. Toutefois, ça manque clairement d'explications. Quant à la fin, elle reste sur une question en suspens.
Cela aurait pu être un coup de maitre, cette fin abrupte où le lecteur ne peut que s'interroger, mais ça n'a pas marché autant que prévu (mais un peu quand même) sur moi. Car même si on suit Red depuis longtemps, l'autrice ne nous a pas assez parlé de ses secrets et de ses objectifs cachés. Cela manque vraiment à l'histoire pour comprendre son geste, apporté un nouvel éclairage sur l'ensemble du roman, voir même donner envie de le relire à l'éclairage de ses révélations.
Si maintenant on reprend l'idée que l'autrice voulait s'inspirer du mythe arthurien, nombre de choses paraissent davantage évidentes, mais pour quelqu'un n'y connaissant pas grand chose, ce lien lui échappera complètement.
Au final on a de bonnes idées, de l'ambition, mais une réalisation plutôt maladroite. Ce sera un bof pour ma part même si je ne regrette pas ma lecture.
2/5 "it was ok"
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3,5/5Voici une lecture qui sort de l'ordinaire avec de la représentation queer. Je dois dire que l'emploi du neutre dans le texte m'a quelque peu perturbé au départ car je n'en ai pas l'habitude. Même si j'ai eu du mal à m'y faire je ne peux que féliciter la représentation présente dans ce roman car cela fait du bien de ne pas rester dans l'hétéro normé. Passés les premiers moments d'adaptation, j'ai suivi avec intérêt les aventures de nos personnages. L'intrigue est répartie sur deux temporalités qui se rejoignent. On découvre ainsi présent et passé, ce qui nous permet de mieux d'appréhender les enjeux de cette histoire. Le texte est fluide et dynamique, ce qui nous évite des moments de plat, même si certains moments du passé auraient mérité plus de peps. Les personnages sont bien vivants mais cependant je n'ai pas pu ressentir d'empathie envers eux car le tournant de l'histoire différait de mes attentes. En résumé, un roman qui a le mérite de sortir de la norme mais qui possède des défauts mineurs au niveau des relations entre les personnages, ce qui nous fait parfois décrocher de l'histoire. Cela reste une histoire divertissante qui appelle à lire la suite.
2,5/5 étoiles
Ça me fait mal au cœur de mettre une note si basse à un livre dont l’univers possède tant de potentiel, mais Les chevaliers de Sombrecoeur est pour le moment ma lecture la plus frustrante de 2023. Le début et la fin sont prenants, mais le milieu a été une véritable épreuve à lire tant il est inégal aussi bien sur son rythme que sur son contenu. Malgré de bons moments, j’ai l’impression d’avoir perdu du temps, et je ne pense pas prendre la suite de cette duologie. (Honnêtement je ne vois pas ce qu’il y a de plus à raconter après la fin qu’on a eu)
Pour la review plus détaillée, commençons par les points positifs :
-Le style : la plume de l’autrice est agréable à lire. Elle a du caractère, le vocabulaire et le champ lexical utilisés forgent un univers froid, métallique et sombre dans lequel il est facile de s’immerger. On peut presque sentir l’odeur de la pluie, du goudron et de la terre battue en tournant les pages. L’autrice a su donner une identité propre à son histoire de ce côté-là.
-La représentation : c’est le premier livre que je lis en français qui utilise des pronoms et adjectifs neutres pour genrer des personnages non-binaires ou inconnu.es, et c’est sincèrement réjouissant. Ce n’est pas utilisé une seule fois au détour d’un chapitre pour un quota de bonne conscience, l’utilisation du neutre est régulière et fait partie intégrante de la société dans lesquels les personnages vivent. Si on ajoute à ça la présence de romances/relations queer et de nombreux personnages de couleurs, ce livre fait du bien en termes de représentation.
-Wyll et Garad sont les meilleurs personnages du livre, iels méritent leur point à eux seul.es. Leur loyauté et leur calme m’ont séduit ♥
Bon, le négatif maintenant :
-Trop de personnages secondaires/tertiaires : il y en a tellement, et la plupart sont unidimensionnels ou oubliés au cours de l’intrigue. On essaie de nous vendre des figures maternelles à partir de personnages qu’on n’a pas vu depuis 150 pages, des groupes d’amis qui disparaissent pendant des chapitres entiers, des retournements avec des individus dont on a oublié l’identité depuis un bail… S’il y avait moitié moins de personnages et qu’on prenait le temps de les développer un peu plus, je pense que les scènes clés du dernier tier du livre auraient bien plus de poids.
-Un synopsis trompeur : Où sont les motos ??? J’en ai compté 6 à tout casser dans le livre, 7 si on prend celle de la couverture ? Les personnages se déplacent plus en SUV au cours de l’histoire, c’en est devenu un running gag dans mes notes de lecture personnelle. L’électricité, une monnaie ? Elle est vaguement mentionnée de temps à autre au détour d’un paragraphe mais n’a pas une place centrale dans le récit.
Un jeune bâtard doué de magie ? Raté, c’est l’autre personnage qui possède des pouvoirs – est-ce que les gens qui ont écrit le synopsis se sont trompés dans leur rédaction ??? Est-ce que quelqu’un a lu ce livre avant de rédiger la 4e de couverture ?
-Ellipses, quand tu nous tiens : certaines scènes importantes ou qu’on attend depuis un moment sont passées sous ellipses, et ça me rendait folle. Art - le premier protagoniste – a une intrigue plus politique, et Red – la seconde – plus basée sur l’action. Mais certains moments clés de leur arc sont passés sous silence, comme si l’autrice avait peur de les écrire ? C’est un choix sincèrement étrange et ça a retiré beaucoup d’entrain à ma lecture.
