Luis Montero Manglano

Si l'argument était plus que prometteur dans le premier volume de cette trilogie du "Corps Royal des Quêteurs", je me suis malgré tout un peu lassé au cours du récit. Ce deuxième volume est, à mon gout, un peu long et, l'effet de surprise étant passé, un peu moins attractif.



Basé sur des fait avérés, s'il se peut après plusieurs siècles et de nombreuses récupérations politico-religieuses, la trilogie brode sur l'aspect ésotérique avec plus ou moins de bonheur.

J'ai aimé les personnages, le contexte, les digressions historiques, certes trop rares, mais lu un peu rapidement les passages tendus où les Quêteurs affrontent le danger. Un lecteur de "thriller" appréciera surement, mais je l'ai trouvé peu crédibles. Que dire de ces machines complexes qui fonctionnent encore à merveille après un millénaire, alors qu'il est si difficile de faire redémarrer la moto-faucheuse après un seul hiver ?

Je n'ai apprécié que modérément les énigmes et suspens qui m'ont semblé, soit cousus de fils blancs, soit franchement impossibles.



J'ai apprécié aussi ce deuxième volume qui reste d'une lecture agréable, mais sans grandes surprises.

Si l'argument était plus que prometteur dans le premier volume de cette trilogie du "Corps Royal des Quêteurs", je me suis malgré tout un peu lassé au cours du récit.



Basé sur des fait avérés, s'il se peut après plusieurs siècles et de nombreuses récupérations politico-religieuses, la trilogie brode sur l'aspect ésotérique avec plus ou moins de bonheur.

J'ai aimé les personnages, le contexte, les digressions historiques, certes trop rares, mais lu un peu rapidement les passages tendus où les Quêteurs affrontent le danger. Un lecteur de "thriller" appréciera surement, mais je l'ai trouvé peu crédibles. Que dire de ces machines complexes qui fonctionnent encore à merveille après un millénaire, alors qu'il est si difficile de faire redémarrer la moto-faucheuse après un seul hiver ?

Je n'ai apprécié que modérément les énigmes et suspens qui m'ont semblé, soit cousus de fils blancs, soit franchement impossibles.



Bref, j'ai apprécié ce premier volume comme une lecture divertissante, ce qu'elle est, je pense.

J'ai acheté ce roman après avoir été séduite par la quatrième de couverture et je ne regrette pas !

J'ai vraiment adoré ce qui se classe apparemment dans les "romans ésotériques" catégorie qui je l'avoue m'était inconnue avant d'avoir lu les commentaires sur cet ouvrage.

Je n'ai pas du tout été déçue de mon choix ! j'ai accroché dès le début et les 597 pages ont été dévorées en 3 jours.

J'ai trouvé que le rythme était bon, alternance d'action et de moments plus calmes. Les personnages sont bien écrits même si, à titre personnel, j'ai eu du mal avec Enigma au début de son apparition.

Ne connaissant que très peu l'histoire Espagnole ce livre a éveillé ma curiosité.

Parfois j'ai pu me sentir un peu perdue quand des faits historiques ou légendaires étaient rapportés mais en fait il me suffisait de relire le passage pour que cela devienne plus clair.

Je pense me procurer le second tome très prochainement.

Jusqu'ici l'auteur avait fait preuve de plus d'originalité que dans ce dernier tome. Dans la cité des hommes saints, nous voici plongés dans une nouvelle qventure des quêteurs, au seont de la forêt amazonienne, à la recherche d'une civilisation disparue. cela vous rappelle quelque chose ? Normal, des tonnes de livres tournent autour de ce sujet avec plus ou moins de bonheur.

Cette queête est bien rythmée et nous permet de découvrir Lilith et ses secrets, Tirso et les siens... Quelques détails nuisent au romen. Les robots qui gardent la cité par exemple nous font virer irrémédiablement dans l'invraisemblable. Je me serais accordé du reste, mais là c'est un peu too much... Dommage, mais cela rest un bon moment de lecture.

Ce roman, c'est l'histoire d'un coup de cœur. Je l'avais repéré en grand format à sa sortie. Sa couverture en relief, son sceau intriguant m'avaient directement attirée. Une fois entre mes mains, l'alchimie a opéré dès les premiers pages ! C'était tout ce que j'aime avec une narration mêlant l'humour à l'action, et une certaine proximité avec le lecteur.



L'histoire commence en Angleterre, où Tirso, un jeune homme de 28 ans, est gardien dans un musée afin de financer son doctorat en histoire de l'art. Mais suite à un mystérieux vol de statue, il retourne vivre à Madrid, sa ville d'enfance. Il répond alors à une annonce toute aussi mystérieuse pour un travail qui va le propulser comme agent d'un service secret spécialisé dans l'art : le corps royal des questeurs. Leur mission est de récupérer les œuvres d'arts spoliées à l'Espagne aux cours des dernières guerres.



