Laurent Vicomte

BD découverte lors d'un achat groupé.



La couverture de ce tome ne paye pas de mine mais l'histoire est extraordinaire et nous fait voyager à travers le siècle. Je ne sais plus ce qui m'avait poussé à l'acheter mais pour une fois, la surprise est de taille.



Nous suivons un jeune homme, Stanislas, et sa compagne, Bertille, dans une curieuse aventure. Au détour d'un porche, Stan rencontre une vieille femme qui meurt dans ses bras. Il se sent comme attiré par elle. Il va ensuite tout faire pour découvrir qui elle est et le pourquoi de cette attirance malgré le maigre indice qu'il possède, une vieille photo datant du début du siècle. S'ensuit alors une aventure extraordinaire, elle l'est tellement qu'on tourne les pages de cette BD sans s'en rendre compte.



Niveau graphismes, ils sont très beaux et très agréables à regarder et à détailler. Laurent Vicomte utilise plusieurs techniques qui se marient très bien. Le changement d'époque apporte un style différent avec les costumes, la façon de parler et de se tenir ainsi que les us et coutumes de ce début de siècle (1908). Un vrai plaisir à lire donc et à découvrir. On s'attache très vite à Bertille et on souhaite en découvrir plus. Cette BD m'a semblé empreinte de douceur et de poésie avec une pointe de magie, très agréable.



Comme vous l'aurez compris, cette BD a été une excellente découverte et je vais de ce pas me procurer le dernier tome pour en connaître la fin. Je vous conseille donc très fortement de découvrir cette BD très intéressante aussi bien sur le fond que sur la forme. Graphismes superbes, histoire intéressante et extraordinaire, et univers très particulier empreint de mystères et de douceur.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Suite et, je pensais, fin de la série mais il y a une suite de prévu à ce tome, elle n'a pas encore été éditée.



L'histoire de ce tome est plus longue à démarrer. On suit Bertille se promenant avec leur hôte Prudence. Stan, lui, est envoûté par Sasmira et délaisse son amoureuse Bertille. Celle-ci est malade, il faut qu'ils repartent d'urgence dans leur époque mais comment faire quand on n'a pas tous les éléments de l'histoire... Grâce à Prudence, nous apprenons beaucoup de choses sur Sasmira et sur d'anciennes légendes égyptiennes.



Malgré un début plutôt lent, j'ai apprécié cette suite. Les graphismes sont toujours aussi réussis et remplis de calme, de douceur et de poésie. Il me tarde donc qu'une suite paraisse mais si on en croit certains internautes, la parution du tome 2 s'est fait 15 ans après le premier. Nous ne sommes que 4 ans après le tome 2, j'espère qu'il ne faudra pas autant de temps pour le 3. Surtout que l'auteur nous laisse sur notre faim et la tête pleine de questions concernant Sasmira et son passé.



Comme vous l'aurez compris, cette série n'est pas un diptyque car la suite n'a pas encore été publiée mais il s'agit d'une série qui vaut le détour. Je vous conseille donc de la découvrir si vous êtes amateurs de douceur, de poésie et d'égyptologie en BD ou que vous soyez tout simplement curieux. Pour ma part, je pisterais les publications de M. Laurent Vicomte qui fait un travail exquis et agréable, aussi bien à lire qu'à regarder.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Cette bande-dessinée est la suite du tome 1 de Sasmira. J'ai pu voir qu'une suite avait été édité. Ce deuxième tome commence doucement, on retrouve Bertille qui se promène avec Prudence tandis que Stan est peu à peu en train de tomber amoureux de Sasmira. L'alchimie entre les deux protagonistes est perceptible. Néanmoins, Bertille est malade, il est nécessaire de rentrer au plus vite dans leur époque. Ce tome nous livre quelques secrets sur le passé de Sasmira, nous apprenons grâce à leur hôte, Prudence, qu'elle a un lien avec des légendes égyptiennes. Cette suite est plutôt plaisante, les graphismes sont très beaux et poétiques. Les dialogues sont recherchés et l'intrigue est très bien menée. Je conseille cette série à tous ceux qui s'intéressent à l’égyptologie ou à la bande-dessinée en général. Je vais m'empresser d'aller chercher le troisième tome pour passer de nouveau un moment agréable rempli de douceur.