(Exemple le plus flagrant SPOIL :
Autre SPOIL :
-Qu’est-ce qui justifie la catégorie adulte du livre ? Le sexe, la drogue, la violence ? Hormis cela, je retrouve le même manque de subtilité et de développement de personnages que dans un YA classique.
-Et enfin le point le plus important pour moi et qui va majoritairement être sous spoil : le personnage de Red est ennuyeux au possible et le livre n’aurait pas dû se concentrer sur son point de vue.
SPOIL :
En conclusion ; je ne recommande malheureusement pas ce livre malgré le potentiel de l’univers. Peut-être tenterais-je d’autres livres de l’autrice car j’apprécie sa plume, mais je ne terminerai pas cette duologie.
Ça me fait mal au cœur de mettre une note si basse à un livre dont l’univers possède tant de potentiel, mais Les chevaliers de Sombrecoeur est pour le moment ma lecture la plus frustrante de 2023. Le début et la fin sont prenants, mais le milieu a été une véritable épreuve à lire tant il est inégal aussi bien sur son rythme que sur son contenu. Malgré de bons moments, j’ai l’impression d’avoir perdu du temps, et je ne pense pas prendre la suite de cette duologie. (Honnêtement je ne vois pas ce qu’il y a de plus à raconter après la fin qu’on a eu)
Pour la review plus détaillée, commençons par les points positifs :
-Le style : la plume de l’autrice est agréable à lire. Elle a du caractère, le vocabulaire et le champ lexical utilisés forgent un univers froid, métallique et sombre dans lequel il est facile de s’immerger. On peut presque sentir l’odeur de la pluie, du goudron et de la terre battue en tournant les pages. L’autrice a su donner une identité propre à son histoire de ce côté-là.
-La représentation : c’est le premier livre que je lis en français qui utilise des pronoms et adjectifs neutres pour genrer des personnages non-binaires ou inconnu.es, et c’est sincèrement réjouissant. Ce n’est pas utilisé une seule fois au détour d’un chapitre pour un quota de bonne conscience, l’utilisation du neutre est régulière et fait partie intégrante de la société dans lesquels les personnages vivent. Si on ajoute à ça la présence de romances/relations queer et de nombreux personnages de couleurs, ce livre fait du bien en termes de représentation.
-Wyll et Garad sont les meilleurs personnages du livre, iels méritent leur point à eux seul.es. Leur loyauté et leur calme m’ont séduit ♥
Bon, le négatif maintenant :
-Trop de personnages secondaires/tertiaires : il y en a tellement, et la plupart sont unidimensionnels ou oubliés au cours de l’intrigue. On essaie de nous vendre des figures maternelles à partir de personnages qu’on n’a pas vu depuis 150 pages, des groupes d’amis qui disparaissent pendant des chapitres entiers, des retournements avec des individus dont on a oublié l’identité depuis un bail… S’il y avait moitié moins de personnages et qu’on prenait le temps de les développer un peu plus, je pense que les scènes clés du dernier tier du livre auraient bien plus de poids.
-Un synopsis trompeur : Où sont les motos ??? J’en ai compté 6 à tout casser dans le livre, 7 si on prend celle de la couverture ? Les personnages se déplacent plus en SUV au cours de l’histoire, c’en est devenu un running gag dans mes notes de lecture personnelle. L’électricité, une monnaie ? Elle est vaguement mentionnée de temps à autre au détour d’un paragraphe mais n’a pas une place centrale dans le récit.
Un jeune bâtard doué de magie ? Raté, c’est l’autre personnage qui possède des pouvoirs – est-ce que les gens qui ont écrit le synopsis se sont trompés dans leur rédaction ??? Est-ce que quelqu’un a lu ce livre avant de rédiger la 4e de couverture ?
-Ellipses, quand tu nous tiens : certaines scènes importantes ou qu’on attend depuis un moment sont passées sous ellipses, et ça me rendait folle. Art - le premier protagoniste – a une intrigue plus politique, et Red – la seconde – plus basée sur l’action. Mais certains moments clés de leur arc sont passés sous silence, comme si l’autrice avait peur de les écrire ? C’est un choix sincèrement étrange et ça a retiré beaucoup d’entrain à ma lecture.
(Exemple le plus flagrant SPOIL :
Autre SPOIL :
-Qu’est-ce qui justifie la catégorie adulte du livre ? Le sexe, la drogue, la violence ? Hormis cela, je retrouve le même manque de subtilité et de développement de personnages que dans un YA classique.
-Et enfin le point le plus important pour moi et qui va majoritairement être sous spoil : le personnage de Red est ennuyeux au possible et le livre n’aurait pas dû se concentrer sur son point de vue.
SPOIL :
En conclusion ; je ne recommande malheureusement pas ce livre malgré le potentiel de l’univers. Peut-être tenterais-je d’autres livres de l’autrice car j’apprécie sa plume, mais je ne terminerai pas cette duologie.
Bonjour. Je tiens à préciser que ce qui s'en suit n'est que le fruit de ma propre expérience de lecture et que ce n'est que mon avis purement personnel.
Parlons 1erement des persos : j'ai adoré les persos de Wyll et Art qui sont pour le coup mes deux gros coups de cœur dans ce bouquin, mais du côté de Red j'ai eu beaucoup de mal. Au début je la trouvais inintéressante, nulle et débile mais au fil des pages elle a redoré un peu son image selon moi, j'ai même réussi à un peu l'apprécier même si les adjectifs cités plus hauts sont toujours valables. Je voulais également parler de mon ressenti vis-à-vis de Finnavair qui était vraiment le point l'un des points les plus négatifs de l'histoire. Je ne l'ai vraiment pas aimé et elle m'a déplue dès le début.
