AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Madame de La Fayette (464)
La Princesse de Clèves

Mme de Lafayette parle de l'éclat avec lequel la magnificence et la galanterie n'avaient jamais paru en France, mais vraiment elles n'avaient jamais paru qu'en le moment qu'elle a écrit ce roman.

Le roman nous raconte la relation entre la princesse de Clèves et le duc de Nemours. Quand l'amour devient insupportable, la princesse fera un aveu à son mari qui a changé l'histoire du roman moderne.

La princesse de Clèves est un roman fantastique, inséré dans une époque fascinante de la littérature française. D'ailleurs, on dit que c'est le premier roman français, quoiqu'il y a les romans de Chrétien de Troyes. Ce roman n'est pas réellement le premier, mais c'est le premier roman avec des traits qu'on peut appeler moderne.

La précision narrative et la profondeur de l'analyse psychologique sont les instruments principaux que l'auteur utilise à la construction du roman. Même le roman peut devenir un peu lourd si on n'est pas habitué à l'écriture baroque de la Préciosité.

Quoi qu'il en soit, nous considérons ce roman une lecture obligatoire pour connaître la littérature française. Absolument nécessaire.
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Montpensier

Comme d'habitude, ces classiques une merveille !
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

J'ai aimé ce livre intitulé La Princesse de Clèves de Madame de la Fayette qui est un classique du 17 ème siècle.

Ce livre nous explique le contexte historique à l'époque du roi Henri II.
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Illisible

Je l'ai recommencé 3 fois et n'en suis jamais arrivé au bout !
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Un monument de la littérature française qu'il faut absolument lire à mon avis, même si ça n'a tout de même pas été un coup de cœur pour moi. Je préfère les romans plus réalistes de Zola ou Hugo à la vie de cour et la préciosité.
Lien : https://sonaltesse.wordpress..
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Histoire magnifique de l'impossible amour. Mme de la Fayette va droit au but, ne ralentit pas le rythme inlassable du récit par des descriptions. Seuls les mouvements du coeur y sont rapportés et surtout le portrait moral des personnages. Sorte d'Anna Karénine de la cour française au 16ème siècle avec en moins des centaines de pages de description et en plus une Princesse de Clèves qui ne cède pas à la tentation de rejoindre son amant M. de Némours, même après la mort de son mari. Splendide roman d'analyse psychologique qu'il faut avoir lu!

Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Roman que je devais lire pour mon oral de français et je dois dire que j'ai été agréablement surprise. J'hésiterai pas a le re lire pour le plaisir cette fois. A lire !
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Livre bien évidemment imposé lors de mes lectures obligatoire du Lycée, j'aurai au moins appris une chose : l'amour dit platonique.

"L'amour platonique est à l'amour charnel ce que l'armée de réserve est à l'armée active." Pierre Dac, Les Pensées, Éditions Saint-Germain-des Prés, 1972.

Et bien voilà, il ne se passe rien à part bien sur la fameuse scène du mouchoir c'est à se pâmer !!!!

Je suis désolée, je passe toujours.


Lien : http://exulire.blogspot.fr
Commenter  J’apprécie          22
La Princesse de Clèves

Un roman qui a changé ma vie. A lire absolument !
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Quel dommage que l'on force les élèves de seconde à lire ce livre! Laissez-les tranquilles! Mais plus tard, quand vous aurez le temps, lisez-le quand même. Et, ayant en mains le premier des vrais romans, vous appréciez sans doute seul ce qu'aucun prof n'aura réussi à vous faire apprécier.
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Montpensier

Deux petites nouvelles sympathiques, écrites par une femme à une époque où les femmes n'étaient pas dans leur bon droit lorsqu'elles s'y essayaient. Deux histoires où l'amour est comme un champ de bataille, où l'on emploie des tactiques de général d'armée pour arriver à ses fins, où la passion s'impose toujours devant la raison, et mène à la destruction. C'est synthétique, condensé, rondement mené.
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Alors mon opinion sur ce roman est assez étrange ; j'aime beaucoup l'histoire mais pas du tout la façon dont elle est racontée. J'ai trouvé l'intrigue originale pour l'époque, car la Princesse de Clèves est un personnage de roman sentimental très honnête et surtout extrêmement moral. Or, les nombreuses digressions m'insupportent (les histoires amoureuses des autres personnages sont trop détaillés et les faits historiques très précis me semblent inutiles), ça me rappelle les lectures de "Jacques le Fataliste" et de "Tristram Shandy". C'est vraiment dommage car j'adore l'histoire en elle-même. J'aurais vraiment aimé que cette lecture soit plus digeste.
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

C'est tout simplement fascinant que cette histoire de libertinage, de moeurs du 18e siècle, de manipulation et d'amour.
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Très beau roman, qui peut sembler difficile à lire pour ceux qui n'ont pas l'habitude de la langue du 17ème siècle, mais l'effort sera récompensé. Les élèves sont souvent agréablement surpris par cette oeuvre. Les amours contrariées de la princesse de Clèves sont retranscrits avec beaucoup de finesse.



