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Critiques de Marie-France Pisier (16)
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Le bal du gouverneur

Isabelle et Théa sont amies comme on peut l’être à quatorze ans, à la vie et à la mort, petites vacheries comprises. Isabelle, dont le père n’a pas eu un comportement irréprochable (concussion), est sur le point de rentrer en Europe, tout en ignorant pourquoi. Elle repousse pendant tout le livre l’annonce de son départ. Tout le monde sait sauf Théa.



Théa, elle, se fait du souci pour sa jolie maman qui part tous les matins faire de l’équitation en cachette de son mari. Et ? Et pas grand-chose, la suite de l’histoire racontée par Théa est confuse, histoire d’ailleurs mieux comprise par ses camarades de classe que par elle-même. Ça n’a rien d’impossible, mais je ne suis pas arrivée à m’intéresser aux parents de Théa non plus, pas plus qu’à son frère ou à ses amours avec Jean-Baptiste.



J’ai peiné à m’intéresser à ce roman superficiel et pas très bien rédigé. Mais il se déroule en Nouvelle-Calédonie, et nous entraine place des Cocotiers, à la baie des Citrons ou dans le quartier d’Anse Vata.
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Le bal du gouverneur

Nouméa, Nouvelle Calédonie 1957. Théa, la fille du vice-gouverneur d' île, vit une adolescence privilégiée en compagnie de sa meilleure amie Isabelle et de son jeune frère. Mais les choses sont en train de changer : alors que l'île doit abandonner son statut de colonie pour devenir un simple territoire d'outre-mer, le monde de Théa semble se fissurer : Isabelle lui cache son prochain retour en métropole, sa mère s'échappe pour de mystérieuses escapades sur la plage et les colères de son père deviennent de plus en plus violentes...



J'ai d'abord eu du mal à entrer dans ce roman qui nous plonge dans une histoire dont on a du mal à comprendre les tenants et la direction. Aucune présentation des personnages, peu d'explications et la 4e de couverture correspond assez peu au contenu du roman. Comme en plus l'écriture est assez datée, surjouant la sensualité des tropiques et insistant beaucoup sur la découverte de la sexualité par les adolescentes, la moindre scène semblant pleine de sous-entendus, je me suis demandée où tout ça allait nous mener. Heureusement il restait la description de la Nouméa des années 50 (qui semble finalement avoir assez peu changé) et une peinture assez fine de ce monde colonial confronté à un changement inéluctable. Et puis, peu à peu, les liens entre les personnages se sont clarifiés, je me suis habituée au style un peu ampoulé et grandiloquent de l'auteure, et j'ai apprécié cette tranche de vie toute simple d'une adolescente confrontée à des changements qui vont mettre en péril son petit monde.



L'habileté du roman est de nous faire découvrir la ville et les situations par les yeux de Théa, adolescente qui au début du livre semble vraiment "bébé", la faute sans doute au milieu ultra-privilégié dans lequel elle baigne et qui la surprotège. Pour le lecteur, cela donne un contraste intéressant car il faut deviner ce qui se passe réellement derrière les événements qu'elle observe sans les comprendre vraiment, que ce soit la révolte naissante des Kanaks, les grèves à l'usine de nickel ou la liaison que sa mère rêve d'entretenir avec le médecin de la colonie et les ragots que cela va provoquer. Ce fond historique associé au plaisir de se balader dans les rues de Nouméa et d'en redécouvrir les paysages à travers les descriptions vivantes de l'auteure m'ont permis de finalement passer un plutôt bon moment. Pour le reste, mon avis est plus mitigé : la relation entre adolescentes est ultra-classique entre rivalité, amour-amitié et jalousie, les comportements loufoques des parents et les colères du père auraient mérité plus d'explications pour qu'on les comprenne vraiment (si ce n'est un mariage qui s'effondre et sans doute l'ennui de la vie coloniale loin de tout... mais ceci n'est pas réellement explicité).