2ement l'intrigue et la plume : j'ai trouvé l'intrigue unique, génial et addictive. Pour la plume je l'ai adoré et vraiment la plume de Laure Eve est pour moi fiable.
Ç'aurait était un coup de cœur si ce n'est la fin qui est pour le point vraiment négatif de l'histoire et qui m'a énormément déçue 😞
Parlons 1erement des persos : j'ai adoré les persos de Wyll et Art qui sont pour le coup mes deux gros coups de cœur dans ce bouquin, mais du côté de Red j'ai eu beaucoup de mal. Au début je la trouvais inintéressante, nulle et débile mais au fil des pages elle a redoré un peu son image selon moi, j'ai même réussi à un peu l'apprécier même si les adjectifs cités plus hauts sont toujours valables. Je voulais également parler de mon ressenti vis-à-vis de Finnavair qui était vraiment le point l'un des points les plus négatifs de l'histoire. Je ne l'ai vraiment pas aimé et elle m'a déplue dès le début.
2ement l'intrigue et la plume : j'ai trouvé l'intrigue unique, génial et addictive. Pour la plume je l'ai adoré et vraiment la plume de Laure Eve est pour moi fiable.
Ç'aurait était un coup de cœur si ce n'est la fin qui est pour le point vraiment négatif de l'histoire et qui m'a énormément déçue 😞
Le roi Art Dracones est mort.
Alors que Garad, son ancien champion, enquête sur la disparition d'enfants-divins,
Will, son meilleur ami, tente de découvrir la vérité sur sa mort.
Des recherches qui les mèneront à
- Une conspiration impliquant l'élite londonienne,
- Des enfants-divins capables de magie qui disparaissent,
- Des enfants-divins qui ne demandent qu'à vivre dans un monde où la magie est illégale...
Trahisons, manigances, suspicions...
Un deuxième opus, pour cette duologie, épique, rythmé et haletant où les révélations, rebondissements, retournements de situation s'enchaînent laissant le lecteur dans le doute, ne sachant à qui se fier.
Les pièces du puzzle qui se construit sous nos yeux se dévoilent tout au long de la lecture sur trois temporalités, temporalités qui finiront par se rejoindre, nous dévoilant le tableau final.
Une Urban Fantasy captivante ..
Néanmoins, j'enlèverai 1 étoile pour l'écriture inlusive.
Tout comme pour le premier tome, certains passages neutres rendent la lecture difficile, ce qui est dommage ...
Alors que Garad, son ancien champion, enquête sur la disparition d'enfants-divins,
Will, son meilleur ami, tente de découvrir la vérité sur sa mort.
Des recherches qui les mèneront à
- Une conspiration impliquant l'élite londonienne,
- Des enfants-divins capables de magie qui disparaissent,
- Des enfants-divins qui ne demandent qu'à vivre dans un monde où la magie est illégale...
Trahisons, manigances, suspicions...
Un deuxième opus, pour cette duologie, épique, rythmé et haletant où les révélations, rebondissements, retournements de situation s'enchaînent laissant le lecteur dans le doute, ne sachant à qui se fier.
Les pièces du puzzle qui se construit sous nos yeux se dévoilent tout au long de la lecture sur trois temporalités, temporalités qui finiront par se rejoindre, nous dévoilant le tableau final.
Une Urban Fantasy captivante ..
Néanmoins, j'enlèverai 1 étoile pour l'écriture inlusive.
Tout comme pour le premier tome, certains passages neutres rendent la lecture difficile, ce qui est dommage ...
Pour ceux qui ont l'impression que les romans fantastiques pour ados se ressemblent tous, un roman qui va détromper vos certitudes !
A première vue, l'intrigue semble assez banale: une fratrie entourée d'une aura de mystère, qu'on soupçonne de pouvoirs magiques, fascine tout le lycée, notamment Fenrin, le beau gosse à qui personne ne résiste, et une nouvelle, assez insignifiante, prête à tout pour faire partie de leur univers. Pourtant, on découvre peu à peu que les secrets ne sont pas seulement l'apanage de la famille Grace...
Ce roman réussit à échapper aux écueils les plus communs du genre grâce à des retournements de situation assez originaux, et surtout une intrigue bien menée, qui en fait un véritable "page-turner". Ca ne se lit pas, ça se dévore!
A première vue, l'intrigue semble assez banale: une fratrie entourée d'une aura de mystère, qu'on soupçonne de pouvoirs magiques, fascine tout le lycée, notamment Fenrin, le beau gosse à qui personne ne résiste, et une nouvelle, assez insignifiante, prête à tout pour faire partie de leur univers. Pourtant, on découvre peu à peu que les secrets ne sont pas seulement l'apanage de la famille Grace...
Ce roman réussit à échapper aux écueils les plus communs du genre grâce à des retournements de situation assez originaux, et surtout une intrigue bien menée, qui en fait un véritable "page-turner". Ca ne se lit pas, ça se dévore!
Ce livre m’a énormément intrigué, de plus sa couverture fait rêver tellement elle est belle. Le thème de la magie et de la malédiction est parfait pour Halloween, autant vous dire qu’au moment où je l’ai reçu je l’ai aussitôt dévoré. Mais ma lecture n’a pas été aussi extraordinaire que me promettait le livre.
Cette histoire est très mais vraiment très bizarre. L’ambiance générale n’est pas à faire trembler les plus vaillants d’entre nous mais il y a un petit quelque chose qui nous installe intensément dans ce monde fantastique. J’ai été tout de suite captivé par ces étrangetés.
