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Critiques de Luis Montero Manglano (71)
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Corps royal des Quêteurs, tome 1 : La table d..

Si vous aimez les romans d'aventure dans le style des chevaliers de l'Arche Perdue, vous risquez d'apprécier ce premier volume consacré au Corps Royal des quêteurs. De l'histoire (petite et grande), de l'aventure, un peu de sentiment, des méchants, des traitres, tous les ingrédients sont soigneusement dosés pour emmener le lecteur dans les arcanes d'une organisation espagnole secrète, ou plutôt non-officielle, dans le style classique du « Faites ce qu'il faut, mais on ne veut pas le savoir ». Cette organisation a pour mission de « récupérer » par tous les moyens des trésors espagnols qui ont été spoliés à une époque ou une autre. Disons qu'on passe un bon moment de lecture, on en apprend pas mal sur ce qu'ont pu faire les uns ou les autres pour piller le patrimoine espagnol, et ce n'est pas glorieux. Quant à l'intrigue, si elle est plutôt bien menée, avec ce qu'il faut comme rebondissements et suspense, elle reste de facture classique avec une petite tendance à tirer sur les longueurs.
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Corps royal des Quêteurs, tome 1 : La table d..

Ce roman est le premier volume des aventures du Corps Royal des Quêteurs. L'histoire est racontée à la première personne par Tirso, étudiant en Histoire de l'art.



Le sujet de départ est la spoliation des oeuvres espagnoles au fil des invasions et occupations. Le groupe dans lequel évolue Tirso est chargé de les récupérer.



Tous les personnages sont intéressants. Ce livre est un excellent roman d'aventure qui se lit facilement et dont l'intrigue nous tient jusqu'à la dernière page. Je ne suis pas ennuyée une seconde à suivre la quête de ces protagonistes
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Corps royal des Quêteurs, tome 3 : La Cité des ..

J'ai retrouvé avec plaisir Tirso et Compagnie pour la troisième fois. Tirso est devenu agent d'Interpol et le corps des Queteurs a disparu ou presque. Et puis comme par Hasard des évènements imprévus arrivent. Et cette fois le corps des Queteurs officieusement réformé se retrouve au Valcabado une petite république d'Amérique du Sud a la recherche de la cité des hommes saints où se trouverait la fameuse table du premier tome. Certains passages du livre sont assez peu crédibles. Il y a des surprises. Et bien sûr des dégâts. Voynich est toujours là et on fait enfin la connaissance de la fameuse Lilith. J'ai au final passé un bon moment. Je dois dire que je l'ai lu en deux fois car entre temps j'avais lu un livre sur Jeanne du Barry.
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Corps royal des Quêteurs, tome 1 : La table d..

Cette lecture était en fait un relecture car je l'avais déjà lu en 2017. Depuis j'ai aussi lu en 2018 le deuxième tome "L'oasis éternelle" et j'ai découvert récemment qu'il y avait un troisième tome. J'ai donc repris depuis le début. Cette fois j'ai mis plus de temps à le lire mais j'ai quand même apprécié même si en le relisant je me rappelais de certaines choses. Bref un bon moment de lecture
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Corps royal des Quêteurs, tome 2 : L'oasis éter..

J'aime beaucoup les romans d'aventure, mais celui-ci ne me laissera pas un souvenir impérissable. L'histoire est intéressante, avec des rappels historiques et une quête à la Indiana Jones qui aurait pu être palpitante. Hélas, c'est dans le style littéraire de l'auteur (ou du traducteur ?) que le bât blesse, on est plus proche du club des quinze que de la grande épopée lyrique. Déçue, donc, mais ce n'est que mon avis...
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Corps royal des Quêteurs, tome 3 : La Cité des ..

De l’aventure et encore de l’aventure.

Énorme coup de cœur pour cette trilogie.

A des années lumières de celle que tout le monde ici semble avoir aimée et qui n’a sans doute pas d’autres mérites que ses couvertures et son rythme feuilletonesque et dont je tairai le nom.

C’est Indiana Jones mais en mieux, c’est inventif, c’est drôle, c’est malin. Étonnant qu’il n’en ait pas encore été tiré de film.

Juste un petit regret pour la fin un peu cul cul plan. La toute fin. Mais qui n’enlève rien au parfait plaisir de cette lecture.
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Corps royal des Quêteurs, tome 1 : La table d..

