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L'étrange cas du Dr Nesse de Luiz-Alfredo Garcia-Roza
Quand un fou dit qu'il est persécuté, son persécuteur peut être imaginaire, mais le sentiment de persécution est réel.
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L'étrange cas du Dr Nesse de Luiz-Alfredo Garcia-Roza
Quand un fou dit qu'il est persécuté, son persécuteur peut être imaginaire, mais le sentiment de persécution est réel.
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Bon anniversaire, Gabriel ! de Luiz-Alfredo Garcia-Roza
-La police a besoin de suspects pour pouvoir les transformer en coupables. -C’est l’église qui aime bien les coupables. La police cherche les criminels. |
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Bon anniversaire, Gabriel ! de Luiz-Alfredo Garcia-Roza
L’impression que j’ai, c’est que pour Gabriel cet assassinat est déjà commis, il faut seulement attendre que l’heure sonne.
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Le Silence de la pluie de Luiz-Alfredo Garcia-Roza
[...] Dans les films américains, les policiers n'étaient pas aussi désemparés. Le médecin légiste dévoile pratiquement le crime à l'inspecteur, celui-ci n'a qu'à faire une poursuite spectaculaire dans les rues de New-York, San Francisco ou Los Angeles. Au cas où le légiste échouerait, il y a toujours la possibilité d'envoyer au FBI un cheveu trouvé sur le lieu du crime et le lendemain nous savons même de quelle équipe de football son propriétaire est supporter. Ici dans cet agréable tiers-monde, le rapport du légiste indiquait rarement si la victime était morte par balle ou par empoisonnement.
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Bon anniversaire, Gabriel ! de Luiz-Alfredo Garcia-Roza
Vous m’avez harcelé pendant une semaine pour ça ? Vous voulez que j’enquête sur le meurtre d’une personne que vous ne connaissez pas et qui n’est même pas morte ? C’est une plaisanterie ?
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Une fenêtre à Copacabana de Luiz-Alfredo Garcia-Roza
Le téléphone portable sonna alors qu'Espinosa était sous la douche. Il sonna une deuxième fois lorsqu'il attendait que les lasagnes décongèlent dans le micro-ondes.
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Le Silence de la pluie de Luiz-Alfredo Garcia-Roza
Le premier et immédiat profit qu'Espinosa tira de cette découverte fut l'élimination du sentiment d’étrangeté qui s'emparait de lui chaque fois qu'il essayait de trouver un responsable à la mort de Ricardo Carvalho. Personne n'entrait dans le rôle de l'assassin, pour la simple raison qu'il n'y avait pas d'assassin. Ce qui ne signifiait pas l'élimination définitive de la thèse de l'assassinat.
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Objets trouvés de Luiz-Alfredo Garcia-Roza
Des histoires de héros qui, sans aide, affrontent la police corrompue de la grande métropole n'arrivent que dans les films.
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Bon anniversaire, Gabriel ! de Luiz-Alfredo Garcia-Roza
L’impression que j’ai, c’est que pour Gabriel cet assassinat est déjà commis, il faut seulement attendre que l’heure sonne
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Bon anniversaire, Gabriel ! de Luiz-Alfredo Garcia-Roza
La différence entre les fous et lui était qu’il savait que la menace, dans son cas, n’était pas imaginaire. Il ne confondait pas des scènes du quotidien avec des délires. Il savait parfaitement ce qui était réel et ce qui était imaginaire. Ses délires relatifs à la prophétie étaient sincères, et c’était ça qui l’avait conduit à contacter le commissaire ; non une donnée objective, mais une impression subjective concrète. Il n’était pas fou, de cela il était sûr ; du moins pas plus que la majorité de ceux qui l’entouraient. Il éprouvait certaines difficultés, c’est vrai, mais rien qui le situât au-delà de la limite de la santé mentale.
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Serge Reggiani joue le rôle d'un élève dans un film de Christian-Jaque sorti en 1938 d'après un roman de Pierre Very.