Notre héroïne ne rentre pas dans les standards habituels, et présente des qualités ou plutôt des défauts d’obsession. J’ai très mal vécu ces passages, où notre protagoniste s’est décidée qu’elle devait coûte que coûte se procure Fenrin (le beau gosse de l’histoire). Outre ces passages, son attitude manipulatrice m’a beaucoup plus. Et on comprend à la fin les raisons de son comportement. J’ai envie de vous laisser découvrir par vous-même le phénomène et de vous en raconter le moins possible sur les personnages. À mon avis, il vaudrait mieux rentrer dans le livre avec le moins d’informations.
L’autre petit bémol était que le début ressemblait énormément à Twilight. On avait la famille super-bizarre qui se faisait remarquer dans le lycée ainsi que la petite nouvelle qui arrivait dans cette ville située dans un petit patelin perdu dans la campagne. Mais la ressemblance s’arrête là.
En conclusion, comme je le disais l’histoire est bizarre au possible. J’ai très envie de découvrir la suite principalement due à la fin. J’espère néanmoins que le prochain tome sera plus fort en action.
Lien : https://kookiebookinee.wordp..
Cette histoire est très mais vraiment très bizarre. L’ambiance générale n’est pas à faire trembler les plus vaillants d’entre nous mais il y a un petit quelque chose qui nous installe intensément dans ce monde fantastique. J’ai été tout de suite captivé par ces étrangetés.
Notre héroïne ne rentre pas dans les standards habituels, et présente des qualités ou plutôt des défauts d’obsession. J’ai très mal vécu ces passages, où notre protagoniste s’est décidée qu’elle devait coûte que coûte se procure Fenrin (le beau gosse de l’histoire). Outre ces passages, son attitude manipulatrice m’a beaucoup plus. Et on comprend à la fin les raisons de son comportement. J’ai envie de vous laisser découvrir par vous-même le phénomène et de vous en raconter le moins possible sur les personnages. À mon avis, il vaudrait mieux rentrer dans le livre avec le moins d’informations.
L’autre petit bémol était que le début ressemblait énormément à Twilight. On avait la famille super-bizarre qui se faisait remarquer dans le lycée ainsi que la petite nouvelle qui arrivait dans cette ville située dans un petit patelin perdu dans la campagne. Mais la ressemblance s’arrête là.
En conclusion, comme je le disais l’histoire est bizarre au possible. J’ai très envie de découvrir la suite principalement due à la fin. J’espère néanmoins que le prochain tome sera plus fort en action.
Lien : https://kookiebookinee.wordp..
Attirée par la couverture de ce livre et par son résumé, j’ai débuté ma lecture joyeusement. Une histoire de sorciers de charmes et sortilèges, voilà qui s’annonçait vraiment prometteur. La première partie du livre m’a totalement conquise. L’histoire débute avec un grand mystère pour notre héroïne. Elle débute une nouvelle année scolaire dans un lycée où les enfants Graces sont les stars. Attirée comme un aimant par ces trois jeunes gens, elle mettra tout en œuvre pour faire partie de leur vie. River se rapproche de la benjamine : Summer. Elles deviennent rapidement amies. Ainsi River passe du temps auprès de Thalia et Fenrin les jumeaux. Elle développe des sentiments pour ce dernier.
J’étais vraiment emballée par le début de ma lecture. Le mystère entre en jeu dès les premières pages. Les personnages sont ambigus et secrets. Puis tout a basculé. Il y a beaucoup trop de secrets qui viennent se greffer les uns au autres. Ce qui m’a gâché la lecture. Les chapitres se succèdent mais sans réel trame unique. Tout par un peu n’importe comment. J’ai vite perdu le sens réel de l’histoire. Et arrive le moment fatidique. Une seule petite phrase qui a fait basculer toute l’histoire. C’est à cet instant précis que j’ai décroché de ma lecture. Je ne comprenais plus rien et je ne voyais absolument pas où l’auteur voulait en venir. Est-ce dû au fait que ce livre est un premier tome et qu’elle pose juste les bases de son histoire pour mieux continuer dans ses livres à venir ? Je ne sais réellement pas quoi en penser. (suite sur le blog)
Lien : http://lune-et-plume.fr/the-..
J’étais vraiment emballée par le début de ma lecture. Le mystère entre en jeu dès les premières pages. Les personnages sont ambigus et secrets. Puis tout a basculé. Il y a beaucoup trop de secrets qui viennent se greffer les uns au autres. Ce qui m’a gâché la lecture. Les chapitres se succèdent mais sans réel trame unique. Tout par un peu n’importe comment. J’ai vite perdu le sens réel de l’histoire. Et arrive le moment fatidique. Une seule petite phrase qui a fait basculer toute l’histoire. C’est à cet instant précis que j’ai décroché de ma lecture. Je ne comprenais plus rien et je ne voyais absolument pas où l’auteur voulait en venir. Est-ce dû au fait que ce livre est un premier tome et qu’elle pose juste les bases de son histoire pour mieux continuer dans ses livres à venir ? Je ne sais réellement pas quoi en penser. (suite sur le blog)
Lien : http://lune-et-plume.fr/the-..
La famille Grace est une légende dans la ville.
Ils sont si beaux, si riches, si mystérieux !
Tout le monde s'interroge : sont-ils des sorciers ?
En cours d'année arrive une nouvelle élève à qui son vrai nom ne plaît pas et qui a décidé de s'appeler River Page.
Elle aussi est fascinée par les enfants Grace. Et elle cherche à s'immiscer dans leur vie.
Pourquoi ?
Seule la fin du roman révélera le secret de River.
Bien sûr, ce roman est une lecture agréable... mais il s'adresse surtout aux grands ados.
Dans huit jours, j'aurai tout oublié.
Ils sont si beaux, si riches, si mystérieux !