Une quête sur fond historique.

L'auteur mêle habilement faits historiques et fiction, sur la base de faits avérés : la spoliation de trésors espagnols au fil des siècles. Le personnage principal nous emmène dans sa quête, qui indirectement est liée à la quête du père et de la mère. Le rythme est soutenu, l'écriture agréable. Certains passages pourront sembler longs pour ceux que l'art et l'histoire de l'Espagne intéressent peu. Une lecture de vacances captivante.
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Corps royal des Quêteurs, tome 1 : La table d..

Un livre très accrocheur mêlant réalité et fiction... On s'attache au personnage principal et on suit ses aventures avec intérêt, le suspens est présent jusqu'au bout... j'ai beaucoup apprécié ce roman et j'ai hâte de dévorer les tomes suivants... au bout de quelques pages on ne peut/veut plus le lâcher !
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Corps royal des Quêteurs, tome 1 : La table d..

Pour ma part ce livre est une déception ..

C'est un roman qui se lit facilement de part une belle écriture de l'auteur. Cependant trop de questions laissées en suspens à la fin du premier tome. Même s'il y a un fil rouge qui laisse entendre qu'il y aura une suite, j'aime qu'un livre soit abouti et ait une fin en soi.

Ensuite, même si certains passages nous tiennent en haleine, d'autres sont en revanche bien longs... à moins que vous soyez passionnés par l'Espagne et par l'histoire de ses trésors perdus dans leur moindre detail, cette quête est, selon mon goût personnel, bien moins passionnante que celle du Graal dans le Da Vinci Code. Bref, pour ma part, je n'achèterai pas le second tome.
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Corps royal des Quêteurs, tome 3 : La Cité des ..

Pour ce troisième tome des aventures des chevaliers quêteurs, on retrouve les ingrédients qui font de ces livres de bons divertissements dosés savamment : humour (grâce en particulier aux personnages de Yokaï et d’Enigma), érudition (mésogothique, hérésie arienne des rois wisigoth, liste des automates antiques…), quête fantastique (Eldorado, arcane biblique magique), aventures rocambolesques (au fin fond de la jungle, dans des grottes millénaires, dans les tunnels abandonnés du métro londonien).



J’ai trouvé ce tome plus équilibré que le deuxième avec plus d’humour et un peu moins d’aventures complètement improbables (quoique…). C’est un beau final à la trilogie avec un héros qui a progressé émotionnellement, même si on est très loin du roman d’apprentissage, des méchants toujours très méchants (entre le terrible docteur Yoonah, la fascinante Lilith et le lâche Baliste) et des gentils naïfs et chanceux.



Seul petit bémol sur l’intrigue à proprement parler : la révélation du traître était complètement téléphonée, ce qui est dommage car les personnages sont bien les seuls surpris. Le premier chapitre du livre y est pour beaucoup et aurait gagné à se retrouver à la fin, en mode flashback explicatif.



Le roman se déroule en grande partie au Valcabado, pays imaginaire aux confins de la Colombie et du Brésil avec une civilisation disparue des Valcatèques. Étonnement, il n’y a toujours pas de considération de la part de l’auteur concernant les œuvres d’arts amérindiennes spoliées par l’Espagne. C’est moins dérangeant que pour le premier tome car on a bien compris que l’équipe des chevaliers quêteurs est clairement embarquée dans une quête ésotérique qui n’a plus rien à voir avec la spoliation des oeuvres d’art espagnoles, même si régulièrement les héros y font allusion dans un enthousiasme de mauvaise foi. Je trouve que ça manque quand même singulièrement pour une trilogie qui fait de la spoliation des œuvres d’arts espagnoles la base de son intrigue.



En résumé, un beau final pour les chevaliers quêteurs. J’aimerais qu’il y ait d’autres livres car l’imagination et l’érudition de l’auteur en font vraiment des moments de lecture très divertissants et en même temps, il faut savoir s’arrêter à temps et ne pas gâcher l’ensemble par le tome de trop.

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Corps royal des Quêteurs, tome 2 : L'oasis éter..

Ce roman est le 2ème tome des aventures de Tirso Alfaro et des chevaliers quêteurs. On y retrouve la même recette que dans le précédent tome: humour, situations cocasses, actions et érudition.