Au final, une fois ma lecture terminée, ce roman dégage finalement un petit charme un peu suranné et doux amer qui colle bien avec son ambiance de fin d'une époque même si les choses n'ont finalement pas tant changé depuis 50 ans ! A découvrir pour ceux qui s'intéressent à la Nouvelle Calédonie, pour les autres je suis plus mitigée.
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Le bal du gouverneur

"Nouvelle Calédonie, petite île du Pacifique

Toi la perle des Tropiques,

Petite île où j'ai connu l'Amourrrrrrrrrrr..."

c'est sur cette ritournelle que les trois jouvencelles pédalent joyeusement sur les chemins de cette île où elles coulent des jours légers, légers et heureux de la vie coloniale, où si certains s'épuisent dans les mines de nickel, d'autres mènent agréable vie sous le soleil des Tropiques.

Dans cette île paradisiaque, les colons vivent dans des villas de rêve, se pavanent sur les plages, tandis que les autochtones survivent dans des bidonvilles.

Ah, que la vie est douce pour les colons, enfin avec quelques petites anicroches. Il en faut tout de même bien, sinon la vie serait trop facile !

Ceci se passe juste avant la décolonisation. La Nouvelle-Calédonie ne sera plus une colonie, mais un simple territoire d'outre-mer, ce qui n'a pas la même gueule !

Et vous vous rendez compte ? Il n'y aura plus de gouverneur en Nouvelle-Calédonie, simplement un haut-commissaire !

Aussi il faut absolument que le dernier bal du gouverneur soit le plus fastueux de tous !



C'est l'époque des premières amours pour les adolescents et de la déconvenue pour les adultes.

Et cette époque, Marie-France Pisier qui l'a vécue, en restitue le suc, avec intelligence, d'une plume acide, pleine d'humour, en démontrant un véritable talent de conteuse qu'elle aurait sans doute pu développer beaucoup plus qu'elle ne l'a fait !

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Le bal du gouverneur

Début de lecture un peu difficile malgré ma motivation pour lire "Le bal du gouverneur" de Marie-France Pisier, roman trouvé dans une boite à livre. L'ambiance coloniale à Nouméa a commencé par me déplaire et puis je suis entrée dans l'histoire de Théa Forestier, jeune fille qui raconte son adolescence en 1957 en Nouvelle-Calédonie sur fond de décolonisation en perspective.

J'ai aimé son tempérament et surtout l'ambiance Durassienne du bal du gouverneur où se croisent le mari diplomate Charles Forestier et l'amant de Marie, la mère de Théa, le docteur Michel Royan. Il y a aussi une relation forte avec son frère comme chez Duras en Indochine et son amitié pour Isabelle pour qui elle va tenter d'interrompre le départ en bateau. Il y a aussi les dockers en grève et bien-sur la mer.

Il faut dire que j'aimais beaucoup Marie-France Pisier de son vivant, l'actrice égérie du cinéma d'auteurs, la réalisatrice et la femme engagée. Je l'apprécie encore plus depuis que j'ai lu "La familia grande" de Camille Kouchner dont elle était la tante. C'est la seule personne de la famille qui a réagi face au scandale de l'inceste et qui l'a condamné. Je trouve que son suicide est assez bouleversant parce qu'elle avait de grandes qualités artistiques dont celle de romancière.

D'ailleurs, son personnage de théa qui a du caractère lui ressemble puisque elle s'est sans doute inspirée de son enfance en Nouvelle-Calédonie pour écrire ce premier roman.





Challenge XXème siècle 2021

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Le bal du gouverneur

Théa vit avec sa mère, la belle Marie Forestier, son père, Charles, vice-gouverneur de Nouvelle-Calédonie et son frère Benoît à Nouméa. Elle partage son temps entre le collège, la famille qui vit la vie des colons et « expats », hauts-fonctionnaires en milieu doré servis par les autochtones. Sa meilleure amie, Isabelle, partage avec elle des moments inoubliables de complicité. Elle, sa sœur, sa confidente, sa pareille. Avec qui elle découvre les premiers émois.



