Mark Gatiss

Un énorme coup de coeur 💕

Même si je n'ai toujours pas lu les nouvelles de Sherlock Holmes, ce personnage m'as toujours fascinée. Donc quand j'ai vu qu'il y avait un manga, je l'ai tout de suite pris sans me poser de question. De plus, l'histoire n'est pas vraiment celle de Sir Arthur Conan Doyle, car ce manga est une adaptation d'une série sur Sherlock Holmes, qui se passe à notre époque, ce qui est vraiment bien.

Les personnages de Watson et Sherlock sont juste adorable (surtout Watson !!)

Je conseille ce manga, Sherlock une étude en rose, à tout les fans de Sherlock Holmes !! En plus les dessins sont magnifiques !!

Dans l'ensemble ce manga est top, mais à moins de ne pas avoir vu la série dont le manga s'inspire il n'y a pas vraiment d'originalité.



Je m'attendais à une nouvelle histoire mais ça reprend simplement l'épisode un de la série.



Je ne sais pas si je vais continuer cette série, mais je trouve cela tout de même sympa de retrouver la version de Sherlock par Mark Gatiss sur papier.

Lecture abandonnée à mi-parcours. Je n'ai pas du tout accroché, ni au ton de l'histoire, ni au personnage principal, que j'ai trouvé grotesque et insupportable. J'ai un peu tardé à écrire cette critique, j'en ai oublié les points positifs, c'est pour dire qu'ils ne m'ont pas marqué plus que ça malheureusement...

Le banquier aveugle est le second tome d’une saga qui en comprend cinq et qui adapte les épisodes de la série scénarisée pour la BBC par Steven Moffat et Mark Gatiss, interprétée par Benedict Cumberbatch dans le rôle-titre et Martin Freeman dans celui du docteur Watson.



Holmes reprend vie dans le Londres de notre époque ! Pour résoudre les énigmes, il manipule un smartphone et utilise les dernières trouvailles de la science. Et dans ce second volume, cryptogrammes et meurtres en série sont au programme.



Mon ado n°1 et moi sommes de grandes fans de cette série anglaise qui propose des adaptations modernes des aventures de Sherlock Holmes écrites par Sir Arthur Conan Doyle.



Les puristes crient sans doute au blasphème, moi j’adore ! Les acteurs sont excellents et les intrigues sont géniales.



C’est ainsi que ce manga est rentrée dans notre bibliothèque familiale. Mon fils adore les manga et moi je m’y mets doucement.



Reprenant trait pour trait la serie TV, l’ambiance et l’atmosphère si particulières, le dessinateur Jay, suit le scénario signé Steven Moffat et Mark Gatiss à la lettre, et dessine à merveille les acteurs dont on reconnait bien les visages.



Le dessin est beau et fin, l’histoire est impeccable, il y a du rythme, bref un excellent moment de lecture.



Pour moi qui ai une mémoire de poisson rouge, c’est une chouette façon de retrouver la série. Je ne me souvenais plus du tout de l’intrigue que j’ai redécouvert avec plaisir ici.



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Pour qui a vu la série, nous sommes ici dans le pilote en raccourci. J'aime beaucoup la série donc c'est une bonne lecture mais je reste un peu sur ma faim.

4 étoiles parce que j'ai retrouvé l'univers même si c'est un peu frustrant.

Les dessins sont tops. Certaines planches donnent envie les découper pour les afficher.

Je ne recommande pas si vous avez la série encore en tête. Sinon, go !

À la rencontre de Lucifer Box !



Voilà un roman qui attend depuis bien longtemps dans ma pile à lire. Pourquoi je ne l'ai pas lu avant ?



Lorsque l'histoire débute, on fait la connaissance de Lucifer Box. Cet homme vit en Angleterre et, semble-t-il, peint des portraits pour gagner sa vie. Que nenni ! Très vite nous allons découvrir la double identité de Lucifer. C'est un agent secret de sa majesté.