Depuis quelques jours Stanislas est perturbé. Une vieille femme est décédée dans ses bras sous un porche de Paris, il s'était senti attiré par son regard et elle semblait en plus le connaitre. Mais lui ne sait même pas son nom. Pour tout indice il n'a qu'une bague en forme de scarabée et une vieille photo datant du début 1900. Il va tout faire pour en savoir plus et il va involontairement entrainer Bertille dans cette recherche à travers le temps.



Un premier tome intéressant avec une histoire pleine de mystère.

Nos deux héros font faire un bond dans le temps et se retrouver au moment de ce fameux cliché. La-bas Bertille est sujette à des étranges malaises et Stanislas ne peut s'empêcher d'être attiré par l'étrange regard de Sasmira.

Pour avoir des réponses il faut lire les prochains tomes mais c'est très intrigant.

Le dessin est très agréable. Les habits de la belle époque sont magnifiques.

Bertille et Stan sont désormais seuls au château en 1919 avec la belle Sasmira. Et s'ils ont désormais toutes les réponses à leur question, le retour dans leur temps est suspendu au bon vouloir de l'égyptienne immortelle qui souhaite garder Stan pour elle seule.



Voici donc le dernier tome de cette série débutée en 97. Il aura donc fallu plus de 20 ans et pas mal de douleur pour clôturer cette série de 4 tomes.

Toutes les réponses sont arrivées dans le tome précédent, et nous savons pertinemment que la conclusion puisque c'est ainsi que débute le premier tome. Donc tout le suspense tiens dans le comment Stan et Bertille vont réussir à soutirer à Sasmira le moyen de rentrer dans leur époque alors que cette dernière n'en a pas la moindre envie. Il n'y a néanmoins beaucoup de tension entre les trois personnages et ça permet de relever le récit.

C'est donc avec plaisir, mais sans grandes surprises que j'ai lu ce dernier tome romanesque et ésotérique.

Si le trait d'Anaïs Barnabé est sympathique je trouve qu'entre le tome 3 et le tome 4 on s'est éloigné un peu du style de la série. J'ai trouvé qu'on avait perdu d'un peu de précision, de détails. Et sans doute à cause de la colorisation je trouve qu'on a moins de relief, qu'on est moins plongé dans les années 1900.

Ballade au bout du monde.....Avec La prison, premier volet de cette série que j'adore, on entre dans un épisode plein de questions et de mystères.

Artis Jolinon, jeune photographe, se fait enlever dans des marais . Il va se retrouver dans une bien étrange prison . Il n'est pas le seul, et tous les hommes enfermés avec lui ignorent qui les a enlevés. Des clans se forment, des rivalités éclatent dans cette communauté qui se trouve enfermée dans une bien sombre prison.

Les dessins de Vicomte vont peu à peu évoluer vers une qualité qui frôle la perfection tout au long de cette série.

L’atmosphère glauque et sombre de cette endroit mystérieux est très bien rendue et l'on a qu'une hâte : connaitre la suite et savoir ce qui se cache derrière les murs épais de cette prison...

Que dire...je ne sais pas trop.

Le tome 1, je l'avais acheté à sa sortie.

Puis, l'attente...longue, terriblement longue!

Et la déception, bien sur, liée à trop d'attente, à la lecture du tome 2.

Un regain d'espoir avec le tome trois.

Et ce tome 4 me laisse un sentiment amer d'ambition bâclée, de chute en avant et de précipitation.