Tout le monde s'interroge : sont-ils des sorciers ?
En cours d'année arrive une nouvelle élève à qui son vrai nom ne plaît pas et qui a décidé de s'appeler River Page.
Elle aussi est fascinée par les enfants Grace. Et elle cherche à s'immiscer dans leur vie.
Pourquoi ?
Seule la fin du roman révélera le secret de River.
Bien sûr, ce roman est une lecture agréable... mais il s'adresse surtout aux grands ados.
Dans huit jours, j'aurai tout oublié.
Je viens tout juste de terminer ce livre, et quoi dire... Je me suis ennuyée comme pas possible, et j'ai fini par le lire en diagonal tellement je n'en pouvais plus.
Alors oui, c'est une lecture simple, peut-être même assez rapide, mais l'histoire ? Je n'ai vu aucun intérêt, ça ne m'a pas diverti, j'ai détesté l'héroïne, j'avais d'ailleurs compris son "secret" dès le début, finalement, j'attendais juste de tourner enfin la dernière page.
Je n'ai pas grand chose de plus à dire dessus, j'ai trouvé l'histoire fade, sans intérêt, même si je trouvais l'histoire originale en lisant le résumé, elle est finalement clichée, avec des personnages insupportables et finalement, elle n'a pas vraiment de fond.
Alors oui, c'est une lecture simple, peut-être même assez rapide, mais l'histoire ? Je n'ai vu aucun intérêt, ça ne m'a pas diverti, j'ai détesté l'héroïne, j'avais d'ailleurs compris son "secret" dès le début, finalement, j'attendais juste de tourner enfin la dernière page.
Je n'ai pas grand chose de plus à dire dessus, j'ai trouvé l'histoire fade, sans intérêt, même si je trouvais l'histoire originale en lisant le résumé, elle est finalement clichée, avec des personnages insupportables et finalement, elle n'a pas vraiment de fond.
On suit River, une jeune fille qui veut absolument s’intégrer dans son nouveau lycée. En apprenant que les Grace seraient en fait des sorciers et qu’ils pratiquent la magie, elle décide de tout faire pour se lier d’amitié avec les Graces allant même jusqu’à faire des choses qu’elle n’aurait jamais fait. Mais River n’est qu’un alias, c’est le nom qu’elle aurait aimé porter et à aucun moment, nous ne connaissons son véritable prénom. Ce qui est plutôt déroutant…
J’ai été d’abord emballé par le mystère entourant les Grace, presque à l’image des Cullen, ils sont parfaits et suscitent envie et jalousie partout où ils passent. Ils sont également énigmatiques et ne démentent jamais les rumeurs qui circulent sur eux. Mais la comparaison s’arrête là, ils n’ont que leur air mystérieux en commun. Je ne dirais pas que les Graces sont inintéressant, loin de là, sans eux le livre n’aurait pas de raison d’être mais, pour moi, le vrai mystère qui se cache sous celui des Graces, c’est notre héroïne. Ce qui est intéressant ici, c’est la motivation, la détermination de notre héroïne pour approcher les Graces et ce qu’elle est prête à faire pour y parvenir et surtout ses petits secrets qu’elle dissimule habilement. Elle m’a même fait plusieurs fois froid dans le dos à cause de sa capacité à se comporter comme quelqu’un qu’elle n’est pas.
Tout au long du roman, j’ai fait des suppositions sur l’héroïne et même sur les Graces et je me suis trompée sur toute la ligne. Vers la moitié du livre, j’étais totalement perdue, l’auteure nous mène littéralement par le bout du nez et chamboule toutes nos certitudes. Par contre, j’ai trouvé que la fin était un peu décevante et contrastait avec le reste du bouquin, donnant une petite impression de vite fait bien fait. Néanmoins, j’ai très envie de lire la suite pour voir où l’auteure veut nous mener suite aux révélations de la fin du premier tome.
En conclusion, je trouve que c’est un très bon premier tome. Il est rempli de magie, de mystère et de secrets et est mené par la superbe plume de Laure Eve. J’espère juste que la suite sera à la hauteur !
Lien : https://milleetunelecturesbl..
J’ai été d’abord emballé par le mystère entourant les Grace, presque à l’image des Cullen, ils sont parfaits et suscitent envie et jalousie partout où ils passent. Ils sont également énigmatiques et ne démentent jamais les rumeurs qui circulent sur eux. Mais la comparaison s’arrête là, ils n’ont que leur air mystérieux en commun. Je ne dirais pas que les Graces sont inintéressant, loin de là, sans eux le livre n’aurait pas de raison d’être mais, pour moi, le vrai mystère qui se cache sous celui des Graces, c’est notre héroïne. Ce qui est intéressant ici, c’est la motivation, la détermination de notre héroïne pour approcher les Graces et ce qu’elle est prête à faire pour y parvenir et surtout ses petits secrets qu’elle dissimule habilement. Elle m’a même fait plusieurs fois froid dans le dos à cause de sa capacité à se comporter comme quelqu’un qu’elle n’est pas.
Tout au long du roman, j’ai fait des suppositions sur l’héroïne et même sur les Graces et je me suis trompée sur toute la ligne. Vers la moitié du livre, j’étais totalement perdue, l’auteure nous mène littéralement par le bout du nez et chamboule toutes nos certitudes. Par contre, j’ai trouvé que la fin était un peu décevante et contrastait avec le reste du bouquin, donnant une petite impression de vite fait bien fait. Néanmoins, j’ai très envie de lire la suite pour voir où l’auteure veut nous mener suite aux révélations de la fin du premier tome.
En conclusion, je trouve que c’est un très bon premier tome. Il est rempli de magie, de mystère et de secrets et est mené par la superbe plume de Laure Eve. J’espère juste que la suite sera à la hauteur !