Le moins que l'on puisse dire, c'est que avec Lucifer on ne s'ennuie pas une minute. Il lui arrive toujours un tas de rebondissements. De la poursuite en fiacre, en passant par la vengeance d'un père, et j'en passe. Lucifer va se retrouver à enquêter sur une affaire de meurtres de plusieurs scientifiques. De Londres, en passant par L'Italie.



La plume de Mark Gatiss est fluide et prenante, sans compter un humour certain. De temps à autre, il interpelle directement le lecteur et ça c'était plutôt chouette.



J'ai passé un bon moment avec ce premier tome. Si vous aimez les enquêtes avec de l'humour et des personnages haut en couleur, alors n'hésitez pas.

Retrouver Sherlock et John est toujours un plaisir. Nous sommes sur une enquête assez simple qui va cependant mettre la vie de nos héros en péril. John commence à tisser des liens avec des femmes ce qui semble de pas aller à notre détective ou alors il ne comprend juste pas le principe. Un bon moment de lecture.

Encore une très bonne lecture pour ce manga qui me permet de redécouvrir encore une de mes séries préférées. On suit Sherlock et John dans une course contre la montre à cinq reprises afin d'éviter que des innocents meurent. C'est un véritable jeu qui se crée entre notre détective consultant et notre criminel consultant préféré : Moriarty. Le revoir est vraiment un plaisir et la manière dont il est dessiné lors de sa première apparition à la morgue est formidable !

J'ai lu ce livre dans le cadre du challenge lecture de Mlle Farfalle 2023, catégorie 11 : "le livre préféré d'un proche".



Pour la petite histoire, il se trouve qu'il y a 2 ans, j'avais offert ce roman-polar à mon compagnon pour lui donner le goût de la lecture. "Vous verrez madame, ce livre est parfait pour les lecteurs un peu débutants" m'avait confié la libraire. C'est un peu péjoratif certes, mais néanmoins vrai car le chéri en question avait dû lire 2-3 livres au cours de sa vie, dont 1 abandonné en cours de route (Le Théorème du Perroquet, d'ailleurs je vais peut-être le caler dans "ma" PAL car je n'aime pas les livres abandonnés, ils nous hantent jusqu'à la dernière page !).



Eh bien figurez-vous que depuis ce jour, mon homme ne passe plus une seule journée sans lire ! Désormais il m'accompagne gaiement sur le canapé, posés comme des petits vieux avec notre plaid et nos tisanes, à feuilleter nos romans. A peine croyable non ?

Ce roman avait donc déjà quelque chose de magique à mes yeux. Lui et moi on partait sur de bonnes bases.



Puis je l'ai lu pour le challenge.

3 jours palpitants.



Le personnage, sans jeu de mots (ou presque) est d'enfer ! Lucifer Box est d'un charisme total, passant du statut de séducteur à l'espion à la James Bond, cumulant les aventures (avec hommes et femmes d'ailleurs) tout en sauvant le royaume.

Les protagonistes qui gravitent autour de lui sont tout aussi hauts en couleurs, il y en a pour tous les goûts !



L'histoire, quant à elle est super bien ficelée. On va de rebondissements en rebondissements de Londres à Naples, et l'auteur a le don de nous faire découvrir des endroits insoupçonnés (ceux qui ont lu sauront de quoi je parle !).



Alors pourquoi 4,5 étoiles et pas 5 ?



Parce que ce roman fait partie d'une collection intitulée "Steampunk", et que le Steampunk est censé proposer de la science-fiction de notre siècle tout en utilisant les machines à vapeur du 19e. Une sorte de mélange d'époques...

Mais venons-en au fait, cette partie bien spécifique n'arrive que très tardivement dans le roman.

On perd un peu le côté science-fiction du coup, mais pour ma part, étant donné que ce livre fut mon premier du genre, j'ai vraiment été emballée par la totalité de ma lecture.