Ce roman, en grande partie autobiographique aborde les thèmes de l'adolescence et des amitiés-amours juvéniles, le passage vers l'âge adulte dans un milieu apparemment très protégé mais dont il n'est pas facile de s'extraire des codes de bienséance ni du caractère étriqué de la vie en vase clos, entre mondanités, enjeux de carrière, réputations à sauvegarder, faux-semblants et ragots.



Sa mère, Marie, manifestement s'ennuie et cherche un peu de piquant dans une relation secrète avec le Dr Royan. Pour le séduire, elle galope tous les matins, très tôt, sur la plage. Paysages de carte postale, végétation tropicale, soleil enchanteur ne font pas oublier les souffrances des mineurs dans la mine de nickel, cette pierre d'un vert profond qui rendra les aciers inoxydables. Charles s'applique à calmer les tentatives de grève, le père d'Isabelle est sur le point de quitter honteusement l'archipel, muté d'office suite à des transactions frauduleuses sur les CFA. Le docteur tente d'échapper aux provocations de Marie, Isabelle cache à Théa son départ imminent, sa mère se terre au fond de sa belle propriété : secrets, gêne, honte, malaise, la vie n'est finalement pas si rose chez les diplomates servis par l'indigène aux frais du contribuable ! Pour autant, on n'a pas forcément envie de pleurnicher sur leur sort.



Quant aux indigènes, ils apparaissent sous les traits de danseurs sauvages terrifiques, entre servilité et agressivité. Le Ministre de la France d'Outre-mer est attendu, alors tout doit être nickel ! Il faut calmer les Canaques qui commencent à réclamer leur part du gâteau et la revalorisation de leurs droits, voire l'autonomie. Alors, on a trouvé : l'archipel de la Nouvelle-Calédonie ne sera plus une colonie mais un Territoire d'Outre-Mer (TOM), le gouverneur cessera d'être gouverneur pour devenir un Haut-Commissaire. Voilà qui change tout !



Alors, pour jouir jusqu'au dernier jour de ce beau titre, on va organiser « le bal du Gouverneur », cela a tout de même une autre classe que celui du Haut-Commissaire ! Dorures, cristaux, jolies robes froufroutantes sur un air de paso-doble et champagne et buffet venus à grands frais de métropole, place à la danse !



Marie-France Pisier , dans une postface, indique que ce roman n'est pas autobiographique mais qu'elle a tenté de restituer des images et des sensations de son enfance. Elle a passé, entre l'âge de six et douze ans, une partie de sa jeunesse en Nouvelle-Calédonie. On peut supposer que le personnage de Théa, quoique un peu plus âgé, lui ressemble. Le roman a été écrit en 1984, alors que le mouvement canaque prenait forme. L'auteure effleure le sujet par la voix de certains indigènes qui réclament le vin supprimé par le gouverneur lors de la visite du ministre : « Le vin, on s'en fout ! Dans dix ans, c'est le sang des Blancs qu'on boira ! » Et au sujet des bagnards : « Ils prennent le travail des autres. Ils volent, ils font peur. »



Entre carte postale et poudrière, la Nouvelle-Calédonie des années 80...

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Le bal du gouverneur

Beaucoup de fraicheur d'écriture dans ce roman. Nous sommes à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie : un vrai dépaysement; L'océan, les plages, le soleil, les colons et de bien sympathiques adolescentes telles que Théa , Isabelle et Marie. Des moments d'incertitude, de déchainement, d'hystérie parfois impudiques.
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Le bal du gouverneur

Ce livre est une belle description de la vie coloniale à la fin des années 50 en Nouvelle Calédonie, mais aussi du réveil pour certains habitants d'une vie insouciante à la conscience des inégalités sociales et raciales. Le passage du statut de colonie au statut de territoire d'outre mer se traduira pour Théa à un passage de l'enfance à la vie d'adulte. C'est un livre qui tout en étant facile à lire, fait réfléchir.
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Le bal du gouverneur

[Livre audio lu par l'auteur]



J’ai été décontenancée par ce CD.



