Citations de Marissa Meyer (650)
Tous les enfants méritent d’être aimés ; tous les enfants méritent une mère ou un père qui s’occupe d’eux et les protège de façon inconditionnelle, non quelqu’un qui dorlote un moment, puis se désintéresse d’eux quand le rôle de parent ne lui convient plus. Cela, c’est l’opposé d’une mère ; c’est quelqu’un qui ne se soucie que de soi-même.
L’amour, c’est le réconfort de savoir que quelqu’un est prêt à nous soutenir et à nous accepter malgré toutes nos excentricités, tous nos défauts ; que c’est peut-être même à cause d’eux que cette personne nous aime.
Elle voulait vivre à l’intérieur de cette alcôve, dans l’enclos de ses bras, dans ces sensations nouvelles qui lui donnaient le sentiment de ne rien peser, d’être pleine d’espoir et de terreur à la fois.
Si tu fréquentes les obscurs assez longtemps, tu t’apercevras que les êtres les moins dignes de confiance sont aussi les plus beaux.
Tu manies le rire comme une arme, une protection contre ton épouvantable situation. Je crois que tu essaies de créer de la légèreté là où il n’y a que ténèbres.
Une histoire n’est jamais terminée.
Je sais que je ne suis rien à côté de vous ; mais je sais aussi que vous n’êtes rien à côté du dieu de la mort.
Qui crie dans la forêt entend son écho.
Vous n'êtes pas encore Reine, et on m'a envoyé voler le cœur d'une Reine. {...} Mon cœur n'est pas un pion qu'on utilise et qu'on jette à sa convenance !
{...}
Mon cœur est à vous {...} Mon cœur est à vous.
{...}
Nous sommes venues vous offrir votre vengeance, et maintenant nous réclamons votre cœur en échange.
Un frisson lui parcourut l'échine. Une sensation nouvelle, électrique, courait sous sa peau. Désormais, elle n'étais plus un simple cyborg. Elle était une Lunaire.
Je vais devenir plus forte que la reine. {...} Et là, j'arrêterai de me cacher.
Alors, je vais me rendre sur la Lune et déclencher la révolution.
L'amour est une conquête. L'amour est une guerre. Voilà ce que je pense de l'amour.
Et tous vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours
Mémé dans le futur, les histoires commencent par "il était une Fois"
𝑳𝒂 𝒓𝒆́𝒂𝒍𝒊𝒕𝒆́ 𝒔𝒆 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒂𝒊𝒕 𝒑𝒆𝒖𝒕-𝒆̂𝒕𝒓𝒆 𝒂̀ 𝒎𝒊-𝒄𝒉𝒆𝒎𝒊𝒏, 𝒍𝒂̀ 𝒐𝒖̀ 𝒍𝒆𝒔 𝒆́𝒗𝒆́𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒏𝒆 𝒅𝒆́𝒑𝒆𝒏𝒅𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒑𝒆𝒓𝒔𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒔𝒊𝒏𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝒅𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏 𝒒𝒖𝒊 𝒍𝒆𝒔 𝒈𝒖𝒊𝒅𝒆... 𝑴𝒂𝒊𝒔 𝒐𝒖̀ 𝒍'𝒐𝒏 𝒂 𝒂𝒖𝒔𝒔𝒊 𝒔𝒐𝒏 𝒍𝒊𝒃𝒓𝒆 𝒂𝒓𝒃𝒊𝒕𝒓𝒆.
Tu viens de me culbuter dans la paille, non ?
Elle avait du mal à se repérer, mais dès qu'ils passaient, courbées en deux, des salons aux bureaux et des salles de jeux aux bibliothèques, poursuivis par la clameur des obscures en chasse, elle se rendit compte qu'elle se moquait d'être perdue - ou enlevée, d'ailleurs. Car chaque fois qu’ils evitaient de justesse de se faire repérer ... Chaque fois que Gild l'entrainait dans une alcôve. Chaque fois qu’ils plongeaient ensemble derrière un meuble où un rideau serré L'un contre l'autre autant qu'ils pouvaient, s’efforçant de contenir leurs halètements et les fous-rires qui menaçaient d’éclater. Serilda aurait voulu qu'on ne la retrouve jamais.
Elle oubliait parfois que le mensonge a de courtes jambes et qu’il ne peut pas mener loin ; en outre, il est en général plus facile de s’y retrouver avec la vérité.
Clignant des yeux, elle regarda le cheval arrêté à quelques pas de là où elle était tombée. C'était un cheval de guerre noir, les muscles ondulant sous la peau, les naseaux soufflant de grands nuages de vapeur.
Son cavalier éclairé par la lune, beau et terrifiant à la fois, avait la peau argentée, les yeux couleur d'une mince couche de glace sur un lac profond et de longs cheveux noirs qui lui tombaient sur les épaules. Il portait une exquise armure de cuir avec deux minces ceintures au niveau des hanches garnies d'un jeu de poignards et d'un cor incurvé. Un carquois rempli de flèches pointait derrière son épaule. Avec l'assurance d'un roi, il ne doutait pas de dominer la bête qu'il montait ou d'inspirer le respect à ceux qui croisaient son chemin.
Il était dangereux.
Il était sublime.