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Citations de Lucinda Riley (1163)


Je suis une pragmatique qui s’est laissé entraîner dans une fausse histoire d’amour. Pour la première fois de ma vie, j’ai fait le grand saut, j’ai accordé ma confiance totale à quelqu’un et ça n’a pas marché
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Elle avait laissé l’amertume grandir en elle et étrangler, comme le liseron, ses pensées positives, son cœur, et la confiance qu’elle pouvait avoir dans les autres.
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Émilie se revit assise dans cette même pièce avec son père en train de jouer au jeu de l’alphabet. Il consistait à choisir deux lettres de l’alphabet, n’importe lesquelles. Une fois qu’elle avait fait part de son choix à son père, il se déplaçait le long des rayonnages à la recherche d’un auteur dont le livre commençait par ces initiales.
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Vos parents vous ont laissée avec une lourde responsabilité sur les épaules. Et vous êtes seule, même s’il semble que vous ayez beaucoup de famille tout à coup, dit Gérard en haussant les sourcils.
— Que voulez-vous dire ?
— Oh ! ne vous inquiétez pas ! Les vautours se manifestent souvent dans de telles situations.
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Nos erreurs nous paraissent plus terribles que celles des autres, parce que nous ne nous pardonnons pas de les avoir commises. C’est ainsi que la culpabilité nous poursuit.
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La vie apportait tour à tour plaisir ou souffrance. Rien n’était jamais acquis, et d’un jour à l’autre tout pouvait basculer.
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Lorsque quelqu’un est né créatif… son âme est comme un ciel rempli d’étoiles filantes; un globe en constante rotation vers la muse qui capte son imagination.
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Une minuscule silhouette sortit de l’obscurité : elle était vêtue d’un ensemble élégant en soie thaïlandaise. Ses cheveux de jais étaient remontés en chignon, avec deux orchidées fixées de part et d’autre. Lorsqu’elle s’approcha, Julia eut le sentiment de la reconnaître, mais il lui fallut un moment pour en comprendre la raison : elle était en train de regarder une femme dont les traits ressemblaient beaucoup aux siens.
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C’est alors que son regard fut attiré par un stand rempli de magnifiques orchidées aux couleurs vives et à l’odeur délicate. Il s’arrêta devant pour regarder les plantes qu’il n’avait jamais vues pour la plupart.
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C’était sans espoir. Il serait contraint de retourner chez lui et de dire à son maître qu’il ne l’avait pas retrouvée. Pour être tout à fait honnête, il savait dès le départ que sa mission était vouée à l’échec
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Sa bouche se fendit d’un sourire lorsqu’il la reconnut enfin.
- C’est la petite Julia, la petite-fille du jardinier, une pianiste aujourd’hui mondialement connue. C’est ça, n’est-ce pas ?
- Oui, je suis bien Julia, dit-elle en hochant la tête
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Je veux savoir pourquoi je ne suis pas partie avec eux, parce que maintenant je ne suis ni là ni ailleurs.
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superbe livre je suis a la moitié mais c est une belle histoire
je vous le conseille
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- En tout cas, félicitations pour votre mariage, dit la femme.
- Merci, répondit Emilie avec un sourire ironique.
La femme se dirigea vers la porte de la cuisine, puis s'arrêta et se retourna.
- J'espère pour vous que vous savez dans quoi vous avez mis les pieds.
Au revoir.
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Présentation de l'éditeur : Dans son enfance, Julia Forrester a passé des moments idylliques dans la serre de Wharton Park. Un immense et magnifique domaine où son grand-père était chargé de prendre soin des orchidées.
Des années plus tard, Julia est devenue une pianiste de renommée mondiale. Alors qu'elle fait face à une tragédie personnelle, la jeune femme revient sur les traces de son enfance et renoue avec Christopher, l'héritier de Wharton Park.
Un journal intime, écrit dans les années 1940 par le grand-père de Julia, est découvert lors de travaux de rénovation. Quels mystères renferment ces pages ? Dans les méandres de l'histoire de deux familles ravagées par la guerre, Julia va découvrir de sombres secrets qui vont bouleverser sa vie.

Deux récits alternent dans ce roman, l'un contemporain nous parle de Julia Forrester pianiste renommée qui vient de perdre mari et enfant dans un accident de voiture. Elle rencontre Christopher hériter de Wharton Park endroit où son propre grand-père était jardinier et où elle a de magnifiques souvenirs...
...Et ce qui doit arriver arrive... Et cette partie est cousue de fils blancs et surtout d'une grande mièvrerie.
Par contre, le récit se déroulant dans les années 40 vaut le coup d'être lu. On se laisse vraiment emporter par l'histoire des personnages, tous attachants, leurs dilemmes. L'auteur n'a pas réussi à rendre cette atmosphère pour l'époque contemporaine.
Ceci dit, les secrets, on les devine tous très vite, il y en a qui est même décelable dès les premières pages et même le coup de théâtre final n'en est pas vraiment un. Aucune surprise pour moi à la lecture de ce livre.

Malgré, tout, une saga familiale à lire, bien agréable et qui peut détendre notamment en vacances...



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Norfolk, Angleterre
Je fais le même rêve toutes les nuits. C’est comme si ma vie était jetée en l’air, se décomposait en mille morceaux, retombant
sur le sol… en désordre. Tout est là, mais dans le mauvais sens, et la vue est fragmentée. On dit que les rêves sont importants
et qu’ils nous apprennent beaucoup de choses, surtout celles que nous refoulons. Je ne refoule rien. Si seulement je pouvais. Je vais dormir pour oublier. Pour trouver un peu de paix, parce que je passe la journée à me souvenir.
Je ne suis pas folle. Même si, depuis quelque temps, je réfléchis
beaucoup à ce que recouvre le concept même de folie. La terre est peuplée de milliards d’êtres humains, dont chacun possède un génome unique et une perception du monde qui lui est propre. Chaque vue est différente.
J’en suis arrivée à la conclusion que ce que les êtres humains partagent réellement, c’est la chair et les os, la matière physique dont ils sont faits. On m’a souvent dit que chacun avait une façon différente d’aborder la perte d’un être cher. Certaines personnes pleurent pendant des mois, des années même. Elles portent du noir pour montrer qu’elles sont en deuil. D’autres ne semblent pas affectées, en surface du moins. Elles enfouissent leur chagrin. Elles continuent à vivre comme avant. Comme si rien ne leur était arrivé
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