On y retrouve tous les ingrédients du roman d'aventure : l'espionnage, l'action, l'humour, un peu d'amour.. Si certains rebondissements peuvent sembler attendus, ils sont inhérents au genre qui ne se prend pas au sérieux. Pour ma part, j'ai tout aimé dans ce roman : le style, la construction de l'histoire, le développement des personnages qui répondent à des clichés tout en ayant leur personnalité propre... J'ai hâte de découvrir les autres tomes de cette trilogie !

L'imagination debordante, la grande connaissance de l'Histoire médiévale, la métrise de la narrative de suspense et de rebondissements, la création de personnages attachants avec de caractères psychologiques bien dessinés font de Manglano un auteur très plaisant à lire. Le seul hic est une final un peu trop mystique (à mon goût, bien sûr). Il me semble que les portes sont ouvertes pour un quatrième tome : ce sera une excelente nouvelle !

Plus rocambolesque que Les Aventures de Rocambole ! Pharos, le narrateur en première personne, est membre du Corps royal des quêteurs, une organisation secrète chargée de récupérer des objets du patrimoine culturel espagnol éparpillés à travers le monde et que ne peuvent pas être acquis d'une manière legal. En vrai Indiana Jones, les quêteurs affrontent de périls réels et mythiques : intégristes islamiques, l'armé française, Interpol, pygmées sanguinaires, pythons et crocodiles gigantesques. Mais l'ennemie le plus dangereux parce que récurant en toutes ses aventures c'est

Voynich, la multinationale que cherche les même trésor que nos héros. Et ne fait pas dans la dentelle ! Chapeau Mr Manglano, vos livres sont une belle réussite !

J’ai beaucoup apprécié ce roman, pourtant la couverture et le ombre de pages ne me donnait pas trop envie mais j’ai été happée dès le début.

On suit les aventures de Tirso qui est embauché un peu par hasard par un organisme qui récupère les objets d’art espagnols volés à travers le monde.

L’organisation part à la recherche de la table du roi Salomon mais quelqu’un les devance à chaque fois.

Dans ce roman il y a de l’action, de l'humour,du mystère et de l’Histoire. Je lirai certainement la suite.

La quatrième de couverture m'avait intriguée, on y parle d'histoire de l'art médiéval... Le héros est en thèse dans ce domaine, comme moi ! Et ses déboires de doctorant au début m'ont bien amusée, tant je me suis retrouvée dedans... La suite en revanche est un destin qui risque fort peu de nous advenir, nous pauvres doctorants médiévistes ! Une suite faite d'aventures, de quête, d'objets perdus... J'ai très vite pensé à Indiana Jones.

S'il y a du Umberto Ecco là dedans, je ne saurais dire (n'en ayant jamais lu, honte à moi), mais l'auteur, lui-même professeur d'histoire de l'art médiéval, est très cultivé et sait distiller érudition et symbolisme au fil des pages. Il faut en revanche toujours vérifier si les objets et lieux dont il parle sont réels ou relèvent de la fiction.

Malgré quelques longueurs, la lecture est très agréable et je ne manquerai pas de lire la suite !

L’équipe du Corps national des quêteurs (un organisme chargé de retrouver et récupérer les oeuvres d'art spoliés à l'Espagne) est au plus mal. Affublée d’un nouveau chef suite aux évènements finaux du tome précédent, les missions extravagantes à la poursuite de légendes ésotériques laissent la place à des tâches bureaucratiques. Toutefois, il en faudrait beaucoup plus pour empêcher Tirso, quêteur intuitif et curieux, de se lancer corps et âme à la suite d’un mystérieux trésor qu’une autre organisation semble convoiter. Quel est ce trésor ? Que comptent en faire ces opposants autant dangereux que mystérieux ? Pourquoi Tirso plus que quiconque semble attiré par les oeuvres légendaires et s’attirer autant d’aventures que d’ennuis ?

Si le roman ne répond pas à toutes ces questions, laissant assez de suspens pour avoir envie de lire la suite et fin de la trilogie, cette quête nous fait voyager de Madrid au Mali, sur un bateau pirate ou encore dans les bases militaires. A mi-chemin entre Indiana Jones et une version anti-héroïque d’Arrow (je ne sais pas vous mais j’imagine bien Felicity Smoake en Enigma), ce roman est à la fois drôle, prenant, plein de suspens. En un mot, le coup de coeur est confirmé !

Mention spéciale pour le relief de la couverture et ce graphisme !!