Surtout, il ne faut pas oublier l'importance de "La Princesse de Clèves" dans la littérature française. Il s'agit du premier roman psychologique moderne qui rompt totalement avec la tradition des romans-fleuves précieux à la mode au 17ème siècle (Le grand Cyrus de Melle de Scudery : 13 095 pages !). Madame de la Fayette surprend avec ce roman de 200 pages d'une grande finesse.
Lien : https://commentairecompose.f..
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Je mets de coté l'aspect historique et littéraire et je me recentre sur l'histoire: voilà un "roman" tout à fait intéressant sur les sentiments amoureux. Mme de Clèves, ayant fait un mariage de raison sans amour particulier avec le prince de Clèves, a un "coup de foudre" avec Monsieur de Nemours. Elle résiste à sa passion mais ne peut s'empêcher de la dévoiler à son mari, ce qui déclenchera une suite d'évènements fâcheux. On est entre gens du meilleur monde, à la Cour de France, et on a tout son temps pour vivre ses passions. La description très fine des sentiments est servie par la langue admirable du XVIIème siècle. Ah! l'emploi des démonstratifs: "Cette" princesse, "ce" prince.. Lecture indispensable à tous les apprentis psychologues.
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Montpensier

Cette nouvelle, d’une cinquantaine de pages, fut écrite sept ans avant la célèbre Princesse de Clèves. On y retrouve le style neutre et purement narratif de Madame de Lafayette, son art de l’ellipse, et sa faculté d’évocation des intrigues de la Cour. Autour de la Princesse de Montpensier, quatre hommes gravitent : le Prince de Montpensier, son mari ; le Comte de Guise, son ancien amour ; le Comte de Chabannes, ami du Prince, et dans une moindre mesure, le Duc d’Anjou. Tout d’abord vertueuse et fidèle à son mari, la Princesse va, petit à petit baisser sa garde, pour son malheur.
Lien : http://leslivresdegeorgesand..
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Montpensier

La douce mademoiselle de Mézières suscite le dévouement et l'amour de tant d'hommes, le duc de Guise d'abord, puis le comte de Chabannes et le duc d'Anjou. Telle est ma première réaction. La seconde est que, séparée pendant deux ans d'un mari jaloux (et amoureux ? Je n'en ai guère la preuve), elle est isolée de la cour à Champigny en Champagne et sa découverte par le duc d'Anjou et le duc de Guise, au milieu d'une barque, la présente comme une beauté simple et d'une grande nouveauté par rapport aux dames de la Cour, aux appâts et aux vertus connus et reconnus. Elle est déjà de petite santé, la princesse de Montpensier, puisqu'elle n'a pas pu suivre son mari à la chasse et est restée à regarder pêcher un saumon. Ses trois années à la campagne, non gâtées par une grossesse qui aurait mis sa vie et sa beauté en péril, l'ont garanti des excès.

S'ensuit ensuite un ballet de prétendants. L'un est aimé et suffisamment roué pour obtenir ce qu'il veut. Le second, amoureux sincère, est repoussé avec aigreur. Ce qui aurait pu passer, au début de la nouvelle, pour la démonstration de sa vertu et de son honneur, paraît ensuite comme une manifestation de son orgueil, puis de sa rouerie : elle saura très bien se servir de lui. Le dernier, à cause d'un quiproquo (il n'y en aura pas qu'un, et le dernier sera tragique) apprend les véritables sentiments de la princesse à l'égard de son rival.

La grande histoire se mêle à la petite, et si la jeune princesse avait été préservé des guerres de religion où son mari et son amant se sont illustrées, elles font irruption dans la dernière partie de la nouvelle, et leur sanglante cruauté reprend ses droits. Dieu reconnaîtra les siens.

Conte moral, La princesse de Montpensier montre les conséquences d'une conduite qui ne tient compte ni de la vertu, ni de la prudence, sans prétendre être une histoire vraie, contrairement à l'ensemble des recueils de nouvelles du siècle précédent. La comtesse de Tende est plus concis encore : elle se concentre sur la passion et sur ses ravages, dans une écriture précise (et non précieuse). Cette nouvelle est également débarrassé des coquetteries et autres roueries qui me génaient dans La princesse de Montpensier. Clarisse de Tende est une jeune femme mal mariée (son mari ne s'intéresse pas à elle) et son amitié sincère pour la princesse de Navarre la pousse à aider son mariage avec un homme noble, certes, mais d'une condition inférieure, quand la comtesse tombe irrésistiblement amoureuse du jeune fiancé. Cet amour se trouvant partagé, les deux jeunes gens sont confrontés à un dilemme aux accents cornéliens, avant de succomber. Leur passion leur fait trouver des moyens de surmonter tous les obstacles, jusqu'à ce que l'histoire les rattrape également. Certaines situations (l'entrevue entre le Prince de Navarre et la comtesse de Tende, la lettre écrite par la comtesse à son mari) m'ont rappelé la Princesse de Clèves, si ce n'est, bien sûr, que cette dernière saura résister à la passion.
Lien : http://le.blog.de.sharon.ove..
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Un livre que je voulais lire depuis longtemps. Et encore plus depuis que Sarkozy s’est attaqué à ce monument en 2006 (voir ci-dessous). Je voulais bien évidemment donner tort à ce président là. Merci à cette lecture commune de m’en avoir donné l’occasion. (ceci est la couverture de l’édition que j’ai, livre de poche d’époque !)



