AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Malcolm Mackay (71)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Comment tirer sa révérence

"Comment tirer sa révérence" prolonge les aventures de Calum MacLean, étoile montante des exécuteurs de la pègre de Glasgow, à qui ses commanditaires demandent de supprimer un de ses plus estimés confrères. Avec la même sobriété de style que dans "Il faut tuer Lewis Winter", Malcom MacKay réussit encore une fois avec brio à combiner suspense dramatique et psychologique et créer une atmosphère oppressante et froide comme une bruine écossaise.

Commenter  J’apprécie          00
Il faut tuer Lewis Winter

Belle et bonne surprise que ce premier opus de Malcom MacKay, qui nous donne à voir dans un style épuré la condition d'un tueur à gages au sein de la pègre de Glasgow. "Il faut tuer Lewis Winter" relate en effet un "contrat", de sa mise sur pied à son exécution. Sans esbroufe mais avec la montée croissante d'une tension dont vibre en permanence le récit. Et c'est là le grand talent de

Malcom MacKay de parvenir dans une prose sans effet de manche à nous tenir en haleine avec les intrigues, les inquiétudes et les états d'âme de ce petit monde de truands, où les allégeances se paient au prix fort. En résumé, une bonne dose de grisaille écossaise pour un très bon roman noir.
Commenter  J’apprécie          00
L'enfer est au bout de la nuit

Fantastique descente dans les noirceurs du monde des brigands. Le manque de style nuit un peu à la qualité de lecture, mais l'histoire, les personnages et l'ambiance font penser à un vieux film américain même si nous sommes en Angleterre, un sympathique cogneur (il l'est moins pour ses proches) nous emmèe donc au tréfond de l'organisation et de ses règles.
Commenter  J’apprécie          00
Ne reste que la violence

Lauréat du Deanston Scottish Crime Book of the Year en 2013, prestigieux prix du roman policier écossais pour Comment tirer sa révérence, le second volume de son triptyque, Malcolm Mackay revient avec son dernier volume, Ne reste que la violence, mettant un point final à la Trilogie de Glasgow, entièrement disponible au Livre de Poche, et aux aventures de Calum MacLean. Débutée avec Il faut tuer Lewis Winter, sa trilogie parvient à une conclusion à l’image de son histoire, noire, réaliste, haletant.

Suite à l’élimination de Frank MacLeod, qui fut le sujet principal du second volume, le lecteur retrouve un Calum MacLean fatigué et prêt à se retirer des affaires, à prendre un nouveau départ. Il profite alors d’une nouvelle mission pour faire ses adieux au métier et disparaître. Avec l’aide de Kenny McBride, simple chauffeur doublé d’une balance, sa mission consiste à éliminer Richard Hardy, « comptable fiable, solide, discret » [page 10] qui s’occupe notamment des affaires de Hugh « Shug » Francis, copropriétaire d’une chaîne de garages devenue « le seul réseau de trafic de voitures qui fonctionne dans la ville » [page 24], dont la principale occupation est d’essayer d’abattre Jamieson, le patron de Calum, et son empire en s’alliant avec le principal ennemi de ce dernier, Alex MacArthur. Et on respire un coup avant de reprendre.



La suite sur le blog :

http://unepauselitteraire.com/2015/11/16/ne-reste-que-la-violence-de-malcolm-mackay/
Lien : http://unepauselitteraire.co..
Commenter  J’apprécie          00
Ne reste que la violence

Format de chronique inhabituel cette fois-ci avec deux bouquins que j'ai lus dans la foulée et qui font suite à « Il faut tuer Lewis Winter ». Fallait que j'en sache un peu plus sur la parcours de Callum Mc Lean et j'ai été servi. L'écriture de Malcom Mackay est similaire avec des personnages que l'on suit avec autant de curiosité et avec forcément quelques individus qui viennent s'ajouter au tableau... de chasse. Les amateurs de pétarades vont être déçus puisqu'il doit y avoir moins de coups de feu dans ces deux tomes de la trilogie que dans mon quartier quand le voisin tire sur l'unique taupe qui souffle après une veille de plus d'une heure dans la position de l'épagneul à l'arrêt. On est dans le direct live, pas de fioritures inutiles, ça bourlingue pas trop, par contre ça cogite un max au jour le jour, heure par heure, minute par minute. Ainsi l'auteur s'emploie à dévoiler les pensées de chaque personnage et l'on découvre que les métiers d'assassin ou patron d'une PME (Pègre, Manipulation et Exécution) spécialisée dans la vente de substances illicites sont stressants loin des clichés nanas-grosses bagnoles-glandouille. Ils frisent le burn out les pépères. Ah, le commerce ce n'est pas tous les jours une partie de plaisir surtout quand la concurrence se radine ! Faut s'adapter, revoir son service après vente, mobiliser la force de vente et ne pas omettre de déstabiliser avec vigueur l'ennemi. Alors on a cette sensation bizarre de s'associer à ces professionnels de la dope et du flingue qui-ne-sert-qu'une-fois, de leur coller aux basques et de partager le doux frisson du chef qui signe les ordonnances létales, du sous-chef qui organise le binz et du mec qui exécute les ordres et qui, son contrat réalisé, rentre chez lui comme le citoyen lambda. Wow, un putain de job ! Les gars peuvent s'inscrire à Pôle Emploi s'ils perdent le marché, ils vont trouver du boulot illico avec leurs références en béton, le premier RH un peu filou les embauche sur le champ. On retrouve donc MacLean, MacLeod (seulement dans le premier), Jamieson et Young dans ces deux romans noirs et bien serrés. Malcom MacKay instaure une brutale sobriété et une brutalité pas si sobre - parce que les (quelques) morts s'en souviennent encore et que le Milieu ne fait pas non plus dans la dentelle.