J'ai apprécié le roman. Malheureusement, le déroulement et le final sont un peu trop prévisibles. Donc, pour le suspense, on repassera.

Par contre, j'ai apprécié le contexte des queteurs, avec un petit côté Indiana Jones. Je trouve que le concept est bien trouvé et qu'il pourrait amener multitude d'aventures.

Ayant lu les deux premiers tomes comme "une trieuse à billet de banque", j'avoue avoir eu plus de mal pour ce tome là. Récit plus laborieux, des descriptions et des explications parfois trop longues. Il est probablement temps pour l'auteur d'entamer u nouveau cycle.

Suite de l'histoire de l'ordre des quêteurs. Ces derniers se lancent sur les graces de Moïse enfin pas celles que l'on connaît au travers de la Bible puisque l'intrigue se déroule pour l'essentiel au Mali. On a l'impression dans ce livre de perdre les quêteurs les uns après les autres et il faut vraiment être des surhommes pour résister aux épreuves rencontrées. Cela entache un peu la vraisemblance du roman.

L'histoire n'est pas mal menée mais elle est moins passionnante que celle du premier tome.

Je n'avais pas prévu le virus. Mais j'ai la mentalité de l'écureuil. Et depuis trente mois, deux tomes des aventures de Tirso dormaient sur une étagère. Voyant dans quel état j'erre, je me suis décidé à décapsuler ce roman d'aventures. Nunc est bibendum. Et c'est assez grisant de se glisser dans la peau de Tirso. Quelques heures d'évasion de ce monde à l'agonie sont toujours bonnes à prendre, même si on ne va pas crier au génie. Une petite lueur, un phare tout au plus.

Il y a quelques années, j'avais bien aimé le film Buñuel et la Table du Roi Salomon de Carlos Saura, dans lequel, dans les années 1930 à Tolède, Buñuel, Dali et Lorca partaient à la recherche de la Table du roi Salomon, qui permettrait de voir le passé, le présent et l'avenir.

Cette Table contiendrait tout le savoir de l'univers, la formule de la création et le Schem-hamephorash, nom secret, imprononçable de Dieu.

Après la destruction du Temple, Titus l'aurait transportée à Rome, puis en 410, Alaric Ier s'en serait emparé, et l'aurait emmenée à Carcassonne. Elle aurait ensuite « voyagé » à Ravenne, à Barcelone et à Tolède, dans les Grottes d'Hercule.



Dans La Table du roi Salomon, de l'écrivain et professeur d'histoire Luis Montero Manglano, un jeune Espagnol, Tirso Alfaro, doctorant en art médiéval, intègre après une série d'épreuves, une mystérieuse corporation fondée au XIXème siècle par le Reine Isabel II, le Corps royal des quêteurs.Etablie dans les sous-sols du Musée archéologique de Madrid, elle a pour but de récupérer par tous les moyens possibles, et même illégaux, les oeuvres espagnoles pillées au cours des siècles. Et sa première mission a justement un lien avec la Table du roi Salomon, dont le père de Tirso, un mystérieux pilote de ligne prématurément disparu, lui a longuement parlé dans son enfance. La mère de Tirso est quant à elle une archéologue accomplie faisant passer sa passion avant son fils (à la Henry Jones, vous voyez?).



Je ne suis pas une fanatique des thrillers ésotériques. J'aime bien ce genre d'histoires au cinéma, quand elles sont pétries d'humour et de second degré, ambiance Indianas Jones ou Le secret des Incas. Beaucoup de pages furent donc lues en diagonale, je l'avoue, car les passages les plus intéressants sont hélas les plus brefs:

l'état des lieux de l'archéologie espagnole et le « pillage » subi par le pays, aidé en ce sens par une législation des plus floues, les pages consacrées à Tolède, aux Chroniques chrétiennes et musulmanes, aux rois Wisigoths, et à Isidore de Séville.



Les amateurs de ce genre littéraire apprécieront sans doute davantage ce roman. Je remercie virtuellement Luis Montero Manglano d'avoir consacré quelques pages à la magnifique Dame d'Elche, ma sculpture préférée:

« J'observais pendant quelques secondes ce visage indolent, encadré par deux majestueuses roues en pierre, qui nous contemplait avec un air millénaire de femme fatale.

- C'est la Dame d'Elche.

- La Dame. La Dame tout court (…) »

Suite des aventures, et, autres péripéties des héros rencontrés dans le tome intitulé La Table du roi Salomon.



On peut dire que ce tome ci décoiffe à fond la caisse. Aucun temps morts, ni répits pour les différents protagonistes. Ils en prennent tous pour leur grade.



