Lil Evans

Eskil me rejoignit dans ma chambre d'hôtel. Ses cheveux étaient en pagaille et son corps couvert du sueur.
- Bon vol? lui demandai-je avec un sourire taquin.
- Tu le saurais, si tu étais venue avec moi.
- tu es sûr que tu es un ange gardien? lui demandai-je très sérieusement les mains posées sur mes hanches.
- Oui... Oui... Pourquoi?
- Parce que j'aurais plutôt pensé que tu étais l'un des nains de Blanche-neige. Tu sais, celui qu'on appelle Grincheux!

À vrai dire, j'ai eu un mal fou à entrer dans l'histoire. Je ne sais pas vraiment pourquoi, car l'auteur a fait un travail d'écriture remarquable. L'histoire est bien ficelée et l'intrigue reste intacte jusqu'à la dernière page.
Peut être que ce livre s'éloigne trop de mon style de lecture classique.
Alors je pense que sur ce livre, je ne vous serais d'aucune aide.
Un conseil : lisez le avec passion et faites vous votre propre opinion :)

S'il était ensorceleur, moi, j'étais ensorcelée.

Est-ce que je pourrais être moi-même en oubliant tout ce qui faisait ma personne?

Il voulait découvrir des choses nouvelles avec elle, des choses merveilleuses et, peut-être même, des choses aventureuses, de celles que l’ont ferait dans la douce chaleur d’une chambre. Il fallait qu’il se calme, qu’il commence doucement. Elle était si innocente... Ses yeux n’étaient que deux lacs de candeur dans lesquels il voulait se noyer.

Le Canada, comme tous les pays du monde, avait des lois humaines et d’autres ne concernant que les métamorphes. Même s’ils se transformaient en animaux, ils vivaient dans leurs corps humains, dans des villages civilisés, bien qu’organisés selon des hiérarchies propres à chaque espèce.

- Oui, oui, tout va bien. Tu devrais manger ta glace, avant qu'elle ne fonde.
- Est-ce un moyen détourné de ma demander de me taire ?
Elle sourit et les autres se mirent à rire.

"— Qu'est-ce que je peux faire pour toi ?
— Déménager ?
— Je viens seulement d'arriver.
— Et tu es déjà agaçant.
— C'est pour ça que tu ne veux plus me voir, Ebony ? En général, les femmes attendent mon appel désespérément avant de me maudire.
— Tu as insulté mes cheveux !
— Et toi, ma moto. Match nul. Balle au centre. On reprend du début ?
Je sortis de la voiture et m'appuyai dessus. Ax se positionna face à moi, toujours souriant, et franchement irrésistible.
— D'accord.
— Alors, parle-moi de ce problème de voiture."