La suite sur : http://bobpolarexpress.over-blog.com/2015/09/retraite-pour-franck-et-retrait-pour-calum.html
Lien : http://bobpolarexpress.over-..
Commenter  J’apprécie          00
Comment tirer sa révérence

Format de chronique inhabituel cette fois-ci avec deux bouquins que j'ai lus dans la foulée et qui font suite à « Il faut tuer Lewis Winter ». Fallait que j'en sache un peu plus sur la parcours de Callum Mc Lean et j'ai été servi. L'écriture de Malcom Mackay est similaire avec des personnages que l'on suit avec autant de curiosité et avec forcément quelques individus qui viennent s'ajouter au tableau... de chasse. Les amateurs de pétarades vont être déçus puisqu'il doit y avoir moins de coups de feu dans ces deux tomes de la trilogie que dans mon quartier quand le voisin tire sur l'unique taupe qui souffle après une veille de plus d'une heure dans la position de l'épagneul à l'arrêt. On est dans le direct live, pas de fioritures inutiles, ça bourlingue pas trop, par contre ça cogite un max au jour le jour, heure par heure, minute par minute. Ainsi l'auteur s'emploie à dévoiler les pensées de chaque personnage et l'on découvre que les métiers d'assassin ou patron d'une PME (Pègre, Manipulation et Exécution) spécialisée dans la vente de substances illicites sont stressants loin des clichés nanas-grosses bagnoles-glandouille. Ils frisent le burn out les pépères. Ah, le commerce ce n'est pas tous les jours une partie de plaisir surtout quand la concurrence se radine ! Faut s'adapter, revoir son service après vente, mobiliser la force de vente et ne pas omettre de déstabiliser avec vigueur l'ennemi. Alors on a cette sensation bizarre de s'associer à ces professionnels de la dope et du flingue qui-ne-sert-qu'une-fois, de leur coller aux basques et de partager le doux frisson du chef qui signe les ordonnances létales, du sous-chef qui organise le binz et du mec qui exécute les ordres et qui, son contrat réalisé, rentre chez lui comme le citoyen lambda. Wow, un putain de job ! Les gars peuvent s'inscrire à Pôle Emploi s'ils perdent le marché, ils vont trouver du boulot illico avec leurs références en béton, le premier RH un peu filou les embauche sur le champ. On retrouve donc MacLean, MacLeod (seulement dans le premier), Jamieson et Young dans ces deux romans noirs et bien serrés. Malcom MacKay instaure une brutale sobriété et une brutalité pas si sobre - parce que les (quelques) morts s'en souviennent encore et que le Milieu ne fait pas non plus dans la dentelle.



La suite sur : http://bobpolarexpress.over-blog.com/2015/09/retraite-pour-franck-et-retrait-pour-calum.html
Lien : http://bobpolarexpress.over-..
Commenter  J’apprécie          00
Ne reste que la violence

Ne reste alors que la violence. L'auteur l'orchestre magnifiquement, irrémédiable, glacée jusqu'à la brûlure. Et son roman se lit d'une traite, sans jamais s'essouffler, trajectoire nocturne, tragique et désespérée.


Lien : http://www.telerama.fr/criti..
Commenter  J’apprécie          00
Comment tirer sa révérence

L'année dernière, le premier roman de Malcolm Mackay, Il faut tuer Lewis Winter, avait impressionné par ses phrases courtes et ses dialogues percutants. Le deuxième – dans lequel réapparaît Calum MacLean, jeune « nettoyeur » professionnel à l'efficacité redoutable – confirme le talent d'un auteur au style grinçant et haletant.
Lien : http://www.lemonde.fr/le-mag..
Commenter  J’apprécie          00
Comment tirer sa révérence

Second volume d'une trilogie, ce nouveau texte confirme ainsi brillamment les qualités du premier. Sa lecture est addictive, et proprement éblouissante.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
Commenter  J’apprécie          00
Comment tirer sa révérence

Tout ceci est fort bien mené et l'absence d'action (ou la monotonie qui se dégage aussi des scènes de filature) ne se ressent pas vraiment à la lecture. Une autre raison de lire Comment tirer sa révérence : le livre a reçu il y a peu le Prix du Meilleur Polar Ecossais.
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
Commenter  J’apprécie          00
Il faut tuer Lewis Winter

Il faut tuer Lewis Winter est une pépite. [...] Il a choisi une écriture comportementaliste, obsédante, avec un côté grinçant qui fait pétiller la narration. Le lecteur est sans cesse projeté tantôt dans la tête de l'assassin, tantôt dans celle de Zara, la compagne de la victime, qui n'est pas une oie blanche.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Malcolm Mackay (221)Voir plus

Quiz Voir plus

Tintin : 24 Albums - 24 Questions

Dans Tintin au Pays des Soviets, comment Tintin s’évade-t-il de sa cellule de prison ?

En prenant le garde par surprise
En scaphandre
Milou vole les clefs
Il ne d’évade pas, on le libère

24 questions
402 lecteurs ont répondu
Thèmes : bd belge , bd aventure , tintinCréer un quiz sur cet auteur

{* *}