Le contexte est particulièrement intéressant et surprenant quand on pense lire un roman lié à l'art espagnol: l'auteur suit en effet le personnage de Yuder Pacha, vainqueur de l'empire Songhaï au XVIe siècle et d'origine espagnole pour envoyer ses quêteurs au Mali sur la trace d'un trésor gardé depuis des temps immémoriaux par les empereurs maliens et lié à Moïse.



La photo du Mali, alors en pleine opération Barkhane est très intéressante avec les différentes ethnies qui sont liées aux différents empires qui se sont succédé depuis l'Antiquité. L'auteur sait habilement mêler histoire et légendes pour nous concocter une intrigue dont on a envie de connaître les tenants et aboutissants. J'ai adoré toute cette partie sur le Mali, où on a du mal à démêler le vrai du faux et on souhaiterait que tout soit vrai. J'aurais voulu qu'elle soit encore plus développée. On découvre aussi les dogons, ethnie mystérieuse et animiste qui vit dans les falaises de Biangara.



Par contre, j'ai trouvé qu'il y avait moins d'humour que dans le premier tome et un peu plus d'actions à la Indiana Jones (accident de voiture puis mutinerie pirate puis vol d'un avion, accident d'avion et des ennemis qui arrivent toujours à suivre). J'ai moins aimé cet équilibre et j'espère qu'il sera un peu rétabli dans le 3ème tome que je lirai sans aucun doute.



On ne s'ennuie cependant pas une seconde. Les astuces des énigmes sont moins poussées que pour le premier tome mais on rencontre d'anciens quêteurs, ce que j'ai bien apprécié et on en découvre de futurs. La fin du roman prépare clairement le 3ème tome.

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Corps royal des Quêteurs, tome 1 : La table d..

Coup de foudre en librairie face à ce livre, grâce à sa couverture et à ce que les premières pages semblaient initier.

Il m'a pourtant fallu du temps pour accepter de me lancer dans sa lecture, m'étant mise à imaginer que j'allais m'ennuyer ou perdre le fil.

Quand j'ai finalement décidé de me lancer, quel plaisir !

Parmi ses points forts à mes yeux :

- un langage riche mais pas pédant ;

- une intrigue aux nombreux rebondissements, parfois vraiment inattendus;

- des personnages hauts en couleurs, pour certains attachants;

- une bonne dose de culture qui au mieux nous instruit et au pire ne nous ennuie pas ;

- les deux tomes suivants qui garantissent d'autres excellents moments de lecture.

J'ai croqué ce livre et découvert un style qui me plaît particulièrement. Les aventures de Tirso restent dans ma mémoire, très bien placées parmi mes romans préférés.

Je l'ai plusieurs fois offert et conseillé depuis.
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Corps royal des Quêteurs, tome 1 : La table d..

J'ai beaucoup aimé ce roman d’aventures à la “Indiana Jones” : on retrouve des artefacts bibliques, des énigmes à percer, des héros qui allient érudition et exploits physiques et des antagonistes machiavéliques. On est en plein dans un roman d’aventure ésotérique avec une grande érudition de l’auteur et une enquête d’archéologie et d’histoire de l’art fondée autour de la légende de la table de Salomon. L’intrigue est très bien menée avec des indices qui sont savamment distillés. Le style de l’auteur n’est pas très “littéraire” (on ne peut pas dire que l’écriture soit poétique) mais elle est efficace pour l’effet recherché ici.

Les héros appartiennent à un corps gouvernemental censé rapatrier les objets d’art spoliés en Espagne pendant le XVIIIème et le XIXème siècle. La réflexion autour de la spoliation est très intéressante mais ne concerne que les œuvres d’arts volées à l’Espagne et pas les œuvres d’art amérindiennes volées par les espagnols (ça viendra peut-être dans les tomes suivants).

Les différents personnages sont tous attachants, ayant chacun une personnalité marquée et originale, des qualités et des défauts. Il y a une bonne dose d’humour et d’auto-dérision qui rendent le récit très vivant. Les péripéties s’enchaînent à un bon rythme et on a du mal à lâcher le livre avant la fin. Celle-ci m’a d’ailleurs un peu laissé sur ma faim, ce qui est normal vu le leitmotiv du héros : “seul compte la quête”. Il y a en tout 3 tomes d’aventures de ce groupe un peu farfelu et j’ai déjà envie de lire la suite!

