AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Madame de La Fayette (464)
La Princesse de Clèves

C'est un roman psychologique agréable à lire. S'il y a beaucoup d'introspections, il n'y a pas pour autant de longueurs. Esthétique de l'époque, le ton est très plaisant mais paraît parfois inapproprié pour parler des sujets de coeur. Disons que ça donne encore une touche particulière.
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Un livre qui a fait débat pendant de nombreuses années dans les clubs de littérature à sa sortie, à propos de la fidélité excessive du personnage principal : est-ce seulement par principe morbide et moralisatrice qu'elle agit de cette façon, ou la preuve d'une belle âme ? Je recommande ce livre, magnifiquement bien écrit et qui peut vous faire réfléchir.
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

La première partie du roman était une CORVÉE à lire. Pour tout vous dire, j'ai même rien retenu de que ça racontait

Mais je me suis accroché pour les 3 autres parties, car on m'avait déjà prévenu de la galère du début. Et je ne suis pas déçu de l'avoir lu. Je ne vais pas non plus dire que j'ai adoré ce livre, mais j'ai apprécié suivre cette histoire d'amour (même si elle n'est pas très gaie, à cause du contexte de l'époque).

Un livre à lire. Comme beaucoup d'autres classiques.
Commenter  J’apprécie          11
La Princesse de Montpensier

Une lecture simple au programme du Bac Littéraire.



Je souhaite bon courage au Terminale parce que je me suis complétement paumé avec tous ces personnages, l'histoire est complexe même si on en comprends vite le sens à la fin. Mais je pense que j'aurai bien aimé l'étudier en détails en classe.
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

C'est forcément un livre classique important car Mme de Clèves est un modèle pour toutes les femmes: honnête, intelligente, lucide, scrupuleuse, intègre, maîtresse d’elle-même et qui a une volonté de fer et qui sait dire non sans concession.

Mais en lisant, j'ai subi d'interminables intrigues amoureuses inintéressantes voire soporifiques. Et les phrases sont lourdes. Ce n’est pas du beau français.



Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Montpensier

Bon, ça a été une déception.

J’ai trouvé que c’était beaucoup trop détaillé et que ça devenait lassant au fur et à mesure. J’arrivai pas à suivre

C’est dommage parce que j’ai beaucoup aimé la princesse de Cleves, mais celui là c’est un peu la version médiocre.
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

J'avais détesté lire et étudier La Princesse de Montpensier de la même écrivaine. Alors quand ma professeure de littérature de terminale m'a demandé de lire ce roman, je n'étais pas très jouasse... Et même si la première moitié de l'œuvre m'a laissé de marbre, mais j'ai été surpris d'en apprécier la seconde partie.
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

La Princesse de Clèves, ou l’allégorie de la vertu.



Rappelant certains écrits de l’ère médiévale, le roman précieux de Madame de La Fayette conte à la fois bonheurs et malheurs de l’amour à la Cour. Si la première partie peut sembler lente et peine à captiver au-delà du divertissement, les trois suivantes font taire les premières craintes : l’émotion est de plus en plus vive, et le texte semble presque teinté de merveilleux. Entre passion et devoir, ce récit d’apprentissage bouleverse et donne d’autant plus de sens à l’emploi du « précieux » qui le qualifie : un chef-d’œuvre.
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

Mademoiselle de Chartres a seize ans lorsqu'elle arrive à la cour du roi de France Henri II. Elle y découvre un univers luxueux mais impitoyable où chacun se cache derrière des faux semblants. Représentant l'un des meilleurs partis du royaume, sa mère cherche à lui en trouver un de son égal, ou mieux, afin de former un beau couple et mariage. Les choix ne manquent pas alors que la jeune fille fait tourner toutes les têtes et notamment celle du prince de Clèves qui ne représente pas forcément le gendre idéal pour sa mère mais dont elle va devoir s'accommoder. Mais elle ne l'aime pas et alors qu'elle s'enfonce dans ce mariage arrangé son coeur, lui, ne cesse de battre pour le duc de Nemours qui l'aime en retour. 







