Laurent Gounelle

"Une vie réussie est une vie que l'on a menée conformément à ses souhaits, en agissant toujours en accord avec ses valeurs, en donnant le meilleur de soi-même dans ce que l'on fait, en restant en harmonie avec qui l'on est, et, si possible, une vie qui nous a donné l'occasion de nous dépasser, de nous consacrer à autre chose qu'à nous-mêmes et d'apporter quelque chose à l'humanité, même très humblement, même si c'est infime.

Ce n’est pas en écoutant quelqu’un parler qu’on évolue. C’est en agissant et en vivant des expériences.

On ne peut pas être heureux si l'on se voit victime des événements ou des autres. Il est important de réaliser que c'est toujours vous qui décidez de votre vie . Lorsque vous vous autorisez à choisir des actions qui sont en harmonie avec vous, qui respecte vos valeurs et expriment vos compétences, vous​ devenez très précieux pour les autres.

La conscience de la mort permet de se libérer de ses illusions. On réalise soudain ce qui a vraiment de la valeur dans notre vie. Tout le reste, qui jusqu'alors mobilisait notre attention et notre énergie devient d'un seul coup secondaire. Notre aveuglement prend fin, nos chimères s'évanouissent. On s'autorise à être soi-même, à exprimer ce que l'on ressent, à vivre ce que l'on veut vivre. Bien vivre, c'est se préparer à mourir sans regrets. p.280

Andy,ne laisse jamais personne te dire ce dont tu n'es pas capable.C'est a toi de choisir et de vivre ta vie.

Quand on est convaincu d'une chose, elle devient la réalité, notre réalité.

« Oscar Wilde disait : « La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. »

p.35 "Je ne m'étais jamais senti aussi léger depuis ma séparation avec Audrey. Je n'avais pourtant aucune raison objective de me sentir mieux. Rien n'avait changé dans ma vie. Quoique, si : quelqu'un s'intéressait à moi, et, quelles que soient ses intentions, cela suffisait peut-être à me donner un peu de baume au coeur."

p. 266 "Non seulement il avait amené les Indiens à croire que le matériel pouvait remplir leur vide existentiel, mais en plus, il s'arrangeait pour qu'ils n'aient pas accès à tout ce qu'ils se mettaient à désirer. Il créait des besoins imaginaires toujours plus nombreux, suscitait constamment en eux de nouveaux désirs inaccessibles afin de les mettre en état de manque permanent. Au final, il réussissait à les frustrer terriblement de... ce dont ils n'avaient en fait pas besoin. Ils devenaient malheureux de ne pouvoir avoir ce qui ne les aurait pas rendu heureux."

L'habit ne fait pas le moine et la fonction ne fait pas l'homme. Mais elle change inexorablement la façon dont les autres vous perçoivent.

Ne laisse jamais personne te dire ce dont tu n'es pas capable. C'est à toi de choisir et de vivre ta vie.

Une vie réussie est une vie que l'on a menée conformément à ses souhaits, en agissant toujours en accord avec ses valeurs, en donnant le meilleur de soi-même dans ce que l'on fait, en restant en harmonie avec qui l'on est, et, si possible, une vie qui nous a donné l'occasion de nous dépasser, de nous consacrer à autre chose qu'à nous-mêmes et d'apporter quelque chose à l'humanité, même très humblement, même si c'est infime Une petite plume d'oiseau confiée au vent. Un sourire pour les autres.

Il y a eu plein d'études menées sur les rescapés des camps de concentration pendant le Seconde Guerre mondiale. L'une d'elle a montré ce que les survivants avaient presque tous en commun : c'était de rester libres dans leur tête.

Retrouvant mes esprits, je réalisai pleinement le sens de ce que je venais d'expérimenter : l'attitude des autres à mon égard était conditionnée par mon propre comportement...C'était moi qui induisais leur réaction.

Alan, la liberté est en nous. Elle doit venir de nous. Ne t attends pas à ce qu elle vienne de l extérieur

Il ne sert à rien de regretter des choix passés. La vie est ainsi, elle est jalonnée d'erreurs, et sans doute ces erreurs ont-elles leur raison d'être, sans doute nous apportent-elles quelque chose malgré tout. Accepter. L'acceptation est un art de vivre.

Tout ce futur auquel il se raccrochait jusque-là lui semblait soudain confisqué. L’avenir avait disparu. Il ne lui restait que ce qu’il avait déjà, ce présent morne et jalonné de problèmes, sans plus d’espoir d’évolution.

Un peu plus loin, il fut titillé par l’odeur alléchante de gâteaux chauds qu’une pâtisserie autrichienne diffusait par ses bouches d’aération ingénieusement disposées en façade. Il faillit flancher, puis força l’allure. Trop de cholestérol. De toutes les luttes quotidiennes, celle contre les nombreux désirs que l’on fait naître en nous à longueur de journée n’est-elle pas la pire ?

Il était convaincu que l’adoption d’une certaine moralité permettait d’élever l’âme.

Plus les efforts sont grands, plus intense sera le bonheur, et plus longtemps il restera gravé en nous.