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Corps royal des Quêteurs, tome 1 : La table d..

un thriller à la Da Vinci code, avec beaucoup d’humour au début quand le héros manque de confiance en lui, et une belle intensité dans la seconde partie.

L’Espagne a effectivement été pillée de nombreux trésors historiques et c’est une idée ingénieuse que ce petit groupe non officiel qui œuvre en secret pour retrouver et ramener au pays des œuvres exposées à l’étranger.

Le petit groupe hétéroclite est constitué de personnalités attachantes et romanesques parfois à la limite de la littérature young adult. Le héros et narrateur a de la résilience qui compose son manque de compétences sur le terrain et nous le voyons prendre de l’envergure au fil des épreuves, passant de l’autodérision très drôle à une maturité et du recul.

La suspension d’incrédulité du lecteur est très maîtrisée avec des révélations qui embarquent réellement dans la quête, au point même de croire à cette dimension surnaturelle de l’aventure. Le côté pseudo-historique est très maitrisé.



C’est donc un bon gros polar/thriller qui se dévore en quatre jours grâce à un rythme soutenu sans temps morts.
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Corps royal des Quêteurs, tome 2 : L'oasis éter..

Ce livre est le deuxième tome d’une trilogie dédiée au CNQ (Corps National des Quêteurs).



Une lecture passionnante, mêlant (en)quête et histoire. Si certains éléments historiques mériteraient d’être mieux intégrés à la narration pour éviter un effet cours magistral au milieu de l’intrigue, les références sont généralement bien dosées, servent l’intrigue et son développement. Luis Montero Manglano nous illustre toute sa maîtrise dans un deuxième ouvrage aussi intéressant que le premier, en mettant en œuvre de multiples ressorts scénaristiques.



Un auteur à découvrir pour les amateur·ice·s de romans mêlant histoire, enquête et complots.
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Corps royal des Quêteurs, tome 1 : La table d..

Un roman d'aventure qui nous embarque au cœur de l'histoire de l'art espagnole, dont les œuvres ont longtemps été spoliées et qui, aujourd'hui, visent à être récupérées par une organisation espagnole secrète appelée "CNQ".



L'histoire de l'art, de manière générale, est un sujet qui m'est assez inconnu. A travers son roman (et premier tome), Luis Montero Manglano a su m'intéresser à ce sujet et m'apporter énormément de nouvelles connaissances. J'ai beaucoup aimé le style d'écriture de l'auteur, ce dynamisme et cette volonté de garder le suspense jusqu'à la fin du récit pour répondre à la première "énigme de la saga". J'imagine sans difficulté une adaptation cinématographique à ce roman.



Je ne connaissais pas du tout cette saga, et je ne l'aurais sans doute jamais lu si on ne me l'avait pas conseillé. Bien que la première partie a été un peu longue à mes yeux, et que j'ai mis du temps à entrer dans l'histoire, j'ai vraiment été convaincue par l'intrigue, les personnages et l'organisation du récit. Luis Montero Manglano nous livre un roman d'aventure que je pourrais presque apparenté à un roman d'espionnage. Cette découverte m'a séduite ! Et m'a donné envie de lire la suite de cette saga si j'en ai un jour l'occasion..
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Corps royal des Quêteurs, tome 1 : La table d..

Ce 1er roman de Manglano est vraiment une très bonne surprise. Dès le début, on plonge dans ce thriller ésotérique avec comme postulat de base la spoliation de l'art espagnol au fil de l'histoire sous le nez et à la barbe du gouvernement qui pouvaient même en être complice. On nous présente donc le corps royal des quêteurs, organisation secrète chargé de retrouvé ces œuvres sans être démasqué avec des membres les plus singuliers. Rien qu'avec ce postulat la lecture promettait de belles choses. Mais à cela s'ajoute une quête à la jonction entre Indiana Jones et Dan Brown qui nous tient en haleine et fait durer le suspense jusqu'à la fin. C'est une grande promesse pour la suite de la série
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Corps royal des Quêteurs, tome 3 : La Cité des ..