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J’ai pris un risque en choisissant ce livre, à la médiathèque. Le risque d’être une fois de plus déçue par un roman Y.A qui tournerait au mieux à la banale histoire de lycéens sorciers au pire à la romance cucul (et je dois dire que la romance des années lycée n’a jamais été ma tasse de thé).
Mais ce roman s’est avéré plus intéressant que je ne l’aurais cru. Ce roman est malin…Très malin.
L’autrice a trouvé le moyen de tracer une intrigue qui pourrait ressembler à un Twilight chez les sorciers : la protagoniste tombe sous le charme d’un beau gosse et d’une famille élégante et spéciale, refrain bien connu. Et pourtant, l’histoire ne s’englue pas dans une trame vampire/sorcier/amourette. Au contraire, elle frôle l’étrange et le fantastique, faisant douter le lecteur.
Et si Laure Eve nous laisse osciller aussi longtemps, c’est pour exploiter cette hésitation lors du dénouement (et je n’en dirais pas plus).
Un tome 2 est sorti en anglais.
Lien : https://imaladybutterfly.wor..
Mais ce roman s’est avéré plus intéressant que je ne l’aurais cru. Ce roman est malin…Très malin.
L’autrice a trouvé le moyen de tracer une intrigue qui pourrait ressembler à un Twilight chez les sorciers : la protagoniste tombe sous le charme d’un beau gosse et d’une famille élégante et spéciale, refrain bien connu. Et pourtant, l’histoire ne s’englue pas dans une trame vampire/sorcier/amourette. Au contraire, elle frôle l’étrange et le fantastique, faisant douter le lecteur.
Et si Laure Eve nous laisse osciller aussi longtemps, c’est pour exploiter cette hésitation lors du dénouement (et je n’en dirais pas plus).
Un tome 2 est sorti en anglais.
Lien : https://imaladybutterfly.wor..
Ce livre avait tout pour me plaire : une couverture sublime et un résumé alléchant. Malheureusement pour moi, on est loin du roman "coup de coeur" attendu voire du bon roman YA. Ça a été une grosse déception ! Même si je n'ai pas détesté, j'ai trouvé qu'il ne se passait pas grand chose dans ce roman ! Et puis la fin est un peu bateau ! C'est le genre de roman où on se dit "tout ça pour ça ?". Si vous vous dites que je suis un peu sévère, il se trouve que j'ai lu ce roman en lecture commune avec Robin des Chroniques de Robinou et qui pour le coup a détesté ce livre et ne mâche pas ses mots ! Voici le roman de 2016 qu'il a le plus détesté !
Tout commence à travers le regard d'une mystérieuse jeune fille obsédée par la famille Graces. La raison de cette obsession ? On ne le saura pas, du moins pas tout de suite. On ne connait pas son identité, ni aucun autre détail d'elle à part qu'elle doit débuter une nouvelle vie suite à la disparition de son père. Au fil des pages, elle se nommera River Page. Mais pour autant, ça reste un narrateur personnage très discret et mystérieux. Et, pourtant, grâce à cela, et sans s'y attendre, elle va devenir proche des Graces, cette famille de « sorciers » qu'elle épie avec envie au quotidien, et surtout en ce qui concerne le personnage de Fenrin, le beau gosse du lycée. On va donc suivre la vie des Graces à travers elle.
Si ce livre se lit très vite, il reste néanmoins une lecture sympathique car il ne se passe pas réellement de choses hallucinantes. J'attendais beaucoup de ce roman au vu des critiques coups de coeur sur chaque blog et là, malheureusement ça a été un gros bide. On est très loin du coup de coeur. Je crois que pour le coup c'était trop jeunesse alors que pourtant c'est du YA... On se croyait dans un Twilight qui a mal tourné voire qui était mal fait (rassurez-vous je n'ai rien contre Twilight ! C'est grâce à cette saga qu'au collège j'ai commencé à dévorer les livres !). Adieu les vampires, bonjour les soi-disant sorciers. Je pense que c'est le plus gros point faible du livre. J'ai ressenti cette inspiration au fil des pages, surtout à travers les personnages. Il ne se passe pas un moment où il n'arrive rien à River. Ça ne vous rappelle pas Bella ?
River est plutôt le genre de filles qui veut être transparente, est solitaire, pauvre, paumé et attire les foudres.... Mais bizarrement, elle a quelque chose qui suscite un fort intérêt chez les Graces et notamment Fenrin. (Hé ! dis, tu serais pas un remix d'Edward par hasard ?) Bizarrement la seule famille qui l'obsède s'intéresse à elle ? La seule personne qui peut les approcher et aller chez eux sans soucis, c'est la fille qui débarque de nulle part et qui est seule et invisible. Pourtant, lorsque son objectif est atteint, plus rien ne va se passer comme elle le souhaitait ! Tout va basculer et le roman prend alors une tout autre tournure. J'ai trouvé ça bizarre sachant que j'étais déjà agacée depuis le début de voir autant de clichés et d'inspirations de Twilight... Plus on avançait, moins j'étais convaincue.
Ainsi, on se demande quel est son secret ? (Ça ne vous rappelle toujours pas Twilight ?) Qu'est-ce qui a fait que cette inconnue soit devenue la meilleure amie des Graces ? Pour cela, il vous faudra atteindre les dernières pages du livre pour le découvrir ! D'ailleurs, la fin n'est pas si folichonne que ça mais elle me donnerait presque envie de lire la suite pour savoir ce qui se passe mais je reste vraiment sur mes gardes. Ça ne sera donc pas une priorité !
Pour le coup, ne vous arrêtez pas sur la couverture, c'est un piège !