Côté dessin, ce n'est pas mauvais mais il suffit de mettre une planche du tome 1 à côté d'une du tome 4 pour voir à quel point on a changé de catégorie. Anaïs Barnabé fait du bon travail mais est très loin d'égaler ce avec quoi Vicomte m'avait transportée il y a déjà 22 ans. Bon sang, j'aurais bien besoin d'une bague magique moi aussi.

BD intemporelle de 1982 que je prends plaisir à relire et grand succès de MAKYO. Elle n'a pas vieilli, le travail est fouillé, les réactions des prisonniers réalistes et elle conserve son mystère. Le cadre de l'intrigue fait naitre en nous imagination et curiosité, on se plait à échafauder des théories. Je la classe désormais dans les grands classiques de la Bande Dessinée.

Bertille et Stan sont coincés en 1919 sans savoir comment faire pour rentrer dans leur époque. Le mystère de leur venue reste intact.



Ce deuxième tome débute doucement sans grande révélation. Stanislas est tiraillé entre son amour pour Bertille et son attirance pour la belle et mystérieuse Sasmira. Bertille quand a elle a toujours ses malaises, semble toujours fatiguée et jalouse.

S'il ne se passe rien de palpitant et que les révélations attendues se font encore attendre, cette découverte de la belle époque, des habits, de l'intérieur de l'habitat, du début de l'aviation... Ca reste intéressant et ça se lit bien. Mais il faudrait apporter un peu d'éléments de réponse à mettre sous la dent des lecteurs pour le prochain tome.

Je ne connaissais cette BD due de nom et c'est donc sans aucun a-priori que j'ai entamé la lecture de ce premier tome.

Au vu de la couverture, je pensais me plonger dans un univers médiéval et c'est donc avec surprise que j'ai découvert cette histoire qui mène le fantastique, le merveilleux et, peut-être, la S-F.

Ca a un peu vieilli mais ça reste très intéressant à lire.

Autre point de surprise : je ne connaissais le trait de Vicomte que par Sasmira...il y a eu du chemin entre ce tome ci et le premier tome de Sasmira et on se rend également compte que certains des thèmes évoqués ici s'y retrouveront aussi.

Cette BD trainait à côté de mon lit depuis si longtemps que je ne savais même plus si je l'avais lue ou non. Vous verrez quand vous aurez mon âge ! Je me suis donc enfin décidé, dans cette période d'avant fêtes de Noël, de me plonger dans sa lecture. Ce fut un réel plaisir.



Une histoire ma foi relativement classique dans son principe, c'est à dire un début dans notre époque, dite moderne, et une plongée dans le passé. Une rencontre avec une vieille dame mystérieuse, une photo, une vieille maison délabrée (dans ma Corrèze natale, au passage, même si je ne suis pas un familier de la Xaintrie).



Un héros mystérieux, Stan, et une fausse moche, Bertille, vont-ils s'en sortir ?



Dans l'immédiat, j'ai pris la seule bonne décision immédiate : mettre le tome 2 dans mes "pense-bêtes".

Il y a quelques années j'avais littéralement été envoutée par le premier tome de cette histoire mêlant suspense, mystère, amour et voyage dans le temps. Cette suite ne m'a nullement déçue. Nous y retrouvons Stan et sa petite amie Bertille "prisonniers " du temps en 1909 en compagnie d'une jeune femme mystérieuse: Sasmira. Alors que Prudence essaie de trouver une solution pour ramener notre jeune couple à son époque, Stan ne sent de plus en plus envouté par la beauté de Sasmira.

Les dessins sont magnifiques, la période historique manifestement très bien documentée, ce qui rajoute encore du charme à cette très belle série. De plus on se laisse vite prendre au suspense de l'histoire qui tourne essentiellement autour du personnage de Sasmira.

Ce deuxième tome nous offre quelques débuts de réponses sur la mystérieuse Sasmira mais il faudra attendre la suite (et oui il y en a une! et espérons qu'il ne faudra pas patienter 10 ans pour la lire !) pour peut être savoir le fin mot cette histoire envoutante... Mon gros coup de cœur de cette fin d'année 2011 au rayon BD.