Je n'en dis pas plus sur ce grand classique publié en 1678 mais vous comprenez qu'il est question d'amours, de liaisons interdites et de manipulations à la cour royale. Cela explique sûrement qu'il ait traumatisé autant de personnes qui l'ont étudié à l'école car ce n'est pas forcément ce qu'on a envie de lire entre deux cours de maths et de physique-chimie au collège 🤣 Sans compter le côté "lecture forcée". De mon côté rien de forcé et j'ai plus de recul étant plus âgée, ce qui fait que j'ai plus su apprécier le roman que si je l'avais lu à l'école je pense. J'ai aimé en découvrir plus sur la vie à la cour, les belles robes, les codes et les bals. J'étais totalement plongée dans l'ambiance de l'époque et j'avoue que je me régalais à découvrir qui mentait à qui et qui tentait de séduire qui alors qu'il ou elle était censé être déjà casé (oups). Les personnages sont tous plus faux les uns que les autres, exceptés notre personnage principal, la princesse de Clèves, qui accepte un mariage avec quelqu'un qu'elle n'aime pas alors qu'elle en aime un autre pour une raison que je ne peux pas dévoiler. La première moitié du roman m'a donc bien plu et la plume de Madame de La Fayette y est également pour beaucoup puisque son vocabulaire et ses tournures de phrases d'un autre temps doublés de sa capacité d'analyse de la psychologie des personnages (et notamment de la psychologie féminine de l'époque) étaient délicieux ! Et n'oublions pas la beauté de cette édition qui rajoute un charme supplémentaire à la lecture.







Je ne peux malheureusement pas dire autant de choses positives sur la seconde partie qui tournait à mon sens un peu en rond. Lorsqu'on comprend que tous jouent un double jeu et qu'on saisit la morale dès le début on se doute de comment va finir le roman et il perd ainsi en charme et en intérêt. J'avoue avoir un peu décroché de ce fait et cette lecture ne marquera pas ma vie de lectrice mais je suis tout de même contente de l'avoir enfin découverte !
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

L’écriture est belle. Mais le propos tient plus du témoignage de caste que de l’écriture universelle. La finesse psychologique est de mise, mais il manque cruellement l’élévation spirituelle dans la pénétration du sentiment. On est dans un entre-soi féminin, un huis clos chuchoté, confidentiel, intimiste qui finit par asphyxier l’âme. Cela manque d’allant, de respiration, d’aération ; et surtout : de sincérité, de simplicité, de naturel. Ouvrons les fenêtres et allons nous promener dans le parc.
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

Au début de ma lecture, j'ai été un peu étonnée par la quantité de personnages ! Cela m'a un peu dérouté en toute honnêteté, il y a de quoi se mélanger entre les relations officielles, les amants et toute la cour du roi… Malgré une première partie un peu compliquée, j'ai vraiment beaucoup aimé ce roman et l'intrigue amoureuse entre Mme de Clèves et M. de Nemours.

La préciosité et cet "amour courtois" est bien présent (l'auteure ayant vécu au XVIIe siècle) et l'on ressent bien à la lecture une critique et de la dérision envers la société de cour.

Le triangle amoureux est vraiment intéressant et les ragots entre les différents protagonistes rendent le récit vraiment passionnant. Tous les personnages de ce roman ont réellement existé sauf Mme de Clèves et sa mère. J'ai adoré tout ce côté historique autour du règne du roi Henri II. Encore un très bon classique à découvrir !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves



Vous aimez les histoires d’amour ? Oui , alors ce roman de Madame de la Fayette qui à parue en 1678 est fait pour vous !



Rappelez vous … L’histoire de Mademoiselle de chartres âgée de 16 ans qui est en age de se marier et qui dois faire un choix .



J’ai adoré ce roman , j’ai trouvé le vocabulaire utilisé très soutenu mais malgré ça facile à comprendre . La fin du livre était bien même si j’aurais aimé qu’elle finisse avec celui qu’elle aime réellement . La longueur de l’histoire était parfaite ni trop longue , ni trop courte . Cette histoire me procure de la curiosité et beaucoup d’autres émotions. Elle n’est pas lassante , nous avons toujours envie de savoir la suite c’est très intriguant !

Ce livres est vraiment à ne pas rater car nous avons l’impression de ressentir l’histoire puisque les personnages parle énormément de leurs émotions .

Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

Je mets la moyenne car je n'arrive pas à juger cet ouvrage de manière objective.

C'est l'apologie de la religion versus l'amour/passion.

J'ai failli abandonner dès le début car le déluge de personnages m'a noyée (surtout que leur nom change suivant s'ils sont appelés par leur vrai nom ou leur titre) mais j'ai quand même continué et je ne regrette pas.