Tout commence à travers le regard d'une mystérieuse jeune fille obsédée par la famille Graces. La raison de cette obsession ? On ne le saura pas, du moins pas tout de suite. On ne connait pas son identité, ni aucun autre détail d'elle à part qu'elle doit débuter une nouvelle vie suite à la disparition de son père. Au fil des pages, elle se nommera River Page. Mais pour autant, ça reste un narrateur personnage très discret et mystérieux. Et, pourtant, grâce à cela, et sans s'y attendre, elle va devenir proche des Graces, cette famille de « sorciers » qu'elle épie avec envie au quotidien, et surtout en ce qui concerne le personnage de Fenrin, le beau gosse du lycée. On va donc suivre la vie des Graces à travers elle.
Si ce livre se lit très vite, il reste néanmoins une lecture sympathique car il ne se passe pas réellement de choses hallucinantes. J'attendais beaucoup de ce roman au vu des critiques coups de coeur sur chaque blog et là, malheureusement ça a été un gros bide. On est très loin du coup de coeur. Je crois que pour le coup c'était trop jeunesse alors que pourtant c'est du YA... On se croyait dans un Twilight qui a mal tourné voire qui était mal fait (rassurez-vous je n'ai rien contre Twilight ! C'est grâce à cette saga qu'au collège j'ai commencé à dévorer les livres !). Adieu les vampires, bonjour les soi-disant sorciers. Je pense que c'est le plus gros point faible du livre. J'ai ressenti cette inspiration au fil des pages, surtout à travers les personnages. Il ne se passe pas un moment où il n'arrive rien à River. Ça ne vous rappelle pas Bella ?
River est plutôt le genre de filles qui veut être transparente, est solitaire, pauvre, paumé et attire les foudres.... Mais bizarrement, elle a quelque chose qui suscite un fort intérêt chez les Graces et notamment Fenrin. (Hé ! dis, tu serais pas un remix d'Edward par hasard ?) Bizarrement la seule famille qui l'obsède s'intéresse à elle ? La seule personne qui peut les approcher et aller chez eux sans soucis, c'est la fille qui débarque de nulle part et qui est seule et invisible. Pourtant, lorsque son objectif est atteint, plus rien ne va se passer comme elle le souhaitait ! Tout va basculer et le roman prend alors une tout autre tournure. J'ai trouvé ça bizarre sachant que j'étais déjà agacée depuis le début de voir autant de clichés et d'inspirations de Twilight... Plus on avançait, moins j'étais convaincue.
Ainsi, on se demande quel est son secret ? (Ça ne vous rappelle toujours pas Twilight ?) Qu'est-ce qui a fait que cette inconnue soit devenue la meilleure amie des Graces ? Pour cela, il vous faudra atteindre les dernières pages du livre pour le découvrir ! D'ailleurs, la fin n'est pas si folichonne que ça mais elle me donnerait presque envie de lire la suite pour savoir ce qui se passe mais je reste vraiment sur mes gardes. Ça ne sera donc pas une priorité !
Pour le coup, ne vous arrêtez pas sur la couverture, c'est un piège !
> https://booksandrap.wordpress.com/2016/10/22/the-graces-tome-1-laure-eve/
Avis : J’ai été immédiatement attirée par la couverture avant de m’intéresser au résumé, et quand j’ai compris que ça allait parler magie, sorcellerie, mystère j’ai été tout de suite emballée… Enfin quoi quelle meilleure période qu’Halloween pour ce plonger dans ce genre d’ambiance mystique ?
Je ne m’attendais pas à une histoire renversant tout les codes, ni incroyablement innovante et pourtant… Je ne pensais pas autant aimé et me laisser surprendre comme ça.
Si vous ignoriez encore de quoi parle « The Graces » c’est l’histoire d’une ado, River de son nouveau prénom, qui devient l’ami d’une famille à la fois craint et admiré par tous. Populaires au lycée, incroyablement beaux, entourés de mystère, les Graces sont LES élèves du lycée par excellence. Très rapidement attirée par l’ainé de la famille : Fenrin, River finit par se rapprocher de la benjamine : Summer. Mais tout ne se passe pas comme elle se l’était imaginée.
Une des choses qui m’a le plus plu dans ce bouquin c’est vraiment l’ambiance que Laure Eve mets en place. On est tout de suite propulsés au lycée, à côté de River, qui elle aussi cache son lot de mystère et de drame. On sent tout de suite l’aura qu’ont les Graces, l’attirance que peuvent avoir les autres élèves envers eux. Je trouve que l’auteur arrive vraiment à retranscrire à merveille ce flot de sentiments que provoque cette étrange famille. Sorcier, pas sorcier ? Pratiquant de magie ou non ? Persécuté par une malédiction imaginaire ? Ou bien réelle a contrario ?
On est complètement, en tant que lecteur immergé dans cette ambiance mystérieuse et très spéciale qu’ont les livres traitant de magie. J’ai adoré vraiment cet aspect du livre, c’est hypnotisant et envoutant… Tout ce qu’on demande😉
J’ai également beaucoup aimé l’intrigue. Je trouve que parfois, dans les livres young adult, où il est question d’adolescent, il ne s’y passe pas grand chose. Et bien pas dans celui-ci. Je me suis vraiment prise une claque en pensant à tord. Bien fait pour moi ! J’ai découvert qu’en dessous la couche de vernis, en grattant un peu et en avançant plus dans l’histoire, il y était question de quelque chose de plus profond qu’une obsession autour d’une famille très spéciale. Il y a énormément de rythme, on a pas le temps de s’ennuyer une seule seconde, on est pris dans l’histoire et on a envie de savoir la conclusion à tout prix. C’est un bouquin complexe, pas dans le sens compliqué à lire car la plume est très fluide et très addictive, mais c’est assez dense par tout ce qui s’y passe.