Bref, vous l'aurez compris, c'est un roman que je vous recommande chaudement, et uniquement si vous n'avez pas froid aux yeux, car Lucifer ne recule devant rien...

La couverture est superbe, dommage pour le manque de jaspage doré sur la tranche qui aurait magnifiquement fini l'objet livre.



J'ai trouvé le personnage de Lucifer Box intéressant avec son arrogance, son égocentrisme et son appréciation de soi totalement assumés.



Les noms des personnages sont totalement loufoques.



Le côté Steampunk n'est pas très développé sauf à la fin et c'est vraiment dommage.



Ce livre était quand même une petite déception pour moi et je ne prendrai pas la peine de lire la suite.

Dans ce troisième tome, Sherlock a enfin trouvé un adversaire de sa trampe. Du début à la fin, Moriarty et Sherlock jouent au chat et à la souris. Cette aventure voit une succession de devinettes se présenter à notre enquêteur. Un véritable page turner, qu'on abandonne avec difficulté.

J'avais été tentée par ce roman dans un 1er temps par le nom de l'auteur (je suis très fan de la série Sherlock), et par la 4ème de couverture dans un 2nd temps.

Je n'ai pas du tout accroché. Je n'ai lu que 2 chapitres et je me suis arrêtée. Je n'ai pas aimé le style d'écriture malgré que le personnage principal, Lucifer Box, semble être assez sympathique.

Je suis déçue de ne pas apprécier, mais ça arrive...

Je retrouve avec délice, les deux célèbres enquêteurs. J'adore ce duo, tel un vieux couple. Les répliques sont très drôles. L'histoire m'a un peu moins plu que le premier épisode. Cependant, je lirai avec plaisir les autres tomes car je trouve les personnages de Holmes et Watson vraiment poilant.

Peut-être avais-je fixé la barre de mes attentes trop haut, à cause de l'auteur (scénariste sur des séries que j'adore : "Doctor Who" et "Sherlock") mais j'ai été un peu déçue par ce premier tome des aventures de Lucifer Box.



Peintre et espion au service de Sa Majesté, Lucifer Box se retrouve à enquêter sur la disparition de plusieurs scientifiques anglais, suite au meurtre de son collègue (espion) M. Crott qui suivait cette affaire de près.

Dans le même temps, son autre collègue (peintre, cette fois-ci) et ami Christopher Miracle, se retrouve injustement accusé du meurtre d'une étrange femme à laquelle il donnait des cours de dessin.

Ces deux affaires le conduisent jusqu'à Naples, dans les profondeurs du Club Vesuvius....



L'intrigue et les ressorts scénaristiques n'ont pas réussi à me surprendre, m'émouvoir ou me captiver. Le personnage de Lucifer se présente comme décadent, mais je le trouve au contraire un peu "pas assez". Je garde à l'esprit le contexte historique et les "normes" en vigueur à l'époque, ainsi que la tranche d'âge du public auquel est destinée l'œuvre. Néanmoins, étant friande de ce genre d'anti-héros déjantés et politiquement incorrects, j'ai trouvé celui-ci trop fade à mon goût.



Le livre reste agréable à lire, dans le genre polar jeunesse avec touche de steampunk. Mais pas de coup de cœur malgré ce que cette magnifique édition brochée, dorée sur la tranche, me laissait entrevoir.

La couverture de ce manga me disait trop rien. Malgré tout, je me suis lancée dans ce premier tome, et franchement je n'ai pas été déçue. Les graphismes sont très bien faits, mettant l'accent sur ce qu'il faut quand il faut. Les personnages sont excellents, Sherlock est tout bonnement insupportable, une tête à claques ;)

Je ne m'attendais pas du tout à ce que ce soit drôle. Du coup, je me suis régalée. J'ai hâte de lire la suite.

J’avais entendu du bien de cette série lors de sa sortie et j’avoue que la version mois du cuivre est magnifique avec ses dorures un peu partout.