Un premier cycle vraiment extraordinaire tant du côté du scénario que de celui du dessin. C'est une BD qui a véritablement marqué les années 80 par un concept tout à fait original: la rencontre du Moyen-Âge et de l'époque moderne sans utiliser l'artifice des voyages dans le temps un peu comme le thème exploité par Night Shyamalan dans son film Le Village.



Mais que s'est 'il passé pour que je sois alors déçu au point de ne pas conseiller l'achat? Tout simplement une exploitation commerciale où la série a perdu son âme dans des aventures hindouistes hors de propos. La série aurait dû s'arrêter au premier cycle, voilà tout.



Alors, achat : oui mais que pour les 4 premiers tomes.

Voici un premier tome comme je les aime.

L'histoire est pleine de mystères, de personnages intéressants et de questions en suspens.

Quand la dernière page est tournée, nous ne savons pas du tout où le tome deux va nous mener et on trépigne à l'idée d'attendre la suite que l'on espère aussi magistrale que ce que les prémices de ce premier tome nous laissent pressentir.

Côté dessin, rien à redire. C'est bien fait, avec un sens du détail et de l'esthétisme qui donne une magnificence à chaque petit objet : un collier de perles, une monture de lunettes ou un corset.



Pour la petite histoire, j'ai acheté cette BD la semaine de sa sortie, en 1998. Et cette suite dont je parle plus haut, je ne savais pas que j'allais l'attendre désespérément pendant plus de 13 ans...Si bien que quand elle est finalement sortie, je ne l'attendais plus. Ma cousine me l'a offerte et je ne l'ai même pas ouverte...Il est temps que je rattrape ça.

Ce tome 3 est riche en révélation et son sous titre "rien" illustre parfaitement le propos de l'auteur. Mais ce n'est qu'à la lecture complète de celui ci que le lecteur se rendra compte de l'ampleur de ce simple mot "rien". Car derrière lui se cache une remise en question des religions, de la religion, de la foi, rien de moins. À travers le personnage de Sasmira, Laurent Vicomte explore notre relation à l'au delà dans le cadre ici du polythéisme anthropomorphe Égyptien, notre croyance en une vie après la mort et la sécurité ( ou l'illusion d'une sécurité) que procure l'espoir d'un après meilleur. Il passe au crible nos peurs, nos espoir, nos désillusions, ainsi que la foi aveugle et les dangers qu'elle peut représenter. À travers sa rébellion, Sasmira devient la figure emblématique du choix, réfléchi, non imposé, non subi. Il évoque également le droit à la parole, à l'expression avec ce masque de silence dont elle se voit affublé après avoir osé remettre en question les croyances de son père, de son peuple, de ses ancêtres. Laurent Vicomte va assez loin dans son propos et si on fait l'effort de lire un peu entre les lignes, on y verra une réflexion certaine sur la religion en général.

Mais l'auteur nous parle également d'amour, de cette femme à la jeunesse éternelle mais privée d'amour à jamais pour en bénéficier. L'amour est en réalité le moteur de cette histoire.

Je vous laisse découvrir ce troisième tome sans en dire davantage, il vaut vraiment le détour. Si vous parvenez à passer outre les longueurs de quelques dialogues ( le seul point négatif), vous passerez un excellent moment de lecture, et si l'histoire ne vous interpelle pas plus que cela, vous ne pourrez nier l'immense talent graphique de l'auteur, qui s'est encore amélioré ici. C'est simplement magnifique.

Le quatrième de couverture dit de Laurent Vicomte qu'il est un dessinateur mythique, au trait d'une beauté et d'une précision devenues légendaires. Et bien à l'ouverture des premières pages de ce tome 1, je constate à quel point sa réputation n'est pas usurpée. En effet son graphisme est d'une finesse exemplaire, autant dans les traits des visages que dans leurs expressions, autant dans la précision des détails que ce soit du décor, des vêtements ou des objets. Laurent Vicomte rend réel aussi bien un véhicule, qu'une paire de lunettes ou qu'une robe d'époque. C'est simplement incroyable. Mais je crois que la palme revient aux visages, et notamment celui de Bertille, ainsi que ses yeux et son regard, qui en disent long sur son charme et son innocence.