Marie-France Pisier semble lire pour elle-même, survolant, dévalant son travail, comme pour entendre s’il sonne bien. L’auditeur se faufile tant bien que mal dans l’intimité de son bureau pour saisir le flux.



Ce qui est plus gênant, c’est qu’il ne s’agit pas d’une version intégrale du livre, mais seulement d’extraits. Ce n’est spécifié nulle part sur la pochette. On se retrouve avec des personnages qui apparaissent comme par magie, il n’y a pas de continuité entre les pistes. Cela donne envie de lire le livre papier, certes, mais est-ce bien la vocation d’un livre audio ?



J’en garderai le sujet d’une rédaction donnée par l’instituteur : “ Décrivez un centimètre carré, n’importe lequel. ”
Lien : http://versautrechose.fr/blo..
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Je n'ai aimé que vous

Une jeune photographe, Laura, revient vers son amant, Michel. Celui-ci était marié à Myriam, grand reporter, disparue sous les yeux de Laura qui la suivait depuis des années à travers le monde. Laura veut comprendre et s'immisce dans la vie de Michel et de sa fille. Elle se rend finalement compte qu'elle s'était trompée sur les sentiments de Myriam. Beaucoup de non dits. On ignore même dans quel pays Myriam a disparu et quel était son combat. Ce n'est qu'un décor vaguement planté là mais seul l'amour compte et sera développé. C'est dommage. Pas compris non plus le rapport et l'intérêt de parler du frère de Laura et de leurs relations alors que celui-ci est décédé très jeune dans un accident d'avion. Une histoire farfelue aussi avec un journaliste qui va lui permettre de partir sur les traces de Myriam. Le tout est réellement difficile à suivre. Comment relier tous ces éléments de l'histoire qui arrivent sans transition ?
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Mademoiselle, vous devriez faire du cinéma...

Un autoportrait bouleversant de sincérité d'une femme qui manqua de repères pendant une longue partie de sa vie. Gene Tierney se dévoile avec pudeur et relate les étapes importantes de sa vie: ses études en Suisse, son envol après son entrée à Hollywood, les succès tels que Shanghai Gesture, Laura, Marc Nixon Detective, Whirlpool, La main gauche du Seigneur et bien sûr Laura, légendaire film noir qui immortalise la beauté envoûtante de l'actrice. On se souvient d'elle également dans le rôle de l'impitoyable Ellen Beret dans Leave her to Heaven, un rôle qui la marqua définitivement, et qui fut prémonitoire: après avoir découvert la surdité de sa fillette Daria. Dans cette partie de son autobiographie, Gene Tierney laisse parler son instinct maternel, évoque ses regrets, son désespoir, ses chagrins.



Puis vient le temps ingrat des internements à répétition, des traitements aux électrochocs. La vie semble ralentir: Gene n'est même plus certaine d'être vivante. Néanmoins, un mince espoir semble la guider sur un chemin plus lumineux. En dépit des insoutenables épreuves qu'elle traverse, Gene fait face avec dignité, et s'accroche de toutes ses forces à la vie. L'autobiographie s'achève sur les mots d'une femme qui a beaucoup souffert, mais qui a su surmonter les souffrances qui ont jalonné son parcours. Nous avons irrésistiblement envie de voir ses films après avoir lu cet ouvrage.
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Je n'ai aimé que vous

Un livre essentiellement d’amour, celui, fondateur, de Laura, une jeune femme (22 ans lorsque l’histoire se déroule) pour son frère jumeau et sa mère. Une protagoniste à fleur de peau qui ne s’est jamais remise de leur mort.