Je l’avoue, aujourd’hui j’ai du mal à lire des classiques, car il faut être honnête la lecture en est plus ardue. Cette lecture ne fut d’ailleurs pas si simple, j’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire et la langue, mais quel plaisir au final !



Je ne me lancerai pas dans l’analyse de ce livre, j’en serai bien incapable et il a déjà été analysé maintes et maintes fois.



Juste pour le remettre dans le contexte, ce livre a été publié anonymement en 1678, il est vraisemblablement un ouvrage collectif, mais a été attribué à Madame de la Fayette à partir de 1780.



Il évoque la cours de Henri II, donc les années 1500 et quelques, c’est donc déjà un roman historique. Ce roman est considéré aujourd’hui comme le premier roman moderne classique.



On y suit donc la fameuse Princesse de Clèves en prise avec ses sentiments pour un Duc, fort volage, le Duc de Nemours.



Ce que j’en ai pensé



J’ai certes eu quelques difficultés à me fondre dans ce roman touffu où on évoque de nombreux personnages de la cours avec une langue et un vocabulaire dense et complexe. Mais une fois passée la première partie, on se laisse embarquer aux côtés de cette Princesse et de ce Duc avec beaucoup de plaisir (quelle langue !).



L’intérêt de lire cette oeuvre est évidemment multiple : quel superbe témoignage d’une époque et des ses moeurs (la galanterie), quelle belle description du sentiment amoureux et de la passion dévorante, quel bel exemple de la langue française dans toute sa richesse et sa beauté, etc.



Quelques exemples de passés simples et autres imparfait du subjonctif.



Je fus soutenue ensuite par le plaisir de dissimuler avec vous, comme vous dissimuliez avec moi ; néanmoins, je me faisais une si grande violence pour vous dire et pour vous écrire que je vous aimais que vous vîtes plus tôt que je n’avais eu dessein de vous laisser voir que mes sentiments étaient changés. Vous en fûtes blessé ; vous vous en plaignîtes.



Si vous y pouviez y demeurer, j’en aurais beaucoup de joie, pourvu que vous y demeurassiez seul et que vous voulussiez bien n’y avoir point ce nombre infini de gens qui ne vous quittent quasi jamais.



Si on aime la langue française, on ne peut qu’aimer ce roman !
Lien : http://delphinesbooksandmore..
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Madame de La Fayette place son roman une centaine d'années avant sa rédaction. Lors de ma première lecture, il y a une vingtaine d'années, nous l'avions étudié d'un point de vue littéraire et historique (genre jeu des 7 erreurs dans un contexte de prépa avec 12 h de cours d'histoire par semaine). Cette fois, je l'ai lu comme le roman d'histoire d'amour qu'il est, sans perdre de vue le contexte historique bien sûr, omniprésent. Il ne faut pas oublier qu'à l'époque, beaucoup de mariages (sinon tous) à la cour sont conclus pour des alliances familiales ou politiques, et que donc, avoir un amant ou une amante était assez normal, une union de coeur pour contrebalancer une union sur le papier... Sauf qu'ici, M. de Clèves est fou amoureux de sa femme.
Lien : http://vdujardin.over-blog.c..
Commenter  J’apprécie          20
La Princesse de Clèves

Le début est long, il y a trop de personnages. Il faut dépasser ce moment et ensuite on découvre un vrai roman psychologique plein de finesse mais qui reste néanmoins emprunt des clichés de l'époque. Si Mme de LaFayette a créé le roman psychologique, on sent bien qu'elle s'est inspiré de la littérature précieuse. Autant le dire, Mme de Clèves est franchement coincée et parfois stupide. Mais cette histoire a beaucoup de charme et c'est pour ça qu'il faut encore lire la Princesse de Clèves. D'ailleurs, je crois que je devrais relire ce livre afin de mieux l'apprécier.
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Madame de La Fayette Voir plus

Quiz Voir plus

Madame de La Fayette

En quelle année Madame de La Fayette est-elle née ?

1534
1634
1734
1834

10 questions
86 lecteurs ont répondu
Thème : Madame de La FayetteCréer un quiz sur cet auteur

{* *}