Le plus de cette courte histoire, c’est le personnage principal, Lucifer box, quadragénaire athlétique et pourvu d’un humour particulier et un tantinet narcissique. Il se retrouve mêlée à une affaire plus complexe qu’elle ne paraît et il va vire des jours peu glorieux pour sa notoriété et son estime.

À côté de ça, nous avons une intrigue sur fond de croyance satanique avec un agneau et une libération du diable. Malheureusement, j’ai trouvé ce pan de l’histoire très peu développé et incomplet. On survole la légende/rituel et au final, il ne dure qu’une poignée de pages en fin d’ouvrage.

Pourtant, ce récit est dynamique, drôle et l’objet livre magnifique avec un auteur connu. Cependant, le manque de profondeur et de détails qui parcourent cette histoire me laisse un goût d’inachevé. Comme si nous n’avions que l’ébauche du texte et non sa version finale.

Pour conclure, je suis entre deux eaux. D’un côté j’ai aimé le divertissement servit par les personnages. De l’autre, il me reste un goût aigre, un manque d’assaisonnements de l’intrigue et de tout l’environnement qui entourent les personnages et les lieux. Je reste donc sur ma faim.
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Talalalaaaa... Ta lalaaaa... Ceci est le générique de la série télévisée Sherlock (haha ^^'). Qui est - soit dit en passant - une de mes séries préférées de tout les temps (rien que ça).



Je ne pouvais donc pas passer à côté de ces mangas. Je viens de dévorer 3 tomes en un week-end. Vous l'avez donc compris, il s'agit de l'adaptation en graphique de la célèbre série.



Et... Heureusement que j'ai vu la série avant. Ça avait donc un petit côté réconfortant comme lecture. Mais les dessins ne m'ont pas trop plu (question de goût). La série est mille fois plus savoureuse, forcément.



Après, ça reste sympathique et pour ceux qui ont vu (ou non) la série, du moment que vous appréciez le personnage de Sherlock Holmes, ces mangas devraient vous plaire. Les épisodes représentés sont plutôt fidèles, je n'ai pas vu les pages défilés. Maintenant, je me demande si j'achèterai la suite... puisque je connais déjà tout.



En tout cas, ce fût un super moment de lecture ! (et j'ai envie de re-re-revisionner les épisodes maintenant...)

Encore un peu d'archéologie pour trouver ce livre au fond de ma PAL. L'histoire de Lucifer Box est assez particulière : Ce peintre dandy du début du XXeme siècle à Londres est également un agent secret qui n'hésite ni à payer de sa personne ni à assassiner quand c'est nécessaire. Nous allons le suivre à travers une aventure mouvementée, pleine d'humour et d'action pour empêcher rien de moins que la fin du monde : Pourquoi un diplomate anglais a-t-il été assassiné à Naples ? Comment se fait-il que deux scientifiques décèdent soudainement à quelques jours d'intervalle ? Qu'est-il arrivé à cette femme qui a disparu en plein jour? Une enquête d'une grande ampleur donc, où les poursuites se font en fiacre et où l'ambiance flirte allègrement avec le steampunk mais sans jamais complètement franchir le cap.Un divertissement agréable mais que je n'ai pas trouvé exceptionnel, je ne suis pas sûre d'en garder un souvenir très précis...

Le club Vesuvius est le premier tome d’une trilogie consacrée à Lucifer Box, un dandy espion aux moeurs plus que décadentes qui adore se vautrer dans les secrets les plus sulfureux.



Né sous la plume de Mark Gatiss, le talentueux scénariste de la série Sherlock que j’adore, ce personnage très imbu de lui-même m’a amusée mais pas au point de continuer la saga.



Mark Gatiss nous propose un roman d’espionnage post victorien qui nous entraîne dans une enquête trépidante, sans temps mort. Les chapitres sont courts, émaillés de rebondissements, ce que je recherche particulièrement dans ce genre.



Autres bons points : la plume de l’auteur est agréable et Lucifer Box nous enchante par son cynisme et son humour so britsh.



