Citations de Marie Curie (32)
Dans la vie, rien n'est à craindre, tout est à comprendre.
" On ne fait jamais attention à ce qui a été fait ; on ne voit que ce qui reste à faire. "
Je suis de ceux qui pensent que la science a une grande beauté.
Un savant dans son laboratoire n'est pas seulement un technicien : c'est aussi un enfant placé devant des phénomènes naturels qui l'impressionnent comme des contes de fées. Nous devons avoir un moyen pour communiquer ce sentiment à l'extérieur, nous ne devons pas laisser croire que tout progrès scientifique se réduit à des machines et des engrenages.
Je conserve de merveilleux souvenirs de mon voyage de plusieurs semaines aux Etats Unis ( 1 ), de l'impressionnante réception à la Maison Blanche, où le président Harding m'a traitée avec générosité et reconnaissance, tout comme des visites dans les universités et les collèges qui m'ont accueillie et m'ont décerné des diplômes honorifiques, et des rencontres où je ressentais la profonde sympathie des gens qui venaient pour faire ma connaissance et me souhaiter le meilleur.
( 1 ) Marie vient aux Etats-Unis chercher le "un gramme" de radium qui lui manque pour soigner correctement les Français.
Dans la vie, rien n'est à craindre,
tout est à comprendre.
Il faut faire de la vie un rêve et d’un rêve une réalité.
Ma petite enfant, je souhaite que tu en aies fini au plus tôt avec les inquiétudes et les préoccupations et que tu organises ta vie d’une manière plus calme et plus raisonnable. Peut-être ne saurais-je pas bien t’expliquer en quoi consiste le bonheur, mais il n’est certainement pas dans le drame, et il y a bien assez de cet élément autour de nous, même quand nous ne le cherchons pas. Je crois que je passerai le restant de mes jours dans une crainte constante de l’imprévu qui nous guette pour nous accabler.
Ma vie est saccagée de telle sorte qu’elle ne s’arrangera plus…Je désire élever mes enfants le mieux possible, mais même elles ne peuvent réveiller la vie en moi. Je fais de grands efforts pour qu’elles deviennent solides et bien portantes.
"Dans la vie, rien n'est à craindre, tout est à comprendre."
Le présent travail a pour but d'exposer les recherches que je poursuis depuis plus de 4 ans sur les substances radioactives. J'ai commencé ces recherches par une étude du rayonnement uranique qui a été découvert par M. Becquerel. Les résultats auxquels ce travail me conduisit parurent ouvrir une voie si intéressante, qu'abandonnant ses travaux en train, M. Curie se joignit à moi, et nous réunîmes nos efforts en vue d'aboutir à l'extraction des substances radioactives nouvelles et de poursuivre leur étude.
Il me semble que le fait d’acclamer de cette manière a en lui-même quelque chose qui n’est pas à recommander, quel que soit l’objet de la manifestation. Je ne vois cependant pas clairement comment on devrait procéder et à quel degré il devrait être permis de confondre la personne avec l’idée qu’elle représente
J’ai reçu le livre de Colette et t’en remercie. J’ai commencé à le lire et le trouve beau. Il est curieux à quel point il lui faut des souvenirs personnels pour tirer d’elle ce qu’elle peut donner de mieux. Son imagination est uniquement descriptive, mais dans cet ordre d’idées c’est vraiment unique. C’est, d’ailleurs, aussi peu intellectuel que possible. Il ya une relation très directe entre l’impression sensuelle et l’expression extérieure.
Dans la vie, rien n'est à craindre, tout est à comprendre.
Marie Curie
Rien n'est à craindre dans la vie, tout est à comprendre.
Quand on met dans I'eau une chose moins dense que I'eau. elle monte etflotte; quand on y met une chose plus dense, elle va au fond.
Je n’aime pas être si loin de vous et je n’aime pas me sentir un objet de curiosité quoique bienveillante.
Einstein n’est pas ici et la raison en est qu’il est malade ; son cœur fonctionne mal. J’en suis très peinée, d’abord pour lui, ensuite parce que cela me prive de sa société sur laquelle je comptais
Un scientifique dans son laboratoire n'est pas seulement un technicien : c'est aussi un enfant placé en face des phénomènes naturels qui l'impressionnent comme un conte de fées.
Telle est bien la beauté et la noblesse de la science : désir sans fin de repousser les frontières du savoir, de traquer les secrets de la matière et de la vie sans idée préconçue des conséquences éventuelles.