J'ai trouvé l'écriture ampoulée mais c'est le style de l'époque, pour moi les sentiments sont exagérés mais pareil c'est conforme à cette époque.

Donc c'est à prendre avec recul mais cela a quand même été une lecture agréable par ma part.

Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

On m'avait promis un livre ennuyant et je ne l'ai vraiment vu comme ça. Le début était certes un peu longuet, à cause de la présentation et l'énumération de tous les personnages (une vingtaine) et les descriptions d'événements royaux ne pesant pas tant que ça dans l'histoire. Mais une fois le décor posé et la rencontre faite entre madame et monsieur de Clèves faites, je me suis mise dedans. L'auteure a voulu décrire monsieur de Clèves comme quelqu'un de gentil et de doux pour je pense, faire de lui un personnage très touchant et attachant qui n'a malheureusement pas eu un amour réciproque tout au long de sa vie c'est d'ailleurs ce qui l'a tué. Je pense que l'auteure a voulu mettre cette mort (assez rapide et dramatique) en scène pour nous rendre encore plus remonté contre madame de Clèves et pour continuer à la blâmer. Mais malgré ça, je pense qu'elle n'a rien à se reprocher car elle a toujours été extrêmement fidèle et n'a jamais cédé à ses pulsions tout on long de sa vie. Enfin, l'auteur a fait de Monsieur de Nemmour un homme idéal. À mon avis cette perfection permettait de montrer à quel point madame de Clèves avait du courage de résister à son inclinaison pour cet homme.

Pour finir, quelque chose m'a peut-être échappé mais je trouve que de part ses mots, l'auteure ne nous donne pas d'indice suffisant pour savoir si elle souhaite qu'on blâme sa protagoniste ou qu'on l'admire. Car certes elle fait souvent l'éloge de sa vertue mais tous les moments où elle repousse monsieur de Nemmour et les moments où elle s'autoflagelle la rend (à mes yeux en tout cas) assez insupportable.
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Montpensier

Thème de notre club de lecture pour janvier 2022 : "un titre avec un prénom ou un nom". Après avoir lu deux pièces de Racine, j'ai poursuivi dans les classiques du XVII°s, avec une pensée pour Gaspard Ulliel décédé récemment qui y jouait le duc de Guise, en lisant @La princesse de Montpensier, de Madame de la Fayette.

Je connaissais l'autrice pour avoir lu @La Princesse de Clèves qui à ma jeune âme romantique avait paru très triste et très sévère.

Ma première surprise quant à la Princesse de Montpensier fut la brièveté du texte.

Ma deuxième surprise est constituée des différences entre le livre et le film de Tavernier que j'ai vu en premier, tant dans l'enchaînement de l'histoire qu'un peu dans le caractère des personnages.

Ma troisième surprise est de ne pas avoir ressenti la même sympathie pour la Princesse de Montpensier que pour la princesse de Clèves. J'ai de cette dernière le souvenir d'une femme honnête avec elle-même et ses proches quant à ses sentiments, tandis que la princesse de Montpensier m'a semblé plus hypocrite, manipulatrice et fausse, notamment avec le comte de Chabannes et avec le duc de Guise qu'elle pousse d'un côté ou de l'autre pour le lui reprocher ensuite.

Dans tous les cas, le mariage est une chaîne, plutôt un acte politique qu'un acte amoureux, et l'autrice conclut qu'il vaut mieux pour la femme se contenter du politique et s'oublier dans son devoir en renonçant à ses sentiments "[elle] aurait été la plus heureuse si la vertu et la prudence eussent conduit toutes ses actions".

Un peu paradoxal et triste quand on sait que madame De La Fayette n'a pas elle-même été heureuse en mariage et a eu une tendre inclination pour un autre durant toute sa vie.

Le style n'est pas désagréable, mais parfois un peu "lourd".

en bref : une lecture bien morale qui paraît aujourd'hui datée, mais traduit bien les moeurs de la France du XVII°s, une sorte de témoignage romancé et un aperçu de la condition féminine de l'époque.
Commenter  J’apprécie          10
La Comtesse de Tende

Une description sans concession des fausses amitiés de cours, des trahisons, des amours et leurs conséquences parfois funestes; sur l'extraordinaire résilience des maris cornards de l'époque, qui semblent accepter, comme une évidence, que tous leurs enfants ne sont pas nécessairement d'eux. Le style de l'auteur est remarquable.
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

Il ne me serait jamais venu à l'idée de le lire par moi même. Mais le lycée nou sl'a fait lire et je le remercie.