L'histoire, elle, nous emmène au début du siècle, dans ce qui semble être un voyage dans le temps, mais c'est loin d'être évident. Et dans cette incertitude réside le premier intérêt de ce tome premier. On ne saisit pas vraiment où souhaite nous emmener l'auteur mais c'est plutôt plaisant et on se laisse prendre au jeu sans s'en rendre compte. L'auteur insère quelques éléments qui font penser à de la magie, de la sorcellerie, qui finissent de dérouter le lecteur ( et c'est tant mieux sinon le récit aurait été plus que simpliste!) et qui renforcent le sentiment étrange qui naît de cette lecture. Les décors si bien rendus par la plume de Vicomte provoque un sentiment de huis clos. L'utilisation monochrome de teintes ocres et jaunes ( qui semblent marquer les passages dans le temps) accentue cette solitude et amplifie encore l'atmosphère quelque peu mystique qui en résulte. Enfin l'auteur glisse quelques indices concernant les personnages, notamment Bertille, la vieille dame morte dans les bras de Stan, ainsi que la mystérieuse Sasmira. Même si l'on subodore leurs liens et la suite des événements, on ne peut que rester perplexe, positivement, quant au déroulement de l'intrigue.

Moi j'adhère complètement et me plonge illico dans la suite...

Bertille et Stan toujours coincés dans les années 1900 avec la mystérieuse Sasmira, immortelle venue d'Egypte.

Décidément il faut être patient pour lire Sasmira, et les difficultés rencontrés à la création de cette oeuvre se traduit par un nouveau changement de dessinateur. Heureusement le style les 3 dessinateurs sont assez proches et le passage de l'un à l'autre se passe bien.

Niveau scénario, il y a dans ce tome beaucoup de révélations. Et vu comment cela se termine dans ce tome 3, on dirait bien que ça avance vers la conclusion. Le tome 4 sera peut être le dernier...

Artis, toujours à la recherche de la vérité va réussir à s’échapper de la prison.

Il va découvrir qu'il se trouve dans le royaume de Galthédoc, un royaume qui n'a pas évolué comme le reste du monde depuis le Moyen-age. Il va être aidé par le dauphin Argon, héritier du trône, ( qui est en train de comploter contre le roi son père ) pour s’évader et retourner dans le grand-pays.

Les dessins de Vicomte sont de plus en plus beaux, et on n'a qu'une hâte, savoir si Artis va pouvoir retourner à Galthédoc.

En 1984, "Grand pays" révèle le mystère de la prison des marais. En effet, notre intrépide héro n'abandonne pas. Une révolte interne et un éboulement permettent d'accéder à la prison des femmes. Je ne parlerai pas de la suite sans dévoiler l'excellente intrigue de cette histoire extraordinaire. Par la qualité du dessin et du scénario, on s'identifie parfaitement au personnage d'Arthis.

Un homme se promène dans la rue lorsque tout d'un coup une femme l'interpelle. Cet homme s'appelle Stanislas et sa vie va basculer en quelques minutes. La femme meurt dans ses bras en ne lui laissant qu'une bague en forme de scarabée et une photographie datant du début de XXe s. Bertille, sa petite amie, va l'aider dans sa recherche d'indices sur l'identité de la femme disparue et l'origine de la photographie. Ils vont réussir à voyager dans le temps et se retrouver en l'an 1908. C'est là que tout va s'éclairer, Stanislas va revoir cette femme au regard attirant. J'ai trouvé que cette BD était bien trop courte mais je dois avouer que c'est une des meilleures que j'ai pu lire.