Lauréat du Deanston Scottish Crime Book of the Year en 2013, prestigieux prix du roman policier écossais pour Comment tirer sa révérence, le second volume de son triptyque, Malcolm Mackay revient avec son dernier volume, Ne reste que la violence, mettant un point final à la Trilogie de Glasgow, entièrement disponible au Livre de Poche, et aux aventures de Calum MacLean. Débutée avec Il faut tuer Lewis Winter, sa trilogie parvient à une conclusion à l’image de son histoire, noire, réaliste, haletant.
Suite à l’élimination de Frank MacLeod, qui fut le sujet principal du second volume, le lecteur retrouve un Calum MacLean fatigué et prêt à se retirer des affaires, à prendre un nouveau départ. Il profite alors d’une nouvelle mission pour faire ses adieux au métier et disparaître. Avec l’aide de Kenny McBride, simple chauffeur doublé d’une balance, sa mission consiste à éliminer Richard Hardy, « comptable fiable, solide, discret » [page 10] qui s’occupe notamment des affaires de Hugh « Shug » Francis, copropriétaire d’une chaîne de garages devenue « le seul réseau de trafic de voitures qui fonctionne dans la ville » [page 24], dont la principale occupation est d’essayer d’abattre Jamieson, le patron de Calum, et son empire en s’alliant avec le principal ennemi de ce dernier, Alex MacArthur. Et on respire un coup avant de reprendre.
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