L’enquête est plutôt classique et bien menée même si j’ai deviné un certain nombre de choses, j’ai trouvé ce récit agréable. Il manque toutefois de profondeur et se révèle parfois un peu brouillon. Je regrette aussi les descriptions souvent longues et inutiles qui donnent un petit coup de mou au récit.



Il n’empêche que c’est un roman qui se bien, j’ai vraiment apprécié Lucifer Box, héros atypique qui m’a fait penser à la fois à Sherlock Holmes pour son intelligence et Oscar Wilde pour son côté dandy dépravé et attachant.



Une lecture, vous l’aurez compris, mi-figue mi-raisin, avec des éléments qui m’ont plu et d’autres nettement moins, cette comédie policière ne restera pas dans ma mémoire très longtemps hélas.



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Une grande déception. Comme beaucoup de personnes, j'ai été attirée par le nom de Mark Gatiss et par des critiques en quatrième de couverture très encourageantes. La chute n'en a été que plus rude. J'aurais peut-être été plus clémente s'il n'y avait pas eu tous ces éléments.

Les personnages sont sans dimension et sans personnalité. Lucifer Box se veut hilarant mais n'est qu'agaçant. L'intrigue est sans intérêt et s'essouffle très vite. La tentative de ton comique joue en défaveur du livre : avec de l'humour véritable, le scénario du Club Vesuvius aurait pu être qualifié de « déjanté », « parodique » à la rigueur. Mais même pas. Les quelques « blagues » que l'on peut trouver ne sont rien d'autre que des commentaires fait par Box sur sa propre personne. Paradoxalement, le livre se prend très au sérieux, et l'auteur veut que l'on prenne ses personnages au sérieux.

Le point de vue interne de ce livre est désagréable, avec un protagoniste qui se lance des fleurs en permanence : cela aurait pu être très drôle (on a souvent vu des personnages prétentieux être de grandes sources de répliques comiques et de gags), mais ici c'est fait avec un premier degré absolu, et sans créativité. Le personnage principal ne rencontre aucun véritable obstacle et aucun de ses « défauts » ne l'empêche d'atteindre ses objectifs. Il n'a jamais peur, aucun enjeu n'est jamais ressenti (si j'osais, je le qualifierais de Gary Stu). Le pseudo-retournement de situation de fin est prévisible (dans le mauvais sens du terme) et ne sert absolument à rien.

Le résultat donne une impression d'écriture puérile et mal maîtrisée, ce qui est dommage.

Pourtant j'avais commencé la lecture de ce livre en étant bon public, au vu de ce qui était annoncé : un protagoniste moralement douteux et provocateur, une histoire d'espionnage, l'Angleterre Edwardienne, mais rien ne fonctionne.

En effet, un autre grand problème qui apparaît très vite à la lecture de ce livre est que la règle du « show, don't tell » (il faut montrer et non expliquer) est ignorée à chaque occasion, ce qui donne un caractère maladroit et superficiel à l'écriture. Je prends par exemple le moment où Box décrit sa garde-robe en disant littéralement qu'elle vaut très cher et qu'elle est luxueuse. Eh bien c'est tout. Aucune justification n'est jamais donnée : pas la moindre mention des matériaux des vêtements ou de leur style, rien de visuel ne nous est fournit, rien qui donnerait à cet univers un caractère tangible. On est obligé de croire Box sur parole dès qu'il dit quelque chose et c'est au lecteur de se débrouiller avec ça. Et c'est comme ça tout au long du roman.

En bref, on n'y croit pas. Ni au soi-disant charme du protagoniste, ni au prétendus dangers qu'il risque, ni au caractère des autres personnages, ni à l'enquête, ni à rien du tout. Quant au côté « provocateur » et « moralement douteux » du personnage, il sera introuvable pour quiconque a lu une fanfiction. Ecrire un script et écrire un livre sont deux choses très différentes, voilà ce que Le Club Vesuvius confirme.