Citations de Laurent Gounelle (2261)
-On ne supprime pas les mauvaises habitudes de l'esprit, dit-il.Mais ils est possible d'en ajouter de nouvelles et de faire en sorte qu'elles deviennent irrésistibles. On ne peut pas changer les gens, tu sais. On peut juste leur montrer un chemin, puis leur donner envie de l'emprunter.
Si tu veux rester jeune toute ta vie, continue d'évoluer, d'apprendre, de découvrir, et ne t'enferme pas dans des habitudes qui sclérosent l'esprit, ni dans le confort engourdissant de ce que tu sais déjà faire.
-Pour rester en vie, il suffit de rester dans la vie, c'est-à-dire d'être dans le mouvement, d'évoluer.
-Quand on a plus envie d'évoluer, c'est que l'on commence tout doucement à mourir...
Moi, je crois que la vie elle-même est faite de changement permanent, de mouvement. Cela n'aurait aucun sens de s'accrocher au statu quo. Seuls les morts sont immobiles...On a tout intérêt à non seulement accepter, mais initier le changement afin de pouvoir évoluer dans un sens qui nous convienne.
Moi, je crois que la vie elle-même est faite de changement permanent, de mouvement. Cela n'aurait aucun sens de s'accrocher au statu quo. Seuls les morts sont immobiles...On a tout intérêt à non seulement accepter, mais initier le changement afin de pouvoir évoluer dans un sens qui nous convienne.
La réalité, c'est que personne ne changera ta vie, si ce n'est toi. C'est pour ça qu'il faut se prendre en main.
Elle n'avait peut-être plus d'espoir, mais ne demandait qu'à espérer de nouveau.
Elle n'avait peut-être plus d'espoir, mais ne demandait qu'à espérer de nouveau.
-(...) Moi, j'ai besoin de croire en ce que je fais. Pour que je me lève le matin, il faut que j'aie le sentiment que mon travail sert à quelque chose, même s'il ne rattache pas directement à une noble cause. Au minimum, je veux pouvoir ressentir la satisfaction du travail bien fait. Mais s'il faut faire n'importe quoi, à toute allure, dans le seul but d'enrichir des actionnaires qui ne s'intéressent même pas à l'entreprise, alors ça ne rime plus à rien. Moi, j'ai besoin que mon travail ait un sens.
-Alan, reprit-il, tu seras libre le jour où tu ne te préoccuperas même pas de savoir ce que peuvent penser les gens qui te verront avec un Closer sous le bras.
-Comment puis-je...euh...devenir plus libre en moi?
-Il n'y a pas une recette toute faite, ni une seule manière d'y parvenir. Un bon moyen, cependant, est de choisir de faire pendant un certain temps ce qu’habituellement on évite soigneusement...
(...)
-Mais quand, dans la vie, on s'arrange pour se tenir éloigné de tout ce qui nous fait peur, on s'empêche de découvrir que la plupart de nos peurs sont des créations de notre esprit. La seule façon de savoir si ce que l'on croit est erroné ou pas, c'est d'aller le vérifier sur le terrain! C'est donc parfois utile de se prendre par la main, quitte à se faire en effet un peu violence, pour expérimenter ce qui nous angoisse afin de se donner une chance de réaliser qu'on s'est peut-être trompé.
-Mais c'est le contraire! C'est tout le contraire! Je ne supporte pas que l'on porte atteinte à ma liberté!
-Regarde ce qui s'est passé avec le chauffeur de taxi. Tu as dû te forcer pour exprimer des opinions contraires aux siennes, disais-tu. Les gens comme lui sont pourtant des inconnus que tu ne reverras jamais. Ta vie, ton avenir ne dépendent pas d'eux, d'accord? Et pourtant, tu éprouves le besoin de plus ou moins te conformer à...ce qui fera qu'ils t'apprécient. Tu crains de décevoir et d'être rejeté. C'est pour ça que tu ne t'autorises pas à exprimer vraiment ce que tu ressens, ni à te comporter selon tes souhaits. Tu fais des efforts pour t'adapter aux attentes des autres. Et c'est de ta propre initiative, Alan. Personne ne te le demande.
-Mais cela me semble tout à fait normal! D'ailleurs, si chacun faisait des efforts pour les autres, c'est la vie de tout le monde qui serait améliorée.
-Oui, sauf que, dans ton cas, ce n'est pas un choix. Tu ne te dis pas sur un ton détaché : "Tiens, aujourd'hui je vais faire ce que l'on attend de moi."
Non, c'est inconsciemment que tu t'obliges à la faire. Tu crois que sinon, on ne t'aimera pas, on ne voudra plus de toi. Alors, sans même t'en rendre compte, tu t'imposes beaucoup de contraintes. Ta vie devient très contraignante, et du coup, tu ne te sens pas libre. Et...tu en veux aux autres.
-Tu vois, quand je t'entends dire "On m'empêche d'être moi-même", j'ai envie de te répondre qu'au contraire ils te laissent être toi-même, et même qu'ils te poussent à l'être de plus en plus. C'est ça qui t'étouffe.
ce n'est pas en écoutant quelqu'un parler que l'on évolue. c'est en agissant et en vivant des expériences.
celui qui se laisse arrêter par la première difficulté rencontrée ne va pas loin dans sa vie.
si l'on croit que le monde est dangereux, on va effectivement porter son attention sur tous les dangers réels ou potentiels, et on aura de plus en plus le sentiment de vivre dans un monde dangereux
Hans était de ces gens qui écoutent les mots, mais ne décodent ni le ton de la voix, ni les expressions du visage de celui qui les prononce.
De toute façon en s'appelant Colomb on ne pouvait faire que des merdes.
Il faut à tout prix vous éloigner des personnes dont vous sentez qu'elles pourraient vous décourager. En tout cas, ne leur confiez pas vos projets.
on fait un grand pas dans la vie quand on cesse de généraliser ce qui concerne les autres, et que l'on considère chacun individuellement même s'il fait de toute façon partie d'un tout qui le dépasse, l'humanité et, même l'univers.