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Citations de Mia Carre (91)


L’échange dure une éternité.
C’est long, l’éternité sans respirer.
Comment ai-je pu oublier à quel point il était beau ? Je devais avoir douze ou treize ans quand il est parti ; ce n’était pas dans mes préoccupations à l’époque, j’imagine… Et, plus important, était-il déjà aussi saisissant ?
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Je n’ai pas envie qu’on me dise antipathique, ma personne est ma marque de fabrique, ma carte de visite. Ce qu’il ne faut pas faire pour réussir…
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Quand on est en couple avec une femme aussi sublime – malgré ses tenues qui ne la mettent pas du tout en valeur –, reste-t-on vraiment chaste pendant tout ce temps ? Ou est-ce juste de la poudre aux yeux ? Thomas est-il gay ? S’il vient d’une famille conservatrice, être gay doit être une abomination, faire un mariage de façade ne serait pas une nouveauté… Et avec son attitude tellement coincée, tellement… conservatrice également, Neila pourrait aussi bien s’enfermer dans un couvent ! Quel gâchis !
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Ce n’est pas qu’une question de principe, c’est beaucoup plus que ça. Je trouve triste de privilégier un nom plutôt qu’un autre, mais comme le fait si bien remarquer Thomas, si je veux travailler dans une organisation internationale, il va falloir que je revoie ma position.
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La méditation n’est pas vraiment mon truc, je me calme dans l’action, pas en respirant ni en récitant des mantras !
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J’ai énormément entendu parler de lui, j’ai l’impression de le connaître depuis toujours. Pourtant, mon cœur bat encore trop fort et une alarme résonne bruyamment dans mon esprit : Ash est un danger. Il est trop beau, trop sûr de lui, trop arrogant.
Je déteste ce type d’hommes. Je préfère m’en tenir éloignée. Il suffit de voir la fille qui l’accompagnait pour deviner sa personnalité.
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Ce n'est pas logique : je suis une fille forte, je peux me sortir de ce genre de situation. La faculté et ma résidence sont loin derrière moi, mais il y du monde dans la rue, il y a toujours du monde. C'est New-York bon sang! Il fait encore jour, je peux échapper à sa poigne, à sa présence, je peux disparaître! Pourtant, je ne réagis pas, mes sens sont anesthésiés, mes pensées se dispersent, ni mes jambes ni mes bras ne m'obéissent. Je suis emprisonnée à l'intérieur de moi, je suis un pantin et Stan est mon Gepetto.

"Tu le veux autant que moi...."

Il fait si chaud, soudain. Une fine couche de sueur me couvre entièrement, désagréable. Mon crâne compresse mon cerveau, ma vue est trouble.

"Je serai gentil, fais-moi confiance..."

Des pans entiers de cette nuit me reviennent, encore, plus violents que jamais. Raconter ce qu'il s'est passé à Ash était une chose, c'étaient des mots qui sortaient de ma bouche, emportant avec eux une partie de mes souvenirs. Ash était là, je savais que je n'étais pas en danger, que j'étais en sécurité, qu'avec lui rien de tout ça n'arriverait.
Pourtant, les mots perdent leur puissance face à celui qui a détruit ma vie de tant de façons différentes et pendant si longtemps. Il n'est pas nécessaire de parler, de me souvenir, Stan est tout ce que j'ai subi, il est tout ce qui m'a toujours bloquée, fait cauchemarder pendant toutes ces années. C'est inscrit dans son corps, dans la façon dont il agrippe mon bras à m'en déboîter l'épaule, dans sa manière doucereuse de parler.
Tout en lui menace mon intégrité physique, ma santé mentale et émotionnelle.
Tout en lui m'horrifie.
Mon cœur tambourine contre ma cage thoracique. J'ai du mal à respirer, des points noirs dansent devant mes yeux. Je vais m'évanouir.....
J'ouvre la bouche, mais aucun son n'en sort. Mon état, sa force, tout se mélange dans mon esprit. Le passé, le présent s'entremêlent.
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- Ash... ?

- Oui?

- Est-ce que si je te demande de me prendre dans tes bras et de me serrer très fort, je serai moins forte à tes yeux? bredouille-t-elle, écarlate.


J'ouvre les bras pour qu'elle s'y blottisse. Elle vient de raconter le pire moment de sa vie, qui a précédé la pire période de sa vie. Je ne veux pas l'étouffer contre moi, mais à la façon dont elle s'agrippe à ma chemise, c'est comme si elle me dictait l'intensité de cette étreinte et je ne suis que trop heureux de m'y plier. Je l'enlace étroitement, enfouis mon nez dans son cou.


Je ne veux plus qu'elle souffre, qu'elle ait de difficultés, qu'elle ressente de la culpabilité alors qu'elle n'y était pour rien. Je veux être là pour elle, tout le temps.


- Neila... soufflé-je.


Elle lève les yeux vers moi et je plonge dans son regard brillant, une main sur sa joue si douce.

La porte s'ouvre en même temps que je suis sur le point de parler, et le sifflement joyeux s'interrompt comme un disque rayé.

- Qu'est ce qui se passe ici ?!
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Si on ne m'accordait qu'un seul souhait... je voudrais Sally.
C'est acté : Stuart m'a contaminé avec sa niaiserie.
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Elle et moi, de temps en temps, c'est parfait.
Mais franchement, elle et moi, tout le temps, ce ne serait pas mal du tout...
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« Que je m’attache davantage à lui au fil du temps, ce n’est pas une surprise, mais je découvre tout plein de nouvelles facettes et elles me plaisent. Toutes. Énormément. »
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