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Citations de Lucille Chaponnay (38)


Ils voulaient me voir tomber ?
Qu’ils m’observent bien.
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La couronne a un prix. Celui de ma vie.
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Aucun amour ne devrait se transformer en cage.
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La prison a beau être belle et grande, elle n’en reste pas moins une prison.
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— J’aimerais que l’on puisse arrêter le temps, maintenant, avant que…

— Avant que quoi ?

— Avant que l’avenir ne nous rattrape.
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Parfois, j’ai l’impression qu’il me fuit. Et d’autres fois, qu’il me cherche. Cette dualité chez lui m’attire tout autant qu’elle me frustre profondément.
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— Trahissez-moi et vous êtes un homme mort.
— Je vous renvoie la courtoisie.
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"Est-ce mieux d’être un pion libre ou une reine prisonnière ?"
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Tu dois te battre pour ce que tu penses juste, Oria, et assumer tes choix.
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— Et après ? demanda-t-elle, de sa toute petite voix.
— Après quoi ? s'étonna le Privilégié.
— Bah après le contrat, il y a quoi ?
Le Privilégié équarquilla ses beaux yeux caramel puis se mit à rire, d'un rire si mauvais que la petite fille le détesta immédiatement.
— Il faudrait déjà que tu survives jusque-là, Poussière !
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Au début de ce tome 2, Jane et son équipe bénéficient maintenant d'une certaine notoriété dans le monde de l'Invisible après le succès de leur précédente mission. Ils sont envoyés à Prague pour prêter main forte à leurs collègues.
Jane a décidé de cacher son étrange cicatrice à ses partenaires et amis pour ne pas les inquiéter, mais le compte à rebours est lancé...
Je vais essayer de le pas spoiler le tome 1, donc je vais rester assez évasive. J'attendais avec une certaine impatience ce tome 2, et j'ai été ravie de retrouver la fine équipe !

On reste dans la même veine que le tome 1 avec, en plus, l'intrigue autour de l'inquiétante cicatrice de Jane et la romance qui avait commencé à se dessiner avec la première partie.

J'ai beaucoup aimé en découvrir un peu plus sur le monde Invisible, et le côté "tourisme" à Prague est sympa.

Contrairement au tome 1 où j'avais vu la fin arriver, j'ai été surprise par le dénouement de ce tome 2. Et parlons-en d'ailleurs de cette fin ! Vivement le tome 3, parce qu'on ne peut pas rester comme ça...
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On sait bien qu'un collègue de travail mignon, c'est bien, mais que les book boyfriends, c'est mieux.
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Lorsque l'on devenait Chasseur, il fallait abandonner son identité pour en revêtir une nouvelle, sous le nom d'un animal.
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« Elle avait même l'habitude des cris, de la souffrance et des longues négociations. Mais ce soir-là était particulier, elle l'avait perçu. Elle sentait ces choses-là. Les personnes qui étaient venues n'étaient pas comme les autres. Elles avaient soif de sang. La fillette avait tenté de le leur expliquer, mais ses parents ne l'avaient pas écoutée. Ils lui avaient dit qu'elle était trop petite pour comprendre, qu'ils n’étaient pas différents des autres. Comprenant qu'elle ne pourrait pas les sauver – comment le pourrait-elle, du haut de ses dix ans et armée d'un unique petit couteau ? – elle était montée à l'étage, avait récupéré son sac de survie dans ce qu'ils appelaient sa chambre et ouvert la fenêtre du couloir pour faire croire à une escapade, puis s'était réfugiée dans l'armoire de ses parents. »
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Si la Poussière avait pensé les premiers temps que les nobles avaient une vie rêvée, elle avait vite découvert un enfer d'un tout autre genre que celui de son enfance. L'enfer du paraître, de la dissimulation et du mensonge ! Quelque chose de moins brut, mais de cruellement plus insidieux. Malsain. Un univers où les poings et les armes ne suffisaient pas, où il fallait comploter dans l'ombre pour se faire une place.
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Lucille Chaponnay
Si la Poussière avait pensé les premiers temps que les nobles avaient une vie rêvée, elle avait vite découvert un enfer d'un tout autre genre que celui de son enfance. L'enfer su paraître, de la dissimulation et du mensonge ! Quelque chose de moins brut, mais de cruellement plus insidieux. Malsain. Un univers où les poings et les armes ne suffisaient pas, où il fallait comploter dans l'ombre pour se faire une place.
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Elle ne voyait rien. Tout autour d’elle semblait dé-voré par des ténèbres opaques... Elle baissa les yeux. Ses pieds étaient si engloutis par la brume rampant au sol qu’elle ne les voyait pas. Un curieux sentiment lui tordait les entrailles, et elle s’en sentait presque malade. Elle sut immédiatement que la situation n’était pas normale, elle ne pouvait l’être. Mais son cerveau, aussi troublé que le sol, ne l'aidait pas à réfléchir et plusieurs minutes s’écoulèrent avant qu’elle prenne la décision de bouger.
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Là où les Privilégiés portaient des habits fins et colorés, là où les gardes portaient de lourdes armures métalliques, où les Poussières portaient des guenilles fades, les nobles étaient vêtus de manière si fastueuse que la fillette en restait bouche bée ! Elle vit des couleurs qu'elle n'avait jamais vues auparavant : des centaines de déclinaisons de bleu et de vert, d'audacieuses touches grenat ou bordeaux, de lumineuses teintes jaunes et orange. Plusieurs matières se fondaient les unes aux autres avec souplesse et élégance, le satin cohabitant avec la laine, les pierres précieuses se mêlant au cuir, et les bijoux en or et argent se noyant dans des fourrures abondantes. Mais rien ne l'émerveilla tant que les nobles eux-mêmes. Ils étaient grands et imposants, leur peau lisse et parfaite était d'une blancheur aussi éclatante que le soleil, et leurs cheveux coulaient dans leur dos comme une cascade d'argent. Une aura de puissance les enveloppait à la manière d'un cocon, si épaisse que Senia frissonna et si imposante qu'elle se sentit tout de suite plus petite encore qu'une fourmi. Ils étaient l'incarnation même de la beauté et de la majesté. Senia était si absorbée par sa contemplation qu'Aesia dut s'y reprendre à plusieurs fois pour la détourner de ce spectacle.
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