Au fil du temps Laura s’est attachée à Myriam Dulac, célèbre auteure et figure maternelle de substitution (surtout si l’on se souvient que Myriam veut dire Marie, mère universelle, et que peut-être on peut comprendre Du - Lac, comme la dame du même nom, marraine bienfaitrice et cachée), liée à sa propre mère qui l’admirait et avait lu tous ses livres. Jusqu’au jour où elle aussi disparaît, et cette nouvelle perte est insupportable. Commence alors une quête intense, irrépressible, en compagnie d’un jeune journaliste qui, cette fois, semble lui rappeler son frère adoré.

D’ailleurs, des souvenirs remontent alors petit à petit à la surface et nous aident à comprendre Laura, à déceler comment les fils distendus et épars de l’intrigue se rejoignent dans son cœur et son esprit.

Mais jusqu’à quel point peut-on endosser l’identité de quelqu’un, jouer un rôle qui n’est pas le sien, s’immiscer dans des vies qui ne vous appartiennent en rien, jusqu’à quel point peut-on vivre par procuration, et même usurpation ? Jusqu’à quel point l’illusion est-elle salvatrice ? Autant de questions brûlantes auxquelles il est répondu dans un tour de force mené avec brio.

Beaucoup de mystères, de suspense, de combats menés en parallèle.

Un roman très agréable à lire, doté d’une gravité supplémentaire depuis que l’on sait le poids du secret dans la vie de l’auteure et de sa famille, jusqu’à la tragédie.
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Mademoiselle, vous devriez faire du cinéma...

Gene Tierney se raconte tout en sincérité et humilité sur son parcours . De ses débuts sur les scènes théâtrales à sa carrière relativement courte sur les planches hollywoodiennes, on croise au fil du récit Howard Hughes ,évidemment Preminger et mème un jeune trentenaire au début de sa vie politique, un certain J.F.K.

Surtout, Gene ne cache pas tout ce qu'elle a du affronter sur un plan personnel, entre la rupture avec son père, la naissance d'un enfant lourdement handicapé, et ensuite, son mal être intérieur qui l’emmènera vers un internement ou elle subira des électrochocs notamment .

Un témoignage fort et honnête qui rend cette actrice au visage angélique encore plus touchante.
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Le bal du gouverneur

Je me suis profondément ennuyé dans ce roman des amours de beaux, jeunes gens privilégiés de l'époque (bénie?) des colonies. J'ai lu ce livre parce que j'admirais la magnifique actrice, mais le charme de l'écriture pourtant puissante n'a pas fonctionné, "Tempus fugit", une épaisse couche de fine poussière à recouvert ce temps des colonies, et ces histoires d'adolescents d'une autre époque, m'ont paru d'une mièvrerie consternante. Impossible de se retrouver dans cette histoire d'une infinie platitude malgré le charme de la nouvelle Calédonie...et les descriptions exotiquesce ce monde a jamais disparu.
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Je n'ai aimé que vous

Je me suis perdue entre les lignes de ce roman.

J'ai eu beaucoup de mal à me concentrer sur l'essentiel de l'histoire et le personnage principal Laura. J'étais noyée sous le flot d'informations qui n'apportent pas grand chose à l'histoire (le frère disparu, les relations ambigües avec la famille de Myriam - dont on ne sait même pas dans quel pays est s'est exilée )... Par ailleurs le style est lourd, les phrases sont alambiquées et longues à couper le souffle, les descriptions n'en finissent plus à coup de métaphores... Cette lecture fut laborieuse, le livre m'est tombé des mains et à la fin j'ai dit "tout ça pour ça" ! A l'origine, une histoire d'amour qui aurait gagné à être traitée en toute simplicité, ce qui ne nuit pas à la sensibilité et à la passion. Dommage
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Le bal du gouverneur

Les personnages ne sont pas tous attachants, qu’importe, on est ému pareil, un peu agacé aussi, après tout ils sont nés du bon côté. Heureusement, il y a l’océan, la bicyclette, les petits crabes agiles et les palétuviers.
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Le bal du gouverneur

1984 - Autre couverture
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