J’émet tout de même un petit bémol, qui est vraiment personnel car vous le ressentirez peut-être pas comme moi, mais j’ai vraiment eu du mal avec le personnage de River. Autant j’ai adoré tout les autres, Summer était ma préférée, la plus délurée et extravertie qui m’a fait sourire à plusieurs reprises, autant j’ai trouvé River assez bizarre. J’ai été vraiment dérangé par le côté fascination poussé à l’extrême pour les Graces. On sent qu’elle désire à tout prix devenir une des leurs, qu’elle les aimes au-delà du raisonnable. On la sentait, au fur et à mesure des chapitres qu’elle était vraiment obsédée par ces gens et ça m’a pas mal déplue et dérangé dans ma lecture. Bien sur, l’auteur à dût faire exprès de developper ce côté là de sa personnalité, car ça colle au dénouement de l’histoire mais quand même je trouvais ça vraiment malsain.
Pour conclure, je vous recommande de bon coeur ce roman young-adult bourré de sorcellerie et de secrets. Une très belle découverte que je pourrais conseiller à tout le monde.
« The Graces » sera parfait pour vous faire passer des nuits blanches, pendus aux lèvres de cette étrange famille aux coutumes étranges. Entre vie au lycée et incantations en tout genre, plongez sans retenue dans la vie de River et découvrez des vérités qui ne sont pas toutes bonnes à dire… Je vous aurais prévenue, à vos risques et périls ;)
Lien : https://booksandrap.wordpres..
Avis : J’ai été immédiatement attirée par la couverture avant de m’intéresser au résumé, et quand j’ai compris que ça allait parler magie, sorcellerie, mystère j’ai été tout de suite emballée… Enfin quoi quelle meilleure période qu’Halloween pour ce plonger dans ce genre d’ambiance mystique ?
Je ne m’attendais pas à une histoire renversant tout les codes, ni incroyablement innovante et pourtant… Je ne pensais pas autant aimé et me laisser surprendre comme ça.
Si vous ignoriez encore de quoi parle « The Graces » c’est l’histoire d’une ado, River de son nouveau prénom, qui devient l’ami d’une famille à la fois craint et admiré par tous. Populaires au lycée, incroyablement beaux, entourés de mystère, les Graces sont LES élèves du lycée par excellence. Très rapidement attirée par l’ainé de la famille : Fenrin, River finit par se rapprocher de la benjamine : Summer. Mais tout ne se passe pas comme elle se l’était imaginée.
Une des choses qui m’a le plus plu dans ce bouquin c’est vraiment l’ambiance que Laure Eve mets en place. On est tout de suite propulsés au lycée, à côté de River, qui elle aussi cache son lot de mystère et de drame. On sent tout de suite l’aura qu’ont les Graces, l’attirance que peuvent avoir les autres élèves envers eux. Je trouve que l’auteur arrive vraiment à retranscrire à merveille ce flot de sentiments que provoque cette étrange famille. Sorcier, pas sorcier ? Pratiquant de magie ou non ? Persécuté par une malédiction imaginaire ? Ou bien réelle a contrario ?
On est complètement, en tant que lecteur immergé dans cette ambiance mystérieuse et très spéciale qu’ont les livres traitant de magie. J’ai adoré vraiment cet aspect du livre, c’est hypnotisant et envoutant… Tout ce qu’on demande😉
J’ai également beaucoup aimé l’intrigue. Je trouve que parfois, dans les livres young adult, où il est question d’adolescent, il ne s’y passe pas grand chose. Et bien pas dans celui-ci. Je me suis vraiment prise une claque en pensant à tord. Bien fait pour moi ! J’ai découvert qu’en dessous la couche de vernis, en grattant un peu et en avançant plus dans l’histoire, il y était question de quelque chose de plus profond qu’une obsession autour d’une famille très spéciale. Il y a énormément de rythme, on a pas le temps de s’ennuyer une seule seconde, on est pris dans l’histoire et on a envie de savoir la conclusion à tout prix. C’est un bouquin complexe, pas dans le sens compliqué à lire car la plume est très fluide et très addictive, mais c’est assez dense par tout ce qui s’y passe.
J’émet tout de même un petit bémol, qui est vraiment personnel car vous le ressentirez peut-être pas comme moi, mais j’ai vraiment eu du mal avec le personnage de River. Autant j’ai adoré tout les autres, Summer était ma préférée, la plus délurée et extravertie qui m’a fait sourire à plusieurs reprises, autant j’ai trouvé River assez bizarre. J’ai été vraiment dérangé par le côté fascination poussé à l’extrême pour les Graces. On sent qu’elle désire à tout prix devenir une des leurs, qu’elle les aimes au-delà du raisonnable. On la sentait, au fur et à mesure des chapitres qu’elle était vraiment obsédée par ces gens et ça m’a pas mal déplue et dérangé dans ma lecture. Bien sur, l’auteur à dût faire exprès de developper ce côté là de sa personnalité, car ça colle au dénouement de l’histoire mais quand même je trouvais ça vraiment malsain.
Pour conclure, je vous recommande de bon coeur ce roman young-adult bourré de sorcellerie et de secrets. Une très belle découverte que je pourrais conseiller à tout le monde.
« The Graces » sera parfait pour vous faire passer des nuits blanches, pendus aux lèvres de cette étrange famille aux coutumes étranges. Entre vie au lycée et incantations en tout genre, plongez sans retenue dans la vie de River et découvrez des vérités qui ne sont pas toutes bonnes à dire… Je vous aurais prévenue, à vos risques et périls ;)
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