Après La table du roi Salomon et L'Oasis éternelle, voici le dernier tome de la trilogie au format poche : La cité des hommes saints.



Le personnage principal Tirso Alfaro nous embarque dans l'ultime aventure du Corps royal des quêteurs, un groupe secret chargé de récupérer les œuvres spoliées du patrimoine espagnol.



Dans ce final, le récit parallèle de la ténébreuse et tentaculaire entreprise Voynich ne fait plus qu'un avec celui de Tirso. Un dénouement plein de péripéties (trop ?), avec une agréable touche de mysticisme.



Malgré un rythme saccadé, et une fin un peu trop édulcorée (un peu comme l'épilogue de la saga Harry Potter), l'ensemble du récit s'avère être un savoureux mélange d'histoire de l'art et d'aventure, agrémenté d'ésotérisme en juste mesure, pour une lecture détente, pouvant être encore plus appréciée par les ados.
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Corps royal des Quêteurs, tome 3 : La Cité des ..

Enorme coup de coeur pour la trilogie qui s'achève avec "La Cité des hommes saints" !



Dans ce dernier opus, l'on retrouve Tirso Alfaro, alias Pharos, devenu agent d'Interpol aux côtés de Julianne Lacombe qui était autrefois à ses trousses. Mais très vite rattrapé par ses vieux démons, l'ancien quêteur se trouve mêlé au vol d'un manuscrit ancien et apparemment indéchiffrable qui va le mener de Londres à Madrid jusqu'à la jungle du Valcabado à la recherche d'une cité antique perdue. Au fil des découvertes, le Corps des quêteurs va se reconstituer autour d'une ultime mission pour retrouver le Nom des Noms, la fameuse table du roi Salomon. "Et ainsi le cercle se referme", comme dirait Enigma.



D'énigme en énigme, Luis Montero Manglano nous emmène une nouvelle fois dans une aventure digne des films d'actions à la Da Vinci Code ou encore Indiana Jones à qui Tirso emprunte sa phobie des serpents, rappelant même La Casa de Papel pour l'équipe de voleurs affublés chacun d'un pseudonyme.



Alors bien sûr, certains dénouements sont particulièrement attendus et la traduction mériterait parfois d'être affinée. Mais c'est une trilogie qui prend le lecteur au jeu rapidement et devient addictive tout en restant particulièrement recherchée sur le plan historique et artistique. Le diable est dans les détails de l'intrigue autant que dans les couvertures de ces trois tomes qui sont tout simplement magnifiques, faisant de l'objet-livre un élément en lui-même de l'atmosphère mi-ésotérique mi-aventureuse de ces romans. Une fois qu'on l'a finit, on a envie de tout relire pour mieux s'imprégner et comprendre toutes les subtilités disséminées dans les trois romans. Un vrai régal !
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Corps royal des Quêteurs, tome 3 : La Cité des ..

Si l'argument était plus que prometteur dans le premier volume de cette trilogie du "Corps Royal des Quêteurs", je me suis malgré tout un peu lassé au cours du récit. Le troisième volume met un peu de côté les faits historiques pour les remplacer par le "magico-ésotérique" qui caractérise le genre.



Basé sur des fait avérés, s'il se peut après plusieurs siècles et de nombreuses récupérations politico-religieuses, la trilogie brode sur l'aspect ésotérique avec plus ou moins de bonheur.

J'ai aimé les personnages, le contexte, les digressions historiques, certes trop rares, mais lu un peu rapidement les passages tendus où les Quêteurs affrontent le danger. Un lecteur de "thriller" appréciera surement, mais je l'ai trouvé peu crédibles. Que dire de ces machines complexes qui fonctionnent encore à merveille après un millénaire, alors qu'il est si difficile de faire redémarrer la moto-faucheuse après un seul hiver ?

Je n'ai apprécié que modérément les énigmes et suspens qui m'ont semblé, soit cousus de fils blancs, soit franchement invraisemblables.



J'ai donc moins apprécié ce dernier volume dont la fin m'a semblé bien trop prévisible. Pas assez d'Histoire, trop de magie, la trilogie reste une agréable lecture si on ne s'attache pas trop au réalisme.

L'ensemble est assez cohérent et a le mérite de mettre en lumière les vols et les spoliations commises par les états sur les biens culturels des peuples vaincus.
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