La Princesse de Clèves est à mon goût une oeuvre intemporelle de nombreuse fois reprise (comme avec le film la belle personne) sous différentes formes.

J'apprécie beaucoup l'histoire qui dépeint la réalité d'une société hypocrite et toujours d'actualité. Le fondement principal se fait sur les apparences qui sont le principal sujet . Celle-ci mène toutes les histoire de la cours. Histoire dont , Mme. de Chartres veut éloigner sa fille : la future princesse de Clèves. Cette dernière épousera rapidement le prince de Clèves et se rendra compte par la suite de l'amour qu'elle porte pour un autre : le duc de Nemmours. Mais son éducation lui dépeint ce genre de relation comme dangereuse, elle peuve la perdre et la rendre misérable.

Ce que je regrette par dessus tout, c'est la longueur de l'histoire et tous les récits enchassés qui sont extrêmement long. Ils m'ont plus perdus qu'aider à comprendre l'histoire.
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

Je ne tiens absolument pas à remercier mon professeur de littérature pour nous avoir contraint à lire ce livre. La compréhension du livre fut très complexe, sans vouloir me flatter mon langage n'est pourtant pas limité aux langage moderne au contraire, j'adore m'exprimer de manière ancienne. Pour en revenir au cas de cet ouvrage je tiens à préciser qu'il ne m'a personnellement rien instruit sur les passions. Je trouve cela bien malheureux sachant que c'est le thème principal de cette histoire. Dommage que ce livre ne soit pas à la hauteur des Maximes de François de la Rochefoucauld. Si je ne me méprends pas, Madame de la Fayette était amie avec cet homme plein de sagesse ce qui je dois admettre m'a donné de grandes attentes envers La Princesse de Clèves. Malheureusement, cet ouvrage n'a pas atteint mes attentes au point que je ne le finisse pas ... Je vous le déconseille il fut d'un désagrément insoutenable.
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves et autres romans

Je suis bien soulagée d'en avoir fini avec cette lecture, qui ne correspond à rien de ce que j'avais imaginé. Je m'attendais à un roman historique et je me retrouve avec ce que je considère comme un recueil de nouvelles (mis à part l'histoire sur Mme de Clèves qui est plus conséquente), les 3 autres sont bien courtes et la dernière n'est même pas entière. Bref je suis déçue de cette lecture qui fût laborieuse de par l'écriture pas fluide du tout et je me suis perdue dans les personnages.
Commenter  J’apprécie          10
La Princesse de Clèves

La Princesse de Clèves écrit en 1678 par Madame de Lafayette reste un chef d'œuvre de la littérature française on repère clairement la recherche de soi et la morale du 17ème à travers le personnage de Madame de Clèves. Ce n'est pas le livre que j'ai apprécié le plus. L'histoire aux relations tragiques me paraît banale, mais après mûre réflexion j'ai compris ce que Madame de Clèves incarne et j'ai pu comprendre la vision du 17e par ce personnage. Cette analyse est issu de mon cours de français malgré cela j'ai une vision propre à moi même. C'est pourquoi je ne recommande pas à quelqu'un qui n'apprécie pas la lecture de classique de le lire. En fait, le livre reste dans la culture générale mais pas immanquable. J'aurais apprécié plus d'action. Et ce personnage incarnant la perfection dans pour sa société aurait donc une faille dans son éducation...Or ce n'est pas mon modèle, elle détient de nombreuses qualités certes, mais je ne l'admire pas autant que d'autres. Sans mentir j'aurais largement préféré Madame Bovary de Gustave Flobert...mais bon...C'est une œuvre d'une auteure du 17ème qui a le mérite d'être soutenue incarnant l'allure héroïque féminine et je respecte totalement cela. Je vous souhaite une bonne lecture.
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Madame de La Fayette Voir plus

Quiz Voir plus

Madame de La Fayette

En quelle année Madame de La Fayette est-elle née ?

1534
1634
1734
1834

10 questions
86 lecteurs ont répondu
Thème : Madame de La FayetteCréer un quiz sur cet auteur

{* *}