Tout comme dans le tome 1, on se laisse emporter par le feu de l'action, et, on a qu'une seule envie : finir au plus vite le bouquin afin de savoir ce qu'il adviendra des héros. Chose que l'on apprendra dans le 3eme tome.

Enfin, je suppose.



Luis Montero Manglano est vraiment un romancier à découvrir, et, à lire de toute urgence, si l'on apprécie ou non les romans d'aventures aux multiples rebondissements.

Les critiques sur Babelio étaient très positives. J'avoue que je ne les partagent pas. L'intrigue m'a semblée très prévisible, j'avais deviné à peu près tout avant la page 150. Cette intrigue n'a donc rien de très palpitant.

En plus, il faut en effet attendre la page 366 pour avoir, enfin, un peu d'action et de surprises (fort peu de surprises).

Du point de vue historique, je ne trouve pas non plus que ce soit très concluant. On n'apprend pas grand-chose si ce n'est des petites histoires assez périphériques.

Je n'ai rien dévoilé de l'intrigue pour ne pas empêcher les uns elles autres de le lire.

Mais franchement, je ne recommande pas. On est loin du "nom de la Rose", le mètre-étalon dans ce type de littérature.

Un polar ésotérique découvert par hasard, et, surtout lu sur les conseils d'une amie. Et bien, je n'ai pas été déçue, et, les quelques 500 pages et plus composant cet énorme pavé - qui n'en ait plus un une fois débutée la lecture - ont été lues pratiquement en une seule traite.



Tous les ingrédients c'est-à-dire quête mystique, ésotérisme, etc sous couvert d'aventures historiques se déroulant dans le monde de l'art sont au rendez-vous. Résultat des courses : le temps passe à la vitesse de l'éclair en compagnie des différents personnages sortis tout droit de l'imagination de leur créateur.



L'intrigue peut paraître simpliste, banale au tout premier abord, mais, une fois celle-ci mise en place, les présentations faites au niveau des divers protagonistes, et, du Corps royal des quêteurs, celle-ci tient la route tout en démarrant au quart de tour, et, c'est parti pour quelques heures de détentes, et, de dépaysements.



Enseignant l'histoire de l'art, et, l'histoire médiévale à Madrid, Luis Montero Manglano situe l'action de ses romans dans un milieu qu'il maîtrise parfaitement. Il sait donc de quoi il parle.



Enfin bref, un excellent moment de lecture. Du moins en ce qui me concerne.

Montero Mangano Luis – "La table du roi Salomon : Corps royal des quêteurs, tome I" – Actes Sud / Babel, 2017 (ISBN 978-2-330-11998-0) – format poche, 602p.

– roman traduit de l'espagnol par Claude Bleton, titre original "La mesa del rey Salomon" (cop. 2015)



Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il ne s'agit pas ici d'un récit haletant et palpitant : bien au contraire, la narration est lente, longue à s'installer, l'intrigue vient de loin. Et la mention portée sur la page de titre précisant qu'il s'agit du premier tome d'une sage mettant en scène "le corps royal des quêteurs" nous prévient de la parution de volumes ultérieurs, c'est la mode des sagas à épisode qui sévit énormément dans la littérature jeunesse depuis le succès d'Harry Potter.

Soit, pourquoi pas, mais mieux vaut être prévenu(e) tout de même.



N'ayant aucune empathie pour ce genre de littérature, j'avais tout de même acquis ce roman d'une part parce qu'il nous vient d'Espagne, d'autre part parce qu'il traite d'histoire de l'art, et tout spécialement des spoliations plus ou moins déguisées infligées à ce pays depuis les guerres napoléoniennes.



Certes, ces thèmes sont traités, et même de façon plutôt complète – bon à savoir pour les lectrices et lecteurs qui ne supportent pas les romans à visée pédagogique "sçavante", mais vers son milieu, ce long récit (plus de six cents pages) bascule dans le genre de la quête fabuleuse, avec machineries subséquentes mises en place aux temps wisigothiques...



Personnellement, je n'adhère pas à ce genre littéraire, j'ai tout de même terminé la lecture mais en sautant rapidement certains paragraphes "à suspens", dont on connaît l'issue par avance...



Je me dispenserai de la lecture des volumes ultérieurs...

Heureuse d’avoir retrouvé LMM dans l’Oasis éternelle: un style d’écriture très agréable et « nouveau », qui interpelle le lecteur, un contexte géographique dépaysant même si tout n’est pas réel... Le fait que l’auteur soit capable d’inventer ses propres œuvres d’art est captivant.



Mon seul tout petit regret dans ce tome est peut-être celui de rester sur ma fin par rapport à l’histoire de l’oasis, mais finalement l’autre chose que Pharos trouve semble prometteuse...



À suivre avec le prochain tome!